Elle se demandait encore, pourquoi elle avait tuer ce stupide humain. Elle serait dehors, entrain de nager dans la rivière a l'heure qu'il est. En train de sentir la brise durant sa course, ou les parfums des fleurs....Alors que là, elle était torturée... Elle mangeait mal, voir pas du tout car le repas était immangeable. Une espèce de bouillie de blé ? On ne la laissait pas courir, elle ne voyait pas la nature, elle était en prison. En prison... Elle qui avait passer sa vie a fuir, se retrouvais enfermée pour avoir tuer un personne qui voulait la dompter. Dans qu'elle pétrin c'était-elle encore fourrée. Elle détestait plus que tout être dans cette situation. D'autant qu'on lui donnait des ordres pour apprendre à obéir à un futur et potentiel maître mais elle désobéissait encore et encore, elle refusait tout, et répondait à tout le monde. Parfois elle s’amusait même a taquiner le chef du centre pour passer le temps.
Durant les exercices de dressage, on lui demandait plein de choses, comme servir quelqu'un, faire le repas, ou le nettoyage. Le seul truc qu'elle réussissait c’était la cuisine, car sa poitrine anormalement grosse, selon elle, l’empêchait de tout faire. Mais elle se faisait toujours réprimander, à cause de ça. Les geôliers étaient en plus tous des hommes. Des hommes qui ne savaient même pas contrôler leur hormones. Ils n’arrêtaient pas de faire exprès de les effleurer, de les toucher, sa l'irritait et l’énervait plus que tout. Elle détestait qu'on joue avec ces melons. Un jour, un de ces geôliers, était « tombé » dedans et commençait à jouer avec eux. Ne le supportant pas, elle s’énerva, pétant un câble sur le geôlier, et fini par lui couper ces deux mains. Le chef de la prison ne la crue pas et se délectait d'avance du sort qu'il lui réserverait, pouvant enfin ce venger contre elle. Elle fut envoyée en isolement encore plus mal nourrit qu'avant.
Elle était trop indomptable, trop têtue selon eux. Ils ne savaient pas quoi faire d'elle. Les jours s’écoulait et elle cherchait les moyens de s’échapper. Un matin tôt, pendant le changement de garde, elle réussit à sortir de la prison et s’apprêtait à s'enfuir. Elle courra le plus vite possible, mais s’arrêta quand elle se rendit compte qu'elle fonçait vers un grillage électrifié. Étant prise au piège, ces geôliers vinrent la chercher. Ne voulant aller nulle part, elle ne se laissa pas faire et ripostait autant que possible, avant de leur donner des coups ou d'en tuer quelqu'un.
Malgré cela, dans toute ces agitations, elle sentit puis repéra quelqu'un d’inhabituel pas loin. Sûrement, encore un maître sadique voulant adopter un hybride rebelle... On la fit rentrer immédiatement, et la seule chose dont elle se souviendrait du nouveau maître inconnue, c'était ces cheveux blonds.
Un peu plus tard dans la journée, après sa sieste, quelqu'un frappa a la porte de sa cellule. Normalement, elle se trouvait en isolement, et personne ne pouvait la voir, a part un maître. Elle se leva dos à la porte comme à son habitude. Elle ne vit pas qui l’appelait.

"Je ne sais pas qui est-ce, mais je m'en bas les melons. Je suis une mauvaise hybride, inutile, chiante, et tueuse. Choisissez quelqu'un d'autre."

Elle montra son doigt d'honneur et se coucha sur sa couchette sans porter le moindre regard a la porte. Pourquoi on la poursuivait-on ainsi... Elle voulait juste être libre. Elle s’apprêtait a retourner ronfler quand elle sentit l'odeur de la personne qui l'appelait depuis la porte de sa cellule....

Sabin avait passé la journée à ruminer de sombres idées, en effet, son ancien royaume géré par son frère, allait entrer en guerre, et lui, avait refusé catégoriquement d'y participer, ne voulant plus rien avoir à faire avec ses maudit scientifique et ce qu'ils avaient fait... Jamais il n'oublierait le sang répandu, toute ses victimes...

Après avoir passer la mâtiné à ruminer son passé, il se décida à sauver une des victimes qui se trouver à l'animalerie. il s'y rendit donc et y entra avant de traverser rapidement la première partie voulant aller plus loin et sauver un hybride du centre de dressage. Lorsqu'il arriva devant le centre ces connards de geôliers se faisait malmené par une hybride qui semblait avoir du cran, il s’adressa alors à la personne l'accompagnant afin de lui désigner cette hybride.

-C'est elle que je veux...

La personne l’emmène donc devant sa cage après quelques heures passées à persuader les geôliers de le laisser entrer, au final desquelles Sabin les paya pour pouvoir voir cette hybride. Lorsqu'il arrive devant sa cage, il fut surprit par sa beauté dans un premier temps, mais aussi par sa répartie, il n'avait même pas ouvert la bouche qu'elle s’adressa à lui :

"Je ne sais pas qui est-ce, mais je m'en bas les melons. Je suis une mauvaise hybride, inutile, chiante, et tueuse. Choisissez quelqu'un d'autre."

Sabin soupira alors et se pencha vers sa cage :

"Bonjour, je me nomme Sabin, prince de Figaro, et je souhaiterais vous offrir la liberté gente dame..."

Il avait dit cela après avoir ordonner aux geôliers d'ouvrir sa cage et de les laisser seuls tout les deux. Ils avait obéit en le mettant en garde, mais sabin n'avait peur de rien, ou presque. Il aimait même rire de sujet grave. Il la regarda alors et l'invita à sortir de sa cage pour parler.

Cette odeur qu'elle avait sentit le matin même, associé au maître blond qu'elle avait croisé avant qu'on la force a rentrée dans cette cellule. Sur le coup elle se retourna étonnée, et pu voir à qui elle s'adressait. Il soupira ...en se penchant sur la cage, avec des geôliers qui l'entourait. Super il la craignait déjà, c’était déjà un bon début. Elle se demandait encore comment elle avait pu retenir la couleur de ces cheveux et de son odeur. Normalement, elle était indifférente aux hommes.

"Bonjour, je me nomme Sabin, prince de Figaro, et je souhaiterais vous offrir la liberté gente dame..."

Flya n'avait jamais été aussi étonnée. Après avoir dis cela, Il avait renvoyer les geôliers après qu'il eurent ouvert ma cage, nous laissant seule.  Elle se demanda alors si cet homme n’était pas suicidaire …. ? Ou bien était-ce un maître sadique persuadée pouvoir me dompter ? Je détestais ce genre d'homme. Et puis pourquoi moi ? Je sortit de la cage, m'étira et  puis croisa mes bras sous ma poitrine pour l'observer, les rendant encore plus gros. J'observais ce fameux prince qui devais me prendre pour... sa princesse ? C’était un blond au yeux bleu, des gens prétentieux d’après les préjuges. Je le détailla vite ne voulant pas m'attarder sur lui. En un seul mot il semblait ténébreux et pourtant ces mots avaient été gentil. Autant lui demander directement après tout.

''Sadique ou chaleureux ?''

Je soupirais m'attendant déjà a cette réponse, un maître sadique aurait déjà mit les points sur les 'i'. Hors celui la me laissait lui parlait et l'observer et juger de moi même. En faite il était debout là, il m'observait comme si ce qui c'était passé le matin même ne s’était pas passé. De toute façon, je m'en bas les melons de son courage et de son sang froid, ce n'est pas sa qui allait m’arrêter. Je m'assis en tailleur sur le sol, réfléchissant aux options qui se pressentaient à moi. Le tuer ? On me tuerais directe. Accepter et fuir ? Encore a vivre en étant recherche. Utiliser sa fortune pour devenir une hybride libre ? Ça sa m’intéressait. Je le détaillait me demandant si j'arriverais a lui voler son argent et a devenir libre...Puis je ne savais pourquoi mais au fond de moi je n'avais pas envie de faire ça. Comme si j'avais envie de le préserver. Je secouais la tête me rappelant que la fleur dans mes cheveux, devait être responsable de mon état. Avant de le choisir je devais découvrir qui il était. Les pédophiles pervers, ou les alcoolos ou encore des fous échappés de l'asile, rien de tout ça ne m’intéressait comme maître. Et je le tuerais, s'il n'était pas potable et qui refusait de choisir quelqu'un d'autre. J'avais garder les yeux fermés.

''Pourquoi voulez-vous m’offrir une liberté ? J'ai tué mes geôliers devant vos yeux. Je vous le répète : Je suis chiante inutile et une bonne a rien qui aime tuer. Alors pourquoi m'avoir choisit ? Tenez-vous à mourir ?''

Je le regardait dans les yeux, me perdant dans le bleu infini de ces derniers, avant de reprendre mon sérieux. Ce a quoi j'aspirais le plus était en jeu, ma liberté était en jeu.

Dans un premier temps l’hybride sembla étonné, elle mit un certain temps pour sortir de sa cage sous le regard pétillant de Sabin, qui ne cessait de la regarder. Après s’être étirée et avoir mis sa poitrine en valeur, elle prit le temps de l’observer, surement pour se faire une idée de la personne qu’elle avait en face d’elle. Sabin, quand à lui, voyait seulement une âme à l’abandon que l’on avait enfermé trop longtemps dans un petit espace et qui était avide de sport et de liberté de par sa nature de tigre. Elle le regarda dans les yeux et il soutint son regard en restant silencieux, puis elle commença à parler.

« Sadique ou chaleureux ? »

Sabin faillit rire en entendant cela, certes il était fort, mais sa force n’avait jamais servi à faire le mal, ou semer la terreur chez d’autres personnes… Il resta juste debout et l’observa sans rien dire. Il la vit alors s’asseoir en tailleur sur le sol. Elle semblait réfléchir à un moyen de sortir d’ici vivante et sans passer par la case « Sabin » ce qui eut pour effet de le faire rire intérieurement. Il prit alors le temps de l’observer, elle était plutôt grande, bien que plus petite que Sabin, et avait des yeux marron, sa chevelure violette était parfaitement assortie à ses cheveux. Bien sûr, Sabin avait remarqué sa poitrine proéminente, mais n’y prêta guère attention, ne s’intéressant pas à ses choses-là. Elle finit par se relever avant de le regarder dans les yeux.

«  Pourquoi voulez-vous m’offrir une liberté ? J’ai tué mes geôliers devant vos yeux. Je vous le répète : je suis chiante, inutile et une bonne n’a rien qui aime tuer. Alors, pourquoi m’avoir choisi ? Tenez-vous à mourir ? »

Sabin prit une inspiration dans un premier temps avant de répondre :

-Pour commencer, jamais je ne ferais de mal aux gens, sauf si ils s’en prennent à  mes amis, où à mes protégés. Ensuite, je souhaite te l’offrir, parce que tu es une tigresse, il me semble, et donc, tu dois détester cette cage… Je continuerais en disant que, oui, tu les as tués, et tu as bien fait, ils n’avaient pas à s’en prendre à une femme, surtout à plusieurs. Ensuite, tu es, je pense, aussi chiante et inutile que moi, et donc la seule à même de me supporter. Pour ce qui est de ton envie de tuer, je te rassure, j’ai chez moi un vaste jardin sur plusieurs hectare, qui pourra assouvir toute tes envies de chasse.

Il fit alors une pause afin de s’asseoir en invitant l’hybride à se joindre à lui :

-Comment t’appelles-tu ? Et si tu as des questions sur moi, je te laisse me les posés librement.

Pourquoi les hommes était-il si envoûtant. Je me perdis encore dans ces yeux avant de le voir prendre une bonne bouffée d'air.

-Pour commencer, jamais je ne ferais de mal aux gens, sauf si ils s’en prennent à  mes amis, où à mes protégés. Ensuite, je souhaite te l’offrir, parce que tu es une tigresse, il me semble, et donc, tu dois détester cette cage… Je continuerais en disant que, oui, tu les as tués, et tu as bien fait, ils n’avaient pas à s’en prendre à une femme, surtout à plusieurs. Ensuite, tu es, je pense, aussi chiante et inutile que moi, et donc la seule à même de me supporter. Pour ce qui est de ton envie de tuer, je te rassure, j’ai chez moi un vaste jardin sur plusieurs hectare, qui pourra assouvir toute tes envies de chasse.

Un vaste jardin rien que pour moi ?! Je devais rêver, j'avais sans doute mal entendu... Mais pourquoi cela m'étonnais c’était un prince après tout. A quoi pouvais-je bien m'attendre a de la modestie de sa part ? Il n'avait pas finit de parler, il alla s 'asseoir, m'invitant à m’asseoir à cotée de lui pour finir de discuter. Je refusa restant, là devant lui.

-Comment t’appelles-tu ? Et si tu as des questions sur moi, je te laisse me les posés librement.

Je crois bien que peut importe ce que je dirais, il m'adopterait. Que faire ? Je ne me laisserais tout de même pas dompter si facilement ! Et si.... je le considérais comme … un ami ? Je n'avais vraiment pas envie de me laisser avoir par ces beau discours et son argent. Mais sa proposition étais alléchante tout de même...Je serais vraiment conne de laisser passer sa... Et pourquoi ne pas tournée cette proposition a mon avantage ?

''Je veux être libre de mes mouvements, de mes fréquentations, de mes tenues, et surtout libre de ne pas dépendre de toi. Sinon je m'en fiche pour l'instant du reste. J'apprendrais a le découvrir au fil des jours.''

C'est comme si que j'étais libre et qu'on me payait pour être libre. Je souris sans le vouloir. J'avais peut être un peu exagérée mais bon. Surtout qu'a ce stade j'avais besoin de sortir et que je n'avais pas de condition a imposer. J' étais a vendre et j'avais la possibilité de sortir ce n'est vraiment pas le moment de tout gâcher. Soudain je me rappela que je ne lui avais toujours pas donner mon prénom. Je souriais encore, qu'elle mauvaise amie que je faisais. Je me levais et alla m’asseoir auprès de lui prenant soin d’éviter son regard.

''Je crois que j'ai oublie le plus important. Je suis Flya, une hybride tigresse comme « nouvelle amie ». Faite attention je n'accorde pas ma confiance à la légère. Si il arrive que vous me trompiez, je me ferais un plaisir de vous trancher la gorge. Maintenant faite moi sortir d'ici j'en ai marre.''

Sur ces derniers mots je m'étais levée, évitant toujours son regard perturbant. Et j'attendais les bras croiser sous ma poitrine ce qu'il déciderait.