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MessageSujet: allemagne nous voila ! [pv Meister allemagne nous voila ! [pv Meister Icon_minitimeMer 26 Mar - 20:23
Irisia Anderson













 ❝ Apprivoise moi ❞
Je mords pas, enfin pas trop. ♥




Les abeilles, les pissenlits et le soleil… Que je ne vois pas.
Aujourd’hui était un jour comme tous les autres. Coincée à l’animalerie, je ne pouvais rien faire dans ma petite cage étroite, à par observer les clients qui venaient, et repartaient et venaient… Une longue routine qui à mon gout ne se finirait jamais à ce rythme. Il fallait agir ! Casser ce train-train quotidien et… Vivre !  Je souriais à chaque passant, essayant de les attirer devant ma cage, et ça fonctionnait ! Mais dès que ces messieurs regardaient le prix totalement démesuré ils fuyaient. Tous, un par un.  C’en était presque vexant à la fin ! Enfin ce n’était plus important, ce qui m’importer le plus maintenant c’était mon hygiène et mon accoutrement.
Pour une raison qui m’étais inconnu, les hybrides en cages et moi également, étions tous en sous vêtement.  Les vendeurs disaient que c’était plus simple pour les acheteurs de nous voir ainsi qu’avec les habits, une question de qualité.
Mais à mon gout ça n’attirait que des vieux pervers dégueulasse qui ne venait que ce détendre un coup, profitant qu’ils avaient le droit de nous toucher un peu pour essayer le produit. Bon il y avait des limites, ils pouvaient nous retirer les vêtements, nous caresser, mais interdiction de pratiquer ne serais ce qu’un seul acte relevant du sexuel, comme pénétrer de doigts quelques pars~
Qui plus est, chaque hybride n’avait le droit qu’à un bain par semaine, je vous laisse imaginer l’odeur de la pièce. Par chance, mon jour de bain, bah c’était ce matin ! Et j’avais même pus prendre des produits de soin pour cheveux. J’étais douce au touché et je sentais bon. Un avantage en plus !

Mais visiblement ça ne suffisait, on était en fin d’après-midi et à part mettre fait tripoter par deux trois humains, je n’étais pas sorti de ma cage. Je regardais le soleil descendre petit à petit jusqu’à ne plus l’apercevoir de la fenêtre près de l’entrée.  Plusieurs personnes étaient encore présentes dans le magasin. Un couple avec leur enfant, une vieille dame cherchant surement un nouvel ami pour l’aider, et un espèce de vieux débris croulant qui s’obstiner à me demander d’écarter les cuisses pour lui montrer.
Je soupirai encore, jusqu’à ce qu’un vendeur vienne me chercher. Un vrai client. C’était un jeune.. Bourge ? Il avait des manières en tout cas, voulant montrer sa fortune et sa classe « supérieur » comme si tout le monde devait le respecter. Il me posa un million de question pour savoir si je n’étais pas une sauvage, tâtant mes fesses, mes seins, caressant mes cheveux pour savoir si je lui convenais. Je n’étais pas ravi, je ne savais pas vraiment a quoi j’allais servir.

« Bien ! Tu auras des domestiques, une chambre et tu n’auras qu’a dire que tu es heureuse ici, en même tant tu ne pourras que l’être ! Un esclave qui devient quelqu’un de noble ! Tu en a de la chance tu sais»

« Quoi ? Ah non alors ! Pas question ! Je reste ici !» Dis-je sincèrement un visage innocent comme un enfant commençant a faire un caprice.
L’homme lui se sentait mal, très mal. « ... Quelle ingrate !! » Dit-il avant d’attraper un bâton, profitant qu’aucun vendeur ne soit là

« Je vais t’apprendre à me répondre sale gamine ! »
Je cherchais a comprendre. J’avais fait une bêtise ? Il allait me frapper ? Pourquoi il est tout rouge ? Est-ce que quelqu’un peut m’expliquer ce qui se passe à la fin ?

« Vous avez le droit.. Oh sinooooon ! On pourra jouer à un jeux ! Tu connais le loup garou ? C’est un jeu de carte ! C’est très marrant ! Ah mais... On ne l’a pas là. Tu ne veux pas vite aller l’acheter et on s’amuse un peu ? ♥ »

L’homme resta bête « … Tu ne sais pas a qui tu parles ! Je vais te ruiner ta vie et celle de ton futur maitre ! Regrette tes paroles tu vas les payer amèrement ! Et je ne vois même pas qui voudrait de toi vu ton caractère insupportable ! »

Je fronça les sourcils et lui tira la langue « Moi au moins j’ai pas une verrue sur le nez ! Nananananereuh ! ♫ ♫ ♥ »

Vous devinez la suite ? J’ai fini dans ma cage.



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Irisia Anderson
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MessageSujet: Re: allemagne nous voila ! [pv Meister allemagne nous voila ! [pv Meister Icon_minitimeMer 26 Mar - 22:38
Invité

Une après-midi comme les autres… Sans contrat à « exécuter » en cette journée ensoleillée, Meister était dans son appartement, se balançant sur sa chaise, les pieds sur le bureau, les yeux dans le vague de son plafond en se demandant ce qu’il allait bien pouvoir faire de sa journée. Cherchant de l’inspiration pour se décider à lever son cul musclé de son fauteuil, il parcouru des yeux l’horizon de son habitat.

Force était d’admettre que la vue n’avait rien d’un palace. Étant à la fois paresseux et célibataire, Meister ne se souciait guère de l’hygiène de son lieu de vie. Si vous pensiez que tous les allemands étaient des personnes stricts sur la discipline et la propreté, retirez-vous cette idée du crâne dès à présent, car ces deux choses n’étaient, lorsque s’appliquant à son parquet, par exemple, que bien secondaires.

Il se rendait bien compte que ce n’était pas bien, et que vivre dans un espace propre était à la fois bon pour le moral et pour la santé, mais il n’y avait pas moyen. Il avait la flemme. La bonne grosse flemme bien grasse qui te glue le derche au fond de ta chaise et te pousse à regarder tourner ton ventilateur de plafond dans la plus pure inaction intellectuelle. Cependant, une idée lui vint.

Récemment, il avait eu à travailler pour une des grosses huiles de la pègre locale, dans une action assez dangereuse et, évidemment, la paie avait été ajustée en conséquence… Résultat, son compte bancaire présentait une santé presque affolante. Il y avait sans doute une façon de rendre cet état de fait utile… Acheter un esclave. Évidemment. Comment l’idée ne lui était-il pas venue plus tôt !

Meister bondit sur ses jambes, se saisit de son manteau et descendit quatre à quatre les escaliers menant dans la rue, direction l’animalerie ! Il avait toujours esquissé un air de dédain en passant devant cet endroit, où des êtres vivants étaient vendus comme des bêtes, ergo le nom de l’établissement. Mais pour une fois, il y allait le cœur léger, trouvant en cette honnête échoppe le moyen de rendre son appartement vivable en plus d’y ajouter une belle plante.

Il se fit accueillir comme un prince, attendu que les personnes qui franchissaient cet huis devaient avoir quelque sou en poche tant les prix étaient élevés… En même temps, notre géant teuton pouvait comprendre cela, il s’agissait tout de même de vies… certes non pas humaines, mais tout de même pas loin. Un vendeur lui fit faire le tour des « produits », des hybrides, femelles pour la plupart, toutes habillées en bikini ou simples sous-vêtements, ce qui fit froncer le nez et les sourcils de Meister. Quelle indécence… Il fut même invité à « tâter de la marchandise », offre qu’il déclina d’un sec revers de main.

Il passa et repassa plusieurs fois devant les cages, dévisageant chacune de ses potentielles futures acquisitions, en s’étonnant toujours des progrès de la science… Des humains à oreilles de chats, de chiens, de renards, certains avec des cornes, ou qui ressemblaient plus à des animaux bipèdes qu’à des êtres humains. Dire que chacun de ces individus était le produit de la science ne cessait de l’ébaubir.

Soudain, alors qu’il était en pleine contemplation, une espèce de petit foutriquet, l’air manifestement en pétard, vint bousculer notre colosse. Évidemment, il lui fut demandé des comptes, et ledit fâcheux expliqua, les yeux baissés, écrasé par la présence du Bosch mais avec forces jurons, qu’il avait été insulté par une de ces créatures et qu’il allait revenir pour la passer à la baston avec force mains d’œuvre. Intéressé, il se rendit en face de la cage de ladite marchandise. Meister resta un instant planté là, tel un monstre d’ivoire, observant cette petite chose qui lui faisait les yeux doux derrières ses barreaux.

« - Wie heißt du ?
demanda-t-il à la créature, sondant ses connaissances linguistiques.
- Elle s’appelle Irisa, monsieur, répondit du tac-au-tac le vendeur, sans laisser à l'intéressée le temps de répondre, s’attirant du même coup un regard noir de son titanesque client.
- A combien est-elle vendue ? Demanda-t-il de nouveau, bien que pouvant voir le prix marqué sur la cage
- Trois mille, monsieur… »

Meister se retourne, lentement, donnant l’impression d’une statue en mouvement.

« - Wie viel ? s’étrangla-t-il en écarquillant des yeux
- Trois mille, monsieur, se répéta l’usurier en vies humaines
- Trois mille pour cette petite fille insolente qui a fait mettre un de vos clients hors de ses gonds ? Mille.
- Je vous ferai remarquer qu’elle a tout de même de plus que belles formes.  Deux mille cinq.
- De belles formes…
ricana Meister, ja, c’est sûr que ses obus vont l’aider pour nettoyer mon bureau ! Mille cinq.
- En tout cas, elle est agréable à l’œil, comme monsieur a déjà dû le vérifier ! Deux mille. »


Le massif se retourna tout à fait près du veule, se rapprochant en se redressant pour le dominer de toute sa hauteur.

« - Je vous fais le plaisir de vous débarrasser d’un de vos invendus, et vous prétendez me le céder à un tel prix ? Je ne donnerai pas plus de mille six cents pour cet aspirateur automatique.
- Elle pourrait vous aspirer bien d'autres choses si vous le lui ordonnez… Deux mille cent.
- Gardez vos remarques pour vous…
rétorqua-t-il d’un ton menaçant, et je vous prie de rester poli. Je ne vous la prendrai pas à plus de mille six cents… »

Et ils restèrent ainsi, l’un levant les yeux vers ceux, baissés et sombres, de l’autre, dans un espèce de duel de volonté que Meister ne pouvait perdre… Cet affrontement muet dura quelques instants, jusqu’à ce que le vendeur ne baisse la tête, honteux et vaincu, faisant signe à l’allemand de le suivre jusqu’au comptoir. La transaction s’opéra, et il revint, vainqueur et souriant, vers le cage d’Irisa, l’ouvrant d’un coup de clé.

« - Hallo, Irisa, ravi de te rencontrer… Je m’appelle Meister Zebi. Et je suis à partir de maintenant, ton maître. ~ »

Meister était content. Non seulement avait-il humilié le vendeur, mais il avait fait un bel achat à un prix honnêtement ridicule pour le marché. Et en plus, il allait avoir une servante à domicile, pour faire toutes les tâches ménagères ingrates qu’il voulait s’épargner. Oui, vraiment, quelle belle journée de printemps !
Invité
MessageSujet: Re: allemagne nous voila ! [pv Meister allemagne nous voila ! [pv Meister Icon_minitimeMer 26 Mar - 23:44
Irisia Anderson













 ❝ Apprivoise moi ❞
Je mords pas, enfin pas trop. ♥




Je restai seul durant un moment commençant à m’endormir doucement, mes  paupières se faisaient lourdes, je craignais redevoir faire un de ces affreux séjours au centre de dressage.  J’avais peur, cet endroit affreux, je ne voulais plus jamais y remettre les pieds ! A par aujourd’hui j’avais toujours était sage et exemplaire ! On a tous le droit de péter les plombs… Puis ce n’étais pas si grave.
Je me faisais surement des films.
Oh, des bruits de pas.
Je relevai la tête doucement, presque émerveillez par ce qui était devant moi. C’était un.. Un homme ? Oui, il était immense ! Il devait mesurer dans les deux mètres. Son visage avait de dure traits mais il était magnifique. A mes yeux en tout cas. Pour son corps il n’y avait pas de place a l’imagination : Il était très très bien musclé. Un corps d’athlète, un corps de rêve, des bras dans lesquelles on voudrait être prisonnier, un abdomen parfait et visible même couvert par des vêtements. A mes yeux il était parfait ; Je le regardais, émerveillais. Je voulais que ce soit lui et personne d’autre mon maître. Pas ce petit bourge de tout à l’heure, pas le président de la république, juste lui. J’étais heureuse de le voir devant ma cage et pas devant une autre. Me rapprochant des barreaux, me collant à ces derniers, ma poitrine déborda de la cage et j’écoutais attentivement la conversation des deux hommes.

Le vendeur ne semblait pas vouloir baisser mon prix, finalement il m’aimait bien ? Etrange. Qu’importe, ce fut une bataille sans merci entre les deux hommes. Je regardais le vendeur plein de pitié pour qu’il accepte mais même, ça ne marchait pas. Je ne voulais pas qu’il reparte sans moi, il ne m’avait pas adressé un mot à moi et avait dit des choses plutôt, comment dire gênante, je m’en foutais –Je n’étais pas un invendus !!-  Je soupirai et passa mon bras entre les barreaux pour lui attraper le pantalon. Je ne le regardais pas dans les yeux, je fixai le sol. Mais le message semblait être clair, je ne voulais pas qu’il me laisse.  

Et le pire c’est qu’il y était arrivé ! Le vendeur céda au prix de l’homme à mon grand bonheur, je les vis régler la somme et il revint m’ouvrir ma petite cellule de fer, il me parlait à moi et pas à quelqu’un d’autre cette fois ci. Je le fixais dans les yeux, je n’arrivais pas à parler. J’avais un regard admiratif, ma queue de démon virevoltait à droite et à gauche suivant mon excitation.  
Je finis par sortir, timidement  fixant le sol, mes joues rouges, j’avais encore plus honte à me retrouver sans vêtement, je penserai à vite récupérer mes affaires « personnels » avant de partir.

« Je suis enchantée de travailler pour vous monsieur. Merci de m’avoir choisi. Je vous dois une reconnaissance éternelle. » Dis-je simplement, c’était les premiers mots qui me passaient à la tête en réalité. « Je.. Je vais me préparer. » Rajoutais je.

Je repris un chemin menant dans un petit placard ou était stocké toutes les affaires personnels des hybrides, leurs vêtements, et parfois même des accessoire ou bien d’autre.
Je mis rapidement ma jupe verte à carreau, ma chemise blanche cassée, jaune, des bas noires et une paire de ballerines marron. Mon téléphone qui était pour l’instant inutilisable, il faudrait qu’il me paye un forfait. Je lui demanderai peut être plus tard.  Et me revoilà devant lui, attendant un signal pour bouger « Je suis prête monsieur. On y va quand vous voulez.. et encore mille fois merci !♥ » annoncais je tout en me jetant contre son torse, respirant sa délicieuse odeur corporel et blotissant ma tête contre le creux de son épaule.

Le vendeur sourit, presque hypocrite, il regarda l’homme lui demandant gaiement :
« Vous voulez une laisse ? C'est cadeau.»


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Irisia Anderson
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MessageSujet: Re: allemagne nous voila ! [pv Meister allemagne nous voila ! [pv Meister Icon_minitimeJeu 27 Mar - 0:23
Invité

Une petite main. Une toute petite main qui était venu lui agripper le pantalon. Etait-ce cela qui avait décidé Meister à s’acharner sur l’achat de la petite Irisa, cette espèce de prière muette qu’elle lui avait adressé ? Ou était-ce parce qu’il pensait pouvoir l’acheter à moindre frais ? Pour le savoir, il aurait fallu décrypter le masque de dureté qu’il s’était collé au visage pendant la négociation, et pour ça, je vous souhaite bonne chance.

Enfin bref, l’heureux possesseur de cette petite chose bondissante fut quelque peu surpris qu’elle soit aussi enjouée à l’idée de se faire acheter. Soyons honnête, il n’avait aucune idée de ce à quoi avait dû ressembler sa vie avant d’arriver ici et il s’en contrebranlait quelque peu sur le visage d’orphelins du tiers-monde, mais elle devait avoir vécu des choses pas très jolies pour être aussi joyeuse à l’idée de servir de Cendrillon corvéable à merci à un rude teuton comme Meister. Elle alla jusqu’à lui vouer une « reconnaissance éternelle ». Pensant que c’était une espèce de formule qu’on lui avait collé dans la tête à force de lavage de cerveau, il ne répondit que par un soupir.

Elle s’esquiva et l’allemand resta seul un moment, méditant sur sa nouvelle acquisition, son regard se perdant sur les autres cages… Ils avaient tous l’air déçu et triste, et aussi légèrement jaloux de ne pas s’être fait acheter, eux. Il commençait presque à croire que la servilité leur avait été inscrite dans les gènes en même temps que leurs côtés animaux… Puis Irisa revint, enfin vêtue de façon à peu près convenable. Meister lui fit signe de la main pour qu’elle le suive et elle se… jeta entre ses bras ?

L’homme resta interdit un instant. Il ne s’attendait pas à ce qu’elle soit aussi familière dès sa rencontre avec son nouveau maître… Cela pensé, nul ne pouvait en vouloir à une petite jeune fille de vouloir se réfugier dans l’étreinte puissante du géant de marbre. Cette pensée en tête, il pardonna cette petite prise d’initiative, la laissant s’enivrer de lui quelques instants avant de la reposer au sol, lui disant de le suivre de près, car le quartier où il habitait n’était guère sûr. Cela dit, si elle était avec lui, elle ne risquait que peu de choses.

A l’offre d’une laisse, Meister réfléchit. Il se gratta sa petite barbe en observant la petite démone, remarquant au passage sa queue en pique… Une laisse… Après tout, si c’est cadeau… Il alla chercher l’objet et le fourra dans sa poche sans trop y penser avant de sortir de la boutique, l’hybride sur les talons. Une fois sur l’huis de la boutique, Meister prit le temps d’une grande respiration, se détendant à vue d’œil, faisant même des exercices d’assouplissement en pleine rue, venant toucher le sol de ses deux mains, jambes tendues, prouvant une certaine souplesse, avant de se retourner vers Irisa, son air sévère remplacer par un visage plus amène.

«  - Sehr gut… Dieu que je déteste l’ambiance de cette boutique…
Il soupire encore un bon coup avant de continuer. Par rapport à tout à l’heure, évites de me sauter au cou ainsi, à l’avenir… Je ne me suis pas encore vraiment habitué à ta présence. »

Cela dit d’un ton sans représailles, il se retourna et se mit en marche, direction son appartement. Plus ils progressaient, plus la densité de personne diminuait, et les grandes avenues devenaient des petites rues étroites, où des groupes à l’air peu aimables trainaient par grappes de trois ou quatre… Bienvenue dans la basse ville, là où échouent les rejetés de la société… Même si Meister avait décidé de s’y installer de lui-même, appréciant l’atmosphère impure de l’endroit… Cela dit, il avait conscience du danger. Il prit son esclave sous l’égide de son bras, la guidant d’un pas rapide dans les boyaux de cette bête gloutonne et carnivore dont l’odeur du nouveau sang excitait les naseaux qu’était ces quartiers.

Il la jeta presque dans le hall de son immeuble et la fit gravir avec lui les marches menant à sa petite mancave. Tout le périple s’était fait sans un mot de la part du géant, qui s’était contenté de jeter des coups d’œil à la petite femme sans se départir d’un air joyeux mais relativement neutre.

Une fois qu’il eu fermé derrière eux la porte à double tour, il jeta son manteau sur un fauteuil et s’affala dans son canapé avec un grand soupir d’aise, laissant un instant à sa « colocataire » pour observer les lieux. Le ventilateur brassait un air chaud et renfermé.

« - Wilkommen, Irisa. Bienvenue dans mon petit chez-moi, qui est également chez toi. Je n’ai pas encore décidé où tu allais dormir, donc pour l’instant tu passeras tes nuits sur ce canapé (il en tapota le cuir d’un air fier). Je t’ai achetée principalement pour faire le ménage, et j’entends à ce que cela soit fait avec zèle et soin… »

Il se tourna sur le flanc, suivant des yeux l’évolution de son interlocutrice.

« - Des questions, kleine mädchen ? »


En l’observant, il avait un petit sourire aux lèvres… Il commençait seulement à l’observer réellement, à détailler ses courbes et ses formes… Le vendeur n’avait pas tort, elle était vraiment bien faite. Cela ne faisait qu’ajouter au plaisant de la situation aux yeux du grand germain.
Invité
MessageSujet: Re: allemagne nous voila ! [pv Meister allemagne nous voila ! [pv Meister Icon_minitime
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