Ce connaitre pour mieux cohabiter [ PV Komadori ]

"Je ne pense pas que de nouveaux vêtement soit nécessaires pour le moment... Mais je...je n'ai rien mangé depuis ce matin... J'aimerai bien manger quelque chose... si cela ne vous importune pas... maître..."

Elle avait donc faim, mais que mange-t-elle ? Du nectar ? Non les hybrides mange comme nous c’est vrai… Un restaurant ? Ou plutôt chez moi ? Je pense que du calme lui ferrais du grand bien elle m’a l’air complétement apeuré, en même temps je lui ai imposé Sophia, et j’imagine qu’être toucher l’importune.
Je me mets en face d’elle, ou plutôt dos à elle, en la guidant sans dire un mot au travers des ruelles, celle non habituel pour des citadins classiques, je veille à ce que personne la touche et a ce qu’elle ne touche personne, je ne sais pas trop ce qu’elle fait, en tout cas tout ce passe pour le mieux.

- Je vais t’amener chez moi, je vais te préparer un bon repas pour te remettre de tes émotions, et ainsi te montrer ou tu vas vivre désormais.

Je me diriger vers ma maison, je me sens fatiguer, lessiver même, j’ai besoin de repos et vite ! Je ne voudrais pas m’écrouler devant elle ! Ça ne lui ferrais faire que du stress en plus, et je ne tiens pas à la faire stresser ! Je sors les clefs de ma poche jouant avec elle, comme un mouvement habituel, presque comme un tic, sans en être vraiment un.

Nous arrivons devant chez moi, et ma seul pensé et de ne pas croisée ma voisine, pas qu’elle me déplaît, mais elle est trop bavarde et les commérages sons son passe temps favori, je ne souhaite pas entendre n'importe quel rumeur en mon nom.

Je pousse la porte du jardin ou mille fleurs se sont ouvertes au monde, libérant leur doux parfum, c’est agréable d’avoir ce jardin sous ce duplex ! Vraiment j’apprécie ce cadre, et j’espère que Miss Papillon en profitera tout autant que moi !

Je pousse la porte de l’immeuble cette fois, tenant cette porte pour faire entrer l’hybride, avant de grimper les marches qui sépare la sortie à mon duplex. Je monte deux a deux les marches, par habitude je suppose, et me voilà face à ma porte, que j’empresse d’y pénétrer ma clef afin de l’ouvrir, puis je laisse passer l’hybride à l’intérieur. Je lui laisse découvrir mon univers, remplie de photo partout, de magasine en mon nom, oui car après tout je suis mannequin et photographe, un univers diffèrent mais dans le même monde ! Mon salon dans les tons sable et blanc offre une luminosité agréable à ce duplex, un grand salon relié à la cuisine et les premières pièces que nous apercevons dès l’entrée. Plus loin y a les autres pièces dans un couloir un peu plus cachée de la lumière. Au-dessus de nous, l’escalier en fer qui relie ma chambre et ma salle de bain perso.

- Voilà ou tu vas vivre désormais je te laisse te promener, ne rentre pas dans mon bureau c’est interdit ! Bien compris ? Je te montrerais ta chambre plus tard, nous irons l’installer ensemble. Pour l’instant y a que le strict minimum, mais on pourra allez acheter les meubles et d’autre chose que tu voudras, il ne faut pas que tu hésites à me dire ce dont tu as besoin. Je vais faire le repas maintenant, je te laisse visiter.

Je retire mes chaussure afin d’être plus a l’aise avant de rejoindre la cuisine, afin de faire un riz au curry, je ne sais pas si elle aime ça, enfin je séparé les ingrédients, afin de la laisser faire a sa guise, je remonte mes manches et commence à couper les aliments, me coupant de monde, laissant ma joie de cuisiner prendre le dessus, car oui j’adore cuisiner, je cuisine pour mon voisinage parfois, c’est assez plaisant comme activité !!

Il se mit dos à elle et elle le suivit en silence, comme elle se devait de le faire. Comme une gentille petite hybride docile. Bien qu'il fut de dos, elle avait la net impression qu'il veillait sur elle.

- Je vais t’amener chez moi, je vais te préparer un bon repas pour te remettre de tes émotions, et ainsi te montrer ou tu vas vivre désormais.

Il commença à marcher vers sa maison, Komadori avait quand même hâte de voir là où elle allait habiter, depuis trois ans elle n'avait connu qu'une cage, l'enfermement et les cris des autres hybrides ainsi que ceux du vendeur.

Bientôt ils arrivèrent devant la demeure de l'humain. Il pousse la porte du jardin, laissant la papillon contempler un spectacle dont elle rêvait depuis tant d'années. Des fleurs ! Plein de fleurs toutes plus belles les unes que les autres ! Komadori sentit ses ailes s'agiter tout seule, des étoiles remplirent ses iris dorées devant tant de beauté.

La jeune hybride avait perdue son maître de vue et se dépêcha de le rattraper. Elle arriva à temps, son maître lui tenait la porte. Il reprit sa marche et elle continua ainsi à le suivre tandis qu'il rejoignait sa maison et enfin les voilà devant. Olivier lui tint encore la porte, la laissant pénétrer dans le grand duplex dans lequel elle allait vivre. La décoration était vraiment bien choisie, c'était lumineux et cela plaisait beaucoup à la papillon qui agita les ailes, ayant hâte de visiter.

- Voilà ou tu vas vivre désormais je te laisse te promener, ne rentre pas dans mon bureau c’est interdit ! Bien compris ? Je te montrerais ta chambre plus tard, nous irons l’installer ensemble. Pour l’instant y a que le strict minimum, mais on pourra allez acheter les meubles et d’autre chose que tu voudras, il ne faut pas que tu hésites à me dire ce dont tu as besoin. Je vais faire le repas maintenant, je te laisse visiter.

"D'accord...merci..."

Komadori acquiesça et commença sa visite, laissant son maître aux fourneaux. Bien sûr elle évita le bureau. Ce duplex était vraiment paradisiaque pour elle. Plusieurs minutes passèrent et elle eût bientôt fini de faire le tour des lieux, elle n'avait pas osée rentrer dans les pièces mais avait réussit à mettre un nom sur chacune d'elle.

Bien que son estomac grognait, la jeune hybride papillon trépignait d'impatience à l'idée d'avoir une vrai chambre pour elle toute seule. Mais cela n'effaçait pas sa peur et son inquiétude bien qu'elles furent apaisées. Cet humain n'avait rien à voir avec son ancien maître. Peut être pouvait-elle réellement lui faire confiance ? Cependant elle préférait attendre encore un peu avant d'en tirer une conclusion.

Je continue de préparé mon repas, je ne lui ai pas demandé ce quel préféré manger. Je m’arrête regardant ce que je pouvais bien lui faire. Pour ma part je me fais un steak de bœuf, bien cuit mais pas trop, accompagner de pomme de terre et un peu d’épices. Puis une salade de fruit en dessert. Je réfléchie, que pouvais bien manger un hybride papillon ? Je regardais dans mon frigo, je n’avais pas grand-chose, il fallait vraiment que je fasse les courses…

Je décidais de lui faire de l’ananas caramélisé, des pommes au four et quelque légume comme des carottes et courgette. C’est bon, sain, et au vue de sa maigreur je pense qu’elle manque de vitamine. Allez c’est partit, je pris les casseroles sans vraiment faire attention à ce qui m’entoure. J’aime cuisiner, et personne ne pourra dire le contraire. Souvent appelez par les voisins pour leur préparé un repas de mariages ou de fête. C’est un de mes petits plaisir de la vie.

Je taille les carottes en forme de lapin, les courgettes en fine tranche, puis je fais cuire le tout. Je prends une assiette et le tout une fois cuit dresse le tout dessus. L’assiette pour l’hybride est prête. Je l’a met d’ailleurs a table avant de me rendre compte qu’elle était là.

- Oh pardon je ne t’avais pas vue, ton assiette est prête, je t’ai fait des légumes, si tu veux quelque chose en plus dit le moi tout de suite, le temps que les poêles sont chaude !

Je la poser sur la grande table du salon, en poussant mes photos entassé là, il y a bien longtemps que je n’ai pas mangé sur cette table. Je pose délicatement l’assiette avant de rassembler mes photos pour faire plus de place et éviter de les salir. Puis je retourner dans la cuisine pour apporter à l’hybride des couverts, pour qu’elle puisse manger !

Je finis de préparé mon assiette et me mit à table. En face de l’hybride, ce qui me fait tout étrange, tellement de temps à manger seul. Je pris des bouchée avec appétit, j’avais aussi faim, et ce bon steak me fit sourire. On se sent tellement mieux une fois l’estomac plein. Je la regardais, elle semblait bien.

- Alors la chambre te plait ? J’aimerais savoir tes goûts afin que tu t’y sentes chez toi. D’ailleurs…

Je me levais cherchant une feuille et un stylo, pour lui tendre.

- Tu sais écrire ? J’aimerais savoir tes goût, ce que tu manges, ton temps de sommeil, et ce qui te passe par la tête, afin d’être sûr de ne pas agir en mauvaise personne.

Komadori continua sa visite et finit par trouver la chambre qui lui était attribuée. La papillon entra dans la pièce après poussée la porte, la pièce était d'une bonne taille, il y avait dedans, comme l'avait préciser son maître "le strict minimum", un lit, une table de nuit et une armoire mais cela était largement suffisant.

La jeune hybride rejoignit son maître, il semblait pleinement investie dans sa préparation et cela sentait très bon ! Olivier va mettre l'assiette à table et remarque la présence de son hybride.

- Oh pardon je ne t’avais pas vue, ton assiette est prête, je t’ai fait des légumes, si tu veux quelque chose en plus dit le moi tout de suite, le temps que les poêles sont chaude !

"Non cela ira..."

Elle se mit à table en même temps que son maître et mangea de bon cœur ce qu'il lui avait préparé. De l'ananas caramélisé avec des pommes cuites au four, des carottes -découpées en forme de lapin, cela la fit sourire- et des courgettes.

- Alors la chambre te plait ? J’aimerais savoir tes goûts afin que tu t’y sentes chez toi. D’ailleurs…

Komadori hocha vivement la tête. Bien sûr que sa chambre lui plaisait ! Elle n'avait même jamais eut de chambre. Alors qu'elle avait presque terminée son assiette, le jeune humain se leva et lui rapporta une feuille et un stylo.

- Tu sais écrire ? J’aimerais savoir tes goût, ce que tu manges, ton temps de sommeil, et ce qui te passe par la tête, afin d’être sûr de ne pas agir en mauvaise personne.

"D'accord..."

L'hybride commença à écrire tout ça sur le papier:

"Goûts alimentaire: Je mange très peu de viande, surtout des fruits et des légumes, je préfère les choses sucrées.
Temps de sommeil: environ 6 heures par jours.
Autre: Je ne suis pas très difficile. Je vous demanderai juste... si cela ne vous dérange pas, d'éviter de me toucher les ailes, le dos et le cou... Ce sont des zones sensible et je peux mal réagir."

Puis elle lui tendit sa petite liste.

"Voilà... s'il y a quelque chose que je dois changer dans mon comportement par rapport à ce que j'ai écrit...n'hésitez pas..."

Elle acquiesça et pris mon papier et se mit à écrire, je finis mon assiettes pendant ce temps. Puis je rassemble les assiettes sales sur la table afin que tout reste propre. En me levant pour mettre tout ça dans l’évier, je reviens et elle me tend le papier.

[ "Goûts alimentaire: Je mange très peu de viande, surtout des fruits et des légumes, je préfère les choses sucrées.
Temps de sommeil: environ 6 heures par jours.
Autre: Je ne suis pas très difficile. Je vous demanderai juste... si cela ne vous dérange pas, d'éviter de me toucher les ailes, le dos et le cou... Ce sont des zones sensible et je peux mal réagir."]

"Voilà... s'il y a quelque chose que je dois changer dans mon comportement par rapport à ce que j'ai écrit...n'hésitez pas..."

Je lis, je vois, pas de viande pour elle, je vais devoir faire des repas plus légumes alors. Ne pas la toucher ? Je ne compte pas la toucher, sauf si besoin médicale oblige, mais je ne souhaite pas de rapport avec elle. Si je l’ai libérée de cette cage, c’est pour lui offrir une seconde chance. Pas pour lui faire des choses étrange comme le font la plupart des humains adoptant un hybride. Enfin cela n’a rien à voir. Je la regarde puis range le bout de papier dans ma poche arrière.

- Non ne change rien, pour l’instant je ne peux te dire ce qu’il faut changer, tu viens à peine d’arriver. Il ne te faut rien pour ta chambre ? Assez grande ? Humm il faudrait que je t’explique les tâches que nous allons partager dorénavant.

Je lui montre la cuisine en lui expliquant ou sont les produits pour laver et tout le reste et lui montre la vaisselle, et de quoi s’occuper quand je ne suis pas là. D’ailleurs je lui montre aussi la télé, qu’elle adroit de regarder quand elle veut, ainsi que la console de jeux. Non je ne l’ai jamais allumée, mais elle m’a étais offerte, autant qu’elle servent. Je lui montre le salon, les livres, le coin peinture. Bref là ou elle peut, puis je lui montre le deuxième étage.

- En plus de mon bureau, tu ne dois pas monter au deuxième étage. C’est ma chambre et ma douche privée. Même si je hurle, tu ne dois pas monter c’est bien compris ? Et moi je ne viendrais pas dans ta chambre, c’est un bon deal non ?

Je lui sourit, comme pour la rassurée, mais il part bien vite. Puis je baisse le doigt, et réfléchit, je suis libre aujourd’hui, je pourrais rattraper le temps perdue pour mes photos. Oui je vais faire ça.

- Tu es libre, après avoir fait la vaisselle tu a le droit de faire ce que bon te semble. Si tu as faim sers-toi, je vais inscrire les numéros d’urgence sur le frigo. Je vais aussi te faire une boite, dans laquelle je te mettrais de l’argent, elle serait rien qu’à toi, tu pourras sortir et acheter ce que tu veux,vêtements a manger, des décorations, tant que ça rentre dans ta chambre tu peux prendre ce qu’il te plait, mais n’oublie pas de mettre ton collier. Ainsi personne ne viendra t’embêter.

Je me décale d’elle, en cherchant une boite assez jolie. Je trouve mon bonheur avec une boite en bois décorée, dans laquelle je place un peu d’argent, je lui en mettrais plus après, pour l’instant je n’ai que ça. Bon il est temps pour moi de travailler. Je mets mes lunettes sur le nez et me dirige vers mon bureau.

Il la regarda et rangea le morceau de papier dans sa poche.

- Non ne change rien, pour l’instant je ne peux te dire ce qu’il faut changer, tu viens à peine d’arriver. Il ne te faut rien pour ta chambre ? Assez grande ? Humm il faudrait que je t’explique les tâches que nous allons partager dorénavant.

"Oui...ma chambre est parfaite...merci..."

Son maître lui montra la cuisine en indiquant à la jeune hybride ou se trouvait les produits de nettoyage. Il lui montre aussi la télé, objet que Komadori n'avait jamais utiliser, ainsi qu'une console de jeux. Toujours sur les pas de son maître, la papillon découvre le salon, beaucoup de livre et un coin où elle pourra peindre à l'avenir. Elle avait apprit à dessiner dans le centre d'apprentissage pour hybride docile du laboratoire où elle avait été créée mais sans plus.

- En plus de mon bureau, tu ne dois pas monter au deuxième étage. C’est ma chambre et ma douche privée. Même si je hurle, tu ne dois pas monter c’est bien compris ? Et moi je ne viendrais pas dans ta chambre, c’est un bon deal non ?

L'humain lui souri pendant quelques secondes, cela la rassure et lamet un peu plus en confiance. Il n'allait pas lui faire de mal, elle le sentait, mais elle continuait malgré tout de ressentir une certaine crainte.

- Tu es libre, après avoir fait la vaisselle tu a le droit de faire ce que bon te semble. Si tu as faim sers-toi, je vais inscrire les numéros d’urgence sur le frigo. Je vais aussi te faire une boite, dans laquelle je te mettrais de l’argent, elle serait rien qu’à toi, tu pourras sortir et acheter ce que tu veux,vêtements a manger, des décorations, tant que ça rentre dans ta chambre tu peux prendre ce qu’il te plait, mais n’oublie pas de mettre ton collier. Ainsi personne ne viendra t’embêter.

Komadori acquiesça, elle n'enlèverait pas son collier de si tôt, elle comptait même ne jamais l'enlever. Après tout, c'était un cadeau de son maître, un symbole de sa libération, de la fin de son calvaire en animalerie, la fin de son attente et de son désespoir. Olivier se décala et part chercher une boite dans laquelle il place de l'argent, de l'argent qui lui était destiné. Pourquoi ? Pourquoi faisait-il tout ça ? Jamais elle n'avait reçu autant d'attention de la part d'un humain, jusque là elle n'avait été considérée que comme un animale, un vulgaire insecte, comme disait son premier maître. Mais là... elle avait l'impression d'être quelqu’un, pas une simple hybride, une simple esclave. Mais un être à part entière.

Son maître partit dans son bureau au deuxième étage. La jeune hybride alla donc faire la vaisselle comme demandé. Une fois que cela fut fait, elle regarda pendant un instant le salon un peu... désordonné, il y avait pas mal de photos et de magasines qui jonchaient le sol. Pourquoi ne pas faire un peu de rangement, histoire de remercier l'humain et puis il devait avoir du travail ou quelque chose comme ça, et donc pas le temps de ranger, elle le ferait pour lui. Komadori rangea tout ce qu'elle était en mesure de ranger, elle classa les magasines par période et en fit une petite pile bien droite avant de les poser sur la table. Elle fit de même avec les photos, sans vraiment regarder ce qu'il y avait dessus. Elle enleva également le peu de poussière qu'elle trouva. Et d'un coup elle s'arrêta, peut être qu'elle n'aurai pas dut ? Ça se trouve, son maître ne voulait pas que le salon soit ranger de la sorte ?

*Tant pis... s'il veut me punir je comprendrai...*

La jeune hybride soupira et laissa le salon comme elle l'avait réorganisé. Elle se dirigea vers sa chambre et s'assit sur le lit. C'était sa chambre, rien qu'à elle. Ça aussi elle avait un peu de mal à le comprendre, jamais elle n'avait eut le droit à un endroit rien qu'à elle. Elle finit par s'allonger sur le côté, ses longs cheveux détachés prenant pas mal de place.

Elle était enfin sortit de l'animalerie. Komadori avait commencée à désespérer dans le fond de sa cage. Trois ans qu'elle y était.
Les émotions de la journée l'avait épuisée, elle se sentait vidée. Contre son gré, la jeune hybride ferma les yeux et se laissa sombrer, emportée par la fatigue.

Je travaille dur, regardant ma photo poser là sur mon bureau, cela fait des années maintenant, pourquoi ne peut-elle pas sortir de ma tête ? Suis-je simplement fou ? Je trie les photos pour le journal, puis les photos pour les particuliers, cherchant les meilleurs clichés pour en faire un superbe album, je mets plusieurs heures à tout faire, écoutant le silence qu’il règne dans mon appartement, un calme trop calme. Je me lève d’un bond, et si Komadori était tombé dans les pommes ? Si elle c’était faite mal, ne pleurant pas pour ne pas me déranger ? Je regarde partout, ne remarquant pas sa présence, puis je pousse la porte de sa chambre, doucement pour la voir endormie, rassurant ainsi ma panique, je referme la porte doucement, soupirant, tant de frayeur pour rien. Décidément j’ai vécue trop de temps tout seul, voilà que je panique pour un rien…

Je me dirige vers la cuisine, regardant l’heure, il est presque temps de faire à manger. Je me mets au travail, remarquant alors que le ménage a été fait, je souris, plutôt contente de n’avoir pas à le faire plus tard. Je penserais à la remercier, elle ma donner un grand coup de main. J fait le repas pour ce soir, rien de bien compliqué, une salade. Avec de la laitue, quelque carotte couper en lapin, des concombre, quelque carré de fromage, puis je me fait à part griller des lardons, que je me rajouterais dans mon assiette, pour ne pas faire manger de la viande a ce papillon.

Je m’étire, regardant par la fenêtre, celle au-dessus de mon évier, qui donne dans la cour de l’immeuble, je n’ai pas envie de retourner travailler, maintenant que je suis sorti de mon bureau, j’éteins le feu. J’aperçois un petit oiseau ce poser sur ma fenêtre attrapant mon appareil photo, pour immortalisé l’instant, restant la prenant le cliché a certains moment de la vie de ce magnifique rouge-gorge, qui est là majestueux, comme si libre de tout mouvement, si saint de toute pensées, si magnifique de par sa posture. J’en suis presque le souffle coupé, dire qu’un simple petit être comme lui, peux faire changer le monde. Comme si ce simple cliché pourrait changer d’avis certain homme.

Une fois les photos faite, je regarde l’oiseau partir, écoutant son chant parfait, comme pour me remercie d’avoir joué la star avec lui. L’espace d’un instant je ferme les yeux, sentant mon corps apaiser, presque sans passé, laissant la gravité l’attiré a elle, m’appuyant alors contre mon plan de travail, restant ainsi, oubliant un peu qui je suis.

C'est dans un sommeil neutre et sans rêves qu'était plongée la petite hybride papillon. Mais ce fut un sommeil duquel elle se réveilla reposée. Komadori s'étira doucement avant de regarder autour d'elle, elle était toujours dans sa chambre, son adoption n'avait pas été un simple rêve. Elle soupira de soulagement avant de se lever du lit en attachant ses cheveux roses en bataille, se dirigeant vers la cuisine où elle entendait un peu de bruit.

En arrivant dans la pièce elle vit que son maître s'affairait déjà à la préparation du dîner. Enfin c'est ce qu'elle en conclut en voyant tout les ustensiles sortit, l'hybride s'en voulut immédiatement d'avoir dormis pendant ce temps. Mais l'humain semblait ne pas lui en vouloir, en fait... il n'avait même pas remarqué qu'elle était là, il était serein, appuyer contre son plan de travail, les yeux fermés. Devait-elle lui dire qu'elle était là ? Oui sûrement, elle n'allait pas rester comme ça à rien faire.

"Maître...? Je... je suis réveillée..."

Komadori baissa la tête, joignant ses mains aux niveau de son ventre. Oui elle s'en voulait. D'habitude c'était elle qui faisait tout ça, pas son maître. En tout cas c'est comme cela que ça se passait avec son premier maître, sinon elle se faisait frapper. Peut être qu'il allait la frapper lui aussi ?

"Je...je suis désolée maître... je n'aurai pas dût m'endormir sans votre permission... Pardonnez-moi..."

La papillon s'inclina très bas, jusqu'à s'en faire mal au dos et aux jambes, mais selon elle c'est ce qu'elle méritait. C'était son rôle d'hybride de s'occuper de la maison pendant que son maître devait se reposer. De la honte rongeait son petit cœur fragile.

J’étais loin, bien loin, nageant librement sous l’eau, comme un poisson, une baleine, une sirène pourquoi pas ? Dans tous les cas j’étais libre, libre de vivre bien, en harmonie avec moi-même, je sentais mes bras desserré doucement l’appareil photo que j’avais en main, comme si il veut prendre son envol lui envie.

Puis une voix qui paraît si loin, me fit sortir brusquement de mon songe, devenant au fur des lettres de plus en plus fort, sortant alors mon corps de son paisible songe, ouvrant alors les yeux brusquement, me rappelant alors qu’il est stupide de rêver de vivre si paisiblement, jamais cela n’arrivera. Il y a bien longtemps que ma liberté n’existe plus.

Je tourner la tête, regardant mon hybride s’inclinant, aurait-elle honte de m’avoir sortie de là ou j’étais ? A vrai dire je n’en sais rien mais je m’approchai d’elle, lui posant doucement ma main sur sa tête

- Qu’ai-je dit papillon ? ne baisse pas la tête, je ne suis pas un dominateur, loin de là….

Je la regarder avec des yeux presque triste, désireux de retourner là où j’étais, comme si se rêve paraissez déjà trop loin pour mon cœur emprisonné. Je retire doucement ma main, car je sais qu’elle a noté que je ne devais pas la touché, je l’ai même alimenté sur le frigo, afin de m’en souvenir, le temps de m’habitué à elle, le temps qu’elle prenne confiance en elle. Je me dirige vers la cuisine, lui présentant alors les assiettes pour qu’elles les mettent à table.

- Je vous ai fait à manger, une salade, cela vous va ? J’ai mis les lardons a part pour ne pas vous forcer a les manger, si vous désirez quelque chose de précis pour la prochaine fois dite le moi, d’accord ?

J’installe la salade est les autres petits accompagnements a table, puis je m’assois, l’invitant à faire pareil, pour commencer à manger.

- Ce soir je dois faire des photos dans le parc, voulez-vous m’accompagner ? Sinon vous pouvez rester ici, c’est comme vous désirer.

Komadori sentit la main de son maître se poser sur sa tête basse. Qu'allait-il faire...? La lui lancer contre le sol ? La lui frapper ? Elle tremblait un pue à l'idée de se faire punir.

- Qu’ai-je dit papillon ? Ne baisse pas la tête, je ne suis pas un dominateur, loin de là….

Et sans rien dire de plus il retira sa main, laissant son hybride, ébahit se redresser doucement. Il... il n'allait pas la punir ? Sans dire un mot elle le regarda se diriger vers la cuisine et lui présenter une assiette.

- Je vous ai fait à manger, une salade, cela vous va ? J’ai mis les lardons a part pour ne pas vous forcer a les manger, si vous désirez quelque chose de précis pour la prochaine fois dite le moi, d’accord ?

"Vous" ? Pourquoi la vouvoyez-t-il à présent ? Komadori ne comprenait pas son maître, il était si... différent du premier qu'elle avait eut. Un être égoïste et sans cœur, qui la frappait pour un oui ou pour un non, qui l'obligeait à dormir avec lui, à manger ses restes, par terre dans une gamelle comme les chats ou les chiens... La jeune hybride ressortit de ses souvenirs douloureux pour s'asseoir à table avec son maître et manger sa salade.

- Ce soir je dois faire des photos dans le parc, voulez-vous m’accompagner ? Sinon vous pouvez rester ici, c’est comme vous désirer.

Komadori releva la tête et avala sa bouchée avant de répondre.

"Ce...ce sera un plaisir... de vous accompagner... maître... Mais je... euh... pou...pourquoi me vouvoyez-vous... ? Sans vouloir vous importunez avec des questions idiotes..."

[Pardon pour la longueur de la réponse.]

"Ce...ce sera un plaisir... de vous accompagner... maître... Mais je... euh... pou...pourquoi me vouvoyez-vous... ? Sans vouloir vous importunez avec des questions idiotes..."

Je la regarde un peu surpris et secoua un peu ma tête.

- Pardon question d’habitude… Dans mon métier je vouvoie tout le monde… Ne fait pas attention à ça. Bien allons-nous préparer alors.

Je débarrasse la table, faisant la vaisselle, rapidement, puis je demande à komadori d’aller prendre une douche et lui tendit des vêtements, une robe, noir, qui lui irais certainement bien. Lui ordonnant de me rejoindre les cheveux mouillés, enfin il ne faut pas qu’elle les sèches complétement. Puis je file sous la douche, oubliant un peu mon stress, prenant soin de frotter chaque partie de mon corps, rien ne doit être laissé de côté. Puis je sors, prenant soin de regarder si tout va bien, pas de cicatrice, pas de brûlure. Je mets mon costume, rejoignant alors le salon. Mettant ma cravate correctement, enfin une tenue dans lequel je suis à l’aise, Attendant le petit papillon afin de la coiffer. Je regarder ma montre, j’ai encore un peu de temps avant le rendez-vous. Je prépare alors mon appareil photo mes papier, je mets aussi des médicaments contre la mal de crâne.

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