Encore une nuit a ne pas dormir, encore une nuit a chercher ce qui ne marche pas dans ma formule.
Je décide de quitter le labo après avoir tout ranger, pourquoi je n'arrive pas a compléter ce qu'il manque ? Pourtant il me semble avoir tout les ingrédient. Peut être il me faut un échantillon encore en vie. Mais je ne peut pas prendre n'importe quoi.

Je pousse un soupir, retirant tout mes vêtements les laissant par terre, je passe dans mon sas de désinfection, puis je monte dans ma chambre, nue.
Je reste ainsi un moment, de toute façon je suis seule, l'hybride que j'avais ne revient plus, depuis je ressent la solitude... Je ne comprend pas bien d'ou peut venir ce sentiments, jusqu’à présent j’étais plus que heureuse avec mes magnifique plantes.
Je me glisse dans la douche laissant couler sur ma peau fragile l'eau chaude, sa me fait un bien fou. Je reste sous l'eau un long moment, puis je décide de me laver, pour ôter l'odeur du désinfectant, profitant de la douceur du savon. Je me rince, et commence ce qu'une femme perd son temps a faire; se raser.
Une fois le travail terminée, je me demande bien pourquoi je fait de tel effort. Apres tout je déteste les hommes et je vis seule chez moi, les seules moments ou je sorts je suis au laboratoire de la zone scientifique ou en conférence pour partager mon savoir a des ignorant qui sont juste la pour avoir de l'argent en masse.

Bien sur c'est un facteur important quand on est scientifique, mais j'ai accomplis des exploits bien plus important que d'avoir de l'argent !
Ah qu'il m'énerve ! Je sort de la douche et me sèche entièrement, sortant de ma salle de bain avec ma serviette sur la tête. je me dirige dans ma chambre ou j'attrape dans l'armoire, une jupe courte a rayure jaune, et une chemisier qui met en valeur ma poitrine bien maigre. je les regarde, je soupir, pas qu'il on une grande influence sur ma vie, IL ont la taille qu'il ont je m'en fiche, juste je pense aux autre scientifique de ma section, je suis la seule avec une pair de nichon aussi maigre.

Je met des sous vêtement de couleur noir, et j'enfile le tout, je laisse mes cheveux libres.
Alors pour le petit dej', injection ou vrai repas ?
Je n'en sais vraiment rien. Je vais dans ma cuisine et prépare d e l'eau chaude pour faire une infusion de mes plantes, de quoi tenir la journée. Je sorts également ma mallette et en sorts une seringue, je me pique le bras. Une fois mon repas injecter je laisse tremper mon infusion dans ma tasse, une fois le tout bien infuser je me dirige vers mon hamac, l'esprit encore entrain de chercher ce qui ne marche pas, je doit pas faire le mélange assez vite. Zut je peut pas accéléré mes mouvements moi ! Il faudrait que je pense à une assistance.

Je me surprend a piquer un fou rire. Moi avec un assistant et puis quoi encore ? Je suis bien toute seule, en plus les assistant sa touche a tout et certaine de mes plantes sont toxiques, je ne veut pas avoir de morts sur les bras.
Un hybride ? Pfff, pour devoir l’élever et m'en occuper ? A quoi bon. Je ne suis pas douée pour les relations.  

Je bois tranquillement ma tasse en regardant les feuilles des arbres se balancer. Soudain j'entend un bruit, un craquement inhabituelle dans la forêt si calme.

J'attrape ma chemise de scientifique, pose ma tasse sur le bar de ma cuisine et va dehors.
j'aperçoit vaguement quelque chose. mais quoi ? Un espion venu piquer mes formules ? Je vais lui faire sa fête tu va voir.

'' Eh toi la, c'est pas bien d'espionner chez les gens, tu est qui , qu'est-ce que tu lui veut a ma véranda ? ''

Je regarder ce qu'il bouger, prête a dégainer mes seringues de calmant au moindre gestes suspect. Humm ? Oui j'ai toujours des seringue en tout genre sur moi. Mon repas, des calmants et mon médicaments pour calmer mes crises d'angoisse fassent aux hommes.

Elle commençait à en avoir marre de ce salop qui était venu la chercher au centre de dressage. Il n'avait aucun respect pour elle, ni aucun cœur. Heureusement que certains soirs, elle arrivait à se venger de lui. En plus cela l'avantageait qu'il détestait les hybrides comme ça, elle pouvais continuer a s’habiller comme avant, sans qu'il n'abuse d'elle. Comme toujours, ces seins étaient toujours mit en valeur et cela pour son plus grand malheur. Au moins, elle lui sembla, qu'elle n'attirait plus d'homme, elle supposa donc que c'était parce que les hommes, avaient peur de toucher l'hybride de Desmond. Elle n'avait aucune raison de se plaindre, il existait des avantages et des inconvénients à toute situation. Et dans la sienne, les avantages commençaient a surpasser les inconvénients...
Desmond était de nouveau partit déjeuner chez Dame Lothie en la laissant sans manger...
Parfois elle avait l'impression que Desmond l'oubliait ou bien s'en foutait d'elle. Elle décida donc de profiter de l'absence de son « maître » pour aller chasser. Ça faisait longtemps qu'elle ne l'avait pas fait, car il l’empêchait toujours d'aller courir sans son autorisation. Elle en avait marre de lui, elle voulait aller prendre l'air, et pouvoir courir et manger sans penser à une heure de rentrer.
Elle commença a courir, avec aucun but précis, voulant juste s’éloigner de la maison. Elle courait encore et encore en allant de plus en plus vite pour se défouler et sentir le désir habituel qui l’enivrai comme à chaque course. Elle était comme transporter par le vent.
Elle avait finit par arrivée dans la forêt. La forêt était son havre de paix. Ici, elle se sentait chez elle. Elle passa auprès d'une fleur violette, assortie avec sa tenue, et la cueillit en la mettant dans ses cheveux. Elle continua sur sa foulée, en respirant l'air de cette merveilleuse nature.
A un moment, elle sentit une odeur qu'elle n'avait pas encore sentit, une odeur qui réunissait des milliers de fleurs. Elle avait l'impression de sentir le paradis. Elle s'approcha petit à petit de cette odeur pour ne pas la perdre du nez, en priant pour que cela ne soit pas un rêve. Elle arriva et trouva la véranda d'une maison remplit de fleurs de toutes les espèces, de toute les couleurs, de toute les senteurs.
Elle ne s'avait plus où donner de la tête. Elle avait reculer sur une branche durant son moment de surprise et d’étonnement. Elle avait senti et entendu le propriétaire des lieux, venir pour voir qui s'approchait de ces plantes.
La nouvelle venue était plutôt petite avec de longues jambes fines ornée d'une jupe courte à rayures jaunes, assortie a un chemisier qui mettait en valeur sa poitrine.Tout cela recouvert d'une blouse blanche. Son visage était fin entouré de cheveux blond accompagné de lunettes.

'' Eh toi la, c'est pas bien d'espionner chez les gens, tu est qui , qu'est-ce que tu lui veut a ma véranda !"

Elle était étonne que ce petit être puisse la menacer ainsi. Encore chambouler par les parfums des fleurs, elle ne pu lui répondre comme a son habitude, mais néanmoins avec un peu de froideur dans le ton.

"Si j’espionnais réellement chez vous jeune demoiselle, cela fait longtemps que je vous aurait déjà cambrioler et même tuer. Et est-ce ainsi que l'on s'adresse à une personne qui vient admirer vos fleurs et leurs senteurs ?  Vous voulez me faire du mal ? Allez y je vous rendrais tout autant."

Elle la regardait maintenant, cette inconnue étais plus près. Et elle pouvait voir ces yeux en spiral jaune. Elle se demanda alors qui était cette jeune fille, était-ce une hybride ? Et pourquoi possédait-elle cet espèce de serre sur sa véranda?

"Si j’espionnais réellement chez vous jeune demoiselle, cela fait longtemps que je vous aurait déjà cambrioler et même tuer. Et est-ce ainsi que l'on s'adresse à une personne qui vient admirer vos fleurs et leurs senteurs ?  Vous voulez me faire du mal ? Allez y je vous rendrais tout autant."

'' Comme si j'avais du temps a perdre. ''

La forme était plus proche, et je sentais m’était familière, mais, étrangement je préfère pas vraiment en être sûr.
En se rapprochant je put voir qu'elle avais les yeux d'un félins et une queue aussi, un chat ? non surement plus féroce vue le ton don elle ma parler. Je croise les bras et je soupir, laissant les seringue la ou elle sont.

'' Admirer ? C'est vraiment tout ce que vous voulez ? J'ai eu affaire a des mercenaires désireux de savoir mes formules pour les revendre a prix d'or. Alors comprenez ma mise en garde. Si vous avez fini vous pouvez partir. ''

Je lui tourne le dos, si elle fait le moindre gestes je la pique aussi sec. Je n'ai pas de temps a perdre je dois refaire ma formule, c'est sa ou je connais un certain patron qui sera en colère et va encore me piquer une crise névrosé de '' je veut tout contrôler ''. Je pousse a nouveau un long soupir. Que la vie peut être ennuyeuse.
Puis je suis prise d'un petit fou rire, murmurant au travers mes Hortensia d'un bleu hypnotisant.

'' me tuer, la bonne blague... J'en serais plutôt contente. ''

Je regarde mes fleurs a l’extérieur, j'imagine qu'elle ne va pas partir de si tôt, raah et cette odeur, je la connais, elle me donne envie de vomir...attend, il n'y a qu'une seule personne qui me rend nerveuse ainsi.

'' Han ! Vous travailler pour Desmond, ne me mentez pas, cette odeur sur vous, et ces hormones là... brrr... Vous êtes la pour chercher la formule c'est ça ? Le feignant il ce déplace même plus lui même... Elle n'est pas prête et risque pas d'être fini avant demain. ''

Je la regarde a nouveau, puis un détail me frappe tout d'un coup. C'est quoi cette poitrine ? Elle est... plutôt grande ! je jette un coup d’œil a la mienne, ah ouais je comprend tout. Voila pourquoi mONsieur, l’amène chez moi, pour me dégoutter ? Dommage sa ne marche pas.
Je remarque une petit détail chez elle, ça....c'est ça ! je m'approche d'elle avec une loupe a la main, je m'en fiche quelle m’attaque il me le faut, c'est ça ! Enfin je pourrais compléter ma formule ! je laisse un grand sourire sur mon visage et j'imagine que mes yeux sont plus précis dans leur couleur et le tourbillon doit être vraiment plus dessiner.

Je prend une pince a épiler et un tube et lui arrache juste ce grain qu'elle porte sur elle, je le glissa dans le tube et part vers ma porte.

'' Ha ha j'ai ce qu'il me faut !! ''

Je me fiche de savoir si elle me prend pour une demeurée, je n'aime de toute façon pas les étrangers, humain comme hybride.
Je laisse tout ouvert derrière moi et m'engouffre dans mon labo, complétant ma formule avec agilité.
Enfin ! Enfin je voit la couleur violette apparaître ! Je lève les bras au ciel heureuse d'en avoir fini avec cette commande pleine de non sens. je fait une danse de la victoire puis met la formule dans le mini frigo.
je retourne dans mon salon et en levant ma tête je l’aperçois.

'' Encore là ? ''

'' Comme si j'avais du temps a perdre. ''

Elle trouvait cette femme étrangement désagréable. Elle venait tout de même de la complimenter sur ses fleurs après tout. Elle aurait pu faire un effort. Elle la vit se rapprocher d'elle, puis croiser ces bras sans lâcher des seringues, qu'elle venait d'apercevoir, et lâcha un soupire.

'' Admirer ? C'est vraiment tout ce que vous voulez ? J'ai eu affaire a des mercenaires désireux de savoir mes formules pour les revendre a prix d'or. Alors comprenez ma mise en garde. Si vous avez fini vous pouvez partir. ''

"Vous osez me comparer à ces hommes sans cervelle ? Non mais c'est n'importe quoi. L'intelligence qu'on leur a donné ne sert à rien, car ils font plus de mal que de bien. Quand à vos formules, il faudrait déjà que je sache de quoi vous parliez, je ne vous connaît même pas."

Elle me tourna le dos avant même que je finisse ma phrase. Elle m’agaçait au plus au point. Mais je ne pouvais m’empêcher de me dire, que si elle possédait des fleurs disposées ainsi sur sa véranda cela voudrait dire qu'au fond c’était quelqu’un de bien. Elle soupirait encore. Passait-elle donc son temps à soupirer ainsi ? Et la je l'entendis rire pour rien, comme cela tout d'un coup. Serait-elle folle ?

'' Me tuer, la bonne blague... J'en serais plutôt contente. ''

"Je ne rigolais pas demoiselle. Je suis un tigresse qui lorsqu'elle commence a courir, personne ne peux l’arrêter accompagnée de mes griffes je suis capable de tuer. Mais je ne tuerais personne d’innocente et vous semblez l’être."

Elle sentit que cette inconnue, qui lui semblait plus ressembler a une scientifique qu'une hybride, ne la regardait pas, ni ne l’écoutait. Elle était obnubilée par ces fleurs, en même temps son jardin en valait la chandelle, mais quand même... Elle se sentait conne a parler seule.

'' Han ! Vous travailler pour Desmond, ne me mentez pas, cette odeur sur vous, et ces hormones là... brrr... Vous êtes la pour chercher la formule c'est ça ? Le feignant il ce déplace même plus lui même... Elle n'est pas prête et risque pas d'être fini avant demain. ''

Elle la regarda étonnée qu'elle est découvert qui était son maître. Et puis elle se rappela avoir déjà entendu parlez d'une certaine Juliette qui fournissait son « maître » en médicaments, lotions, potions...

"C'est donc vous Juliette, c'est a cause de vous que je suis maintenant dépendante de Desmond. Je dois malheureusement avouer que je le connais mais je ne travaille pas pour lui. Je suis l’hybride dont il est chargé de dresser, mais bon ... Et je ne suis rien venue chercher pour lui. Et je ne le ferait jamais . Je fuis la maison pour prendre l'air durant ses absences."

L'odeur des fleurs la perturbait, elle devenait gentille... Cela l’énervait au plus au point, surtout que cette folle était la coéquipière de Desmond, donc elle devait se mettre sur ces gardes, pour ne pas se faire avoir par surprise. Elle sentit le regard de cette Juliette descendre sur elle et s’arrêtant sur ces seins. Elle la voyait étonnée et embarrassée. Elle regarda les sien en retour, et vit que c'était exactement cette taille de seins qu'elle aurait aimer avoir pour courir librement. Une partie d'elle ce disait que c’était sûrement par ce genre de femme que Desmond était attirée.
On aurait dit qu'elle avait remarqué quelque chose chez moi, car elle se rapprocha avec une loupe a la main. J'avais envie de l'attaquer, elle violait mon espace vitale après tout, mais .... Je sentais les fleurs, leurs senteurs étaient trop pour moi et mon cerveau était trop embrumer pour attaquer qui que ce soit. Je la vit faire un grand sourire en trouvant quelque chose sur moi, c'est yeux semblait vouloir m'hypnotiser avec leurs tourbillons qui était mieux dessinés. C'était à ce demander si c’était vraiment une scientifique et pas une hybride. Elle pris une pince, de je ne sais où, et arracha un grain sur moi.

'' Ha ha j'ai ce qu'il me faut !! '

"Ne me remerciez surtout pas."

Je la vit alors ce diriger vers son l’intérieur de sa maison, son labo ? en laissant tout ouvert. Ma curiosité l'emportant, je la suivit. Sa maison était plutôt grande, j'avais l'impression qu'il y avait même des salles de décontamination. Cela confirmait mes idées sur le fait qu'elle soit une scientifique. Je m'était arrêtée dans ce magnifique salon et c'est à ce moment la, que je la vit revenir en relevant la tête vers moi.

'' Encore là ? ''

"Humm j'fais ce que je veux. En plus a l’intérieur de chez vous l'odeur des fleurs est moins forte. Je peux donc mieux me concentrer. Pourquoi posséder vous des fleurs dans votre jardin, si vous êtes aussi désagréable que les épine d'une rose ?"

Cette femme semblait trop mystérieuse à son goût. Elle voulait en savoir plus et ne quitterais pas ces lieux sans avoir ces réponses.

"Humm j'fais ce que je veux. En plus a l’intérieur de chez vous l'odeur des fleurs est moins forte. Je peux donc mieux me concentrer. Pourquoi posséder vous des fleurs dans votre jardin, si vous êtes aussi désagréable que les épines d'une rose ?"

Sa question me laissa perplexe, devais-je lui répondre ? Pourquoi je parlerais a quelqu'un qui vient de chez ce patron tyrannique ? je hausse les épaules et part dans ma cuisine ou je fais chauffer de l'eau. Il me faut une infusion, ne pas perdre son sang froid... j'inspire profondément.

'' Les plus belle fleurs sont les plus rechercher, au fil des siècles elles on crée un système pour ce défendre contre l'avidité de ce qui les désires. Je ne vois pas en quoi avoir des épines peut être désagréable. Vous venez chez moi, attiré par un nectar qui semble vous perturber, pour me regarder de haut et me sortir vos mots sans comprendre pourquoi les roses ont des épines. ''

Je mit mes plantes dans la tasse et rajouta l'eau a présent chaude, je la regarde, une tigresse c'est ça qu'elle a dit qu'elle était ?

'' Je suis Botaniste, je vis pour les plantes, toute les plantes que vous avez autours sont mes bébés, elle me sont précieuse et je ne suis rien pour elle. Avec elle je crée des remèdes, des vaccins, soignent les hybrides a tendances rebelles qui sont malade comme des chiens, j'apporte du réconfort aux hybrides enfermer comme des chiens dans les cages de l’animalerie. Je sauve de la mort les hybride qui passe dans les mains des maîtres tyrannique. Je suis Juliette Botaniste scientifique. Mais je pense que cela vous est indifférents. ''

Je me verse une tisane dans ma tasse, lui en proposant une.

'' Ce sont quelques feuilles de mélisse et de menthe. Du sucre ?''

Ont ne sait jamais pas quel s'imagine que je lui veuillent du mal. Je la regarde, m'installant dans mon hamac, mon petit endroit de paradis, je penser pas, mais je me suis attaché a ce hamac. Je souffle doucement sur ma tasse, afin de faire danser la fumée.

'' N'allez pas croire que je suis de mèche avec ce vieux fou de Desmond, A vrai dire je ne fait que réparé ses dégâts. C'est d'un ennuis de travaillé pour lui, ne me prenez pas pour quelqu'un qui aime martyriser les autres, je n'ai rien a voir avec lui que ce soit clair, c'est mon patron rien d'autre. Grâce a lui je peut financer mes recherches et étendre mes études, ça s’arrête la. ''

Je bois mon infusion laissant le chaud parcourir mon corps de ma bouche a mon estomac. En cet instant je ferme les yeux, savourant les bien fait de la nature. Je reste calme, je m’étonne même de ce calme, d'habitude je m’énerve, peut être parce que c'est une femme, je me sens pas nerveuse avec les femmes, c'est pour cela qu'a la section scientifique je ne travail qu'avec des femmes. Les hommes perturbe mon calme, et je ne peut me concentrer sur mes recherches.

'' Vous pouvez vous installez, je ne mange pas les hybrides, d'ailleurs pour moi on est tous pareil. D'autres questions ? ''

Je sirote a nouveau mon infusion, la regardant dans les yeux. Mes iris ont surement leur couleur normal, jaune avec un tourbillon flouté. Signe que je suis calme, enfin je suppose.

Ma curiosité avait besoin d’être satisfaite, mais cette Juliette n'avait pas l'intention de m'en donner, selon mes impressions. Elle ne me répondit pas, je la vis retourner vers sa cuisine, en haussant les épaules, pour chauffer de l'eau, me semblât-il. Elle préparait sans doute du thé ou me trouvait trop indigne d'elle. Après tout je n’étais qu'une hybride et elle une scientifique, elle devait me prendre de haut, en ce moment, ce qui me rendait folle.

'' Les plus belle fleurs sont les plus rechercher, au fil des siècles elles on crée un système pour ce défendre contre l'avidité de ce qui les désires. Je ne vois pas en quoi avoir des épines peut être désagréable. Vous venez chez moi, attiré par un nectar qui semble vous perturber, pour me regarder de haut et me sortir vos mots sans comprendre pourquoi les roses ont des épines. ''

"Me prenez-vous donc pour une imbécile? Je connais parfaitement ce système de défense des plantes. Si je vous l'ai dis ainsi, c'est parce que cela n’était qu'une simple métaphore, mais étant une humaine, je suppose que, comme vos congénère, vous ne savez pas utilise votre intelligence a bon dessein. Enfin bref, je suis pas venue chez vous de mon plein gré, mais malheureusement pour vous, vos fleurs m'on attirée donc, j'ai donc considérer cela comme une attaque. Mon point faible utilisé contre moi. De plus vous êtes la collègue de Desmond non ? Je me dois d'avoir peur d'une personne qui collabore avec ce tyran. "

Je la vis mettre des feuilles au fond des tasses, les recouvrir d'eau chaude, et enfin me regarder avec un regard interrogateur.

'' Je suis Botaniste, je vis pour les plantes, toute les plantes que vous avez autours sont mes bébés, elle me sont précieuse et je ne suis rien pour elle. Avec elle je crée des remèdes, des vaccins, soignent les hybrides a tendances rebelles qui sont malade comme des chiens, j'apporte du réconfort aux hybrides enfermer comme des chiens dans les cages de l’animalerie. Je sauve de la mort les hybride qui passe dans les mains des maîtres tyrannique. Je suis Juliette Botaniste scientifique. Mais je pense que cela vous est indifférents. ''


"Ce qui ne me laisse pas indifférent, c'est la personne avec qui vous travaillez. Si vous aider les hybrides pourquoi laissez vous Desmond faire ce genre d'acte ? Néanmoins vous avez l'air de vous intéressez a la nature donc je peux considérer que vous mériter mon respect. Mais vous devrez gagner ma confiance et sa commence mal, a cause de vos relations professionnel avec ce que je doit traiter de maître."

*Etes vous vraiment gentille au fond Juliette? Ou cacher vous une autre personnalité un peu plus sadique ?*

Elle me proposa une tasse de son thé, je la regardais avec un regard meurtrier.

'' Ce sont quelques feuilles de mélisse et de menthe. Du sucre ?''

Cherchait-elle a m'amadouer? Je hochais ma tête, montrant que je voulais bien du sucre, puis je la scrutait. Au fond peut être que je devrais lui laissez une chance de me prouvez qui elle est vraiment.
Elle se dirigea vers un hamac et se coucha dessus. Surement était-ce une habitude de sa part. Elle souffla sur son infusion.

"N'allez pas croire que je suis de mèche avec ce vieux fou de Desmond, A vrai dire je ne fait que réparé ses dégâts. C'est d'un ennuis de travaillé pour lui, ne me prenez pas pour quelqu'un qui aime martyriser les autres, je n'ai rien a voir avec lui que ce soit clair, c'est mon patron rien d'autre. Grâce a lui je peut financer mes recherches et étendre mes études, ça s’arrête la. ''

Je hochais encore la tête, en signe de compréhension. Elle bu un peu de son infusion. Il est vrai que ce thé était délicieux mais l’était-il  au point de la transporter ainsi ? Elle le supposa car elle l'avait vue fermer les yeux. Elle semblait calme et sereine. Comme si ma présence ne la dérangeais pas. Comme si j’étais invisible. Je me disais que c’était peut-être le moment de partir … Mais .. les fleurs je voulais encore profiter de leurs senteurs.

'' Vous pouvez vous installez, je ne mange pas les hybrides, d'ailleurs pour moi on est tous pareil. D'autres questions ? ''

" Merci de ne pas me considérer comme une bête de foire. Vous faite bien partie des rares."

Je m'assis sur son canapé, en finissant la tasse d’infusion, puis je tourna ma tête vers elle. Elle m'intriguais toujours, si calme, si réservée, elle semblait solitaire. Et pourtant, elle travaillait avec Desmond et des fleurs... C’était contradictoire.

*J'ai maintenant envie de m'occuper de ces plantes, qui me font tourner la tête. Mais je suis une rebelle! Je ne peux pas...*

"Dame Juliette, vous travaillez seule ? Comment se passe vos travaux? Que faite vous exactement? Que préparez vous? Que testez vous?... Si je puis me permettre"

Avais-je réellement envie de savoir tout sa? Pourquoi cherchais-je a me rapprocher de ces fleurs en particulier?... Un hybride rebelle ne doit pas se soumettre pour des choses si futiles. L'odeur des fleurs, leurs senteurs, étaient entrés avec le vent. Je me sentais bizarre... J'avais l'impression que cette odeur... me rendais... Gentille....

Elle pris ma tasse et semblais s'être calmer. Enfin je m'en fichais, si le ton monte j'ai toujours mes seringue de calmant et zou je la remet sagement dans la forêt l'air de rien.

Elle s'assit sur le canapé, l'endroit ou je dors si je n'arrive pas jusqu’à mon précieux hamac. Je la regarde, dans son regard on peu lire le doute, le questionnement, la peur ? Non je doute fort.
Dans tout les cas elle est rester ici et bois mon infusion sur mon canapé, la rébellion n'a pas l'air de lui passer en priorité, elle semble curieuse.

"Dame Juliette, vous travaillez seule ? Comment se passe vos travaux? Que faite vous exactement? Que préparez vous? Que testez vous?... Si je puis me permettre"

Mon doute ce confirme, dois-je tout lui dire ou alors simplement mentir ? Je ne sais trop quoi faire.
Je pose délicatement ma tasse sur la petite table en bois qui est devant moi et  croise les doigts, posant mon menton dessus.

'' Ce que je fais ? Mmm... Je cherche des médicaments pour soigner de diverse maladie. Comme la malaria ou encore les cancers. Rien de bien passionnant pour quelqu'un de 'normal'. ''

Je marque une pause, cela fait longtemps que je n'avais pas parler a quelqu'un d'autre que mes élèves ou mes collègues. je la regarde, accrocher a mes mots, du moins j'en ai l'impression.

'' Je prépare ces médicaments avec pour seule base les plantes qui sont dans cette maison. Je ne supporte pas la fausse chimie, avec des placebos. J'utilise la force de mes bébé pour aider le monde. Bien sur je fais sa gratuitement pour les hybrides en animalerie, et payant pour les particulier. D'ou ma coopération pour Desmond, il finance mes projet contre quelques lotions ''

Je marquer une pause en balayant le prénom de Desmond avec ma main, je ne l'aime pas plus que sa, mais il est vrai qu'il m'aide pour mes recherches. Au vue de ses moyens de pression pour me faire travailler je n'ose pas trop lui dire non, a mon plus grand regret.

'' Et oui je travaille seule, je ne m'aide de quelqu'un que pour tester les lotions et savoir les effets. Bien que la plupart du temps je les utilise sur moi. Afin de ne pas trop mêler les innocent dans mes folies.''


Je la regarder avec un œil curieux. Elle m’intéresse presque, je pourrais certainement la tester avec quelque lotions rester vierges de tout test possible. Je me redresse laissant mes mains sur mes genoux,  croisant les jambes, sans me rendre compte que la jupe est courte.


'' Pourquoi veut tu savoir tout sa ? Me prend tu encore pour un de ses humains sans cœur ? C'est triste, malheureusement je ne fait pas partie de ce lot la. Je suis une simple servante des plantes. ''

Je me lève ramassant ma tasse pour allez la mettre dans mon évier, dieu qu'il est vide et tellement propre, il faut dire que je ne mange rien.
Dehors le bruit du vent soulevant les feuilles parait comme une douce berceuse a mes oreilles, je soupir regardant la porte encore ouverte. Je la laisse ouverte, pour ne pas effrayer l'hybride, C'est vrai en tant que Rebelle ce sentir enfermer dans un lieu qu'on ne connais pas pourrais être perçue comme un acte de soumission.

*Pourquoi j'ai posé cette question déjà ...Putain la super gaffe que j'ai fais la ..Je devrais quitter cette maison avec ce parfum entêtant qui me perturbe.*

J'avais la possibilité de sortir,de fuir, la maison était ouverte... Utilisait -elle l'odeur des fleurs, leurs senteurs contre moi ou voulait-elle me prouver que je n'avais pas à avoir peur d'elle ? Me faisait-elle donc confiance ? J'en doutais mais même si ce n’était pas le cas elle m'aurait déjà mis a la porte.... Elle me donnait une chance. Je l’écouterais et déciderais si je devais partir de cette maison ou si elle comptait me dompter. Cette demoiselle Juliette ne semblait pas étonnée par mes questions. Elle déposa sa tasse sur une table, faite de bois, et elle posa son menton sur ses doigts croisés pour me répondre comme si de rien était.

'' Ce que je fais ? Mmm... Je cherche des médicaments pour soigner de diverse maladie. Comme la malaria ou encore les cancers. Rien de bien passionnant pour quelqu'un de 'normal'. ''

Elle marqua une pause, pendant que je hochais la tête en signe de compréhension, comprenant tout ce qu'elle me disait, fascinée par ce qu'elle me racontait. Je l'observais, je devais sans doute être comme en adoration devant elle, mais le parfum entêtant m’empêchais de réfléchir, m’empêchais de fuir. J'avais l'impression que quelque chose voulait que je reste et que j’écoute cette femme jusqu'au bout.

'' Je prépare ces médicaments avec pour seule base les plantes qui sont dans cette maison. Je ne supporte pas la fausse chimie, avec des placebos. J'utilise la force de mes bébé pour aider le monde. Bien sur je fais sa gratuitement pour les hybrides en animalerie, et payant pour les particulier. D’où ma coopération pour Desmond, il finance mes projet contre quelques lotions ''  

Soigner des maladies ? Je savais que les fleurs possédaient des vertus aphrodisiaque et thérapeutique mais delà à guérir des maladies, connues sans remède jusqu'à ce jour ? Je ne pouvais être qu' étonnée, et encore le mot était faible. Surtout au moment ou j'entendis qu'elle utilisait la force des ces plantes pour soigner mon espèce. Une humaine ? Une scientifique qui s'inquiétait de la santé des hybrides ? Et cela en collaboration avec Desmond ?  Et si c’était le cas pourquoi me laisser dans les mains de ce salopard ? Même si c'est pour les finances de ces projets.... Leur association était totalement contradictoire, leur travail était opposé.... Je la vis balayer sa main comme si le prénom de Desmond l'agaçait au plus au point. Peut être que je me trompais sur elle. Peut être en faite qu'elle détestait Desmond et qu'elle ne le supportais juste que pour l'argent.

'' Et oui je travaille seule, je ne m'aide de quelqu'un que pour tester les lotions et savoir les effets. Bien que la plupart du temps je les utilise sur moi. Afin de ne pas trop mêler les innocent dans mes folies.''

Elle me regarda curieuse. Serais-je une bête de foire a ces yeux ? Voulait-elle m'utiliser comme cobaye ? J'avais donc une tête de testeur ?
Mais je devais l'avouer l'idée, de travailler avec les fleurs me plaisait bien… mais néanmoins  est-ce que les fleurs méritent que je me résous à obéir a une humaine ? C'est impossible... Je ne me voyais pas servir quelqu'un. J'aimerais juste avoir la possibilité de passer du temps avec ce que j'aime, les fleurs... Mais obéir ou servir de cobaye .. ?
Je sentis son regard peser sur moi, elle se redressa un peu  et croisa ses jambes et je vis sa culotte. Je pense qu'elle ne s'en était pas rendu compte que sa jupe était trop courte pour croiser ces jambes ainsi. Je détourna le regard et retourna à mes réflexions, quand sa voix me tira de mes pensées.

" Pourquoi veut tu savoir tout sa ? Me prend tu encore pour un de ses humains sans cœur ? C'est triste, malheureusement je ne fait pas partie de ce lot la. Je suis une simple servante des plantes. ''

Je hochais la tête, la laissant se lever pour déposer sa tasse dans son évier, je me levais aussi pour la suivre et faire de même. Mais le vent apporta les senteurs des fleurs, par la porte en grande quantité dans le salon. Dieu qu'elle haïssait cette Juliette, pour avoir laisser sa maison ouverte aux parfums de ces fleurs.Je ne put m’empêcher de m’arrêter devant elle avec un expression neutre marquant mon visage. Cela devait être la pire chose que je dirais dans ma vie...

"Je dois vous avouer que l’étude des plantes m’intéressent aussi et que votre travail tout aussi. Mais je ne sais pas si je vous le dis sous l'emprise des parfums des fleurs de votre jardin, mais vos travaux, ...j'aimerais y participer."

"Je dois vous avouer que l’étude des plantes m’intéressent aussi et que votre travail tout aussi. Mais je ne sais pas si je vous le dis sous l'emprise des parfums des fleurs de votre jardin, mais vos travaux, ...j'aimerais y participer."

Je lâcher ce que j'avais dans les mains, ouvrant ma bouche à moitié, je n'en revenais pas. Une hybride rebelle cherchant à vouloir travailler avec une humaine.

Je frotter mes paupières avec le bout de mes doigts cherchant a garder mon calme, je pris mon air le plus sérieux du moment, mais je sentais bien que le tourbillon de mon iris était tracé, montrant mon intérêt par ce petit bout de phrase.

'' Vous, désirez travailler à mes travaux ? Vous savez que la porte soit fermée ou non il y' a la même odeur dedans que dans mon jardin. Si vous ne pensez pas cela sérieusement je ne peux vous permettre de travailler avec moi. ''

Je marquer une pause, regardant par terre pour voir ce que j'avais laissé tomber. Une petite cuillère, pas de casse donc, je me penche pour la ramasser toujours sous le choc des paroles qui passe en boucle dans un coin de ma tête.
Je jette la cuillère dans l'évier m'adossant a plan de travail, je croiser les bras.

'' Travailler avec moi implique de m'obéir au doigt et à l’ œil. Dans mon métier je ne permets aucun écart, comme je travaille seule je test sur moi les produit que je crée, si il y a fausse manipulation je meurs. Enfin cela m'importe, ma vie n'a aucun intérêt, par contre si vous travailler avec moi, je ne peux me permettre aucun écart. Alors l'obéissance est de rigueur. Votre condition de féline sauvage, tigre c'est ça... ne pourrais ne pas convenir.''

Je marque une pause la jugeant, pourtant elle pourrait mettre utile, parfois il m'en faut de très peu pour rater une mixture, avec ces mains je pourrais non seulement avoir un gain de temps mais aussi un gain de vitesse.  Je la quitte des yeux me dirigeant vers la porte pour la fermer, il me semble pas qu'elle prendrait sa comme une provocation, au pire je pourrais l'ouvrir, ce n'est pas un problème.
Je compter les carreaux de mon sol avant de la regarder à nouveau.

'' Je sauve des vies comprenez ? Je ne joue pas simplement au petit chimiste. Je ne force personne à venir travailler avec moi, ni tester mes produits. Je ne voudrais pas d'une... Assistante .... Qui n'écoute pas les règles au sien de mon laboratoire. ''

Je m'approche d'elle à nouveau, lui montrant mon bras piqué à multiple reprise, il faudra d’ailleurs que je mette de ma pommade afin de les faire disparaitre, et trace du bout de mon doigt une longue cicatrice qui rejoint mon poignet.

'' J'ai dut m'ouvrir car j'ai fait une mauvaise manipulation parce qu'un assistant au laboratoire a été imprudent. Il a confondue une lotion verte, avec simplement la turquoise. Si je ne m'ouvrais pas le bras, je serais certainement devenue une hybride de je ne sais qu'elle race ou morte. ''

Je remets la manche de ma blouse tout en la regardant.

'' Bien sur je pourrais faire disparaitre cette cicatrice en moins de temps qu'il le faut pour le dire, mais je préfère la garder pour ainsi penser a toujours rester concentrée sur ce que l'on fait, une sorte de preuve pour la jeunesse. ''

Je m'écarter à nouveau, le regard triste fixant un point imaginaire.

'' Tout cela pour vous dire, que si vous travailler avec moi, c'est avec mes règles ou rien d'autre. Comme je vous l'ai dit, je ne suis pas une humaine qui va profiter de vous pour tester les lotions, je les testerais sur moi, mais sans vous mentir un coup de main serais des bienvenues, c'est a vous de me dire une réponse. Il va de soi que vous ne rentrez pas dans mon laboratoire tout de suite, il va falloir vous adapter à un environnement qui est loin d'être celui que vous imaginez. ''

Je la regarde encore une fois, avant de marcher vers mon hamac en balançant ma main comme pour chasser les idées noires qui semblent se mélanger à mon raisonnement. Je me rassis sagement dans mon hamac, cherchant à élucider cette demande qui me semble qu'un rêve éveillé. Une hybride rebelle qui voudrais travailler pour une femme au mais plus que douteuse, je laisse partir un petit fous rire avant de mettre mes doigts fins sur mes paupières pour les masser tendrement.

Je n'arrivais toujours pas à me rendre compte, que j'avais prononcé cette phrase.... Je ne sais pas si c’était les fleurs les responsable de mon comportement, ou encore ma curiosité, mais cela m’étonna énormément d'entendre ces mots sortir de ma bouche. Cela étonna sans doute, Juliette aussi, au vue de sa réaction, car elle avait lâché ce qu'elle tenait dans ces mains.
Moi même je ne comprenait pas ce que je venais de faire. A-t-on déjà vue des hybrides rebelles travailler de leur plein gré ? Au service d'une humaine en plus ?  Je vis Juliette se retourner vers moi, me regardant de ces iris perturbant, avec leurs tourbillons qui semblaient m’entraîner au plus profond de ces yeux. Elle semblait sérieuse, et je sentis que la suite ne serait pas de la rigolade...

'' Vous, désirez travailler à mes travaux ? Vous savez que la porte soit fermée ou non il y' a la même odeur dedans que dans mon jardin. Si vous ne pensez pas cela sérieusement je ne peux vous permettre de travailler avec moi. ''

Je profitais que Juliette se baissa pour ramasser la cuillère, qu'elle avait fait tomber, pour lui faire un sourire mauvais sans qu'elle ne me voit.

"Je ne sais pas mentir."

Elle jeta la cuillère dans l’évier et s'adossa à son plan de travail en croisant les bras. Je profita donc pour la regarder le plus sérieusement que possible pour lui montrer que, en effet, je ne lui mentais pas.

'' Travailler avec moi implique de m'obéir au doigt et à l’ œil. Dans mon métier je ne permets aucun écart, comme je travaille seule je test sur moi les produit que je crée, si il y a fausse manipulation je meurs. Enfin cela m'importe, ma vie n'a aucun intérêt, par contre si vous travailler avec moi, je ne peux me permettre aucun écart. Alors l'obéissance est de rigueur. Votre condition de féline sauvage, tigre c'est ça... ne pourrais ne pas convenir.''

Je bloqua au mot 'obéir'... Je détestait recevoir de ordre et plus que tout, qu'on ne me trouve pas rigoureuse. N’étais-je pas parfaite après tout ?

"Ne me connaissant pas, ne me jugez pas selon mon apparence cela me dérange fortement. Ce n'est pas parce que je possède tout dans le corps que je n'ai rien dans la tête"

Elle ne me quitta pas des yeux se dirigeant vers la porte pour la fermer. Essayait-elle de m'enfermer ou bien de m'aider en me coupant un peu des fleurs ?  En tout cas, mon esprit s’éclaircit un peu. Je la vis regarder le sol puis relever la tête vers moi.

'' Je sauve des vies comprenez ? Je ne joue pas simplement au petit chimiste. Je ne force personne à venir travailler avec moi, ni tester mes produits. Je ne voudrais pas d'une... Assistante .... Qui n'écoute pas les règles au sien de mon laboratoire. ''

Elle s’approcha de moi, ne me laissant pas le temps de répondre. Surprise, j'eus un mouvement de recul en pensant qu'elle comptait me toucher ou même encore, me planter une aiguille dans le bras. Au lieu de tout cela, elle releva sa blouse et me montra une longue cicatrice sur son bras qui m’étonna grandement.

'' J'ai dut m'ouvrir car j'ai fait une mauvaise manipulation parce qu'un assistant au laboratoire a été imprudent. Il a confondue une lotion verte, avec simplement la turquoise. Si je ne m'ouvrais pas le bras, je serais certainement devenue une hybride de je ne sais qu'elle race ou morte. ''

Je hochais la tête, en signe de compréhension pendant qu'elle cachait la cicatrice, sous sa blouse. Je me demandais, pourquoi elle ne faisait pas disparaître cette marque puisque moi même je connaissais des plantes capable d'enlever les cicatrices. Elle du lire dans mes pensées car la réponse arriva aussitôt.

'' Bien sur je pourrais faire disparaître cette cicatrice en moins de temps qu'il le faut pour le dire, mais je préfère la garder pour ainsi penser a toujours rester concentrée sur ce que l'on fait, une sorte de preuve pour la jeunesse. ''

Elle s’éloigna de moi, et j’aperçus ces iris devenir plus sombre, et leur tourbillon moins prononcés. Elle devait sûrement penser à quelque chose de triste.

'' Tout cela pour vous dire, que si vous travailler avec moi, c'est avec mes règles ou rien d'autre. Comme je vous l'ai dit, je ne suis pas une humaine qui va profiter de vous pour tester les lotions, je les testerais sur moi, mais sans vous mentir un coup de main serais des bienvenues, c'est a vous de me dire une réponse. Il va de soi que vous ne rentrez pas dans mon laboratoire tout de suite, il va falloir vous adapter à un environnement qui est loin d'être celui que vous imaginez. ''

Elle me regarda une dernière fois avant de retourner vers son hamac. Son regard était toujours aussi sombre presque mélancolique. Livrait-elle un combat intérieur? Ou était-elle étonnée par moi ? Elle se rassis dans son hamac. Je L'observais et la vis rire avant de poser ces doigts sur ces paupières comme pour les masser.

''Je rêve ou vous vous moquer de moi ? Vous ne me prenez donc pas au sérieux ? Remédions à cela immédiatement.''

Je secouais ma tête résignée à lui montrer qui j'étais. Je me plaça en un quart de seconde devant elle, ne lui laissant pas le temps de me répondre. Je la leva de son hamac puis la mise debout devant moi, la forçant à me regarder dans les yeux. Je savais parfaitement ce que j'allais faire à partir de maintenant. L'odeur des fleurs n'était pas le responsable. Je ne pouvais me le cacher plus longtemps....

"Je veux travailler pour vous. Je ferais ce que vous voudrez, mais je vous préviens déjà, je ne peux pas changez du jour au lendemain. Surtout que vous l'avez sans doute remarquez, mais je suis têtue et rebelle. Accordez moi néanmoins une chance de vous montrez que j'en ai pas que dans les melons mais aussi dans la tête. "

Elle recula, s’étira un peu et commença a se déshabiller

"Vu que je sens l’odeur de l'alcool et du désinfectant. Où se trouve la salle pour que je puise me 'stérilisé'?  Pas la peine de me regarder ainsi. Je ne partirais pas d'ici sans avoir eu ce que je veux. Et ce que je veux c'est travailler ici."

Elle me souleva, dans un réflexe je porte ma main sur mes seringues, en me retenant de la piquer. Je déteste qu'on me touche, je ne supporte pas le contact, elle me lâcha, après m'avoir dit son discours, alors elle veut travailler avec moi ? Elle a l'air déterminée, prête à m’obéir, de toute façon elle ne touchera rien au début, je lui donnerais la basse besogne, pour la connaître, et apprendre ses limites, c'est ainsi, suis-je trop sévère ?

Elle recule et ma main lâche ma seringue, ou devrais je dire les morceaux qui reste de la seringue ? J'ai serré trop fort, ce qui a brisée le verre, je craint rien, je suis tellement dopé que le liquide me ferra rien , pas a cette dose.

Elle s'étire et semble se déshabiller, je ne suis pas pudique, mais pas ici, pas en plein salon !

'' Rhabiller vous, Comme je vous lai indiquer, vous ne rentrer pas dans le laboratoire immédiatement, vous allez apprendre, avant de manipuler quoi que ce soit de dangereux, je vous apprendrais les bases, et ainsi juger si  vous êtes apte a travailler vraiment à mes cotes.''

Mon regard ce fait presque noir, m'avoir bousculer ne me rend pas vraiment gentille, je supporte pas a vraie dire, c'est peur être enfantin, mais c'est ainsi.

Je me dirige vers le lavabo, en lavant ma main et retirant les morceaux de verre de ma main, je ramasserais ce qui est tomber à terre plus tard. je grimace, la sensation n'est pas agréable, et un peu de sang s'écoule, se mélangeant à l'eau. Bon je passerais de ma pommade par après, pour l'instant je doit li donner de quoi faire, pour qu'elle comprenne qu'ici, c'est moi la dominante, elle pourrais être un T-rex, se ne change rien.

'' Je vais vous donnez un travail suivez moi. ''

Suis-je trop dur ? Trop brusque ? Je m'en fiche, à vrai dire je me remet toujours pas de mettre fait toucher de la sorte, je bloque la dessus, suis-je donc a ce point si seule dans ma vie ? Au point de ne plus supporter le contact ? je fait attention a ce qu'elle me suive, et l’amène dans ma véranda, celle ou je prend juste soin de  regarder mes plantes poussez.

'' Voici ma véranda, ici je travail sur le soin des plantes, afin qu'elle pousse dans les meilleurs conditions possible, vous remarquerais la différence de température. ''

Pour l'instant nous sommes dans la véranda chaude, la température y est agréable, sans se sentir étouffante. Je continue ma route, frôlant les tablettes sur lequel sont déposé mes plantes. Je pousse une porte, amenant dans un sas, et attend qu'elle rentre elle aussi. Puis après quelques secondes, j'ouvre l'autre porte, étonnamment on se retrouve dans une serre froide. Je me suis habituer a ce climat, je n'y fait presque plus attention.

'' Ici sont stockez les plantes qui ont besoin d'une période de dormance, pour pouvoir fleurir ou pousser tout simplement, vous ne rentrez pas ici sans moi, car les températures peuvent descendre à moins quinze degrés. Je ne veut pas vous retrouver congelée. ''

Je balaie de ma main mon sourire un peu enfantin, je dois bien l'avouer. Je lui indique de faire demi-tour, pour rejoindre l'autre véranda. Je jette un rapide coup d’œil sur mes plantes, tout va bien.

Retour dans le sas, ou on sens le chaud venir nous cajoler la peau.
Je prend un sac de terreau, et une plante du bout de la main, et lui indique un plan de travail.

'' Voila votre premier job, je vous montre et vous faites comme moi. ''

C'est bête mais sans cette base, autant ne pas devenir mon assistante.

'' Ce travail consiste a apporter a la plante un confort dans un environnement plus appropriée, c'est de l'empotage. Ou rempotage pour être plus exacte ! C'est une étape importante dans mon métier, savoir la plantes dans un climat des plus proches de la ou elle vit naturellement permet d'obtenir de meilleurs résultat lors des expérience. ''

j'ouvre le sac de terreau laissant échappée la terre, c'est une terre fine, avec de la tourbe blonde dedans, importante pour la plante, vis a vis de sa rétention en eau.

'' Rien de bien compliquer, vous prenez un pots plus grand que la plante actuel, rajouter un fond de terre, et dépoter la plantes, ensuite il suffit de mettre délicatement la plante dans le nouveau pot , et rajouter la terre manquante, bien tasser mais pas trop ''

Tout en expliquant je lui montre les gestes à faire, rapidement, peut être trop ? Je recommence avec une autre plante pour m'assurer qu’elle est compris. Puis lui donne une plaque de plante, ou il doit en avoir une dizaine comme celle que je lui ai montrer. puis je la regarde, lui installant les pots pour qu'elle ne manque de rien.

Puis je m'éloigne lui indiquant qu'elle peux travailler, lui laissant le choix dans son organisation. puis je rejoint mon autre plan de travail, m'installant sur ma chaise, observant au travers un microscope, des morceaux de plantes atteinte de maladie, mildiou peut être ? Je ne sais pas trop, il existe bien trop de maladie pour pouvoir le déterminée ainsi. puis pour brisée ce silence qui c'est installez je parle, ne détachant pas mon regarde de ma lentille.

'' Je ne doute pas de vos capacités mentale, être une femme n'est pas facile tout les jours, surtout quand les hommes vous dénigre ainsi... Je veux juste m'assurer que vous ne vous blesser pas, avec mes expérience, j'ai dans cette serre plus de  trente plantes au poison mortellement puissant. Je ne veux pas vous retrouver, morte, parce que je n'ai pas été assez vigilante. ''

Me voila sentimentale ? décidément, je ne côtoie pas assez de monde ...

'' Rhabiller vous, Comme je vous lai indiquer, vous ne rentrer pas dans le laboratoire immédiatement, vous allez apprendre, avant de manipuler quoi que ce soit de dangereux, je vous apprendrais les bases, et ainsi juger si  vous êtes apte a travailler vraiment à mes cotes.'' 

Je me rhabilla aussitôt. Son regard était presque noir, sûrement n'a-t-elle pas apprécie que je la touche ? Et encore moins que je la porte comme si elle était aussi légère qu'une plume. Ce qui était le cas. Ou bien espérait-elle un peu plus de pudeur de ma part ? Au fond je m'en fichais.
Je la vit se diriger vers un lavabo pour laver sa main ensanglantée, en retirant les morceaux de verre de la seringue qu'elle avait cassé plus tôt, lorsque je l'avait porter. Elle était de dos donc je ne la voyait pas, mais j'avais l'impression qu'elle soufrait. Je sentis l'odeur du sang ce mélanger a l'eau. Je profitais pour apprendre a connaître son odeur. Pour la reconnaître parmi d'autres. Elle s'impatientait, ne trouvant rien a faire.

'' Je vais vous donnez un travail suivez moi. ''

Je la suivis. Son regard et sa voix semblait toujours aussi froid et distant. Elle devait vraiment m'en vouloir. Elle regarda à chaque fois si je la suivait de près, comme si il était possible de ce perdre ici. Elle m’emmena vers, ce que je supposa être une véranda.

'' Voici ma véranda, ici je travail sur le soin des plantes, afin qu'elle pousse dans les meilleurs conditions possible, vous remarquerais la différence de température. ''

Elle ne voyait pas trop le changement de température là, pour l'instant elle avait même un peu chaud. Et puis, elle n'a jamais crains le froid. Elle continuais sa route et moi je continuais de la suivre. Elle poussa une porte nous entraînant alors dans une espèce de boite qui possédait une autre porte. Elle attendit quelque seconde avant d'ouvrir l'autre porte. Je sens alors la température chute.

'' Ici sont stockez les plantes qui ont besoin d'une période de dormance, pour pouvoir fleurir ou pousser tout simplement, vous ne rentrez pas ici sans moi, car les températures peuvent descendre à moins quinze degrés. Je ne veut pas vous retrouver congelée. ''

Je la vit sourire comme une enfant qui ouvre ces cadeaux de Noël, cela m'amusa un peu. Elle m'indiqua de faire demi-tour et je vis qu'il y avait une autre véranda que nous allions rejoindre, d’après ce que me montrait sa main. On rentra de nouveau dans la boite a deux portes et la température augmenta de nouveau.
Je la vis prendre un sac de terre puis une plante en m'indiquant une table.

'' Voila votre premier job, je vous montre et vous faites comme moi. Ce travail consiste a apporter a la plante un confort dans un environnement plus appropriée, c'est de l'empotage. Ou rempotage pour être plus exacte ! C'est une étape importante dans mon métier, savoir la plantes dans un climat des plus proches de la ou elle vit naturellement permet d'obtenir de meilleurs résultat lors des expérience. ''

J'avais l'impression qu'elle se moquait de moi. Une plante a planter.... Et elle appelle ça un travail. Enfin bref...Elle voulais m'expliquer... les bases, je suppose ?  Elle ouvrit le sac de terreau laissant échapper la terre qu'elle contenait. Elle lui semblât avoir déjà vue cette terre aux abord de la région volcanique.

'' Rien de bien compliquer, vous prenez un pots plus grand que la plante actuel, rajouter un fond de terre, et dépoter la plantes, ensuite il suffit de mettre délicatement la plante dans le nouveau pot , et rajouter la terre manquante, bien tasser mais pas trop ''

Elle me montra le geste à faire. Heureusement qu'avec ma vision, je ne voyais pas que ça allait vite. Mais j'avais l'impression qu'elle avait besoin de se débarrasser de moi et qu'elle m’expédiait tout. Elle me donna ensuite une plaque qui comptait une bonne dizaine de plantes, ressemblant a celle qu'elle m'avait montre plus tôt. Puis elle me regarda en me donnant les pots, avant de ce retourner me montrant que je pouvait commencer. Le début n’était pas facile, j'avais du mal a ne pas abîmé les racines et leur poils absorbants mais une fois la technique trouvée, je les enchaînaient avec une rapidité. Mes gestes était sur et parfait. Je voulais lui prouver que je n’étais pas inutile.

'' Je ne doute pas de vos capacités mentale, être une femme n'est pas facile tout les jours, surtout quand les hommes vous dénigre ainsi... Je veux juste m'assurer que vous ne vous blesser pas, avec mes expérience, j'ai dans cette serre plus de  trente plantes au poison mortellement puissant. Je ne veux pas vous retrouver, morte, parce que je n'ai pas été assez vigilante. ''

Voila que maintenant elle s’inquiétait pour moi ? Elle ne serait pas lunatique sur les bords ? Sa me fit rire. Je finissait le denier pot et le rangeât devant moi.

"Au lieu d'être sentimentale, j'ai finis le faux travaille. J'aimerais que vous me fassiez un peu plus confiance. J'ai quand même vécu dans la nature, donc j'ai au moins la base sur les poisons et j'ai surtout appris a ne pas manger les fruits que je ne connaissais pas. Et encore moins de toucher a ce que je ne connaissait pas."

Je la regardais de loin cette fois si, mais mon regard toujours déterminer, voulant vraiment travailler avec ce que j’aimais le plus, les fleurs.

"J'aime les fleurs tout autant que vous et je ne suis pas une poupée de chiffon. Je suis une grande fille et c'est à moi de décider ce qui est dangereux pour moi ou non."

"Au lieu d'être sentimentale, j'ai finis le faux travaille. J'aimerais que vous me fassiez un peu plus confiance. J'ai quand même vécu dans la nature, donc j'ai au moins la base sur les poisons et j'ai surtout appris à ne pas manger les fruits que je ne connaissais pas. Et encore moins de toucher à ce que je ne connaissais pas."


Elle ne prend pas mon travail au sérieux ?  Ou n’a-t-elle rien compris que mon métier, a la moindre erreur peut avoir une influence mortelle ?

"J'aime les fleurs tout autant que vous et je ne suis pas une poupée de chiffon. Je suis une grande fille et c'est à moi de décider ce qui est dangereux pour moi ou non."

‘’ Vous prétendez aimer les fleurs, et vous décrivez ce que je viens de vous donner comme un faux travail ? Je pense que vous n’avez rien compris, les fleurs, les fleurs, il n’y a pas que les fleurs dans la vie ! Avant d’en voir la fleur, il faut en voir la racine, la tige, la photosynthèse et la symbiose de chaque plante, chaque tissu, chaque cellule ! ‘’

Non décidément, elle veut voir les fleurs, pourquoi ne pas faire fleuriste ! Elle en verrait la des fleurs ! Je ne fais pas un métier simple ou passionnant par moment, je dois l’avouer que certaines tâche sont exténuantes à faire, mais sa fait partit d’un tout.  Décidément je crois avoir trop rêvé, c’est vrai une rebelle travaillant pour une humaine, et une passionnée de plantes, impossible, irréalisable !

Je décolle mes yeux de mon microscope, le regard vide il me semble. Je la toise de haut en bas, regardant du coin de l’œil le travail qu’elle a fait, je remarque les casses. Peut-être minuscule mais casse quand même, je crois que je suis déçue, m’enfin je m’attendais pas à du travail de pro immédiatement. Je me dirige vers elle, dans un silence presque religieux attrapant sa plaque de plantes, pour les posé dans ma véranda, sur une tablette, les arrosant d’un engrais pour les booster dans le temps.  Je pose mon arrosoir, ne sachant vraiment quoi dire, elle ma refroidit direct, avec son idée de faux travail et de fleurs.

‘’ Avoir la prétention de dire haut et fort d’aimer les fleurs, et ne pas reconnaître ses gestes comme important, je ne pense pas non, que vous aimez à ce point les fleurs. Si c’est les fleurs que vous aimez, pourquoi ne pas faire fleuriste ? Au moins là vous ne verrais que des fleurs. Je ne travaille pas qu’avec  des fleurs Mlle, mais avec des plantes, des êtres vivantes, qui non pas besoin d’une personne pour pousser.  Poupée de chiffon ou non, chaque gestes a son importance, si vous ne pouvez comprendre sa, alors la porte est ouverte pour que vous puissiez sortir. ‘’

C’est direct, mais au moins c’est dit, je n’ai pas peur d’elle, elle veut me tuer ? Alors qu’elle le fasse rapidement, de toute manière, personne ne pourrais me regretter, et mes plantes non pas besoin de moi pour pousser. C’est bête, je me faisais une joie  d’avoir une personne à qui partager ma passion ou simplement avoir une personne à mes côtés. Je deviens sentimentale ? Ou suis-je trop folle pour voir la réalité, trop renfermée dans mon monde, sans en voir les limites, les erreurs.  Sa vie dans la nature lui a certainement appris beaucoup, mais je n’ai pas l’impression qu’elle ait bien compris mes attentes, pas bien compris ce que j’espérais, ou tout simplement trop prétentieuse de se sentir supérieur par rapport à mon travail. Elle a vécue dans la nature ? Eh bien si elle ne peut s’adapter à mon climat, mes règles elle peut y retourner.

‘’ Votre savoir a des limites Mlle. Certes votre vécues dans la nature vous a permis de connaitre la surface de ce que vous appelez la nature, mais vous n’avez rien compris de ce qu’il se passe en souterrains. Un peu comme vous, en vous donnant un genre, laissant apparaître que la surface de que vous êtes, cachant secrètement ce qu’il se passe à l’intérieur. Mon travail à moi et de connaitre cet intérieur, pas juste faire mumuse avec ce qu’il se passe en surface.’’

Je lui passe devant, lui ouvrant la porte pour aller vers le salon, de toute façon je n’ai plus de travail, ayant passé ma nuit sur mon nouveau sérum, effectuant pour me changer les idées du rempotage en masse.
Le salon est mieux pour passer le temps, j’ai besoin de retrouver mon hamac, y retrouver un brin de repos, autour d’une tisane bien corsé.

‘’ Avez-vous faim ?’’

Moi je ne mange pas, mais elle a peut-être faim, je ne peux la laisser la sans manger, sachant qu’il est presque l’heure où les gens normaux passe leur temps à table racontant leur matinée autour d’un repas chaud. Moi ? Une simple seringue pour me donner les nutriments que j’ai besoin.

‘’ Vous prétendez aimer les fleurs, et vous décrivez ce que je viens de vous donner comme un faux travail ? Je pense que vous n’avez rien compris...''


Et voilà que j’étais parti pour une leçon de morale. Je détestais... non haïssait qu'on me fasse la morale. Je l'avais laisser continuer sans l'entendre. Je me refuser de l’écouter tant qu'elle me feras la morale. Surtout que je n'avais rien a me reprocher, elle m'avait effectivement donner un travaille que je faisait de moi même dehors, lorsqu'une fleur se mourrait. Mais sérieusement pour qui elle me prenait ? Si c’était pour replanter des fleurs je serais chez une fleuriste. Et si elle voulait me faire faire quelque chose de concret, elle pouvait limite me faire planter des fleurs sa serais encore mieux. Et puis les fleurs sont le résultat de tout la nature le reste me donne mal à la tête de les comprendre. Je ne l’écoutais toujours pas mais je l'observait ce mouvoir dans cet espace qui était le sien. Elle me toisais du regard après avoir quitter son microscope, je ne voyais presque pas le tourbillon dans ces yeux, son regard semblait lointain, vide. Je m'en fichais. J'avais l'impression qu'elle jugeait mon travail a distance. Était-ce vraiment professionnel ? Ou ne voulait-elle pas avouer que j’étais plutôt doué ? Elle s’approcha vers moi sans faire de bruit comme si elle dansait. Elle prit la plaque avec les plantes et se dirigea vers la véranda où tout avait commencé. Elle les déposa, les recouvrant d'une sorte d'engrais puis les arrosa.

‘’ Avoir la prétention de dire haut et fort d’aimer les fleurs, et ne pas reconnaître ses gestes comme important, je ne pense pas non, que vous aimez à ce point les fleurs....''

Et voilà encore ces morales, elle commençait a me saouler. Comment pouvait-elle me juger ainsi sa me connaître vraiment. Cela me dépassait. J'avais tout ignorer jusqu'au dernier mot. Elle pouvait pas savoir a quel point je n'aimais pas qu'on me critique autant. Et la elle ne cessait pas de le faire comme pour enfoncer le couteau on dirait. Oh et puis zut je m'en fichais. Si j'avais choisi de lui faire confiance et de travailler pour elle ce n’était pas pour ce genre de travail un point c'est tout ! Aucun tact, on voit bien que c’était la première fois qu'elle supportais quelqu'un d'autre qu'elle dans son chez elle. J'avais envie de lui rappeler les bonnes manières, mais la tuer sera un trop beau cadeau pour elle, j'en étais sur. Et puis je refusais de tuer une personne qui partageait ma passion pour les fleurs. Personne n'as jamais comprit mon obsession pour les fleurs... Elle, elle pouvait me comprendre.... Oula. Les fleurs commençait a me faire dire n'importe quoi. Il es vrai que j'ai appris beaucoup de choses mais je pourrais en apprendre dans ce labo aussi non ? Et pourquoi ne pas lui laisser une chance de reconnaître ces talents ? Parce qu'elle ne pouvait pas assumer que la nature pouvait nous apprendre des choses.

‘’ Votre savoir a des limites Mlle. Certes votre vécues dans la nature vous a permis de connaitre la surface de ce que vous appelez la nature, mais vous n’avez rien compris de ce qu’il se passe en souterrains....''

Qu'est ce que je disais. Toujours a vouloir étalé son savoir... Je soupirai encore en évitant d'entendre la fin de ces phrases. Comment pouvait elle me considérer ainsi alors que c'est grâce a un grain de pollen que j'avais sur moi qu'elle a pu finir …. sa potion ? Si je n’étais pas arrivée avec ce grain l'aurait-elle réussi ? La science a besoin de la nature tout autant que la nature a besoin de la science. Et vue comment elle travaille j'aurais pu croire qu'elle l'est compris. Mais sa se voyait que non, j'avais l'impression qu'elle me rabaissait que la nature ne pouvait m'apprendre ce qu'elle savait déjà...Et pourtant...Je savais ou trouver ce truc qu'elle appelle engrais et naturellement qui plus est. Mais non... selon elle la nature n'a pas son importance. Je devais lui montrer le contraire sinon elle me continuera a me rabaisser, mais comment? Elle passa devant moi allant vers son hamac.

‘’ Avez-vous faim ?’’

ENFIN. Je commençais a me demander si elle passerais sa vie a me critiquer. Enfin une question sencer et utile. Surtout que selon mon estomac, c’était l'heure de manger. Mais je devrais aller chasser pour manger convenablement parce que vue la minceur de cette Dame , Il y avait rien a manger chez elle. Une idée me traversa soudain, j'avais trouver le moyen de lui prouver que je n’étais pas une personne inculte qui ne connaissait pas les souterrains de ce monde.

''Oui en effet, mais je ne crois pas que je mangerais avec vous. Vu votre silhouette de guêpe, vous mangez que dalle. Hors moi j'ai un appétit vorace et j'aime chasser le sanglier.''

Je souriais j'adorais la taquiner. Je crois  bien que sa allais devenir mon passe temps. Je m'approchais de ce hamac qu'elle semblait chérir.

''Donc je vais aller chasser dehors dans la foret au alentour de chez vous. Et …. vous m'accompagnez Dame Juliette. Car j'aimerais vous prouver que la science a tout autant besoin de la connaissance de la nature que la nature a besoin de la connaissance de la science. Si vous voulez que j'accepte votre doctrine, acceptez déjà la mienne.''

Je n'avais pas trop envie de risquer sa vie dans la foret mais c'était la seule idée qui m’étais venue a l'esprit. Je la prise dans mes bras comme une petite enfant, elle était vraiment légère...A ce demander ce qu'elle mangeait. Et je commença à courir, ce poids léger dans mes bras, en moins de cinq minutes j'avais retrouver l'endroit où, le grain de sa potion avait pu atterrir sur moi. Je la déposa, cherchant du regard si il y avait assez de choses dans les parages pour lui montrer que je n’étais pas inculte. Je vie la plante que j'avais du replanter ici,elle recommençais déjà à grandir, le fumier que j'avais fais aussi était pas loin.... J’espère qu'elle comprendrais que je n’étais pas une bonne a rien. En attendant je partie chasser mon sanglier en espérant qu'il ne serait pas dure a attraper ou que Juliette n'avait pas fait trop de bruit.

''Donc je vais aller chasser dehors dans la forêt aux alentours de chez vous. Et …. Vous m'accompagnez Dame Juliette. Car j'aimerais vous prouver que la science a tout autant besoin de la connaissance de la nature que la nature a besoin de la connaissance de la science. Si vous voulez que j'accepte votre doctrine, acceptez déjà la mienne.''

Rien qu’à entendre ses mots j’avais envie de la mettre dehors, je ne sais vraiment pas ce qui m’a pris, elle vient la, entre chez moi, me réclamant des choses qu’elle ne comprend pas, pour au final me montrer ce qu’elle sait faire dehors dans la nature. Si elle sait si bien si prendre, pourquoi venir me demander de lui apprendre des choses ? Je ne comprends pas son but… Ah ! Mais que fait-elle ? Elle me prend dans ses bras ! On ne me touche pas ! Je ne supporte pas qu’on me touche ! Et maintenant que fait-elle ? Elle se met à courir… Décidément ! Je me retient, et m’agrippe a elle, cherchant comme un point de contrôle pour ne pas perdre l’équilibre, et la faire tomber si je bouge trop.

Au bout d’un petit moment elle s’arrête me posant à terre, je repris pieds, c’est vrai j’avais envie de hurler, mais je  elle serait surement heureuse de m’avoir taquiné, donc je me retiens de faire la moindre remarque, pour ne pas lui donner cette victoire. Pourquoi m’amener en forêt ? Pour me montrer qu’elle n’est pas idiote ? Je ne l’ai jamais pensé, je ne comprends pas pourquoi me faire sortir de mon laboratoire !

Je la  vois regarder autour d’elle, observer des plantes, je vois aussi un tas de fumier, hum, c’est la base, celui qui ne sais pas faire ça, ne peux survivre en lieux hostile. C’est pour ça qu’elle m’a porté jusqu’ici ? Pour me montrer qu’elle sait faire des trucs ? Super ! Moi j’ai du boulot et autre chose à faire que de papillonner dans une forêt ! Je pousse un long soupir, ôtant mes lunettes pour les nettoyer et les ranger. Des lunettes ? Oui j’en porte, enfin c’est juste pour reposer mes yeux lorsque je suis dans mon laboratoire ! Sinon j’ai une très bonne vue ! Bref.

Je regarde autour de moi, elle semble être partie, chasser je suppose, donc elle a décidé de me montrer sa et me laisser en plan ? Bien soit, moi aussi je peux tout aussi chasser. Je me déplace dans la forêt et mon poids plume est une aide pour me déplacer, je ne fais presque pas de bruit. Au loin une biche, de bon gabarit. Je lance une seringue avec agilité, quelque seconde plus tard elle est à terre; morte.

Evidemment avec la dose que je lui ai mis, la pauvre, enfin grâce à ce poison fait par mes soins, il ne laisse pas de trace et donc on pourra manger sa chair, sans effet secondaire. Oui moi aussi je sais vivre dehors, moi aussi j’ai vécue dans la jungle. Pendant plus de cinq ans, a vivre dehors, sous la menace constante, je n’ai pas toujours vécue ici, dans mon laboratoire.
Je me dirige vers la biche la regardant avant de faire une ancienne prière lui retirant la seringue pour la ranger. Je m’assois à côté d’elle, regardant autour de moi. Ce silence, les feuilles se balançant au grès du vent, c’est si reposant si calme. Puis je sors mon couteau avant de vider le cadavre devant moi. Peur du sang ? Certes ne n’aime pas vraiment ça, la sève est plus agréable à regarder, à sentir aussi.

Je coupe des morceaux, toujours en murmurant une prière. Pas à un dieu, je n’y crois pas, mais plus à la nature, pour la remercie pour ce cadeau. Une fois le travail fait, j’attrape de grande feuille dans lequel j’emballe la viande, puis je rejoins l’endroit où ma déposer l’autre tigresse, les bras et la chemise pleine de sang, oh… ça va être délicat à laver… Tant pis, j’en commanderais d’autre. Je me demande comment je pourrais faire cette biche ? Mariner cela pourrais être délicieux, je me tiens l’estomac, je crois que la dépecer ma donner faim.

J’espère que tout va bien pour cette hybride a tendance rebelle. J’aimerais qu’elle comprenne que je ne la prends pas pour une incapable, mais qu’elle comprenne que je ne veux pas qu’elle se blesse, par la faute de mes lotions ou autre. Juste qu’elle doit comprendre que si j’agis ainsi, c’est plus par instinct maternelle, ou quelque chose comme ça !

[ HRP : désolée j'ai pris mon temps pour répondre... M'enfin je vais me rattraper ! ]

La chose que j'aimais le plus quand je chassais, c'est que je pouvais me laissez aller, le vent, mon instinct animal. Tout. J'étais partie laissant la botaniste dans son milieu en espérant qu'elle ne se mettrais pas dans une situation compliquée. Je pista tout de suite ce que j'étais venue faire ici. Un sanglier. Je ne savais pas pourquoi mais la discussion avec cette Juliette m'avait vraiment ouvert l'appétit. Peut être que finalement, ce n'étais qu'une excuse pour sortir … ? Et qu'en faite je ne doutais pas qu'elle respecte mon travail ? Peut être avais-je même envie de devenir son assistante et d’obéir a ces ordres ? A force de réfléchir, je ne m'étais pas rendue compte que je m’étais rapprocher de ce que je désirais. Il étais là, devant moi, entrain de chercher des truffes ? Il n'avait même pas l'air de se soucier du danger qui aurait pu exister. Sans grand problème je sauta sur lui et planta mes crocs dans son cou, le vidant de son sang. Je le dépiéca commençant a profiter du goût de la viande crue fondre dans ma bouche. Je finis de nettoyer la bête, je lâcha ces entrailles loin de moi, pour que l'odeur ne me dégoûte pas de mon succulent repas. Je m'y attaque et fut bien vite rassasiée. Je laissa le reste pour les animaux qui traîneraient après moi et qui auraient sans doute faim.

Je me leva et m'étira un peu, repue, je me sentais apte à discuter avec Dame Juliette. Ah.. Je l'avais déjà oublié... Peut être devrais-je lui apporter un dessert pour me faire pardonner ? Vue l'odeur de sanglier et de sang que je sentais je devrais peut être passer un peu d'eau sur mes vêtements ou au moins laver mes mains et ma bouche ? Oh et puis... je m'en battais les melons des bonne manière et de mon hygiène non ? Je fis quand même l'effort d'essuyer le sang sous la mousse des arbres. L'odeur du sang se propagerait bien vite, de quoi attirer pas mal d'animaux affamés et entendre une bagarre. Je souriais d'avance a cette merveilleuse idée. Je secoua la tête revenant à la réalité et à mon problème de départ... J'avais abandonnée une botaniste dans une foret ou les animaux bouffent tout ce qu'ils trouvent... Et puis moi j'avais manger... mais elle? Aaaargh. Voila pourquoi je ne pourrais jamais être un maître et avoir un hybride... Parce que je n’étais pas capable de penser a autre choses que moi même.. Enfin cela ne ma jamais dérangée avant, mais peut être que cela allait déranger Juliette ? Au pire je m'en fichais non ? Je soupira longuement me décidant a aller chercher le dessert pour elle et pour moi aussi quand même. Je réfléchissais à quelque chose que j'aimais bien manger comme dessert après un bon gibier quand j'étais plus jeune. Il y avait les fraises...Les raisins... Les bananes recouvertes de sirop d'érable... Les pamplemousses recouvertes du sucre que je voulais en douce de temps a autre...

C’était pas sur que je trouve des vignes dans cette forêt...Je soupira longuement. J'allais devoir me contenter des fraises et des bananes recouvertes de sirop d’érable. Je pris la première plante que je trouvais et je la tressait pour en faire un gros bol, une fois fait, il me restait plus qu'a faire la cueillette. Je partis alors, à la recherche de fraises et de bananes, laissant mon odorat me guider. Je trouva bien vite un fraisier, dont je récupérais les fruits jusqu'au dernier. Le fraisier une fois dénudée, je me releva et laisse mon nez vagabonder à la recherche de bananes. Lorsque je sentis l'odeur de ma botaniste et une odeur de sang. Je courus, le panier en main, et me rua vers l'endroit en question qui n'étais pas loin du campement...

Arrivée a l'endroit en question, je vis les restes d'une biche, et je sentis l'odeur de Juliette fortement. Essayait-elle de sauver la biche d'un animal féroce ? Heureusement que je lui avait dis de faire attention ! Voila que j'allais devoir porter la mort de quelqu'un sur le dos. J'observais la biche, on aurait dis que quelqu'un est coupé délicatement un morceau de chair dedans... C'est pas un travail fait avec des griffes ou des croc.. on dirait un travail au couteau fait par un homme... ? Mais je ne sentais que l'odeur de Juliette.... Ce pourrait-il que .. ? J’explosai de rire. Un rire sincère me surprenant un peu puis le vent m'apporta au nez la douce odeur de celle que je cherchais. Elle étais là ou je l'avais déposer. Je me calma un peu prenant une mine sévère pour la réprimander, le panier toujours en main et je me dirigeais lentement vers mon endroit à moi dans cette foret.

Je souris un peu amusée en sentant fortement l'odeur de la biche sur Juliette. J'arrivais dos à elle restant le plus silencieuse que possible. Cette femme m'impressionnait je devait l'avouer et peut être lui donner une chance … ?

''Si on m'avait dis un jour que les botanistes savait chasser....Dame Juliette...''

''Si on m'avait dit un jour que les botanistes savait chasser....Dame Juliette...''

Je l’avais sentir venir, bien que j’ai eu un petit sursaut de frayeur, pas bien grave, mais comme je ne suis pas habituée à la présence des autres aussi prêt, je pu presque sentir son souffle dans mon dos, j’ai dit presque.

« Eh bien, une femme doit  garder ses secrets, sinon comment surprendre au fur et à mesure du temps ? »

Je me retourner pour lui faire face, en la regardant je pus lire une petite flamme qui me dit secrètement que je remonte dans son estime. Ce qui me laisser à sourire, un vrai sourire, pas un sourire forcée comme j’ai pris l’habitude de faire quand je suis au travail avec les autres scientifiques. Je pris ma chasse en main, il faudrait la mettre au frais assez rapidement.  Je regarde l’hybride, elle avait elle aussi quelque chose en main, des fruits ?

«  Je pense que nous avons fait un mauvais départ, je vous propose de tout mettre au clair chez moi, J’ai toujours vécue seule, alors je dois avouer que votre présence ma quelque peu chambouler. Reprenons du début, J’aimerais savoir comment vous vous êtes retrouvé à vivre dehors ? Enfin si cela ne vous gêne pas. »

Il est vrai que je voulais savoir plus sur elle, peut être pourrais-t-elle vraiment m’aider, peut-être pas pour les sérums, mais surement sur mes plantes ! Au vue de sa vitesse elle pourrait m’être utile. Non ce n’est pas une hybride comme les autres, elle n’a pas être utile, j’aimerais m’en faire une amie. Un peu de compagnie humaine ne me ferait sans doute pas de mal.

« Allons chez moi, mettre tout cette récolte au frais, et en faire un bon repas, cela fait tellement longtemps que je n’ai pas manger un bon repas. »

Le dernier repas devait remonter à l’année dernière, lors d’une conférence sur une plante rare venant d’un tout autre pays. Lors de ce gala nous devions être tous présentable, et donc me piquer le bras en public n’était pas au goût de mon supérieur. J’ai dut donc manger comme toute personne normalement constituer. Depuis je me nourris de tisane venant de ma production et quelque fruit récolter, sinon je me pique le bras de nutriment.  D’ailleurs je suis bien contente d’avoir trouvé la pommade pour effacer les marques de piqure, sinon on me prendrait pour une droguée !  J’invitai donc la tigresse, comment s’appeler-t-elle déjà ?

« Dite moi, je ne connais pas votre prénom Mademoiselle. »

Pour partir sur de bonne base, je pense que savoir le prénom de son interlocuteur  est un bon principe.

« Eh bien, une femme doit  garder ses secrets, sinon comment surprendre au fur et à mesure du temps ? » 

Elle se retourna, me regardant dans les yeux. Je la regardais aussi, un sourire fière aux lèvres qui s'étirait sans doute a mes yeux. Soudainement j'avais envie d'apprendre a connaître cette femme qui finalement n'étais qu'une étrangère a mes yeux. Elle me sourit a son tour, sûrement était elle heureuse de m'avoir impressionner.  

''En effet, sinon le goût devient vite fade, et cela devient vite ennuyant, et finalement nous finissons par ce lasser de cette personne.''

Je la vis prendre le morceau de viande en main, à mon grand avis, elle savait peut-être chasser mais ne mangeait pas la viande crue. Je retiens un rire en l'observant. C'était déjà plutôt bien qu'elle sache chasser. Elle regarda mon panier, je souriais en espérant qu'elle apprécierait quand même les fraises .

«  Je pense que nous avons fait un mauvais départ, je vous propose de tout mettre au clair chez moi, J’ai toujours vécue seule, alors je dois avouer que votre présence ma quelque peu chambouler. Reprenons du début, J’aimerais savoir comment vous vous êtes retrouvé à vivre dehors ? Enfin si cela ne vous gêne pas. » 

Une ombre passa sur mon visage, avant de disparaître aussitôt. Je n'avais rien a lui cacher, de toute façon nous allions devoir apprendre à ce connaître si nous voulions que ça fonctionne entre nous. Je lâcha un long soupir avant de la regarder.

''Vous ne voulez pas savoir mes grands secrets sous un toit a l’abri de quiconque qui pourrais nous déranger ?''

Je crois qu'elle comprit que les arbres pouvaient parfois avoir des oreilles que je ne voulais pas inviter dans mon passée.

« Allons chez moi, mettre tout cette récolte au frais, et en faire un bon repas, cela fait tellement longtemps que je n’ai pas manger un bon repas. » 

Je souriais à l'idée de manger encore, mon sanglier ne m'avait pas repus. Peut être que je pourrais faire quelque chose  pour que nous mangions ? Oh non je savais pas faire de la biche... enfin si mais je connaissait de meilleur cuisinier, qui ferait mieux. Le plus important de toute façon était de ce lier d'amitié, avec elle. Ah oui bien sur que non je ne la voulait pas en patron, mais en tant qu'amie. Après tout, je travaillais en bénévolat et peut être avec le sourire ? En tout cas pour l'instant je ne pouvais oublier cette petite partie de chasse. Finalement, j'avais été bien contente de l'y avoir emmener. Moi qui comptais affronter nos deux cotés opposée... Il se trouve que nous avons un coté en commun. C'est donc à moi de développé celui qui me manque.... Et pour cela autant lui tendre la main et lui faire confiance.

« Dite moi, je ne connais pas votre prénom Mademoiselle. »

Ah oui c'est vrai, je ne me suis jamais présentée a elle. Je rigola un peu, voyant un peu le coté comique de la situation. Elle me faisait déjà travailler, tout à l'heure là sans connaître mon prénom. Je rigolais toujours avant de me calmer un peu pour lui répondre.

''Flya, la tigresse à votre service, Dame Juliette.''

Une petite révérence en rigolant pour agrémenter tout ça et voilà que j'étais partie pour un autre fou rire.
Une fois calmer je la regardais un peu plus sérieusement prenant le chemin qui ramenait chez elle, suivant l'odeur des fleurs.

''J'ai remarqué que vous n'aimiez pas être portée donc nous allons marcher pour le retour. Cela nous laissera le temps d'apprendre a mieux nous connaître pour mieux travailler ensemble. Enfin si vous êtes d'accord. Sinon moi sa ne me dérange pas de vous porter encore ~''

''Flya, la tigresse à votre service, Dame Juliette. J'ai remarqué que vous n'aimiez pas être portée donc nous allons marcher pour le retour. Cela nous laissera le temps d'apprendre a mieux nous connaître pour mieux travailler ensemble. Enfin si vous êtes d'accord. Sinon moi sa ne me dérange pas de vous porter encore ''

Sa petite courbette me fit rire, c’était inutile mais, un geste pleine d’attention. Non je n’aime pas être porté, et un peu de marche nous fera que du bien pour se libérée d’une pression. J’aime marcher, souvent je pars en ballade, me libérant de tout pression, parfois pleurant silencieusement, avouant alors mes craintes a la nature.

« Non je n’aime pas trop le contact humain, cela me répugne un peu. Alors quoi dire durant cette ballade ? Humm... Je suis botaniste depuis mon diplôme à l’âge de  11 ans. Grande renommée dans le milieu, souvent appelé pour résoudre des problèmes. Je... n’ai pas de parent. Du moins ils ont été effacés de ma mémoire. »

Je hausse les épaules à la fin de ma phrase, portant toujours la viande dans ma main, sentait le sang sécher et lâche son odeur désagréable. Bon en rentrant je brule mes vêtements et je prends une douche, je ne tiens pas à avoir une infection. Bien que le sang ne me gêne pas plus que ça.

« J’ai souvent apporté des soins aux hybrides et j’ai aménagée ici, il n’a pas très longtemps. Bien que je ne sorte jamais de mon laboratoire, je connais l’environnement et la flore locale. Très important pour travailler dans mon milieu. Je ne cherche pas à me faire du profil, ou une grande renommée, juste à comprendre les plantes et à en faire des sérums avec, je suis capable de crée ce que j’ai envie. »

Je vois ma maison au loin, sentant la fraicheur de l’eau sur ma peau, je n’ai jamais accordé beaucoup d’attention à moi, mais je dois avouer qu’une douche fait toujours du bien que la douche reste un de mes moments favori ! La douceur du gel douche qui mousse au frottement, et l’odeur agréable qu’il s’en dégage, un vrai bonheur.

Je suivais cette odeur qui m'avait attirée la première fois sur cette terre inconnue, et qui m'avais fait rencontrée cette femme incroyable. Si ce n'était le destin qui m'avait fait la rencontrée je me demande ce que cela pourrait être d'autre... D'ailleurs qui a dis que j'aimais ma solitude ? Peut-être au fond, j'avais rencontré cette botaniste pour fuir cette solitude ? Ou peut-être que non ?

« Non je n’aime pas trop le contact humain, cela me répugne un peu. Alors quoi dire durant cette ballade ? Humm... Je suis botaniste depuis mon diplôme à l’âge de  11 ans. Grande renommée dans le milieu, souvent appelé pour résoudre des problèmes. Je... n’ai pas de parent. Du moins ils ont été effacés de ma mémoire. »

Je continuais à marcher essayant de comprendre tout ce qu'elle me disait. C'était quoi un diplôme ? Une grande renommée ? Trop de mot compliqué et scientifique pour moi.... Je ne pouvais que hocher la tête pour fait style que j'avais tout compris. Ce qui n'était du tout pas le cas. Elle avait perdue ces parents ? Je me sentais moins seule soudainement....Je les avait pas perdus... Non.. Juste.. Je secouais la tête. Les fleurs ressuscitaient trop de sentiments a mon goût, des sentiments comme... la tristesse ?  L'odeur du sang me ramenait à la réalité au moins. L'odeur semblait ne plus venir de la viande que Juliette avait dans ces bras, mais de ces vêtements et la grimace que je voyait sur son visage finissait de me montrer que contrairement à moi cette odeur ne lui plaisait pas.

"J’ai souvent apporté des soins aux hybrides et j’ai aménagée ici, il n’a pas très longtemps. Bien que je ne sorte jamais de mon laboratoire, je connais l’environnement et la flore locale. Très important pour travailler dans mon milieu. Je ne cherche pas à me faire du profil, ou une grande renommée, juste à comprendre les plantes et à en faire des sérums avec, je suis capable de crée ce que j’ai envie."  

Je voyais sa maison déjà au loin, continuant d'en apprendre un peu plus sur elle. La maison n'étais plus loin, je pourrais me livrer à mon tour. L'entendre se confier a moi me rendais... heureuse ? Cela signifiait qu'elle me faisait confiance non ?

''Pourquoi aider les hybrides surtout des rebelles comme moi ? Pourquoi étudier les fleurs et pas les roches par exemples ?''

Ces questions étaient sortie de ma bouche sans le vouloir. Pourquoi avoir poser ces question... Je ne remettais pas en doute sa confiance ainsi ?  Ce n'étais vraiment pas dans mon habitude de penser à quelqu'un d'autre que moi.Je secouais la tête avant de me rendre compte de que quelque chose. Je nous faisais presser le pas aussitôt, en sentant que tout ce sang avait attiré des prédateurs. Pour ne pas l’effrayer je l’écoutais en silence, me concentrant a peine sur ce qu'elle disait pour faire attention a tout ce qui se passait autour de nous dans le silence.
Quand nous rentrerions dans sa maison, je lui rappellerais de brûler ce vêtement pour pas que de bêtes viennent chez elle et moi je prendrais un bon bain....Hum et nous mangerions des fraises... Hum.. Je crois que je finirais par m'habituer a tout ça...

J'écoutais encore cette douce botaniste, qui allait devenir mon amie ? Et à la fin de tout ces explications nous arrivions devant la maison, devant cette maison où tout avait commencer.

''Pourquoi aider les hybrides surtout des rebelles comme moi ? Pourquoi étudier les fleurs et pas les roches par exemples ?''

Toutes ses questions soulevées en moi, une vague de passé que je préférais oublier… Mon père, la mort de ma mère, mon frère, les mots prononcer a une enfant perdue, ma vente auprès d’un homme, ma confiance trahit, la violence de mon père qui malgré que je ne sois plus à lui venais quand mon acheteur n’était pas là…

Je me frotter les yeux, de mes mains ensanglantées dont le sang était à présent sec, j’imagine que les plus grands carnassiers l’avais senti et cela m’importe peu, a vrai dire ma vie n’a aucune valeur à mes yeux. Si je dois mourir aujourd’hui, c’est que le destin la tout simplement choisit.

«  Pourquoi les fleurs et pas les rochers ? C’est une bonne question, j’imagine parce qu’elle vit, elle bouge, qu’elle ressente le moindre changement, que certaine ont besoin qu’on leur parle pour pouvoir grandir et fleurir. Certaine ayant besoin d’amour pour renaître, besoin de soin, mais surtout parce qu’elle ne parle pas,  ne trahissant ainsi, jamais aucun secret que je pourrais leur confier au grès du vent. J’imagine, que pour moi les fleurs, représente plus qu’une simple décoration pour fenêtre, je les considéré comme des êtres supérieurs, pour moi les plantes, sont comme des dieux pour certain. »

Je pousse la porte de la maison, me déshabillant, le regard un peu vide, me rappelant de mes cicatrice passer, bien qu’avec le temps j’ai appris a concocté des remèdes pour les effacer, bien que certaine refuse de partir, je ne sais la cause, est-ce à cause de moi, ou bien pour me rappeler que je ne suis une moins que rien. Je mets les vêtements dans un panier a lingue, laissant derrière moi Flya, puis je monte dans ma chambre en m’excusant un bref instant, me lavant le corps de ce sang, attrapant d’autre vêtement, propre cette fois.  
Je retourne au salon, ou je rejoins la tigresse, attrapant la viande prenant soin de la ranger au frigo.

«  Pourquoi je soigne les hybrides rebelles ? Certainement pour donner une chance a tout le monde, se faire battre et vivre une vie pénible sans avoir personne sur qui compter, et encore plus douloureux que de se faire battre simplement pour le plaisir d’autrui. Je pense que si je soigne les autres, c’est aussi pour me donner une conscience, pour voir du monde, vivre en quelque sorte. »

Je dois passer pour la fille la plus dépressive au monde avec de telles paroles, mais à vrai dire, cela m’est complètement égale.

«  Vous pouvez utiliser la salle de bain si vous en avez besoin, elle est au fond du couloir a votre droite. »

J'avais l'impression qu'il s'était écouler un siècle depuis ma rencontre avec cette Dame Juliette, et pourtant sa ne remontait que ce matin. Je devais lui accorder qu'elle n'avait cesser de m'impressionner durant cette journée et qu'elle méritais que je fasse plus attention a elle. Elle avait su gagner mon respect et peut être ma confiance ? Alors qu'au début nous voulions nous entre tuer, maintenant nous voulions travailler ensemble ? Ce monde est décidément fou, et bizarrement j'aime ça. Peut être que tout ça me changera de cette solitude habituelle...

Je devais l'avouer je ne l'avait pas écouter entièrement sur ce qu'elle me racontais mais il me semblait bien que c'était avec une pointe de tristesse qu'elle le disait. Malgré mon attention pour notre sécurité, je m’inquiétais aussi de se lourd fardeau qu'elle portais sur ces épaules... ? Les fleurs et leur parfum aurait déterrer en moi un peu de compassion ? Ou bien juste de la gentillesse ? Je secouais la tête en soupirant, penser à d'autre chose me rendait folle. Peut être devais-je me concentrer sur ce que je ferais après cette journée, ce que je ferais d'elle ? Est-ce que j'avais réellement envie de devenir son assistante ? Si ce n'étais pas le cas je n'aurais sans doute pas accourus pour venir la sauver.

Je n'avais plus besoin de m'inquiéter des carnivores, elle venait de pousser la porte de sa maison. Je pris un instant avant de rentrer vérifiant s'il n'y avait vraiment aucune bête dans les parages puis je rentrais. Je vis les vêtements de Juliette a terre, je la sentis plus que je ne la vit monter se doucher, en e laissant dans le salon, en s'excusant.
Le temps que je finisse ma réflexion, elle était déjà redescendu avec des vêtements propres et la peau toute fraîche qui sentait ? Des fleurs ? Encore ?
Je la voit prendre la viande que j'avais moi même oublié de ranger... Mais je e connaissait pas sa maison, je ne pouvais savoir où elle allait le ranger. Je le vis se diriger vers le truc blanc qui fait du vent. D’après ce qu'elle avait comprit, cela s'apellait un réfrigérateur, pour garder les choses au frais. Je l'entendis s'adresser a moi.

« Pourquoi je soigne les hybrides rebelles ? Certainement pour donner une chance a tout le monde, se faire battre et vivre une vie pénible sans avoir personne sur qui compter, et encore plus douloureux que de se faire battre simplement pour le plaisir d’autrui. Je pense que si je soigne les autres, c’est aussi pour me donner une conscience, pour voir du monde, vivre en quelque sorte. »

Je la regardais un peu étonnée par cette révélation... C'étais en quelque sorte une super héroïne non ? Je me retenais de rire. Contrairement a ce que je pensait, elle n'était pas égoïste, on aurait même dis que le poids de son passé l'avait forgé. Elle semblait parler en connaisseuse... Je ne pouvais pas lui dire de m’ouvrir le livre sur sa vie, je devrais être patiente pour savoir tout ce qui c'est passée quand elle était petite pour que j'ai l’impression qu'elle porte le fardeau du monde sur ces épaules.

Je m'étira un moment avant de me rendre compte que je méritais un bon ben vue l'état de mon corps... Au moment ou je m’apprêtais a lui demander si elle avait des douche ou si je devais aller à ma rivière habituelle elle me répondit.

« Vous pouvez utiliser la salle de bain si vous en avez besoin, elle est au fond du couloir a votre droite. »

''On lit dans mes pensées maintenant ? Merci ''

Je lui souriant avant de me retourner vers le chemin qu'elle avait pris. Je suivis les indications pour arriver dans la salle de bain et une fois dedans, je me débarrassa de mes vêtements avec hâte et entra sous la douche.Je savais apprécier l'eau fraîche d'une douche couler sur mon corps. Il était rare que je me douche, généralement ma rivière me suffisait amplement. Je soupirais d'aise longuement, appréciant ce moment enlevant l'odeur du sang sur mon corps. Je sortis sous la douche mon corps encore tremper avant de me rendre compte que je n'avais pas d'autre vêtement.... Que faire ? Je sortis nue de la salle de bain, à la recherche de Juliette.

''La botaniste ? Vous êtes où ? Vous n'avez pas de vêtements pour moi ? ''

Je finis par la trouver dans le salon, je la regardais, du tout pas gênée par ma tenue en souriant face a sa réaction.

'' J'ai eu l'intelligence d'aller me doucher mais je n'ai pas penser a ce que je porterais ensuite. Puisque vous m'aviez dis ce matin de faire comme si c’était ma deuxième maison. Vous pouvez me dire ou trouver des vêtements ? Oh et puis zut je peux vous tutoyer ?''