Edward
Disponible
Le Chouchou
Kirya
Disponible
Le Marqué
Chris
Disponible
Général Puceau
Icare
Disponible
Titre à Voir
Éliane
Disponible
Espionne Scientifique

lorem ipsum

lorem ipsum

lorem ipsum

           
Le Deal du moment : -50%
-50% Baskets Nike Air Huarache Runner
Voir le deal
69.99 €

Partagez
MessageSujet: Un regard qui connecte deux destins. Un regard qui connecte deux destins. Icon_minitimeDim 20 Jan - 4:31
Invité
Le bruit en rafale d’un appareil photo se faisait entendre, c’était le tient. Tu appuyais frénétiquement sur la gâchette. Tu venais de sortir de cours, ils avaient été éprouvants et tu ne travaillais pas ce soir-là. Tu étais dehors avec ton outils préféré, pratiquant ton loisir favoris, la photographie, tu aimais prendre en photo les passants dans la rue quand il s’y attendait le moins, tu ressortais avec tout un tas de photo différente et avec des expressions que toi tu réussissais a capturé à l’aide de ton objectif, voici donc ton monde. Même si la rue était bondée, tu étais seule. Extrêmement seule, cela ne te gênait pas, bien au contraire, tu étais même plutôt contente d’être seule au monde, sans personne pour te faire chier, tu l’avais cherché en même temps cette solitude, sans parents, ni tuteur pour te surveiller, tu gagnais ton argent et tu payais ton loyer, tes factures, tes frais de scolarité, personne ne pouvait rien te reprocher.

Et pourtant tout changea quand tu le rencontras, tu ne t’y attendais pas et pourtant tu le vis bel et bien ce jour-là ou tu pensais prendre simplement des photos, tu étais dans une rue commerçante, c’était en fin d’après-midi, les gens faisaient leurs courses ou rentraient simplement chez eux, pressé de retrouver leurs toits et leurs foyer par ce jours d’hiver. Le temps était piquant et frais, mais tu ne ressentais pas le froid avec ton écharpe autour du coup, elle ne cachait pas tes deux mèches qui ressortaient de ton bonnet péruviens vert, tu portais une veste légère malgré le temps et tes gants ne te gênaient pas pour prendre des photos et même si tu portais une jupe, tu gardais ton pantalon en dessous avec tes rangers par-dessus. Ton look mi-homme, mi-fille t’avait valu plusieurs qu’on te confonde avec un jeune garçon, mais tes yeux pourvu de long cil et ton visage fin et plaisant donner immédiatement la réponse quand a ton sexe. En rien tu n’étais une androgyne.

Même si lui aurait pu te confondre avec un homme. Tu le vis alors derrière cette vitre, son regard te saisit immédiatement, que venait-il de se passer ce jour-là ? Aujourd’hui encore tu avais du mal à mettre le doigt dessus, en tous cas c’était le destin ! Tu recherchais ce genre d’expression pour tes photos ce regard profond et saisissant qui en disait long sur son expérience de la vie. Seul un homme comme lui pouvait avoir un tel regard. C’est sans doute pour ça qu’aujourd’hui pour la première fois de ta vie, tu pénétras une animalerie hybride. Tu n’avais nullement l’intention d’acheter quoi que ce soit.

« - Bonsoir mademoiselle, que puis-je pour vous ? »

Voici les mots mielleux du vendeur, il s’adressait à toi bien sur trop heureux de voir une cliente en cette fin d’après-midi juste avant la fermeture de sa boutique, lui qui n’avait absolument rien vendu aujourd’hui, tu savais très bien ce qu’il attendait de toi, que tu choisisses un animal, tellement semblables aux humains, mais traiter encore pire que des chiens, les chiens on les aime, on leur gratouille le ventre ? Ceux-là on les fouette et on abuse d’eux, certes il existait toujours de gentils « humains », mais tu n’en faisais pas partie, quoi que tu ne faisais pas partie non plus des humains sadique. Tu t’en contre-foutais royalement, tu n’aimais pas t’impliquer dans ce qui ne te concernait pas et tu vivais très bien comme ça, tu n’avais pas besoin de te sentir mal ou bien pour eux, tu restais dans ton monde.

« - Bonsoir… j’ai vu un hybride et j’aimerais savoir si vous me le laisseriez pour quelques photos ? »

Des photos. Le vendeur était surpris bien sûr par cette demande, mais aussi fort mécontent de ne pas vendre sa précieuse marchandise ! La réponse fut net et catégorique et tu ne pus qu’accepter, tu n’en avais pas d’autre choix.

« - Même pour des photos, mes hybrides sont à vendre ! Si vous voulez le prendre en photo, vous devrez l’acheter, comme tout le monde ma p’tite dame ! »

A quoi fallait-il s’attendre en même temps ? Tu ne le connaissais même pas cet hybride, tu ne lui avais même pas parlé et voilà que tu devais l’acheter ? Mais son regard te trottait encore dans la tête, tu ne pouvais pas t’empêcher de penser à lui. Et pourtant quand tu donnas ton accord, tu ne lui avais encore même pas parler, il ne devait même pas se douter a cet instant qu’il venait d’être vendu à une jeune fille de 17 ans qui vivait seule et avait un bien trop maigre salaire pour s’offrir le luxe d’un hybride, par chance celui qu’elle voulait était en « solde » et oui les soldes d’hiver c’était le meilleur moyen pour vendre la camelote de l’année dernière voir même celle d’avant ? Tu ne voulais rien savoir sur sa vie, tu avais déjà tout planifié en tête. Tu prendrais les photos dont tu aurais besoin et tu le revendrais ensuite à une autre animalerie ou à un particulier sur les petites annonces du net.

Le temps que tu signes les papiers, sellant ainsi ton avenir, le vendeur était partit chercher l’hybride en question.
Invité
MessageSujet: Re: Un regard qui connecte deux destins. Un regard qui connecte deux destins. Icon_minitimeSam 26 Jan - 1:36
Invité
J'étais contre l'arrière de ma cage, loin des barreaux froids qui m'empêche de sortir même si un alliage aussi peut résistant que cela ne pouvais résister à ma force, je n'avais pas envie de sortir, j'en avais eu l'interdiction. Je ne me souviens plus depuis combien de temps je suis là, je sais juste que je n'arrive pas à trouver le sommeil et que se sont formés sous mes yeux des cernes bien marqué qui n'attendent que le meilleurs moment pour se régénérer par le sommeil. Seulement je ne pouvais dormir : Si l'on oublie le bruit général, le froid qui nous mord les nerfs, il y a toujours les rappels qui nous paraitrons brutaux du vendeur qui trouve cela normal de rester éveiller pour faire "bonne figure" devant les clients inexistant. Paradoxe, comment avoir un visage réconforté sans pouvoir dormir. J'étais pourtant le seul qui ne pouvais dormir...

Adossé contre le fond, recroquevillé, vêtu d'habits de toile qui commençait à s'épuiser sur les bords. Seulement, froid en hiver, chaud en été, nous ne pouvions faire autrement. Seul certains types d'hybrides destiné "au désir humain" se trouvaient dans un coin reculé de la boutique, interdit aux mineurs. J'avais les jambes repliées, les bras croisé posés dessus et mon visage contre mes bras. J'avais le ventre vide et les cheveux sales. Plus le temps passait, pire mon état était. Forcement, le prix qui m'était fixé allait avec mais cependant jamais personne n'a tendu sa main vers moi. Pourtant on en a vu des qui se ruaient vers les hybrides, un regard amoureux, une envie de torture, une adoption indifférente. J'ai connu tout ceux qui était là avant moi et qui ne sont plus là aujourd'hui. Même si "connu" est un grand mots, je me souviens au moins de leurs visage. Je sais également, que je suis celui qui suis resté le plus longtemps dans les cages de cet endroit.

Pourtant, qui aurait put se douter qu'aujourd'hui, moi, le "poids" de cette boutique allait finalement pouvoir respirer un air qui n'a pas été ventilé ni même salit par l'odeur de malpropres ? Même moi j'avais finit par oublier que je pouvais être recueillit. Une prison ? Les délinquant humains son mieux traités. Ainsi donc toujours inconscient de mon destin, je continuais de me morfondre comme tout les autres jours de mon existence, du moins, de ce que je m'en rappel. J'étais toujours dans la position que j'ai décrite plus tôt, je ne bougeais pas, les cheveux le long du dos. Lorsqu'un moment je sentis qu'on avait le regard posé sur moi alors je levai la tête et pus finalement apercevoir, à travers la foule, deux yeux verdâtres, innocents à côté de ma rude vie. C'était les yeux d'une fille, jamais je ne pourrait en douter. Elle me regardait, moi. Puis le temps d'une personne qui passa entre nous, elle avait disparu. Un léger soupir sortit de ma bouche et je repris alors ma position initiale.

Peu de temps après pourtant elle était de nouveau dans mon champ de vision, ou presque, étant au fond de ma cage je ne voyais pas vraiment que c'était elle. Il aurait fallu que je la voit directement. Je ne savais donc pas que c'était elle qui était là... Je vis simplement des jambes des deux humains qui se trouvaient là dont un que je ne pouvais que savoir son identité : le vendeur. Ce derniers, après avoir échangé des mots avec la cliente se dirigea vers les cages, l'un d'entre nous allait être heureux, ou justement non. Il s'arrêtait devant ma cage, je m'attendais à ce que, comme toujours, ça allait être ceux d'au dessus qui allait partir mais cette fois non. J'avais finalement collé mon front à mes bras et donc, je ne voyais pas que c'était ma cage qu'il ouvrait et on peut dire que les gonds étaient suffisamment huilé pour passer inaperçu. Le vendeur passa sa main dans la cage et tapa contre un des bords pour attirer mon attention, il sait qu'il pouvait le faire avec moi sans risquer de perdre des doigts. Il me fit donc sortir puis, une fois à l’extérieur, debout, je m'étirais vers l'arrière en serrant les dents, toutes mes vertèbres firent des craquements. En fait, pas que ma colonne vertébrale, je m'étirais de partout en revigorant mes articulations. Après ça, je fixai la personne pour quoi j'ai été déplacé, c'était la fille aux yeux verts.

Je la regardais, elle me regardais en ma direction, j'allais lui appartenir. Être à elle, devoir lui obéir. Le vendeur me fit avancé pour être devant elle, j'étais plus grand et plus costaud qu'elle bien que la faim m'avais séché au point où mes cotes pouvaient ressortir aussi nettement que les touches noires des claviers. Sauf qu'avec les vêtements de toile, on ne les voit pas. Les papiers étaient signé sur le guichet, j'étais donc bien a elle.

D'un regard livide, fatigué et borné de cerne mais avec un sourire je la fixa, je n'étais pas dans le meilleurs de ma forme mais je suppose que tout allait s'arranger. Et d'une voix faible, n'ayant rien prononcé depuis plusieurs année je lui offris ce mot

Maitresse
Invité
MessageSujet: Re: Un regard qui connecte deux destins. Un regard qui connecte deux destins. Icon_minitimeLun 28 Jan - 2:21
Invité
L’hybride en question s’approchait lentement de toi, tu venais tout juste de finir de signer les papier, regardant le prix de l’hybride en te crispant un peu, ce n’était pas qu’il était cher, car enfin de compte, le prix n’était pas si exorbitant, mais tu n’avais qu’un maigre salaire, un soupire s’échappa de tes lèvres, l’hybride était presque à ta hauteur, beaucoup plus grand que toi bien sûr, ça tu t’en doutais depuis le début, même s’il était replié dans sa cage, il avait l’air grand, quoi que maigre, trop maigre à ton goût, mais ça lui donner du charme dans ses expressions, tu détaillais son visage, ses pommettes creusait par la faim, ses yeux cernés, sa bouche gerçait, tu détaillais tout. A voir comme ça, il n’était pas très attirant. Car oui les hybrides étaient réputés pour être attirant que ce soit des mâles ou de femelles, les hommes et les femmes se les arracher pour leur beauté sauvage et surnaturelle. D’ailleurs ne venais-tu pas toi-même de céder à cause de ça ? Certes ce n’était pas pour des raisons de chaire, de sexe. Juste pour son visage, son air dans ses yeux qui te faisait battre le cœur, tu avais tellement envie de le prendre en photo.

« Maitresse »

Venait-il de prononcer un mot avec sa voix rauque ? Usé par la fatigue ou la soif, ce fut comme un soupire qu’il t’offrait, le dernier mot qu’il pouvait dire aujourd’hui surement, il semblait tellement affaiblit. L’animalerie ne semblait pas réussir « l’animal », non que tu les prenais pour des animaux ou des humains, ou des surhumains, tu t’en foutais royalement, leur débat virulent ne t’intéressait guère. Son sourire, ne te fis pas sourire pour autant, tu étais totalement impassible, tu fis glisser ton regard sur son corps, il portait une sorte de robe de jute, usé par le temps, sale, l’odeur te faisait plisser le nez qui était parsemé de tâche de beauté. Tu posas alors ton regard sur le vendeur qui était à côté de l’hybride. Il semblait tellement petit et insignifiant à côté de lui.

« - N’a-t-il pas d’autre vêtement à se mettre ? »

Tu venais de lâcher ça, avec une voix sèche. Tu ne pouvais faire autrement, tu n’allais pas te trimballer avec lui dans cet accoutrement dans les rues, non pas que le regard des autres te faisait quelques choses, à la longue, tu avais appris à ne plus te soucier du regard des gens, tes cheveux de feu étaient déjà une source de voyeurisme. Quand ce n’était pas tes yeux étranges ou ton accoutrement de garçon.

« - Non ma p’tite dame ! Si vous voulez l’habille comme il vous plait, vous n’avez qu’à aller dans une boutique. »

Le vendeur semblait fier de sa réponse, il passa derrière son comptoir et prit les papiers, qu’il signa lui aussi. Tu lui tandis alors l’argent en liquide, tu avais prévue de t’acheter un nouvel objectif, mais cela pourrait attendre. Il le prit sans rechigner, bien trop content sans doute de se débarrasser d’un de ses animaux, car la boutique ne semblait pas marcher fort, en même temps l’odeur et l’état des hybrides ici, y était pour beaucoup. Enfin cela signifiait surtout que tu allais devoir dépenser… quoi que tes vêtements puissent bien lui aller, tu devais bien avoir dans ta commode, un pantalon ou deux trop grand pour toi, mais parfait pour lui ? Tu ne lui avais toujours pas adressé la parole d’ailleurs, même pas un mot, il ne savait même pas comme tu t’appelais, cela n’était pas important pour toi, il devait surement y avoir des acheteurs plus loquace que toi.

N’ayant plus rien à faire dans cette boutique, venant de récuperer ton acte de vente, tu levas ton regard d’émeraude vers cet hybride : Chung il y avait écrit sur les papiers.

« - Nous y allons Chung. »

Puis tu sortis de l’animalerie sur ces mots, ni froid, ni sec, neutre de toutes émotions.
Invité
MessageSujet: Re: Un regard qui connecte deux destins. Un regard qui connecte deux destins. Icon_minitimeLun 18 Fév - 22:57
Invité
Il était temps de partir. De tout laisser pour revenir à un autre début. Il avaient échangé leurs bout de papier, de toutes sortes. J'appartenais à cette fille car c'est elle qui m'a fait sortir de là, elle a accepté ma compagnie. Elle va peut-être le regretter... Non, ne pensons pas ça, il ne faut pas partir sur des mauvaises bases. Si elle m'a pris ce n'est pas pour rien, je l'accompagnerais désormais. J'allais enfin pouvoir manger, dormir et, rêver peut-être. Penser à tout ça, de la nourriture, du repos, je souriais à moi-même. J'avais juste oublié les vêtements qui, m'étant levé, tendaient à glisser contre ma peau certes sale mais pas moins douce. Je suis surement la dernière personne que ça gêne en tout cas... Mais pour...le... "respect" je tenais ça pour être couvert comme eux.

Nous allions donc sortir, je me dirigeai donc aussi vers extérieurs et sortit le premier d'ailleurs. C'est à ce moment que je me suis dis que j'avais bien fait de garder mes vêtements. Il y avait des petites boules blanches qui virevoltaient dans une descente plutôt vive. Elles tombaient sur les gens, sur les voitures, sur les maison et y restait. Elles me tombaient dessus, c'était froid puis elle devenait de l'eau. Je ne sais pas ce que c'était, je n'en avais jamais vu... Je regardais alors la fille qui me suivais et lui adressa un léger sourire, yeux fermés. Avec le paysage derrière moi avec ce qui s'appelle de la "neige", le cadre aurait été magnifique.

Une fois donc qu'elle fut dehors, je ne pus que la regarder. J'attendais qu'elle dise quelque chose d'autre, qu'elle bouge qu'elle me touche peut-être. En ce moment, j'étais un peu affamé, non assoiffé mais disons que j'avais besoin de vitamine, d'énergie. Mais pourtant, malgré mon manque d'énergie, je ne pus pas m'empêcher de remuer lentement la queue derrière moi, de gauche à droite, balayant le vent. Je restais comme ça à attendre ce qu'elle allait me dire, elle allait parler, je le sentais, elle allait dire quelque chose. Peut importe la manière dont elle le dirait. Je l'attendais hors de ce lieux dans lequel j'ai été retenu si longtemps.

Je la regardais, peut-être que c'était de voir que quelqu'un pouvait porter le regard sur moi qui me donnait cet énergie à remuer le queue. En tout cas, sans elle tout semble différent.

- Où allons nous ?
Invité
MessageSujet: Re: Un regard qui connecte deux destins. Un regard qui connecte deux destins. Icon_minitimeSam 23 Mar - 2:29
Invité
Tu le laissas te dépasser, ton nouveau bien était sortie le premier de l’animalerie et semblait bien content de se trouver de l’autre côté de la vitrine. Il avait commencé à neiger, tu ne t’y attendais pas, toi qui pensait que le temps serait doux jusqu’à demain, tu seras ton écharpe autour de ton cou, regardant l’hybride regarder les flocons, comme si c’était des bêtes étranges qui l’agresser. Tu l’observais en silence, savourant l’instant pour prendre une photo rapidement. Tu immortalisas l’image dans ton appareil. La photo serait parfaite, alors que l’hybride regardait le ciel, les flocons lui tombant sur le visage, juste après d’ailleurs, il te regarda, sourit. C’était un beau sourire, sincère et surement joyeux, il avait l’air heureux, malgré qu’il fût plus que miséreux, toi qui avait des vêtements chauds et la liberté, tu n’étais pas aussi heureuse que lui, tu pris alors une autre photo pour immortaliser ce sourire.

« - Je suis Kelly, Chung. Tu peux m’appeler comme tu veux, on va aller chez moi, tu prendras une douche, je te donnerais des vêtements et à manger. - »

Enfin tu t’étais décidé à lui donner quelques indications sur qui tu étais et ce que tu allais faire ensuite. Ce n’était rien de bien méchant, bien au contraire, c’était plus que normal. Puis tournant les talons vers ta direction, tu commenças à marcher, persuadé que l’hybride était à ta suite. Tu traversas plusieurs rues, tournas à différente intersection, avant d’arriver devant un vieil immeuble, dans un quartier craignos. C’est ici que tu vivais seule, réellement seule, le seul autre habitant de l’immeuble c’était le vieux propriétaire qui ne sortait jamais de chez lui. Même pas pour faire ses courses, il hantait les couloirs et venait te demander un service de temps en temps et en échange il te faisait payer une misère le studio que tu avais choisis ici.

Tu arrivais enfin à l’entrée de l’immeuble et pris ta clé pour ouvrir la porte. Tu la poussas difficilement, alors que celle-ci exprimé son mécontentement en grincement lourdement. Tu fis la place à Chung et le laissa passer, lui signifiant d’avancer d’un signe de tête.

« - Mlle. Robin ? Vous pourriez… Vous avez un hybride ? - »

La porte se referma rapidement derrière toi et tu te tournas pour faire face au vieux proprio qui en entendant la porte s’ouvrir était sortie de son appartement qui était au rez-de-chaussé.

« - Je viens d’en avoir un, oui. - »
« - Je vois ça… Mlle. Robin, je ne suis pas pour les hybrides ce sont des être tellement … tellement sauvage, que ferons-nous s’il décide de nous tuer ! - »

Tu soupiras, tu connaissais l’aversion de ton proprio envers les hybrides, mais tu ne t’attendais pas à l’affronter de suite.

« - Mr. Fujisaki, on verra ça plus tard d’accord ? D’ailleurs tenait. - »

Tu sortis de ton sac une plateau repas venant d’un combini qu’il t’avait demander le matin même, il le prit et fit un signe de remerciement, avant de retourner chez lui en fixant intensément Chung, très méfiant jusqu’à ce que la porte se ferme sur lui et qu’on attende le son de la télé montait de plus en plus. Le vieux sera à surveiller le temps qu’il s’habitue à la présence de ta nouvelle acquisition, enfin qu’il s’habitue ou pas, tu ne le garderais pas longtemps, juste le temps que ton shoot photo se face. Puis chuchotant doucement, pour que seul Chung t’entende.

« - T’approches pas du proprio, reste toujours loin de lui et si tu le croises, tu rentres vite dans l’appart ou tu sors dehors, okay ? Il ne te suivra pas dehors. - »

Puis tu montas les escaliers, qui grinçaient eux aussi, l’immeuble était quasiment en ruine, le vieux se contentait de passer le balais, donc ça avait le luxe d’être propre, mais les murs étaient encore tapissé d’une vieille tapisserie des vieilles années, quand les anglais étaient venu coloniser le japon en vain. Arrivant enfin au troisième étage des quatre, tu ouvris la porte et t’effaças pour laisser entrer Chung.
Invité
MessageSujet: Re: Un regard qui connecte deux destins. Un regard qui connecte deux destins. Icon_minitime
Contenu sponsorisé
Un regard qui connecte deux destins.
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Un militaire comme maître ? Au rang, deux par deux... # Pv Edward #
» L'union de deux corps ♥ (DARKLIGHT)
» Deux cerfs au printemps [PV Elynãel]
» Kyo Tenshi, Dragonne ou renarde ? Les deux ! [FINIIII~]
» Recherche d'un toit. Pour deux ? [ Pv shane ]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Hybrids and Humans ::  :: Archives RP-
Sauter vers: