Elle perdit connaissance dès qu'il la porta, dès qu'elle se sentit en sécurité. C'était assez ironique tout de même. C'était à cause de LUI si elle était dans cet état pourtant ! Et elle se sentait en sécurité... Mais la chaleur d'un corps, des bras autour de son pauvre corps meurtrie... Tout ça ne pouvait être que rassurant.
Mireille resta dans cet état jusqu'à son retour. Les glaçons, et l'aphrodisiaque ? Elle n'en avait rien ressentit ! Sa température avait un peu chuté, elle voyait mieux, ressentait à nouveau les choses, et surtout ses atroces frissons à son intimité ! Ah ! Qu'est-ce qu'elle pouvait hair ça ! Elle bougea un peu, enlevant la poches de son sexe, tremblant un peu, ne ressentant plus aucune douleur sur ses plaies, maintenant refermé, à peine visible grâce aux progrès de la science !

La petite neko bougea un peu, et le vit enfin, à la porte. Elle croisa son regard, encore un peu dans la vaps, et gémit légèrement, se cambrant, ses jambes très légèrement écartées, sentant un besoin inexprimable de se sentir prendre. De se sentir prendre par lui, et uniquement par lui. Elle gémit à nouveau, n'ayant plus toute sa tête à cause de la fièvre, et tandis un bras vers lui, murmurant à peine, ayant encore des difficultés à parler.

"Maître.... besoin.... vous... encore...."

Oui... Elle le réclamait. Lui. L'homme l'ayant prise de force de partout, l'homme l'ayant battu, fouetté jusqu'au sang et plus encore. L'homme qui l'avait acheté comme s'il avait acheté un yaourt ! Mais elle n'avait plus de douleur. Elle s'était mise en tête durant ces dernières secondes que ce n'était qu'un rêve, et rien d'autre... Elle avait besoin de lui. Elle avait envie de lui. Envie de le sentir maître d'elle, de se savoir aimé, indispensable à quelqu'un.
L'hybride tremblait maintenant de froid. Elle voulait qu'il la réchauffe de son corps, qu'il la rassure, qu'il la dorlote... qu'il se préoccupe d'elle comme un père se préoccupe de sa fille...

"Maître.... Venir... vous, moi... encore..."

Ou alors, peut-être qu'elle délirait dans sa fièvre, tout simplement.

La première chose que vit Raiko était son hybride allongée sur le dos, les jambes légèrement écartées. Elle semblait ne plus pouvoir résister à son maître, son corps était alors légèrement cambré et la jeune neko le suppliait de la prendre, et ça, il ne pouvait l’ignorer. Bien sûr, il n’allait pas accéder à sa requête si facilement, il faudrait qu’elle le mérite et pour cela Raiko avait pris des liens, avec lesquels il attacha la jeune néko avant de la plaquer contre le lit en caressant sa poitrine d’une main ferme :

— Que veux-tu précisément ? Je ne comprends pas…

C’était pour le kitsune un vrai régal que de la voir ainsi, il se mit alors à caresser son intimité de sa main libre, sans pour autant y faire entrer un seul doigt, avant d’ajouter :

— Voilà que tu aimes ça maintenant ? Dis-moi, c’est bien tremper par ici…

Il soupira, sentant son excitation à son comble, mais se retint, il éprouvait bien plus de plaisir ainsi et désormais il était sûr d’en faire ce qu’il voulait. Mireille lui appartenait, et ce pour toujours. Elle se cambrait toujours plus à ses caresses, mais il n’irait pas plus loin sans les paroles de son hybride. Il ne voulait plus lui laisser une seule chance. Selon lui il s’était montré clément avec elle jusqu’à présent, mais cela ne se reproduirait plus.

Pendant qu’il la caressait, il approcha sa bouche de son cou et le lui mordit tendrement :

— Tu vas répondre maintenant ?

Il avait réemployé toujours ce même ton qui ne voulait aucune réplique et c’est sur ces mots qu’il stoppa ses gestes, tenant son petit bouton entre deux doigts et jouant avec.

Elle en était ivre... Toutes ces sensations si délicieuses sur son corps si réceptif aux caresses de son Maître... S'en devenait une torture tant elle le désirait, tant elle le voulait... Mais non. Il ne faisait que la caresser, rendant son excitation plus présente que jamais. Et puis il reparla. Français, au désespoir de la pauvre créature qui ne comprenait strictement plus rien. A si, il ne comprenait pas, et hum... qu'il fallait qu'elle réponde.
Elle poussa un doux gémissement, fermant les yeux et se cambrant autant qu'elle le pu sous lui, Mireille le suppliait dans sa langue natale de l'aider, de l'aider à ne plus avoir toutes ces sensations. Elle se souvint alors d'avant d'entrer dans la cave.

"Aidez... moha, s'il vous plaît... Je.... avoir besoin de... tu ? Vous ? Envie.... vous. Maître."

Elle le regarda, continuant de le supplier du regard tant c'était insupportable pour elle. L'enfant ne comprenait pas ce qu'elle devait faire pour pouvoir ne plus rien ressentir de si pressant, voulant juste qu'il l'aide, lui faire plaisir également, se faire apprécier et aimer de son Maître dont elle avait besoin. Elle savait qu'elle ne pouvait pas vivre sans lui ! Elle ne savait rien faire, pas même faire cuire des pattes. Après tout, jamais dans sa vie elle n'en avait eut besoin, et aucun de ses maîtres ne le lui avait un jour demandé...
Mireille sentit ses lèvres sur son cou, et un frisson d'excitation et d'envie la parcoura dans l'intégralité de son corps, si ardent, prêt pour ce qu'il avait la veille sans qu'elle ne le sois réellement.

Raiko sourit en entendant ses paroles puis, il commença à se déshabiller devant elle avant d’aller chercher quelques-uns de ses accessoires, puis lorsqu’il revint, il commença par placer un œuf vibrant à hauteur de son petit bouton rose. Puis il s’approcha doucement de son visage afin de lui susurrer de douces paroles :

— Ton maître va s’occuper de toi, ne t’en fait pas… Si c’est mon membre que tu veux, je vais te prendre comme jamais, mais avant tu vas devoir obéir à certains ordres de ma part…

Il se leva ensuite et se plaça devant elle :

— Commence donc par t’occuper de moi avec ta bouche et ne t’avise pas de me mordre, sans quoi je te laisserais plusieurs jours seule, sans me voir…

Il savait que désormais elle comprend ce genre de phrase, et aussi, il savait qu’elle ne pouvait plus se passer de lui, après tout Raiko avait accepté de s’occuper d’elle, même s’il était violent, c’est lui qui la nourrissait et qui bientôt la laverait et ferait tout de manière à ce qu’elle dépende totalement de lui.

Raiko ne pouvait alors plus attendre et lui pinça le nez avant de le faire entrer dans sa bouche d’un coup de reins. Il prenait sa bouche, comme s’il avait pris son intimité et son membre devint alors plus épais lorsqu’il entra en contact avec la langue de l’hybride. Il sentait la chaleur de sa bouche envelopper son sexe et entama un doux va-et-vient dans sa bouche en augmentant les vibrations de l’œuf posé sur son intimité.

— Apprécies-tu ce traitement ? ~

Elle rougit en le voyant se déshabiller, et détourna le visage, assez gênée quand même, sentant un vertige la prendre soudainement. Elle ferma les yeux, s'endormissant, ne se réveillant que au moment où il posa l'oeuf sur son sexe et quand il le mit en route, Mireille eut un petit sursaut et gémit à peine, le regardant, ne comprenant pas un seul mot de ce qu'il disait.

Lorsque soudain, elle sentit son nez être bouché, et sa bouche forcé. D'abord, elle ne comprit pas, puis peu à peu on esprit s'éclaircit juste assez pour lui permettre de comprendre ça, et sourit un peu, pouvant de nouveau respirer, écartant un peu ses dents pour ne pas qu'elles touchent la verge gorgée de sang. Elle gémissait un peu, surtout lorsqu'il augmenta les vibrations de l'objet bien étrange !

Rapidement d'ailleurs, elle sentit la jouissance arriver, bien qu'elle ne sache pas ce que c'était, gémissant plus encore, haletant, ayant du mal à respirer avec la queue de son Maître dans sa bouche. Brusquement, elle le sentit se retirer, et enlevé l'oeuf, alors qu'elle poussait un gémissement de protestation, ayant préféré qu'il continue. Alors elle espéra qu'il allait la prendre, et ce fut pour cette raison qu'elle arqua son petit corps, écartant par la même occasion ses jambes si maigres, le suppliant du regard pour qu'il aille plus loin.

Lorsqu'il la vit ainsi dans le lit Raiko n'avait qu'une envie sauté sur l'hybride et la prendre sauvagement, mais il se retint encore un peu car il voulais attendre vraiment le tout dernier moment pour faire plaisir a l'hybride. Lorsqu'elle émit un gémissement de protestation le Kisune la prit par les cheveux :

-Je ne te prendrais que lorsque j'en ressentirai le besoin, alors inutile de protester sale chienne... Mais je te remercie d'écarter ainsi tes jambes...

Il prit deux accessoires qu'il avait emmener et lui mit le bâillon dans la bouche. Pour ce qui est de l'autre accessoire, il s'agissait d'une sorte de collier sur lequel était accrocher une série de petites perles destiné à être placé dans le rectum de la jeune hybride qui allait découvrir une nouvelle forme de pratique sexuelle. Il la retourna donc et fit entrer une à une les boules dans son petit trou, sentant au fur et a mesure sa protégée tressaillir. Lorsqu'elle furent toute entrer il caressa son intimité d'une main ferme puis, sans prévenir le moins du monde sa protégée, il retira d'un coup sec l'intégralité de ce fil de perle tout en jouant avec son petit bouton rose. il se pencha alors vers l'oreille de son hybride :

- Désolé, j'espère que tu n'as pas eu trop mal? Mais... Es-tu prête ma Petite chatte en chaleur, pour accueillir ton maître?...

Tout en disant cela, il avait commencé à frotter son membre contre la vulve déjà dégoulinante de Mireille.

La pauvre fille aurait voulut lui demander pardon, mais cela lui fut impossible, car il l'avait déjà baillonné. Les larmes aux yeux, Mireille lui lança un regard plein de désespoir, plein d'envie, de soumission, et de tas d'autres choses innommables. Elle regarda le fil de perle, avec curiosité, se demandant à quoi cela pouvait bien servir. A son plus grand malheur, elle le su très rapidement ! Elle gémit de douleur, des larmes coulant le long de ses si douces joues pâles, entourées de ses cheveux blonds. A chaque boule, elle se crispait d'avantage, souffrant à chaque fois plus, ses petites mains crispées sur le draps du lit, n'en pouvant plus, n'aimant absolument pas ça, pas quand il souillait son pauvre petit derrière qui n'avait rien demandé !
Le baillon étouffa son cri de douleur lorsqu'il avait retiré la chose de son cul, tandis que les larmes coulèrent plus encore, ayant maintenant assez mal, son envie montant pourtant, alors que chaque chose était plus atroce que la précédente ! Peut-être parce qu'il excitait son intimité... Elle ne savait pas, elle n'arrivait plus du tout à réfléchir maintenant. Depuis le début, à cause de la fièvre, à cause de la douleur, à cause de l'envie énorme, insoutenable.

Elle gémit à travers son baillon humide à cause de sa bave, qui avait réussit à couler en un petit filet au coin de sa bouche. Un son atténué se fit entendre, elle l'appelait, lui demandant de continuer, mais en allemand. Elle bougea un peu son bassin pour se frotter plus encore à lui, humide, son souffle difficile.

Mireille ne comprenait absolument pas, pourquoi elle avait tant envie de lui, tant besoin de cet homme si méchant avec elle, elle qui ne lui avait rien fait et qui avait été gentille, et obéissante... Son corps était loin d'être logique. Après tout, il la violenté, la violé, et ses envies de se faire prendre par lui, était multiplié, comme si elle aimait se sentir soumise, être à la merci de son Maître, lui devoir la Vie ou humiliée...