Aito

« Don't look me, i'm monster... »

Caractère

Je suis un mur, face aux sentiments, du moins c'est ce que j'essaie d’être, mais mon visage bien trop expressif me trahit dans la minute. J'aime entendre hurler, mais pas méchamment, du moins c'est ce que j'aime croire, j'adore entendre mon nom ce faire entendre, que les femmes, ou homme cèdent sous la pression d'une torture mentale ou bien physique. Je suis capable d'être gentil, je suis juste accro à la torture, mais jamais envers les inconnus et seulement a ceux qui sont volontaire, je ne suis pas méchant, juste dominateur.
Sans ce côté démon, je suis quelqu’un de patient, honnête, droit, poli, bien élevé, adorateur de chose petit et mignon. J’essaie d’aider ceux qui m’entoure, je suis parfois naïf, sauf quand j’ai une victime dans mon lit ~
J’adore la couleur rouge, j’en porte souvent sur moi, la couleur de l’amour. J’aime porter des vêtements ample, principalement traditionnel au japon. Bien que je me laisse souvent tenter par des vêtements à la mode. Amateur de grand vins, de bouffe gastronomique, invitant qui a envie a savourer les milles douceurs épicée de mon monde ~

Physique

Je suis un homme de taille moyenne, ou grande, cela dépend votre angle de vue, je fais dans les 1 mètres 80. Sentant souvent le parfum lilas ou vanille mes saveurs favorites.
Je dois entrer dans les détails ? Me voir ne vous suffit pas ? Soit…
Commençons par la tête, j’ai les cheveux blanc comme la première neige un mois de novembre, il me tombe jusqu’au épaule, parfois je change, selon mes humeurs la saison le temps…
Un visage marquer par le temps, par les expériences sur moi, par la rancœur mais aussi par l’amusement, par l’étonnement, bref mon visage trahit la moindre de mes émotions, tel un livre ouvert, tel une petite lumière dans la pénombre.
J’ai un œil aussi noir que tes cauchemars peuvent imaginer, et l’autre blanc aussi pur que ton cœur peut laisser croire. J’ai une bouche souvent souriante, douce, chaude, enfin c’est ce qu’on m’en raconte.
J’ai un torse assez muscler mais pas trop non plus, trop c’est moche, pas à mon gout, dépasser de mode. Une peau ma fois plutôt pâle, j’ai vraiment du mal à bronzer, comme si le soleil chercher à me fuir… quelques cicatrices marque mon dos, rien de profond, enfin suffisamment pour qu’elle soit présente.
J’ai un énorme* Partie censurée par la hiérarchie*
Je suis du genre athlétique, sportive, plutôt agréable a regarder. Hum ? Narcissique vous dites ? Peut-être bien, un tout petit peu alors.

Histoire

Je suis né d’une maman parfaitement humaine et d’un papa alcoolique parfaitement humain, rien de bien palpitant comme vie. Seulement pour aider ma maman, qui était si douce avec moi, j’ai mis fin à la dure vie d’ivrogne de mon père, en injectant dans son verre une quantité importante de plusieurs médicament. Arrêt cardiaque, ma mère fut soulager d’un tel poids, à mon premier meurtre j’avais alors six petit ans. Nous vivions correctement avec l’argent du décès de père, qui n’avais pas grand-chose mais a suffi pour payer un studio, et de quoi manger à notre faim, nous n’avions rien, pas de télé, pas de jeux vidéo, mais nous étions heureux, ma mère avais trouvé un petit boulot de servante. Quant à moi, j’ai été à l’école, pour apprendre plein de chose, déjà que dans ce monde de crevard il y avait trois clans, les hybrides, les humains et les neutres se battant pour survivre. Moi ? je suis dans le clan des neutres, celui qui tente de survivre, de se faire une petite place dans ce monde miteux.
En rentrant un soir, j’ai vu ma mère, pleurant a chaude larme, une partie de ses vêtement déchirer, je ne comprenais pas, mais en même temps je savais ce qu’il c’était passé… j’avais peur de le comprendre.
A son travail, elle fut victime de harcèlement, bien heureusement elle n’a pas été violé, juste tripoter. J’étais fou de rage, complétement hors de moi. Je suis allé à son travail, cherchant les bâtards qui ont osé toucher ma mère, et malgré ma force je me suis fait mettre au tapis, sans surprise quand on est seul face à six adulte complétement avide de pouvoir et de domination. Plus jamais, ce n’est ce que je me suis dit, mais comment ? Comment foutre la racler a des baltringues pareil ?

Je suis allez un soir dans une cave miteuse, ou j’ai ouïe dire qu’un homme rendais plus fort quiconque en avais la volonté, le cherchant mainte fois dans différents endroit tout aussi miteux, et finalement je l’ai trouver, me posant multiple question sur ma vie, mon endurance, ma condition physique il m’embarqua dans une pièce, noir avec des objets plutôt étrange, et là je sentit comme un pressentiment, un mauvais pressentiment, vous savez ceux qui vous prenne à la gorge, rendant suffoquant la moindre respiration. Quelque chose me frappa le crâne, sombrant dans un noir absolu.
A mon réveil je vis une salle, baigné de trop de lumière, je me sentais diffèrent, comme si j’avais changé, tentant de me relever, la tête bourdonnante, non ce n’était pas ma tête sa venais de derrière moi, des … des putain d’ailes ! J’avais des ailes, et aie mon crâne, pourquoi ? cherchant quelque chose pour me regarder, j’aperçut un homme, plus fort, plus viril, avec des ailes dans le dos , des cheveux blanc qui semblais luire a mes humeurs et des yeux de couleurs différentes, avec une des deux qui deviner les gestes quelque seconde avant le second… je plaquant ma main dessus, ça me faisait un mal de chien, je me mit a genoux ne comprenant pas ce qu’il m’arrivais, pourquoi ?

Un homme, probablement le responsable arriva dans la pièce, j’étais perdu et affolé, et dans une voix sombre il me parla, comme quoi une somme importante d’argent a été versé à ma mère et fut transféré dans une ville plus sur a l’abri des hommes sombres, j’ai même pu lui parler, ma mère ne sachant mentir me confirma les dire de l’homme, la seule chose que je me souviens de lui c’est son sourire macabre. Je compris vite que j’étais devenue un hybride à son service.

Apres des années de coups de fouet pour agir comme il faut, et un jour je me révolta, mais cette fois pour de bon, alors âgé de 23 ans, je le tuant de sang-froid, pourtant il afficha jusqu’au dernier instant ce regard satisfait d’avoir fait ce que j’étais, je pris donc sa place, son argent et alla dans une animalerie » m’acheter », afin d’être considérée comme un humain libre, bien sur ce ne fut pas sans m’en mordre les doigts, mais aujourd’hui, bien qu’étant hybride, je suis libre de mes mouvements. Gouttant a la liberté, et a certain péché qu’il m’était interdit de faire jusque-là, prenant des nouvelles de ma maman, alors heureuse, vivante, manquant de rien.