Pourquoi la Grande Serpente est ici ?

Messages : 7 Date d'inscription : 07/07/2014

Elle l'a enfin retrouvée. Après tant d'années. Elle l'a su grâce a une animalerie, elle en a d'ailleurs profité pour tuer le vendeur et libérer les hybrides en cage. Maintenant elle est devant un porte. La porte de la maison de Cole. Elle cherchait sa soeur depuis au moins 2 ans et maintenant elle va la retrouver. Des retrouvailles qu'elle espère ce passeront bien, très bien même.

Mais d'un coup elle hésite... Et si sa soeur la rejetait, si elle ne voulais plus la voir. Après tout elle a grandi, elle a fait sa vie non ? Elle hésite a frapper a la porte et à la demander. Elle n'a pas peur de sa soeur. Elle n'a juste pas envie que ça se passe mal. Sa mère la rejeter quand elle a décider de partir, lui disant qu'elle ne valait pas mieux que sa petite soeur. Mais elle s'en fiche. De toute façon, elle ne l'aurait pas ramener.

Elle est juste venu pour s'excuser, rien que ça. Après ça elle la laissera faire sa vie. Finalement elle frappe à la porte et attends, regardant sa montre. Une, deux, trois, quatre....la porte s'ouvre, une jeune neko lui ouvrant la porte et lui demandant timidement "c'est pour quoi ?".

Elle l'observe. Pas très grande, pas très forte, stressée, mal dans sa peau... Une jeune fille qui a l'air fragile. Mais elle répondra tout de même de sa voix froide, surtout devant une aussi belle proie.

Je viens voir mademoiselle Lamia.

La neko la regarde, intriguée, apparamment surprise de la ressemblance entre les deux serpents.

Et...euh...vous êtes ?

Elle est donc ici et en plus dans la maison en ce moment. Elle pousse alors la neko, entrant dans la maison. Elle regarde autour d'elle, observant la maison depuis l'entrée, puis prends une grande inspiration avant de crier, d'une voix forte mais non agressive.

"Lamia ! C'est Calliope !

Tu regardas le temps passer, sans vraiment t’inquiété de la météo, cette nuit un rêve ta fait transpiré, il ta fait frissonner au point de ne plus vouloir t’endormir, faisant alors les cents pas dans le salon, sans un bruit pour ne pas réveiller les autres habitants, décidant au bout d’un long moment qu’il fallait mieux lire un livre pour t’occuper l’esprit. Les heures passe mais tu n’arrives pas à te plonger dans le livres sentant ta ligne d’écailles si dur, tu sens un mauvais pressentiment, ne voulant pas réveillé toute la maison, pour faire part de tes doutes, de tes craintes. Et si ? Non tu secouas la tête, cela n’arrivera pas, C’est à l’aube que finalement le sommeil te gagna, dormant alors sur la table, la tête cacher de ta capuche, enfouie au maximum dans ton écharpe. La tête posé sur un livre fermé, Cela n’aura pas duré longtemps car des bruits te réveilla, c’est le monde qui bouge chez toi, les gens marchant s’étirant après leur douce nuit de sommeil, tu te frotta les yeux, préparant alors le petit déjeuner, une sorte d’excuse a la question que fais-tu si tôt debout.

Souriant timidement au membre présent autour de la table tu avais servi le petit déjeuner, comme à ton habitude, retenant ce que chaque personne désire. Après avoir dit au revoir à ton maître, tu fis la vaisselle, frottant avec ardeur les tâches qui ne voulaient pas partir. C’est d’ailleurs pendant la vaisselle qu’un bruit a le porte ce fit entendre, c’est natsumi qui y alla. Timide comme elle est tu n’entendis pas qui cela pouvais bien être. C’est lorsqu’elle cria, que tu lâchas ton assiette qui se fracasse à peine eu telle toucher le sol. Un frisson te paralysa, tu ne pouvais pas y croire. Cette vois, oui cella tu la reconnais, tu trembles déjà de peur, n’osant pas regarder. Finalement ton rêve était prémonitoire, ta ligne d’écaille la sentis, comme si elle était un GPS pour ce genre de rencontre. Tremblotante tu te retournes, un seul désir, celui de fuir, de te cacher au loin, tu ne voulais pas que ça arrive, tu aurais préféré qu’il t’oublie sans jamais revenir.

♦ C…Calliope ? ♦

Ce prénom, si dur a prononcé, si faiblement dit, tu regardas doucement vers la porte d’entrée, le regard perdu, les yeux grand ouvert, la peur pouvais ce lire sur ton visage, à deux doigts même de pleurer. Que fait-elle là ? Tu n’en sais rien, mais tu n’avais envie que d’une chose. Qu’elle ne soit pas là pour te faire revenir à la maison, dans la tribu, Tu ne voulais pas revivre ça une deuxième fois, maintenant que tu avais trouvé une stabilité dans la vie de tous les jours, dans tes émotions. Revivre