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MessageSujet: "Trouver, c'est garder." PV Myr~ "Trouver, c'est garder." PV Myr~ Icon_minitimeJeu 7 Aoû - 0:13
Invité
Deux Maîtres, deux essais foireux. Mireille n'en pouvait plus, et avait décider de partir, de le laisser seul, et d'être... libre ? Non... Faut pas déconner non plus, elle ne pouvait pas être libre. Non seulement parce que c'était impossible pour elle de survivre seule, mais aussi parce qu'elle avait peur de la solitude. A cause surtout de Raiko, son premier maître, elle n'était plus vraiment indépendante, et avait peur de la solitude, elle avait besoin d'une présence constante presque, qui puisse la guider et lui dire quoi faire afin qu'elle puisse servir à quelque chose. Ou du moins, essayer.

Elle était déjà loin de chez Leto. Elle était à l'opposé de la ville même, adieu quartier pourrie, maintenant, elle était dans le quartier chic. Ce qui était bien ici, c'était que au moins, les gens n'étaient pas mauvais. Du moins, c'était ce qu'elle croyait. Les fils de riches, ouais, ces mecs-là qui pensent péter plus haut que les autres, qui n'utilisent les hybrides que comme des objets, ceux-là même habitaient ici, et un groupe de quatre gamins d'une vingtaine années, en voyant cette hybride si mal en point, ne purent résister à l'idée de lui flanquer une bonne raison. Ainsi ce fut comme ça qu'ils approchèrent, tout sourire, riant entre eux, se disant déjà ce qu'ils voulaient.

En les voyant s'approcher, Mireille commença à finalement se méfier, pour ensuite commencer à leur faire confiance quand ils se montrèrent gentils envers elle, à lui dire qu'ils voulaient l'aider. Bonne enfant, elle les cru, pour en suivant les suivre un peu plus loin de la vue des passants. Ce ne fut qu'au moment d'arriver dans le cul de sac qu'elle comprit enfin. Et elle eut confirmation, quand deux la maîtrisèrent sans aucune difficulté au sol tandis qu'un la frappa au ventre, pour bien lui faire comprendre que tenter de faire quoi que ce soit était inutile. Ils parlaient français, elle ne comprenait pas, ou du moins, pas ce qu'ils voulaient vraiment dire, car les intentions étaient plus que clairs...

Skyon, était bien habituée maintenant, et elle savait que se battre était inutile, alors elle n'opposa aucune résistance lorsque le quatrième vint enfin pour arracher les loques qui lui servaient d'habits. Elle tremblait de toute part. Ses cheveux blonds platine en travers de son visage, ne touchaient tout de même pas le sol lorsque l'un d'eux, à califourchon sur elle, lui empoigna le visage en arrière. Sa respiration fut subitement coupée, et les larmes envahirent ses yeux, dont la pupille était d'un bleu plus clair encore que la fluorite bleu aux quelques reflets vert verticales.
Invité
MessageSujet: Re: "Trouver, c'est garder." PV Myr~ "Trouver, c'est garder." PV Myr~ Icon_minitimeJeu 7 Aoû - 0:46
Invité
Le manoir Winchester venait tout juste d’être finit d’être construit, la pierre était solide et ne s’effritait pas, la peinture sentait à plein nez. Mÿredge, tout de noir vêtu se tenait devant, vérifiant que le moindre détail du plan avait été respecté et que les deux tours étaient bien identiques, la famille Winchester avait pour symbole une rose noir sur un fond blanc, la rose était très détaillée, et ornait la façade des deux tours, ainsi que le portail, enfin la Rose était le portail. Le fer forgé se courbait pour permettre à la noble fleur de prendre forme et les pétales étaient entouré une longue tige dont étaient taillée de légères piques, copiant ainsi les épines.

L’inspection prenait presque fin, lorsque le noble riche eut fini de regarder dans les moindres détails la porte principale, il se décida à regarder le tout de l’extérieur, de faire le tour de sa propriété, mais pas à pied voyons ! Cela prendrait bien trop de temps puisque le manoir était bâti sur plusieurs hectares, une demi-heure serait à peine suffisant à pied. Mÿredge avait acquis cette fortune de par ses actions personnelles, en rachetant le terrain de la plupart des prisons du pays, mais également par l’héritage de son père qui lui possédait toutes les compagnies de train de Londres.

Sortant dans la grande allé principale, il vit deux jeunes bourges partir en courant en direction d’une ruelle, encore des gamins pourris gâté qui ne savaient même pas signer un chèque sans l’aide de leur nourrice ! Mÿredge l’est détestait, lui bien qu’il avait vécu dans la richesse, n’avait pas eu une enfance très heureuse, son père était souvent ivre, et quand sa mère ne put plus supporter les coups de cannes, ce fut son tour à lui… Canne qu’il possédait désormais pour s’appuyer dessus, il avait en effet un peu de mal à marcher, la douleur le lançait, surtout au niveau du mollet, là où se trouvait une cicatrice, une coupure… dû à la lame de la canne caché dans son étuis. Un cadeau de son père aussi…

La canne était relativement simple, un membre en bois sombre dont le bout était ciré comme une queue de billard, mais la poignée, elle, était complètement décorée, ornée d’une belle rose couleur dorée, quant à la lame caché, elle scintillait de pureté, de propreté, pas une trace d’une quelconque utilisation. Presque neuve, il s’appuyait dessus pour rejoindre Markus, son chauffeur, mais pas de voiture, là encore, Mÿredge avait ses propres gouts. Une calèche comme à l’ancienne trainée par deux chevaux d’une rare qualité. Grimpant dans la voiture de la calèche. Il fit signe à Markus de prendre la première à droite, là où les garçons s’étaient enfuis en courant. Mÿr’ était assez curieux.

P
assant devant il vit les deux bourges, l’un filmait avec son I-phone la situation tandis que l’autre… déboutonnait son pantalon pour sortir son sexe imberbe d’enfant, qu’il fourra dans la bouche d’une hybride, à première vue une femme et surtout une Neko, l’une des races les plus communes et moins noble de toute planète. La pauvre était allongée sur le sol, les cheveux tirés en arrière par un troisième jeune homme, celui-ci n’y allait pas main morte, et le noble pouvait distinguer le membre du garnement s’enfoncer dans la gorge, bougeant lentement, puis rapidement, malgré els gémissement de plainte de la Neko et ses larmes qui recouvrait une partie de son visage. Enfin il y avait le quatrième jeune homme, qui avait arraché les vêtements de la Neko, la laissant complètement nue, les seins aplatis dans le gravier.

Markus avait fait halte, les chevaux hennissant un peu, ne manquaient pas d’attirer l’attention des enfants, qui se croyant tout permis ne réagir pas plus que ça, continuant leur petite affaire. Ils se croyaient vraiment protéger par la loi, enfin ce qui était vrai dans le coin, une hybride sans collier, avec très peu de vêtement, et à première vue soumise de nature, c’était un appel au viol. Mais était-ce vraiment raisonnable d’en abuser ? Ne pouvait-on pas être puni juste une fois pour ce genre de pratique ? Markus demanda si Mÿredge voulait intervenir, mais il était déjà sorti du véhicule, marchant doucement, pouvant paraître vulnérable ainsi, mais si seulement ils savaient…
Invité
MessageSujet: Re: "Trouver, c'est garder." PV Myr~ "Trouver, c'est garder." PV Myr~ Icon_minitimeJeu 7 Aoû - 1:44
Invité
Uniquement par réflexe de chat encore sauvage, partie du chat si profondément cachée en elle, si longtemps... refoulée au plus profond de son petit être, qu'elle n'avait jamais voulut faire apparaître, que toujours, elle avait gardé caché en elle. Sa main se serra sur les gravillons, si fort que ça alla jusqu'au sang, mais elle ne s'en souciait pas, une autre douleur était plus grande que celle de sa main, et monopolisée totalement ses pensées. D'un coup, elle mordit le membre de l'homme, il recula violemment en jurant, ses mains sur son membres en poussant un cri, se reculant encore, jusqu'au fond. Celui qui attendait à près de celui qui filmait arriva rapidement, et la frappa au visage. Celui qui était sur elle lui cogna la tête contre les gravillons, plusieurs fois, jusqu'au saignement.

D'un coup elle se retourna, et jeta sa poignée contre le visage du garçon en le labourant de ses griffes. Quand il se mit de côté pour la lâcher et poser ses mains sur son visage en jurant également. Celui qui filmait arrêta, arriva vers elle et lui donna un coup de pied dans le ventre, qui la fit se plier en deux. Elle poussa un cri de douleur, et essaya de fuir, de partir. Mais elle partit dans la mauvaise direction, vers le mur de l'impasse. A chaque centimètre, son corps saignait au fur et à mesure qu'elle avançait. Elle souffrait tant, mais elle devait continuer. La jeune femme devait absolument partir, oui, elle savait que c'était stupide, que elle ne réussirait pas, mais bon, l'espoir fait vivre !

Quand elle s'arrêta, ce fut de force, par celui qui ne faisait rien, il l'avait prit par les jambes, et d'un coup, l'avait brutalement ramené en arrière, pour que l'autre lui donne un second coup dans le ventre. Elle poussa un cri de douleur, et arrêta. C'était stupide, maintenant ils l'a frappé. Skyon savait ce qu'elle risquait, pour en avoir subit déjà les conséquence, et pourtant, elle n'avait pas pu contrôler ce morceau d'elle. Quand soudain, elle entendit des bruits bizarres. Elle risqua un coup d'oeil en dehors, et vit un homme, grand, de longs cheveux flottant dans l'air chaud qui soufflait dehors, mais qui sur son corps était glacial. Sa vue se brouilla, et elle cru perdre connaissance, elle l'espéra même, ce soulagement qui arrive, la délivrance. Mais ce fut sans compter l'homme qui l'avait d'abord prise bucalement. Il arriva, la souleva, et la jeta contre un mur, avant de rengainer son membre dans son pantalon.

Au bord de l'inconnu, de la délivrance, elle entendit les jeunes regarder l'homme qui arrivait. Elle n'entendit pas distinctement ce qu'ils disaient, mais ils semblaient si hostiles envers lui... Comment pouvait-on haire quelqu'un de sa race autant, sans même le connaître ? L'esprit bien embrumé par les coups et le choc reçu à la tête, elle comprit qu'elle devait se faire la malle, qu'elle le devait. Alors, péniblement, elle se releva, et une fois qu'elle se pensa stable sur ses jambes, elle avança. Un pas, deux pas, trois pas. Chute. L'un d'eux qui lui avait donné un coup dans l'arrière du genoux. Elle s'écroula, couverte de petites plaies qui saignaient à peine, mais qui lui faisait mal.
Elle rampa à nouveau, vers la sortie, espérant une issue de secours, un sauvetage, quelque chose, mais rien. Il n'y avait quasiment personne dans la rue, et elle ne savait pas quoi faire pour s'en sortir, partir, être libre, sans avoir à se soucier de quoi que ce soit.

A bout, elle se roula en boule, craquant, pleurant en silence dans son coin, tremblant de partout, les cailloux s'enfonçant dans sa peau si fragile, si pâle, recouverte de bleu qui bientôt deviendront hématomes.
Invité
MessageSujet: Re: "Trouver, c'est garder." PV Myr~ "Trouver, c'est garder." PV Myr~ Icon_minitimeJeu 7 Aoû - 2:13
Invité
Le noble observait la scène avec attention, la jeune Neko s’était quand même rebellé, de quoi le faire sourire, c’était toujours amusant de voir plus faible que soit essayer de se défendre. Mais si Mÿredge se prenait pour un homme parmi les insectes, il était aussi un Dieu parmi les hommes, hautain comme tout, il avait avancé vers le premier gamin, à peine la vingtaine, un canif à la main pour arme, lamentable. Il se jeta sur Mÿr’, mais une simple esquive sur le côté rapide et calculé, fut suffisant pour semer le doute dans son esprit, permettant ainsi à la lame de sa canne de sortir de son étuis et de venir, tout comme son père l’avait fait avec lui, venir rencontrer le mollet du jeune homme l’entaillant assez profondément.

Celui qui tenait la vidéo, partit en courant, sans doute pour aller chialer dans les jupons de sa mère au compte bancaire plus élargie que leur propre sexe. Enfin, ils restaient les deux gamins qui avaient maintenus l’hybride dans sa position défavorable et qui maintenant était contrainte de ramper sur les graviers pour fuir le combat. Pointant la lame dans leur direction, il s’avança, toujours en boitant, d’ailleurs avec l’adrénaline, ce handicape pouvait disparaitre, enfin il n’y pensait plus, il s’agissait d’avantage d’une blessure morale que physique.
La pointe se posa sous la gorge d’un des enfants, juste sous sa glotte, et pour la première fois de la journée, Mÿredge parla… Sa voix était froide, comme un si il annonçait un arrêt de mort, ou un décès. Chaque mot était calculé et choisis avec tellement de soin, qu’on aurait dit un texte préconçu.

-« Pathétique... Si vous désirez l'humiliez, pourquoi pas le faire en pleine rue ? Devant tous les gens de votre espèce, vous pensez que vous êtes protégé par les lois, mais il y a pas de loi qui interdit à un riche de passer outre, si je voulais je pourrais payer vos parents pour qu’ils ferment les yeux sur ce que je pourrais vous infliger… Mais je n’en ferais rien, car contrairement à vous, je n’ai pas honte de mes pratiques… » Il marqua une longue pose, jouant de sa langue sur la gorge du jeune homme, le faisant tremblé et transpiré un peu plus, son air fier s’était complètement envolé à l’écoute de l’homme.

-« Vous vous dites maître, vous aimez blesser, mais prenez vous votre pied en le faisant? Moi oui… Ton amis, là-bas que j’ai blessé à la jambe, ne pourra bientôt plus sentir son mollet, sauf si vous l’emmenez rapidement à hôpital, mais après tout, il a blessé, humilié et martyrisé cette chose, que vous appelez hybride, à mes yeux il s’agit que d’un animal, mais nous amusons à blesser un animal ? Non, les animaux sont protégés… Si pour vous, les hybrides ne sont pas des animaux, à mes yeux les humains ne le sont pas non plus, et ils ne méritent pas la pitié.
Maintenant suffit, partez avant que je ne change d’avis, et croyez-moi, vous tuer ne fera qu’augmenter ma libido. »

Ne demandant pas leur reste, ils partirent rapidement, jurant et insultant Mÿredge de porter plainte et de revenir s’occupé de lui, ce qui fit bien rire le noble qui attrapa la jeune hybride par les cheveux pour la plaquer contre le mur.

-« Reste debout animale ! Tu es sale, saignante, et en plus tu sens le rat mort… Tu comprends ce que je te dis au moins pauvre petite chose que tu es… Je devrais te laisser là, à croupir entre les deux poubelles, voir dedans même ! Mais c’est mon jour de bonté… Tu vas grimper dans la calèche là-bas, bien entendu, si tu parles, je te jettes à même la route, tant pis si tu crèves, je n’ai signé aucun contrat pour te garder en vie, et comme on dit : trouver c’est garder. » Inspectant la moindre parcelle de peau de la jeune Neko, il l’étudiait sans pudeur, palpant aussi bien sa poitrine petite mais ferme mais aussi ses fesses et ses cuisses. Un bon morceau, une fois lavé et vêtue, elle en sera que plaisante. En attendant il la poussa, bien qu’elle tomba plusieurs fois, avant d’arriver à la porte de la calèche, où il l’aida à monter.

Prenant une bouteille de scotch de son mini-bar, il servit un verre à l’hybride. Buvant lentement le sien, il posa le bout de sa canne entre les deux seins de la jeune Neko. L’obligeant à bien s’asseoir. Première leçon : devant son Maître, on se tient bien, c’est-à-dire droite, les jambes ni trop fermé, ni ouverte, les bras le long du corps ou occupé à faire une action, boire, manger, dessiner ou autre. Il descendit la canne pour tapoter les cuisses, l’obligeant à les ouvrir un peu pour inspecter l’état de son intimité, pareil, un bon rasage ne lui ferait pas de mal… Il fit l’inverse, pour lui faire refermer les cuisses.

-« Mÿredge Winchester de la famille Winchester. Né à Londres, mais pour toi ça sera Maître Mÿredge ou Sir Mÿredge. Je me fiche de ton prénom, de ton nom ou de ton surnom, tu n’es pas « adoptée », tu seras en test la première semaine, si tu arrives à survivre, on verra pour faire plus ample connaissance, en tout cas, tu me dois ta vie, et j’espère que tu tacheras de t’acquitter de cette dette Animale. Je ne suis pas l’homme le plus plaisant mais je serais toujours franc avec toi et juste, jamais d’excès de plaisir, qu’il soit dans la luxure ou la douleur. Maintenant tourne la tête, regarde le paysage, car ce que tu vois sera la maison de ton bonheur ou de tes plus grands malheurs. Et par pitié… ne te cache pas, de toute manière tu ne devras t’habituer à ta nudité… un animale ne s’habille pas… »
Invité
MessageSujet: Re: "Trouver, c'est garder." PV Myr~ "Trouver, c'est garder." PV Myr~ Icon_minitimeJeu 7 Aoû - 6:01
Invité
Sa vue brouillée par les larmes et la douleur, elle n'avait rien vue de ce qu'avait fait cet homme aux jeunes garçons, seuls leurs pas de courses fuyant le lieu lui fit comprendre qu'il n'avait pas était particulièrement agréable avec eux. Les pas se rapprochèrent, lentement, sans trop de bruit, comme un prédateur se dirigeant vers sa proie. La proie, c'était elle, faible comme tout, au bord de l'inconscience, elle n'en était pas une de marque, mais ça semblait lui suffire. Alors qu'elle tentait de se calfeutrer plus encore sur elle-même dans l'impasse désertée, elle sentit une nouvelle fois une main la soulever de force en la prenant par ses cheveux blonds, crasseux, où la clarté ne faisait que mieux mettre en avant le sang et la boue séchées qu'il y avait dessus.

« Reste debout animale ! Tu es sale, saignante, et en plus tu sens le rat mort… Tu comprends ce que je te dis au moins pauvre petite chose que tu es… Je devrais te laisser là, à croupir entre les deux poubelles, voir dedans même ! Mais c’est mon jour de bonté… Tu vas grimper dans la calèche là-bas, bien entendu, si tu parles, je te jettes à même la route, tant pis si tu crèves, je n’ai signé aucun contrat pour te garder en vie, et comme on dit : trouver c’est garder. »
Entendit la jeune hybride sans rien n'en comprendre, entendant seulement la moitié de ce qu'il disait. il semblait tellement la mépriser, ce ton de voix, ce... regard... Elle en frémit. Mais ce qui lui fit plus horreur encore, ce fut ces mains qui la touchèrent sans aucune gêne. ce n'était pas des mains avides, seulement comme si elles cherchaient juste à se renseigner...

Mireille ne bougea pas, se laissa faire, en ayant marre des coups. Quand allait-on la laisser tranquille ? Pas de suite apparemment... L'inconnu la poussait maintenant en direction des grands chevaux qui trainaient quelque chose derrière eux, et elle ne connaissait pas du tout ce que ça pouvait être, mais elle ne broncha pas, et à chaque fois qu'elle tombait, se laissait ramasser et remise en route.
Une fois à l'intérieur, assise, elle ne su plus quoi faire. Elle se tassa dans un coin, grelottante de froid, tentant tant bien que mal de cacher son corps maigrelet entre ses bras, sa poitrine, son sexe. Elle ne le regardait pas, trop honteuse d'être dans cet état pitoyable face à celui qui semblait lui avoir sauvé la vie. Sa tête tourna, elle la pencha en arrière, jusqu'à ce qu'elle sente un bout dur son entre-deux-seins.

La neko cligna doucement des paupières, et le regarda, un peu abasourdie, avant de comprendre. Elle se redressa péniblement, se rendant également compte qu'elle avait un verre dans les mains. La blondinette ne se fit pas prier, et commença à avaler le liquide rapidement, jusqu'à ce que sa gorge la brûle atrocement. Elle toussa, les larmes aux yeux, et posa le verre ailleurs, sa soif redevenant plus sauvage encore qu'elle ne l'était déjà. Les perles d'eau salées coulèrent une nouvelle fois le long de ses douces joues pâles mais salit par la poussière et la boue, avant de retomber sur ses jambes.
Puis le bout de canne se posa sur sa cuisse pour la tapoter, elle obtempéra à contre-coeur, tremblant plus encore à l'idée d'être aussi vulnérable à cet humain qui en avait fait fuir quatre, jeunes et en bonne santé... Ensuite, elle pu les refermer, et elle ne se le fit pas répéter !

« Mÿredge Winchester de la famille Winchester. Né à Londres, mais pour toi ça sera Maître Mÿredge ou Sir Mÿredge. Je me fiche de ton prénom, de ton nom ou de ton surnom, tu n’es pas « adoptée », tu seras en test la première semaine, si tu arrives à survivre, on verra pour faire plus ample connaissance, en tout cas, tu me dois ta vie, et j’espère que tu tacheras de t’acquitter de cette dette Animale. Je ne suis pas l’homme le plus plaisant mais je serais toujours franc avec toi et juste, jamais d’excès de plaisir, qu’il soit dans la luxure ou la douleur. Maintenant tourne la tête, regarde le paysage, car ce que tu vois sera la maison de ton bonheur ou de tes plus grands malheurs. Et par pitié… ne te cache pas, de toute manière tu ne devras t’habituer à ta nudité… un animale ne s’habille pas… »

Elle ne comprit une nouvelle fois rien. Mais cette fois, l'alcool était bien plus que la cause à ça. Elle en avait bu les trois-quarts, totalement assoiffée, cul-sec, sans prendre de pause, et le ventre vide, ça fait des ravages. Elle n'a comprit que peu de mot, 'Maître', 'Londre', 'adoptée', mais au négatif, 'douleur' et enfin, 'animal'. Mais, une seule chose retint vraiment son attention, Londre ? Il venait de Londre ? Alors, il était anglais, et donc, elle pourrait peut-être mieux se faire comprendre, ou plutôt, mieux le comprendre lui !

"Maître... Je... je ne vous comprend pas quand vous parlez français, je ne parle pas cette langue... Excusez moi... Je... juste que je n'y arrive pas, je ne comprend pas tout, et tout tourne, tout est si bizarre... vous m'avez sauvée ? Que voulez-vous de moi ?"
Tenta-t'elle de dire pour avoir des explications et mieux comprendre la situation dans laquelle elle se trouvait...

Elle regarda ensuite à l'extérieur. Du splendide et imposant manoir, elle n'en vit rien, simplement une image floutée. Au final, l'épuisement, la faim, la soif, la douleur, et maintenant, l'alcool, l'achevèrent, et elle perdit connaissance peu après que la calèche soit entré dans la propriété, sa tête dodelinant d'abord sur le côté, puis ensuite tombant vers l'avant, son corps s’affaissant lentement sur la banquette, faisant tomber le verre et renversant l'alcool sur le sol, au pied de son nouveau Maître.
Invité
MessageSujet: Re: "Trouver, c'est garder." PV Myr~ "Trouver, c'est garder." PV Myr~ Icon_minitimeJeu 7 Aoû - 12:08
Invité
Ainsi donc elle était anglaise, voilà qui l’arrangeait pas mal ! Il répéta mot pour mot tout ce qu’il avait dit en français et à en voir la mine qu’elle avait tiré, elle venait sans doute de comprendre qu’elle n’était devenue qu’un morceau de viande dont j’étais le propriétaire. L’alcool, la faim, la soif, la fatigue et toute ses nouvelles émotions et révélations lui fit perdre connaissance, renversant le reste de scotch sur la moquette de la calèche, bon, il n’allait pas lui en tenir rigueur pour le moment, après tout ce qu’elle venait de vivre, il était normal qu’elle soit trop peu discipliné sur ça.

Arrivant dans la cours du Manoir, il laissa Markus déharnacher les chevaux pour les remettre un par un dans l’écurie, Markus était pas que son chauffeur au final, c’était son domestique, son homme de main tout comme Marya & Ynes, deux jeune femmes qui lui servaient de servante, cuisinières, de bonnes à tout faire, mais bientôt il aurait une hybride bien plus douée pour ce genre de tâche. Markus ouvrit la grande porte et porta lui-même la jeune Neko jusqu’à une chambre puis vint demander au maître de la demeure ce qu’il devait en faire.

-« Demande à Marya de la laver, qu’elle soit propre, aussi bien physiquement que de l’intérieur, de plus qu’on la prépare, demande lui également de la raser, une épilation totale de son entre-jambe, c’est la forêt et tu sais très bien que j’aime les gens raffiné. J’ai remarqué qu’elle se rongeait les ongles, qu’on les lui lime. Tu diras à Ynes de lui trouver des vêtements, une robe à corset avec des bas et des talons de dix centimètres feront l’affaire. Une fois habillée, lavée et harnaché, c’est-à-dire avec le bandeau et les chaines, tu l’allongeras sur le lit de la chambre numéro 6, je viendrais la voir. »

Markus transmit les informations et la première jeune femme emmena la Neko dans la salle de bain, ou se trouvait aussi bien une douche, qu’une baignoire et même une table de massage avec jet d’eau ! Le luxe quoi ! Allongeant la jeune hybride dans la baignoire, elle la lave complètement, nettoyant en profondeur ses plaies. A fatigue était-elle qu’elle ne dû même pas l’assommer de nouveau ! Une fois bien laver à l’eau tiède, elle fut allongée sur la fameuse table de massage, et la jeune femme prit place entre ses jambes, préparant crème et rasoir. L’épilation allait se faire en deux temps, le premier, un rasage simple de près. Le second, avec des bandes de cire, épiler le reste et enfin avec une crème adoucissante, permettre à son maillot d’être lisse et aussi doux que la peau d’un bébé.

La voilà maintenant prête à accueillir son Maître si tel était son désir ! Son corps était plus propre qu’elle ne l’avait jamais connu, son orifice était maintenant comme neuf et ses sourcils avaient été retaillée légèrement, sa peau passer intégralement à la crème pour la rendre aussi douce qu’un nourrisson et son cou, ses poignet et le creux des hanches parfumer de quelques goute d’un liquide à base de rose, l’odeur qui régnait en maître dans la maison des Winchester. Leur symbole ne s’arrêtait pas seulement au dessin de la rose, non, l’odeur de la demeure, le parfum du Maître, ses habits, tous avaient un rapport avec la rose… Y compris son fouet de dressage…

Ynes arriva dans la chambre numéro 6, avec une robe à corset réglable dans le dos par des liens, elle n’y alla pas de main morte se faisant aider des deux autres domestiques. Serrant pour permettre à la petite poitrine de la jeune hybride de prendre forme. La robe était en dentelle sur le devant jusqu’au nombril, ne cachant presque rien des seins et du ventre de l’hybride. Le dos était entièrement nu pour prouver qu’elle ne portait pas de soutien, le tissu apparaissait au niveau du creux des reins pour pouvoir tenir au niveau de la taille. Enfin la robe tombait jusqu’aux genoux, juste au-dessus, le tissu était bien plus épais. Les coloris allaient du noir, au rouge bordeaux, donnant un air plus noble, plus «  agressif » à l’hybride.

Mais ce ne fut pas tout pour elle, elle dut enfiler un dessous de force, une sorte de tanga si fin qu’elle le sentirait à peine. Des bas noirs montant jusqu’à mi-cuisse et enfin des talons d’une dizaine de centimètres, qui s’attachait à la cheville avec une petite bande à cran. Le tout cadenassé pour éviter qu’elle les retire à son réveil. Son cou fut muni d’un collier simple, une bande de cuir noir avec un anneau de chaque côté. Ses poignets eurent la même chose et chacun d’entre eux fut fixer au cou, ainsi elle ne pouvait plus bouger ses bras, s’en servir. Pour les jambes, rien d’autres de spéciale et pour le visage, le fameux bandeau noir, opaque et épais, qui lui couvrait le dessus du nez, les yeux et une partie du front.

A son réveil, Mÿredge était déjà là la regardant se débattre, comprendre, crier mais sa voix forte et puissante eut raison de l’incompréhension de l’hybride. Il lui expliqua clairement en anglais ce qu’il attendait d’elle, la décrivant dans sa tenue, lui montrant qu’il n’était pas seulement la pour la balader à poil dans sa maison et la baiser dès qu’il aura envie. Elle avait une dette de vie envers lui, et c’est plus douloureux à porter qu’une simple marque au fer rouge. L’aidant à se mettre debout, il la plaqua contre le mur, caressant et inspectant le dessous de sa robe pour voir si les domestiques avaient bien fait leur travail, et il constata que oui. La vulve de la jeune hybride était totalement dépourvue de poil, et il s’arrêta là, la laissant percher de sa hauteur avant de lui parler.

-«  Bien Animale, je t’ai sauvé la vie, tu aurais pu être violée, torturé, voir même tuée dans cette ruelle…. Silence, laisse-moi finir. Je t’ai habillée, lavée et je vais maintenant faire de toi non pas mon simple animale de compagnie mais bien plus. Pour le moment tu es faible et tu m’as l’air d’être ignorante, nous passerons par tous les vices pour faire de toi ce que JE désire. Je me répète, mais qui tu étais je m’en fiche, ton passé, brûle le. Tu as moi, ma demeure et rien d’autres, si tu sors sans mon autorisation, tu ne rentreras plus jamais. Si tu t’adresses à moi sans dire Maître, plus jamais tu parleras. »

Marquant une pause il lui demanda si elle avait des questions, des remarques à faire. Il lui tendit également la main pour l’aider à marcher avec ses talons et à descendre dans la salle principale où un repas attendait… Mais pas sur la table, non… L’assiette était au sol, et sans la possibilité à la Neko d’user de ses mains, il ne lui restait plus qu’à manger telle une chienne à même le sol, la tête la première dans son écuelle. Mÿredge était quelqu’un de complexe. Il ne voyait pas vraiment la Neko comme un simple animal, mais comme une soumise, ça aurait pu être une humaine… Il allait d’abord la réduire à l’état animal, puis sauvage et enfin la dresser pour faire d’elle, son « chien de garde ». Il lui apprendrait les langues, à se battre, mais également à le servir sans hésitation, sans faille.

-«  Mange ! » L’ordre retentit en même temps qu’il appuya derrière ses genoux à l’aide de sa canne, pour la faire mettre à genoux, puis plongeant sa tête dans le bol, il lui laissa apprécier les morceaux de poissons fraichement préparés par les domestiques. Sadique, humiliant mais toujours juste, il allait lui faire découvrir où était sa vrai place. Mÿredge la regarda faire pendant qu’il prenait place sur l’un des nombreuses chaises pour la regarder, un verre de vin à la main. La jeune femme semblait si pathétique, mais pourtant… Il savait qu’il allait en faire d’elle quelque chose d’unique.
Invité
MessageSujet: Re: "Trouver, c'est garder." PV Myr~ "Trouver, c'est garder." PV Myr~ Icon_minitimeJeu 7 Aoû - 19:51
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Le réveil fut douloureux. Tant au niveau moral que physique. La douleur lui assailli tout d'abord le crâne, oh oui ! Un étau de fer semblait lui avoir entouré la tête, et se resserrer avec pour but, de lui exploser sa boite crânienne, elle gémit un peu, tourne la tête, et ouvre les yeux. Mais elle ne voit rien. Elle sens autre chose maintenant, sur son visage, un doux tissus, qui lui entravait la vue. Par réflexe, elle tente de porter ses mains sur son visage pour l'enlever, mais peine perdu, ses mains étaient entravées.

Peu à peu, elle reprend ses esprit, totalement. Cette fois, la nouvelle douleur qu'elle commence à ressentir, c'est au niveau de son intimité... Nouvelle tentative de se délivrer de ses chaines, toujours vaine. Elle ne comprend pas. Elle ne voit rien, ne peut pas bouger. La peur lui prend le ventre. Cette peur, celle de mourir, celle qui pense que ta fin est proche? Celle-la même qui vide ton estomac d'un coup, jette un vent glacial dans ton corps, et qui te donne l'impossibilité de respirer correctement.
Elle commence à bouger, n'importe comment, juste à gigoter dans tout les sens comme un poisson hors de l'eau tentant de regagner son milieu de vie. L'hybride gémit également. Gémissement de peur mêlés à ceux de la douleur. "Laissez moi... Laissez moi..." Répète-t'elle inlassablement, hoquetant, une respiration irrégulière, difficile.

Elle entend quelque chose, elle une respiration. Elle panique, plus qu'elle ne devrait, plus qu'il n'en ai raisonnable, mais elle panique. Elle cri cette fois, elle supplie, elle implore. La peur fait faire de drôles de choses. Mireille demande également pardon, mais pardon pour quoi exactement ? Elle-même ne le sait pas. Son esprit s'est perdu, la peur a prit le dessus, jusqu'à ce que tonne la voix de Myr'.

Alors l'hybride écouta, sans dire un mot, les larmes humidifiant le bandeau qui lui interdisait de voir. Une nouvelle fois, entendant la description de sa tenue dont elle eut si honte, donc soudain, une gêne incroyable la prit, elle supplia à nouveau... De tout, de rien.. De la laisser tranquille, de l'achever, de ne pas l'abandonner, de la laisser partir... Tout était si confus dans sa tête, elle sort les mots d'une voix à peine audible, dans un ordre relativement peu commun, peut-être qu'à force de tout ce genre de chose, elle devient folle ?

Les bruits de pas, si significatifs pour cette malheureuse, la font taire. Elle se mord la lèvre inférieur, jusqu'au sang, détourne la tête, ferme les yeux et les crispe, en même temps que tout son corps en entier, et attendant ainsi, son corps si frêle tremblant sous l'effet de la peur, bien plus fort qu'une quelconque brise qui aurait pu lui donner froid.
Quand il la relève et l'aide à rester debout, l'infime espoir d'avoir était écouté se fit une place en elle. Mais cela ne dura qu'une seconde à peine avant que cet espoir ne soit brisé en mille morceaux, piétiné, brûlé. Elle se sent être presque comme jeté contre un mur, mais à la différence près, l'homme qui le fait reste collé à elle. Il la touche, elle se crispe, serrant ses jambes, voulant le repousser de ses mains avant de se souvenir qu'elle ne le pouvait pas. Elle arrête. La blondinette est épuisée de tout ça. Peut-être qu'il l'achèvera...Au final, elle l'espère et prie pour alors que depuis le début, elle tente de survivre à tout et n'importe, quelque soit le prix.


« Bien Animale, je t’ai sauvé la vie, tu aurais pu être violée, torturé, voir même tuée dans cette ruelle…. Silence, laisse-moi finir. Je t’ai habillée, lavée et je vais maintenant faire de toi non pas mon simple animale de compagnie mais bien plus. Pour le moment tu es faible et tu m’as l’air d’être ignorante, nous passerons par tous les vices pour faire de toi ce que JE désire. Je me répète, mais qui tu étais je m’en fiche, ton passé, brûle le. Tu as moi, ma demeure et rien d’autres, si tu sors sans mon autorisation, tu ne rentreras plus jamais. Si tu t’adresses à moi sans dire Maître, plus jamais tu parleras. »


Il s'arrête, lui demande si elle a des questions, auquel elle répond un petit "Non, Maître..." dans un souffle à mi-voix, tête baissée. Cette fois, elle se résigne, elle ne pense plus, ne réfléchit plus au pourquoi du comment, elle en a tout simplement marre. La seule dont elle a peur, est que sa partie sauvage se réveil à nouveau, comme avec les garçons... C'était hier ? Peut-être... Elle ne savait pas, elle n'avait pas la notion du temps et les yeux bandés, elle ne pouvait guère distinguer où en était le soleil dans son voyage.

Le voyage fut assez douloureux pour les pieds de l'hybride, qui trébuchait sans cesse tout les trois pas quasiment, ses chevilles tremblotantes à chaque pas malassurée qu'elle posait de force. La demeure était silencieuse, seul le bruit de ses talons haut résonnait, ce qui lui donna un sentiment d'abandon plus fort que jamais. Une fois arrivé dans la salle, elle sentit une odeur de poisson. Allait-elle manger ? A cette idée, son ventre émit un petit gargouillement joyeux, oui, elle en avait bien besoin !
Mais brusquement, avant même qu'elle se demande comment elle pourrait manger avec ses mains ainsi attachées, la canne de l'homme l'obligea à se mettre à genoux. Elle gémit un peu, et retomba vers l'avant, se redressant ensuite tant bien que mal et être à genoux, tête baissé. Pour la troisième fois de la journée, un grande main se posa sur ses doux cheveux blonds, et l'obligea à retomber, alors qu'elle venait à peine de se redresser, mais cette fois, ce fut pour lui plonger le nez dans un bol remplit de poisson... cru !

"Mange !", oui, l'ordre avait été clair, précis, net, tranchant. Aucun doute. Elle obéit donc, elle ne veut plus des coups, et puis, elle a faim, et à ce stade là, qu'importe la dignité. Enfin bon, quand on en parle, il faut en avoir une, et après toute ses aventures, Mireille n'est même plus certaine d'en avoir eut un jour ou l'autre.
Alors, elle se met à en mastiquer un, avaler comme elle le pu. Après deux morceaux, elle se senti soudainement mal. Elle eut un haut-le-coeur, et vomis dans le bol. Que du liquide pour la majorité. Elle se recula un peu, hoquetant, toussant.

Les pas de Myr' se firent entendre, mais elle ne bougea pas, elle attendit. Elle l'entendit d'abord derrière elle, puis devant, et avant qu'il ne fasse le moindre mouvement, elle se met sur les fesses, et tente de lui blesser la jambe avec un de ses talons aiguilles. Elle sait que ces choses-là peuvent devenir dangereuses. Elle ne se contrôle pas, c'est une nouvelle fois le chat sauvage qui s'occupe d'elle. A bout de souffle, elle recule, jusqu'à être contre un mur, les deux pieds devant elle, écoutant, attendant qu'il avance.
La neko avait beau savoir que contre lui, elle ne pouvait absolument rien, qu'il était bien trop puissant comparé à elle, elle n'y pouvait rien, c'était purement instinctif.
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MessageSujet: Re: "Trouver, c'est garder." PV Myr~ "Trouver, c'est garder." PV Myr~ Icon_minitimeJeu 7 Aoû - 21:55
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Le poisson cru n’était sans doute pas la meilleure idée, mais qu’en savait-il ? Après tout, il n’avait jamais eu de chat ou d’hybride chatte, fin bon, le fait qu’elle vomit ne justifiait pas son attitude défensive, assise sur ses fesses, avec les jambes battant l’air dans l’espoir sans doute de frapper Mÿredge avec ses talons. Le noble fronça les sourcils, et attrapa les cheveux de la jeune hybride en la contournant légèrement. La soulevant, il la plaqua contre le mur avec force, pour frapper son ventre violement au niveau de l’estomac déjà bien fragile de la jeune hybride qui vomit de nouveau de façon encore moins agréable pour elle.

La jetant au sol, il fit signe à Marya de venir nettoyer et débarrasser le bol de « nourriture », ce qu’elle fit avec une belle grimace en prime. Quant à Mÿredge qui tenait toujours fermement la chatte par les cheveux, la tenant droite, voire légèrement sur la pointe des pieds pour qu’elle ne puisse pas le frapper de nouveau. Son estomac grondait, non seulement de faim mais également de douleur, sans doute qu’elle aurait des maux pendant encore quelques jours, mais ce comportement méritait sanction… Et ce qui allait suivre, allait sans doute la dompter une bonne fois pour toute.

-« Je t’offre des habits, je te lave, te soigne et te donne même à manger et tu me remercie ainsi ingrate. Pour te punir tu seras fouetter jusqu’à ce que tu en perdes connaissance, et demain nous recommencerons la journée ainsi, tu seras de nouveau assise devant ton bol et rassure toi, je peux trouver pire que du poisson cru… Ynes ! Apporte-moi des cordes… Je vais t’attache de dos, contre le mur… Et tu vas me faire un plaisir de compter les coups, si tu le fais, je m’arrêterais surement avant de t’arracher la peau… » La jeune domestique fit ce que lui demandait Mÿredge et rapidement, l’hybride fut plaquer contre le mur, les seins complètement écrasé contre, les jambes écartés suffisamment pour que son entre-jambes soit étiré. Et ses bras tendus à leur maximum. Les cordes étaient fixées à une porte et à un meuble de plusieurs dizaines de kilos.

Mÿredge partit en direction d’une petite salle, où était rangé du matériel de dressage, qui servait aussi bien pour les chevaux que pour les domestiques qui commettent des fautes ou des hybrides un peu trop sauvage. Il lui était arrivé de punir un hybride qui passait juste par erreur dans son ancien manoir. Il opta non pas pour le fouet « Winchester » mais pour une cravache muni de sept lanière. Il passa derrière la jeune femme, laissant le cuir caresser le long de sa colonne, et d’un coup sec, le premier coup retentit ainsi que l’ordre de compter. Chaque coup étaient suivi d’une pause d’une dizaine de seconde, histoire de laissé la douleur prendre place, s’atténuer pour mieux revenir. Donner trop de coups à la suite n’était que pure sadisme mais son efficacité était moindre.

Le dos, enfin la partie dénudée du dos de la jeune femme, rougis puis fut parsemé de traits rouges vifs. Ses cris, ses hurlements, les numéros, tout ça n’avait plus vraiment d’importance. Mÿredge s’arrêta quelque instant avant de demandé à Marya d’apporter un autre bol de poisson, qu’elle disposa sur le sol, tout comme le premier. Le noble en prit un morceau et le porta aux lèvres de la jeune femme. Allait-elle le mordre ? Au fond de lui il l’espérait pour avoir à la punir encore plus. Car oui, il prenait son pied à agir ainsi, mais aucune violence n’était de trop, il ne la frappait par « bon vouloir », mais car elle avait commis une faute, grave, un tapis de plusieurs centaines d’euros… Gâché par ses déjections buccales.

-« Bien, je t’ai frappé assez longtemps pour que dans les jours à venir tu ne puisses pas dormir sur le dos, mais je vais te réexpliquer les règles. Ici, tu es à moi, au même titre qu’un objet. Tu n’es rien, tu n’as aucun droit, sauf celui d’obéir, de te surpasser. Tu as deux choix, la mort ou me servir. Tu commets une erreur, et tu subiras pareil, tu obéis comme je te le demande et tout se passera bien. Tu as perdu la vision, demain, tu n’auras plus le droit de parler et dans deux jours tes oreilles seront munis de bouchon, tu seras donc seule avec toi-même. Et quand tu auras enfin compris que je ne veux pas ton mâle pauvre petite chose, alors tu auras le droit d’user de ton corps un peu plus. » Il ponctua cette phrase par un autre coup sur le sol ensanglanté de la jeune hybride. Sa voix était si froide, si tranchante, on dirait vraiment qu’il annonçait sa peine de mort.

-« Marya a été te chercher un autre bol, tu vas manger, puis rester à genoux tête baissée. Si tu te lèves, tu seras fouetter, si tu parles tu seras fouetter. Si tu tentes quoi que ce soit, je jure que tout ce que tu as connu sera que des détails dans ta vie. Maintenant, mange et remercie ton Seigneur de t’offrir cette chance, ces habits, cette nouvelle vie ! Dis-toi que si tu obéis tu ne manqueras de rien… Enfin si une « chienne » de ton genre en est capable… » La détachant et la jetant au sol, le nez dans son bol, il se rassit en la regardant avant de sourire, elle avait compris qui était le Maître et où était sa place.

Mÿredge rangea son martinet après avoir essuyé chacune des lamelles en cuir puis voyant le bol vide  la jeune hybride il l’attrapa par le cou avant de l’embrasser langoureusement, fouillant sa bouche de sa langue. Un vrai baiser, sensuel, pas timide, il était agrémenter d’une prise ferme sur la fasse droite de l’hybride.« Tu embrasses pas trop mal, mais tu as beaucoup à apprendre. Markus va t’apprendre à cuisiner, faire le ménage et parler français, bien sûr pas à l’aveugle. Tu auras droit de les voir, de voir ce que tu fais mais en aucun cas de me voir moi tant que tu n’es pas à la hauteur. Secondement Marya & Ynes t’apprendront à t’occuper des chevaux, ainsi que d’une femme et d’un homme. Mais en aucun cas tu toucheras un autre homme que moi, tu t’entraineras à sucer, à baiser avec elles via des jouets. Ton éducation sexuelle et non sexuelle se feront par mes domestiques. Et quand tu seras douée, tu me serviras. Maintenant, remercie moi de t’offrir tout ça et rampe jusqu’à la porte derrière toi… »

L’écoutant à moitié en train de pleurer de douleur, il fit signe à Marya de la nettoyer et de la soigner légèrement pour qu’elle puisse commencer dès maintenant le nettoyage, et évidemment, ça sera les toilettes… Et un manoir de cette taille devait au moins posséder des toilettes à chaque étages, voir dans chaque chambres. La regardant partir il murmura à Markus qui venait de rentrer dans le manoir en s’inclinant «  On peut en faire quelque chose… Renseigne-toi sur sa provenance. »
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MessageSujet: Re: "Trouver, c'est garder." PV Myr~ "Trouver, c'est garder." PV Myr~ Icon_minitimeVen 8 Aoû - 2:17
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Mais qu'est-ce qu'ils avaient tous avec ses cheveux bon sang ?! Elle en avait marre, à chaque fois c'était ses cheveux qui trinquaient dès le début. Elle gémit, ses oreilles frétillant à peine dessus, avant de se coucher, signe de soumission, sa queue battant faiblement entre ses jambes, nouvelle preuve de soumission. Par contre, le poing, elle ne s'y attendit pas, et le souffle coupée, tout ressortit, et s'étendit sur elle alors qu'elle fut jeté durement au sol. Se mettant à quatre pattes du mieux qu'elle le pu, elle toussa, et laissa le vomit s'étaler, se fichant bien qu'une partie soit sur elle.

« Je t’offre des habits, je te lave, te soigne et te donne même à manger et tu me remercie ainsi ingrate. Pour te punir tu seras fouetter jusqu’à ce que tu en perdes connaissance, et demain nous recommencerons la journée ainsi, tu seras de nouveau assise devant ton bol et rassure toi, je peux trouver pire que du poisson cru… Ynes ! Apporte-moi des cordes… Je vais t’attache de dos, contre le mur… Et tu vas me faire un plaisir de compter les coups, si tu le fais, je m’arrêterais surement avant de t’arracher la peau… » Lui gueula t-il dessus tout en la relevant, la mettant à sa hauteur presque. Presque aussitôt, la sentence fut appliquée. Elle ne s'était pas débattu, rien de sa part. Son corps était mou, elle ne faisait rien, ne bougeait pas, attendait, connaissant parfaitement le fouet... oh que oui, ça, elle avait déjà bien connue...

L'attente, les pas qui partent, puis qui reviennent, que d'angoisses supplémentaires qui arrive, qui s'accumule, qui la rendent folle... Et puis, le cuir... elle tremble, sa queue retourne entre ses jambes, et elle attend. Le premier coup lui arrache un cri de douleur, son corps se meut vers l'avant, ou du moins, essaye, et le premier chiffre tombe, à mi-voix, alors que son corps tremble. Sa queue s'est redressé par réflexe, et elle ne pense pas à la rabattre. Le second coup frappe son attribut félin, et cet fois, c'est un hurlement. Ces choses-là sont beaucoup trop sensibles.

Quand elle pense à rabattre sa queue, c'est bien moins douloureux, bien plus supportable, mais... Mais c'est dur, la douleur lui monte à la tête, tout tourne, sa tête tombe en arrière, elle est au bord de l'inconscience, mais elle compte quand même, d'une voix à peine audible, dans un souffle. Quand sa tête retombe vers l'avant, elle sent l'odeur du poisson. Elle comprend. Faiblement, elle ouvre la bouche, mâche difficilement, puis avale, docilement, l'écoutant en même temps.

« Bien, je t’ai frappé assez longtemps pour que dans les jours à venir tu ne puisses pas dormir sur le dos, mais je vais te réexpliquer les règles. Ici, tu es à moi, au même titre qu’un objet. Tu n’es rien, tu n’as aucun droit, sauf celui d’obéir, de te surpasser. Tu as deux choix, la mort ou me servir. Tu commets une erreur, et tu subiras pareil, tu obéis comme je te le demande et tout se passera bien. Tu as perdu la vision, demain, tu n’auras plus le droit de parler et dans deux jours tes oreilles seront munis de bouchon, tu seras donc seule avec toi-même. Et quand tu auras enfin compris que je ne veux pas ton mâle pauvre petite chose, alors tu auras le droit d’user de ton corps un peu plus. » Ce dernier coup, failli l'achever, elle ne cria pas, ne hurla pas, il n'y eut pas de bruit de sa part. Un cri sourd, juste.

Quand il l'a détache, elle fait ce qu'il attendait d'elle. Elle le remercia, difficilement, elle avait si mal à la gorge après avoir cri, puis mangea. Ce fut dur, douloureux pour son ventre et son esprit, mais elle termina. Quand elle eut fini, elle resta à genoux, dos à lui, tête baissé, dos courbé, sa queue enroulée autour d'elle qu'elle caressait doucement de ses deux mains pâlottes et toutes tremblotantes. Le bandeau était humide, à cause des larmes, ses paupières restaient désormais closes dessous, et quand elle l'entendit arrivée, elle prit peur. Elle se courba plus encore, son corps tremblant intensément.
Mais le pire, fut quand il lui prit par le cou. Elle gémit, ne comprenant pas ce qu'elle avait fait de mal, puis enfin, elle comprit qu'il ne voulait pas lui faire du mal. Du moins, pas physiquement, pas volontairement. Alors... alors elle essaye. Et malgrès elle, elle s'accroche à lui. Il faut comprendre, un peu de douceur après tant de chose... De lui faire plaisir. Elle est douce, timide, comparée à lui, mais ce n'est pas ce genre de chose que lui avait apprit Raiko...

D'ailleurs, juste après, il en parla. une éducation... sexuelle ? S'il voulait, tant pis pour elle, maintenant, qu'avait-elle a perdre ? Sa pureté était perdue de bien des façons d'ailleurs, alors trop bon... Elle hocha simplement la tête, n'osant pas bouger, chaque parcelle de son pauvre corps la faisant souffrir le martyr !
A la fin, elle le remercie, évidemment, merci Maître de m'offrir cette vie pourrie, de me réduire plus à néant que je ne l'étais déjà... Voilà pourquoi elle devait le remercier, de son point de vue... mais elle se contenta simplement du "Merci Maître pour tout ça..." d'une voix pleine de douleur, de larme un peu contenue, mais à peine.

Puis au final, elle part. Comme il le lui avait dit. Elle rampe. Mais, l'entrainement l'avait bien aguerrie sur ce sujet, et elle rampa, avec rapidité, agilité, et silence. Mais à la fin, elle se rendit compte qu'elle avait énormément souffert, elle ne s'en était pas rendue compte...
La femme qui devait la nettoyer l'emmena jusque dans une des nombreuses salles de bains, et commença à la laver rapidement, puis lui désinfecter les plaies et lui passer une de ces pommades qui effacent les traces. Ce fut le désinfectant qui l'acheva. Sur sa queue de chat. Sinon, elle serait restée consciente bien plus longtemps. Franchement, parce que comparé à Raiko, c'était moins douloureux, pour le moment...
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MessageSujet: Re: "Trouver, c'est garder." PV Myr~ "Trouver, c'est garder." PV Myr~ Icon_minitimeVen 8 Aoû - 2:58
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Marya prenait soin de ne pas trop lui faire de mal en nettoyant ses plaies, mais le désinfectant fut sans doute de trop pour la jeune hybride, surtout au niveau de sa queue si sensible. Tombant à moitié dans les pommes, Marya la retint dans ses bras. La domestique était châtain foncé, les cheveux assez long et légèrement ondulé. Ses yeux verts étaient d’une douceur, rappelant presque les clairières des contes de fée. Son corps était relativement mince, mais ses seins, eux, dépassaient la norme autorisée ! Un bon quatre-vingt-dix D. Ferme à souhaite, d’ailleurs l’hybride y avait logé sa joue dessus dans son inconscience.

La domestique la réveilla au bout d’une dizaine de minute, prenant soin de le faire en douceur puis elle lui retira son bandeau, afin de séchez ses larmes. La lumière de la salle de bain avait dû éblouir la jeune hybride puisqu’elle ne put pas voir les pupilles de la nouvelle propriété de son Maître. Mais une fois le temps d’adaptation passé, Marya put enfin constater la couleur des yeux de celle qui allait devenir son apprentie pendant les semaines à venir. Plongeant son regard dans le sien, elle vint l’embrasser en lui souhaitant la bienvenue.

-« Maître Mÿredge est un peu dure, mais c’est pour ton bien tu sais… Nous humaines, sommes passé par là avec lui, même Markus, mais Markus était le servant de son père… Ce fut même pire pour lui et regarde nous, nous sommes devenus des gens honnêtes, vivant dans le luxe, on aime travailler ici et Maître Mÿredge nous félicite souvent, bien qu’au début, notre dos et le reste de notre corps n’étaient que lambeaux de peau… Il aurait pu te laisser dehors, te laisser te faire violer ou mourir de faim, c’est une chance que tu puisses être parmi nous aujourd’hui, sache le… Mais dis-moi as-tu un prénom ? Enfin un nom ? »

La voix de la domestique étaient douce, telle une mélodie que l’on fredonnerait en se baladant sur une route de campagne ou en bord de plage. Marya était la douceur incarnée, elle était orpheline et avait demandé refuge à Londres dans le manoir des Winchester, elle avait été formé par Mÿredge qui était alors tout juste âgé de seize ans, elle n’en avait que dix à l’époque… Maintenant du haut de ses vingt-deux ans, elle œuvrait cœur et âme à servir son Maître, et à former les nouveaux arrivant.

Marya aida la jeune hybride à se remettre debout puis à marcher un peu autour d’elle, pour qu’elle s’habitue à ses talons aiguille qui n’étaient pas aussi hauts que ceux de la domestique. En effet, Marya portait des talons vertigineux, sans doute la hauteur finale de ce que devrait atteindre l’hybride. Marya portait la même robe qu’elle, bien qu’elle soit plus courte et de couleur bleu électrique au lieu du rouge bordeaux. La domestique la regarda tendrement et sans autre question posa ses lèvres tendrement sur les siennes, lui promettant que tout ce passerait merveilleusement bien si elle se donnait à fond… Elle l’espérait pour sa protégée…

Rompant le baiser, elle dû aider l’hybride à défaire ses bracelet de son cou, puis lui montra ce qu’elle devait nettoyer, les toilettes… Rien de trop sale, la plupart étaient entretenu comme il fallait, ça manquait juste de brillance. Marya lui proposa avant toute chose de se changer, lui donnant une jupe noire très courte et une chemise blanche, lui expliquant qu’elle n’avait que ça pour le moment, les tenues étaient dictées par Mÿredge, et elle ne possédait rien que ce qu’il voulait bien qu’elle possède.

Une fois correctement vêtue, Marya l’aida un instant pour récurer les toilettes, ce qu’elle faisait aussi ordinairement, puis la laissa seule le faire, lui accordant une confiance assez importante, en effet l’hybride pouvait s’enfuir à tout moment, c’est d’ailleurs pour ça Qu’Ynes était monté à l’étage… Sur le pas de la porte, elle fixait l’hybride. Si Marya, Markus & Mÿredge n’avaient rien, contre les hybrides, Ynes les détestaient… On aurait pu la qualifié de raciste. Vêtue également de la fameuse robe, même longueur que Marya mais de couleur vert foncée, elle ne lui ressemblait pas le moin du monde. Son visage était fin, ses cheveux courts et sombres tombaient au niveau de son menton et de sa nuque.

Grande, elle était montée sur des talons légèrement plus grand que ceux de l’hybride, mais plus pointue, à croire qu’un seul coup aurait suffi à égorgé qui que ce soit. Le regard hautain, elle portait sur sa poitrine les marques d’une récente punition sans doute. Des traits qui avaient dû être bien rouge et saignant et qui étaient restés violacé sur sa peau si pale… Datant au plus tard d’il y a deux jours. Elle s’avança vers l’hybride et prenant place sur le trône, fit ce qu’elle avait à faire sans gêne, avant de partir, se lavant juste les mains. Le ton était donné, l’hybride n’avait que deux choix : Obéir et s’attirer les bonnes grâces de Marya & du Maître ou tenter de faire la rebelle et de subir le courroux de la seconde domestique et également du Maître.

D’ailleurs se dernier la demanda, une fois qu’elle eut finit sa corvée, il se faisait tard et un bon repas chaud l’attendait dans la cuisine, pas du poisson cru. Évidemment, elle dû remettre son bandeau, enfin Marya le lui remit, ainsi que ses attaches. L’assiette fumante, fut posé au sol, et Mÿredge lui-même la guida vers l’assiette doucement, l’aidant à se mettre à genoux, il passa ses doigts sur le dos meurtri de sa nouvelle acquisition avant de parler, brisant le silence royal qui régnait dans la pièce.

-« Tu as eu le temps de réfléchir à ta condition, et je t’autorise à parler, à poser toutes les questions de ton choix, mais sache qu’en n’aucun cas tu seras libéré de ma maison. Markus, a fait des recherches sur toi, désires-tu que ça soit lui qui nous dise tout de ton passé, ou préfère tu le faire toi-même animale ? Sache juste que si je t’ai aidé dans cette ruelle c’est que j’ai vu du potentiel en toi, de quoi faire de toi une soumise, que tu sois hybride ou non ça n’aurait rien changé, maintenant parles. » Le ton était toujours aussi sec et glaciale. Mÿredge maitrisait tellement bien la langue anglaise… Même mieux que le français si ça se trouvait. Il garda les yeux rivé sur la jeune hybride, qui elle ne voyait même pas ce qu’elle mangeait…
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MessageSujet: Re: "Trouver, c'est garder." PV Myr~ "Trouver, c'est garder." PV Myr~ Icon_minitimeVen 8 Aoû - 7:47
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Le réveil fut douloureux... Dans son inconscience, elle avait rêvée. Rêvée, d'être avec son second père, qu'il ne l'avait pas abandonné. Ils étaient tout les dans un des appartements qu'il occupé lorsqu'il devait partir en mission quelque temps, et l'avait emmené. Ils étaient heureux tout les deux, il s'occupait d'elle, lui faisait à manger, elle pour le distraire ou le divertir, jouait simplement, car dans son rêve, ce n'était encore une fille, qui était joyeuse, sautillant partout, dansant, souriante. Oh que oui, ce fut douloureux de ne plus dormir dans un grand lit accompagnée de son père, mais simplement soutenue par une femme, à la poitrine gigantesque, totalement ridicule pour une femme de sa carrure.

Elle se redressa, titube un peu, toujours perchées sur dix centimètres de plus. Elle se laisse enlever le bandeau, mais elle a oubliée la lumière... Si sauvage, si dure, perçante. Elle se protège d'un coup le visage en grimaçant et en fermant les paupières. Puis peu à peu, se rhabitue. Mireille cligne des paupières quelques instants, puis regarde la femme l'embrasser, comme ça, sans prévenir ! L'hybride ne la repousse pas, trop surprise pour, fixant juste la domestique avec un regard d'incertitude, d'incompréhension...

Maître Mÿredge est un peu dure, mais c’est pour ton bien tu sais… Nous humaines, sommes passé par là avec lui, même Markus, mais Markus était le servant de son père… Ce fut même pire pour lui et regarde nous, nous sommes devenus des gens honnêtes, vivant dans le luxe, on aime travailler ici et Maître Mÿredge nous félicite souvent, bien qu’au début, notre dos et le reste de notre corps n’étaient que lambeaux de peau… Il aurait pu te laisser dehors, te laisser te faire violer ou mourir de faim, c’est une chance que tu puisses être parmi nous aujourd’hui, sache le… Mais dis-moi as-tu un prénom ? Enfin un nom ? » Ecoute la neko sans broncher. Comment ça, un peu dur ? Sérieusement ? Juste pour avoir vomis à cause d'un poisson cru, elle avait été fouetté ! Il y prenait presque du plaisir, et il avait prévue pour elle de s'en faire un joujou sexuel. Oui, bien sur, il était, un peu, dur.

Elle fut tirée de ses pensées par la domestiques qui l'aidait à se relever. Elle la remercia silencieusement, et marcha lentement, tremblotante du haut de ses talons auxquels apparemment elle allait devoir vite s'habituer... pourtant, ce n'était pas pratique, pour courir, être discret, surprendre... Non, il ne faut plus qu'elle pense à ça. Sa vie n'est plus rien de tout ce qu'on lui a apprit pendant quinze ans ! Maintenant, elle n'est là que pour la déco, une babiole remplaçable... Une petite décoration qu'on utilisera de temps à autre, pour rentabiliser.
Puis, une nouvelle fois, elle est tiré de sa rêver par Marya, qui l'embrasse sans aucune gêne, lui promettant que tout allait bien. Non ! Non ça n'allait pas ! Mireille, totalement dégoûtée, la repoussa et en s'essuyant la bouche du revers de la main. Skyon, dans son apprentissage, on lui avait apprit à haire tout ceux qui s'aimaient entre personne du même sexe. Et ce qu'elle venait de faire, l'avait dégoûtée bien plus que le poisson.

Enfin, ses liens furent défaits, et cela lui fit un bien fou ! Maintenant qu'elle n'était plus totalement dépendante de cette... femme, elle s'éloigna, restant tout de même dans la salle de bain, silencieuse, la regardant, toujours aussi dégoûtée par ce qu'elle venait de faire. Elle prit les vêtements sans rien dire, se détourna d'elle, se déshabilla puis se rhabilla tout aussi vite. L'hybride s'était retournée pour, de un, qu'elle n'y prenne pas trop de plaisir, ignorant ce qu'elle lui avait fait plus tôt dans la journée, puis surtout, parce que en voyant les énormes ballons qu'elle avait à la place des seins, voir sa propre poitrine lui faisait bien honte !
Une fois habillée, elle se retourna, voulant savoir ce qu'elle avait à faire. Quand elle su, elle haussa les épaules, la regarda partir, puis regarda en suivant les toilettes. Elle soupira un instant, tituba jusqu'à l'évier pour se rincer la bouche, et alla enfin se mettre à genoux devant les wc.

Son dos lui fit alors extrèmement mal. Les plaies qui n'étaient pas à peu près fermé se rouvrirent, et elle saigna un peu. Grâce à son sang coagulant, les plaies se refermèrent assez vite, mais seulement, ça avait prit un peu de tissus avec, ce qui faisait qu'au moindre ses mouvements, ça tirait dessus, et lui arraché un gémissement de douleur. Quand elle cru avoir fini, elle entendit des bruits de talons derrière elle, et ne reconnaissant pas ceux de l'autre, elle se retourna.
Mireille l'observa un instant, la détailla, et aussitôt, comme avec chaque femme rencontré jusqu'à présent, la jalousa, et pour ça, la detesta. D'ailleurs, et très rapidement, elle comprit que c'était réciproque, et que sa vie n'allait pas être un enfer uniquement à cause de son nouveau Maître... Elle parut vide, sans émotion, lorsque la domestique partit. Elle l'était. Qu'importe, autant s'habituer maintenant à faire des choses sales !

Aussi, avant d'être appelé, elle termina ce qu'on lui avait confiée, et se releva péniblement. Sa tête lui tourna, et elle s'aida du mur pour ne pas tomber, des larmes de douleur coulant le long de ses joues à cause de son dos à vif. Marya revint, elle la laissa faire, ne lui parlant pas le moins du monde, l'ignorant presque. Mais au moins, elle ne tenta pas de l'embrasser à nouveau, et tant mieux pour la petite blondinette.

Une fois arrivée dans le salon, et seulement en sentant la présence de l'homme, tout son être se mit à trembler. Elle recula un peu, par pur réflexe, et trésaillit en sentant sa main la guider. Elle n'eut d'autre choix que de le suivre, tête baissée, sa queue entre les jambes. Une fois à genoux, elle attendit, que lui voulait-il... ? Il touchait ses plaies, et un gémissement se fit entendre dans la pièce plus que vide... Pourquoi faisait-il ça ? Par sadisme ? Plaisir ? Curiosité peut-être ? Elle préféra croire que c'était la dernière...

« Tu as eu le temps de réfléchir à ta condition, et je t’autorise à parler, à poser toutes les questions de ton choix, mais sache qu’en n’aucun cas tu seras libéré de ma maison. Markus, a fait des recherches sur toi, désires-tu que ça soit lui qui nous dise tout de ton passé, ou préfère tu le faire toi-même animale ? Sache juste que si je t’ai aidé dans cette ruelle c’est que j’ai vu du potentiel en toi, de quoi faire de toi une soumise, que tu sois hybride ou non ça n’aurait rien changé, maintenant parles.
» Entendit-elle, devenant de plus en plus pâle au fur et à mesure qu'il parlait.

Ils connaissaient donc son passé... D'où elle venait, qui l'avait créé, les entrainements, son apprentissage... l'échec... Tout... Mais... Alors, peut-être que ça voulait dire, qu'il savait pourquoi on l'avait abandonné à deux reprises ? Oui ! Il devait forcément le savoir ! Il fallait qu'il crache le morceau, et elle pria pour.
"... J'aurais... deux questions... je crois... Maître... Pourquoi... voulez-vous que je sois une soumise ? Votre, soumise ? Je... Je ne suis pas belle, je n'ai pas le physique de comme vos domestiques.... je... je suis déjà soumise.. J'obéis, j'écoute...
Et comment, comment vous savez qui je suis ? En plus, si vous savez ma vie, pourquoi, pourquoi voulez-vous que je vous appartienne ? Je suis inutile, puisqu'on m'a abandonné plusieurs fois, pourquoi vous pensez que je peux être utile ?
"
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MessageSujet: Re: "Trouver, c'est garder." PV Myr~ "Trouver, c'est garder." PV Myr~ Icon_minitimeVen 8 Aoû - 12:27
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Les questions étaient forts intéressantes, Mÿredge vint doucement vers l’hybride, prenant son menton pour la regarde de face, bien qu’elle ne puisse pas le voir à cause du bâillon. Il se pencha doucement à son oreille avant de lui murmure les réponses, non pas celle qu’elle voulait entendre inconsciemment, mais les vrais, et la vérité allait peut-être la faire réagir, et elle pourrait devenir une soumise exemplaire ! Ouvrant doucement sa bouche, il laissa sa voix froide et tranchante envahir les oreilles de l’hybride qui sans sa vue, devait être aux aguets.

-«  Le charme d’une personne ne se mesure pas seulement à la taille de sa poitrine ou à sa capacité à satisfaire les besoins sexuelles d’un homme. Non loin de là, si je t’ai adopté c’est pour ton air innocent, ton visage enfantin, et ton corps frêle et extrêmement malléable. En effet, je vais pouvoir le façonner à mes désir, et qu’importe ce que je lui ferais, tu ne perdras en rien de ta beauté naturelle. Maintenant tu peux te trouver faible, laide, mais tout comme Ynes & Marya, ce que je pense de toi, ne changera en rien, peu importe ce que tu me diras. »Marquant une pause il revint vers la table, faisant signe aux trois domestiques de manger, pendant que c’était encore chaud. Prenant lui-même son verre de vin, il vint de nouveau devant l’hybride pour répondre à sa seconde question.

Beaucoup de personne te diront qu’ils seront tes maîtres, uniquement parce que tu es une hybride, tu as été créé pour servir et quand j’ai lu les rapports des scientifiques sur toi, tu as été créé pour bien plus que cela. Tu étais une espionne, un assassin peut-être mais encore une fois, le travail a été bâclé, ils t’ont formaté mais pas former ainsi, je vais donc finir le travail et faire de toi une vraie soumise, pas une simple « hybride qui obéit parce qu’il s’agit de sa race ». Je t’ai dit tout ce que je peux t’apprendre, et une fois que tu auras tout d’appris de ça, on passera à la suite, considère toi chanceuse d’être tombé sur le seul vrai Maître de cette ville.

Il regarda le haut de l’hybride, la chemise blanche que Marya lui avait enfilé, ses seins se voyait à travers mais rien de bien trop attirant non plus. Il expliqua également à la jeune hybride la différence entre une « soumise hybride » et une « soumise » tout court, la relation de confiance, le fait que l’une le fasse par crainte, tandis que l’autre le fait par plaisir. Puis il lui démontra également tout ce qu’elle avait à y gagner, un toit, une famille, de l’amour, du plaisir sans forcément être toujours obligée d’être violer… Il porta d’une main ferme son visage derrière la nuque de l’hybride et la guida vers l’assiette, l’aidant ainsi à choisir les bons morceaux de poulet chaud.

-«  Comme je te l’ai déjà dit petite chienne, si tu veux survivre ici, l’entrainement sera long et douloureux mais je vais être gentil, je te laisse le choix… Rester ici, ou Partir, et dans le cas où tu pars, quoi qu’il t’arrive dehors sous mes yeux, je n’interviendrais pas. Si ces jeunes veulent finir le travail puis t’envoyer six pieds sous terre, alors je les laisserais faire. Mais comme je me répète, c’est ton choix. Mange et tu me diras ce que tu décides… Mais avant toute chose, tu devras oublié tout ce qu’on t’a appris, absolument tout, ce que tu aimes ou déteste, ce qui est bien de faire ou non. Ton éducation repart de zéro et seul mon enseignement prône. Ais-je été clair ? » Il s’assit enfin à la table rectangulaire à l’autre bout, il ne distinguait que le sommet du crâne de l’hybride. A sa droite Marya, à gauche, Ynes, qui mangeaient en silence, sans plongé dans leur propre souvenir ! Markus lui, mangeait à l’écart, plutôt solitaire, et surtout plus timide que les autres femmes, il préférait ne pas se mêler des affaires de son Maître.

Le repas était quand même bien simple, du poulet rôti à la fourche et cuit à point, avec des patates, un peu de sauce tomate, de la vrai hein ! Pas de l'industrielle. Un peu de vin et d’eau pour accompagner tout ça et en dessert une crème blanche, accompagné de petit panier, ces gâteaux croustillants et sucré à souhait. L’hybride n’avait évidemment droit qu’au plat principal. Après tout, peu importe sa décision, elle n’était là qu’en test pour au moins une semaine. Et pour rappel, cette semaine consistait à lui apprendre uniquement les tâches ménagères, la langue française ainsi que les besoins sexuelles simples, rien de trop complexe ou désagréable pour le moment.

Marya & Ynes débarrassèrent la table des couverts, laissant ainsi seuls dans le salon Markus, l’hybride et le maître de maison. Ce dernier s’était levé pour écouter la réponse de l’hybride. Quel choix allait-elle faire ? Il l’aida à se relever puis la poussa contre la table, fasse contre le bord, ainsi elle ne pouvait pas reculer nerveusement pour s’enfuir, elle devait avouer sa décision. Il remarquait que le bandeau était de nouveau humide, ainsi donc c’était une chialeuse de première, il allait devoir lui faire connaitre le pire de la douleur si elle restait, uniquement dans le but qu’elle ne puisse plus pleurer pour un oui ou non.
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MessageSujet: Re: "Trouver, c'est garder." PV Myr~ "Trouver, c'est garder." PV Myr~ Icon_minitimeSam 9 Aoû - 6:42
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Elle rouvrit les yeux, par pur réflexe pour espérer le voir, oubliant son bandeau toute les trois secondes environ... Elle l'écouta, silencieuse, pensive, attentive en même temps. ~Je suis qu'une gamine physiquement, est-il pédophile ? Parce que si il veut quelque de moi sexuel, c'est forcément parce qu'il l'est... Ynès est tellement mieux foutu que moi, à elle seule elle pourrait le combler totalement...~ Elle aurait bien voulut soupirer, mais elle n'était pas seule, et il n'aurait sans doute pas bien réagit, puisqu'il n'aurait pas comprit quel type de soupir ça aurait été.

Elle l'entend partir, puis revenir. L'hybride n'a pas bouger, pas d'un millième de millimètre. Puis elle le réécoute. Elle n'est pas d'accord, elle sait pourquoi elle a été créé, et comment aussi. La jeune femme attend alors qu'il s'arrête, pour pouvoir lui répondre, d'une voix tremblotante, sans doute du à la peur. Ca oui, elle a peur de lui. Comment ne pas avoir peur d'un homme qui vous emmène comme ça, chez lui, vous prive de la vue, vous fouette, et vous promet à un avenir sombre ?
"Maître... On ne m'a pas créé pour devenir un assassin ou autre... Ils m'ont créé parce qu'ils avaient juste envie... D'essayer... Je suis juste une erreur. Et l'homme qui m'a acheté à voulut me rendre utile... Mais j'ai échouée. Je n'aime pas tuer les gens, leur faire du mal ! Je ferais tout ce que vous voudrais, avec plaisir même... Mais... Juste... Pas tuer..."

Elle baissa ensuite la tête, honteuse. De pleurer, d'être si faible, si inutile...Oh oui, Mireille se haissait profondément. Mais bon, elle n'arrivait pas à changer, elle avait essayée, plusieurs fois même ! Mais, la vue du sang la rendait automatiquement malade...
La neko se laissa guider, et mangea en silence, l'écoutant attentivement, ne perdant pas une miette de ses paroles si froide, si désagréable, mais agréable tout de même d'un certain sens. Bien qu'il soit froid, il choisissait bien ses mots. C'était plutôt difficile de manger ainsi, sans ses mains, mais rapidement elle trouva le geste, et le dernier morceau de poulet fut engloutie à une vitesse folle tant elle était affamée.

Elle eut fini avant les autres, ce qui lui permit de réfléchir. Elle se mit à genoux, et ne bougea pas, attendant, prise dans une profonde réflexion. Bien, Mireille n'avait pas le choix. Soit elle restait, souffrait pendant une bonne période, puis ensuite, ça irait à peu près bien, aurait effectivement un toit où vivre, de la nourriture tout les jours, un minimum d'affection... Elle n'avait qu'à y gagner en restant là, mais, c'était sûr, elle allait morfler avant que ça aille.
Mireille se demanda aussi, comment échapper à la corvée de l'apprentissage avec les deux filles, ça, elle ne pouvait pas supporter cette idée ! Ca l'horrifiée plus encore que les coups de fouet ! Il fallait faire quelque chose, et vite, pour qu'il comprenne qu'elle était tout à fait apte à s'occuper de lui de manière plus intime...

La neko y réfléchit jusqu'à ce qu'il arrive. Elle se sentit relevé, puis sentit quelque chose de dur dans son dos, elle ne bougea pas, tête légèrement baissée. "Je suis, à vous Maître, désormais... J'apprendrais tout ce qu'il faut pour que vous puissiez être satisfait de moi. Mais... Mais il y a des choses que je sais déjà... je sais déjà faire plaisir de manière intime, je n'ai pas besoin d'apprendre. Encore moins avec des femmes ! laissez moi... Laissez-vous montrer... Maître, s'il vous plaît..."
En disant ça, l'hybride tentait le tout pour le tout. Il y avait des chances pour que ça marche, mais tellement plus d'autres chances pour qu'il le prenne mal ou autre, et ne la punisse.
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MessageSujet: Re: "Trouver, c'est garder." PV Myr~ "Trouver, c'est garder." PV Myr~ Icon_minitimeDim 10 Aoû - 10:30
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Ainsi donc la jeune femme n’aimait pas les rapports lesbiens, amusant car de toute manière elle y aurait droit, que ce soit de gré ou de force. Mais Mÿredge n’allait pas cédé à une démonstration forcé. Prenant place sur son fauteuil, il demanda à l’une des femmes de ce munir d’un gode ceinture, objet qui se trouvait dans le petit local où il avait récupéré plus tôt dans la journée le fameux martinet qui avait réduit le dos de la jeune femme à son état actuel. Bien sûr, l’hybride ne voyait absolument pas donc impossible pour elle de dire si c’était un homme ou une femme qui le porterait.

Ynes l’enfila de manière assez fière, la jeune sadique allait se faire un plaisir fou avec ce jouet, le membre était une représentation exacte d’un pénis, que ce soit en terme de couleur, de forme, de nervure. D’une longueur légèrement semblable à la majorité des pénis il n’en n’était pas moins épais. Le gland en plastique possédait un petit trou, où l’on pouvait faire sortir toute sorte de liquide si on le chargeait. Mais pour ce soir, il serait vide, de plus Mÿr’ avait une idée amusante.

-« Markus va se faire sucer par toi, si tu arrives à le faire jouir avant que je me lasse de te regarder, alors je dirais que oui tu sais t’y prendre. Mais dans le cas contraire tu recommenceras ton apprentissage de zéro et en plus de cela, tu devras le faire avec homme ou femme. Ce ne sera pas négociable. Ici ce que je veux, je l’obtiens, si tu crois pouvoir me faire du charme ou faire en sorte de que j’ai de la pitié pour toi, tu te trompes royalement. » Il fit signe à Ynes de s’enfoncer dans sa gorge, et de remuer d’abord doucement, de toute manière, les liens empêchait l’hybride d’y toucher avec ses mains. Seule sa bouche et sa gorge allait devoir servir. Y compris sa petite langue que Mÿr imaginait râpeuse à souhait… Comme tous félins.

Le membre allait et venait en elle, laissant un beau filet de base dégouliner sur le menton de l’hybride, le gland tapait fortement le palais et Markus dû se placer derrière Ynes pour lui faire prendre une position plus apte à la gorge profonde, lui permettant ainsi de heurter une première fois violement la glotte, puis une seconde fois d’aller légèrement trop loin, elle ressortit pour laisser à l’hybride le temps de reprendre son souffle et de déglutir en silence. Markus s’excusa à sa place pour jouer le jeu. Markus, le domestique du père de Mÿredge était un jeune homme noir, élevé comme au temps de la ségrégation, il avait été l’ami de Mÿr’ pendant son enfance, et il l’avait toujours traité avec respect n’étant pas raciste comme son père. Vous imaginez bien, qu’un noir n’avait en rien un pénis semblable au jouet en plastique… Et rien que cette idée le fit sourire…

Le mouvement repris, mais cette fois, la main d’Ynes, vint à l’arrière du crâne de la jeune hybride pour lui prendre les cheveux, courbant ainsi sa tête en arrière afin d’avoir un meilleur accès sa gorge, y allant violement, Markus simulait des gémissants tout en restant assis sur une chaise juste derrière Ynes. La comédie touchant à sa fin, Mÿredge fit signe à Ynes de retirer et à Markus de « reprendre son souffle ». Dans le geste brusque de la domestique, l’hybride fut projeté légèrement en arrière et sur le côté la faisant tomber.

-« Lamentable… Ne pas savoir faire jouir en moins de cinq minutes un homme, en effet ton ancien propriétaire ta appris des choses… A être nulle mais rassure toi, je vais t’entraîner et comme je te l’ai dit, homme ou femme tu y auras droit. Mais bien entendu, il est temps pour toi de découvrir où tu dormiras pendant ta semaine de test. Ynes, accompagne la en bas et attend moi, ne l’utilise pas… » La domestique se leva prenant une nouvelle fois l’hybride par les cheveux pour la transporter jusqu’à la cave, l’endroit était sombre, humide et surtout une forte odeur d’éther y régnait, comme dans les hôpitaux de l’ancien temps.

Tu sens comme ta chambre sent bon sale petite garce… T’aimes pas les femmes ? Rassure toi je déteste les hybrides, vous êtes des monstres, des êtres de Satan… Tu mériterais que je te tue maintenant et que j’explique à Mÿr’ que tu as glissé sur l’une des flaques en essayant de t’enfuir… mais il a l’air de t’apprécié et de vouloir te garder… Tant pis, j’espère au moins qu’il ne me fera rien faire avec ton corps d’animale… parce que sinon... » Mÿredge descendit les escaliers, mettant fin par sa simple présence au discours de la domestique qui se voulait effrayant et menaçant.

Prenant l’hybride par le bras, il la plaqua contre une croix de saint André, il s’agissait d’une croix en bois où les bras et els jambes étaient étirés et écartés. Fixant les attaches, il détacha les mains de l’hybride de son cou pour les fixer en haut de la croix à chacune des extrémités. Idem pour les jambes, il posa doucement sa main sur l’entre jambe de l’hybride. Epilé mais sec, la peur devait sans doute l’empêcher de prendre du plaisir. Mais pour cette nuit la peur allait être le cadet de ses soucis. Il ouvrit un tiroir et posa sur le plateau métallique divers objets dont le son résonnait dans la pièce. Des seringues remplis de liquide bizarre, un Hitachi (Un vibromasseur), et divers autres petits objets.

-« Bien, comme tu peux l’entendre, il s’agit de seringue d’injection, le premier est un puissant aphrodisiaque, il va te rendre non pas chaude mais bouillante et tu supplieras dans moins d’une heure que quelqu’un descende pour te faire du bien, homme comme femme…. La deuxième seringue est un extrait de champignon, il te fera voir tes fantasmes comme une réalité, et si tu en as pas encore, ce sera des souvenirs refoulé, les deux mélangés tu pourras revivre le pire viol de ton existence et prendre du plaisir. Tu auras honte de toi, crois-moi… Mais je ne vais pas te laisser toute la nuit, je vais mettre un vibro pile sur ton bouton d’amour à une vitesse très basse, pour juste renforcer ton excitation et non la satisfaire. Et bien entendu, tu ne verras, entendras et diras absolument rien… Ynes fait la taire maintenant… »

Elle prit les bouchons de cires, elle les enfonça dans les oreilles de l’hybride bien profondément pour l’empêcher d’entendre quoi que ce soit. Il s’agissait d’un noir auditif complet qui complétait celui de sa vision provoqué par le bandeau. Rapidement, ce fut un bâillon en forme de O qui vint ce placer dans sa bouche, l’empêchant de parler mais pas de gémir, d’hurler ou de sortir tout autre son similaire. De son côté Mÿredge, enfonçait l’aiguille dans le bras gauche de l’hybride, injectant le produit lentement, le but n’était pas de lui faire mal… Cinq minutes à peine, lui suffirent à changer la canule pour injecter le second produit. Voilà, plus qu’à attendre les effets du produit…

Prenant l’Hitachi, il prit un pied de micro pour le poser juste en face du vagin de l’hybride, remplaçant le « micro invisible » par le vibromasseur, le globe vibrant se posant sur son clitoris, la vibration était progressive, le jouet possédait vingt niveaux de vibration mais la limite pour ce soir était fixer à cinq. Toute la nuit, le jouet allait modifier sa vitesse entre une et cinq pulsations… Ynes remonta dans le manoir laissant l’hybride et le maître seuls dans la cave humide… Ce dernier caressa lentement et doucement les seins de l’hybride, pinçant ses tétons avant de retirer ses mains et prendre la porte murmurant tout simplement : « Bonne nuit… ne me déçois pas. »
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MessageSujet: Re: "Trouver, c'est garder." PV Myr~ "Trouver, c'est garder." PV Myr~ Icon_minitimeMer 13 Aoû - 10:02
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Sentant cette main, elle se rendit compte de la supercherie. Ce n'était pas Markus ! La colère monta en elle. Ils se foutaient de sa gueule, et ça les amusaient. Elle mordit à peine, pour vérifier. En général, même si peu, ils le sentent et n'apprécie pas. Aucune réaction, toujours ces gémissements de pseudo-plaisir. Ses poings se serrèrent, jusqu'à ce que ses jointures soient blanche. Quand elle pu enfin arrêter, elle préféra se taire, non, il ne valait mieux pas se la ramener maintenant !
Elle entendit son Maître ordonner à Ynès de la ramener en bas, et cette même main, douce, fine, aux doigts longs et délicats, la prit par les cheveux pour la soulever. Elle se tu, et se releva pour la suivre, ne disant strictement rien.

Quand elle fut en bas, son 'discours', la dégoûta profondément. Sa colère était très forte, et une tension palpable se faisait clairement sentir dans la pièce ! D'un coup, alors qu'elle sentait le souffle de la femme dans son cou, elle se recula brusquement, la faisant tomber, et au hasard, donna un coup de talon vers le sol. Cela perça le corps de la domestique. A l'épaule. Furieuse, elle en redonna un, qui l'atteignit cette fois, au bas du ventre. Elle tomba, perdant l'équilibre, et se recula à l'autre bout de la pièce pour se relever, seule, s'aidant tant bien que mal du mur.

"Des êtres de Satan ? Peuh ! On a été créé par vous espèce d'idiote ! Satan, c'est ton espèce alors ? Ouais, sans doute. Mais oublies pas que nous alors, on a vos gênes. Notre côté diabolique on le tien de vous salope !
Tu pensais vraiment me faire croire que c'était Markus ?! Imbécile ! Apprends à mentir avant d'essayer ! Tes mains sont bien différentes de celles des hommes, alors fermes-la !"
Fit-elle alors qu'elle gémissait de douleur, se tordant un peu, regardant son Maître en l'implorant de l'aider. Mireille ne s'était pas rendu compte de sa présence, et avait hurlé en allemand, sa langue natal.

Elle en était rouge tant ça l'avait énervé, et cet état, ça devait bien être la première fois qu'elle en était à ce point... Puis soudain, elle entendit Myr' arriver vers elle. Qu'importe, elle ne regrettait ni ses dires, ni ses faits. Mais, il sembla ignorer la fille au sol,et l'attacha. Ses jointures craquèrent quand ils se déplièrent enfin. Elle gémit de soulagement, et ne protesta pas, n'opposant aucune résistance. Puis elle l'écouta. Fantasme ? Non, elle n'en avait pas. le sex, elle haissait ça. Elle haissait les Hommes, et plus encore les hommes. Et puis, l'aphrodisiaque, elle connaissait que trop bien. Raiko en avait usé sans arrêt avec elle, pour pouvoir la prendre sans problème.

Au final, elle s'en fichait, mais elle savait bien que plus tard, ça ne serait qu'un supplice. Elle sentit les injections, tandis que Maria arriviit pour la mettre dans le vide total. Ses pas précipités, ses mains tremblantes, elle comprit qu'elle avait vu Ynès. Elle s'en fichait. D'ailleurs, ce fut le vide instantanément après.
Pour avoir participé à ces techniques de torturent, elle l'admira, en quelque sorte. Isoler la victime dans un vide total pour ensuite les faire ressentir des choses, cela ne fait qu'accroître les sensations. Elle mordit le tissus, commençant à calmer sa respiration, sentant déjà quelques petits effets du champignons.

Dans son imagination, elle vit Maria ramener Ynès en haut, puis la tuer, avant de chercher Mireille pour qu'elle couche avec, sous le regard plein de plaisir de son Maître. Toute la nuit, les sensations, les rêves bizarres, tout ça, l'empêchèrent de dormir.
Raiko... oh oui... Il vint et revint celui-la ! D'abord, la nourriture, les chaleurs dont elle connaissait désormais les origines... Puis, la viol, dans la cave, suivit du fouet. Tout cela était devenue trop réel, son esprit ne pouvait plus rien distinguer ! Que de la torture. Elle se tortillait, gémissait, pleurait, suppliait dans sa tête. Mais rien ne la délivrait. Son baillon était tout aussi humide que sa petite culotte, son corps était bouillant, plein de sueur.

Et enfin, la jour levé, la délivrance. Après cette nuit qui lui sembla sans fin, Marya vint pour la détacher. Elle s'écroula par terre, tremblant comme le vibro puissance maximal, et se recula, pitoyablement, se roulant par terre en boule, comme un pauvre chiot miteux et abandonné. Les produits avaient presque cessé de faire leurs oeuvres, et elle était réellement au plus mal. Marya l'amena jusqu'à la salle de bain, pour la nettoyer de tout ces liquides, puis lui enleva les objets la coupant du monde. Mireille se jeta alors dans ses bras, ayant besoin d'un peu d'amour peut-être après tout ça, et la jeune femme la câlina quelques minutes avant de l'habiller autrement, de couleur bordeaux et noir.

Juste après, la neko ne pu s'empêcher de vomir. Mais elle fit attention de ne rien tâcher et se débarbouilla juste après. Bien qu'elle ai faillit tuer Ynès, Maria la comprenait un peu, l'aider du mieux qu'elle le pu, l'aider, la rassurant à voix basse, avant de l'emmener se présenter au Maître. Comme prévu, elle eut de nouveau les poignets reliés au cou, les yeux bandés, et enfin, la bouche bailloné. Demain, ce serait les oreilles, mais jusque là, il restait encore une longue et pénible journée à assurer.
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MessageSujet: Re: "Trouver, c'est garder." PV Myr~ "Trouver, c'est garder." PV Myr~ Icon_minitimeSam 6 Sep - 11:26
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Ynes était dans le salon, les bras tendus vers le plafond, les pieds ne touchant à peine le sol… Entièrement nue, ses plaies causés par l’hybride avaient été soignés mais d’autres vinrent de naitre sur son corps… Il était déjà dix heures du matin quand on autorisa l’hybride à sortir de la cave mais cela faisait deux heures que la domestiques ce faisait frapper par le Maitre, Mÿredge. Son fouet rouge en peau de serpent dans la main, il laissait des stries rouge sang sur le dos, le ventre et les jambes de celle qui fut longtemps sa préférée. Marya vint mettre la jeune femme à genoux devant son bourreau, et lui retira le bandeau sous l’ordre de son Maître.

Ynes ta blesser hier ma belle hybride, mais tu as été toute aussi vilaine qu’elle, et il est normal que tu sois autant punie qu’elle, mais je vais t’offrir la possibilité de ne pas subir cela seule dans ton coin comme elle… Ynes, sera traité comme toi pendant les jours à venir, je te montrerais ainsi que femme ou hybride, les règles sont les mêmes. Elle sera ta partenaire de gamelle, de niche, et de douleur… Marya, redresse-la et attache là contre Ynes… Nue évidement… »


La domestique te déshabilla sans mal grâce aux attaches qui t’empêchait déjà de trop te mouvoir… Et à part des protestations étouffées par le bâillon, l’hybride ne pouvait pas trop se défendre de ce qui allait suivre… Les seins collés contre ceux de la domestique, les sexes si proches… Les pieds et les mains liés entre eux de manière à ce que l’une ne puisse pas bouger de l’autre. Le fouet s’abattit une première fois sur le dos d’Ynes, faisant le tour pour heurter Skyon de la même force… La jeune femme était habitué depuis deux heures, mais pas l’hybride qui avait passé ça nuit à mouiller et jouir…

Ynes murmurait des excuses, cherchant les lèvres de l’hybride, elle avait été brisé, et savait très bien que sa survie dépendait des efforts qu’elle allait devoir faire… Si l’une voulait survivre, l’autre devait la sauver, la dure loi de la fraternité… Le fouet frappait encore et encore, mais cette fois, aucune zone ne fut épargnée par le traitement… Le sang se mélangeait aux cris, à la sueur et aux pleures des deux jeunes créatures. Et ce ne fut que pour midi que Mÿredge décida de els détachés, reliant leurs mains à leur cou, remettant leur bandeau, et les laissant choir sur le sol tel deux mortes…

Markus apporta une grande gamelle en fer, qu’il disposa sur le sol près des pieds de Mÿredge, puis il vint prendre place à table tout comme Marya, ne prêtant pas attention aux deux chiennes, car s’étaient ce qu’elles étaient devenues… Leur conditions qui ne pouvait que s’améliorer en prenait une sacré claque, elle venait limite de perdre tout l’intérêt que Mÿredge leur portaient. Mangeant en silence, il décida qu’il était temps pour lui te montrer à Skyon ce qu’était le mot souffrir… Quittant la table, il prit les laisses les deux « esclaves » pour les conduire à une salle où il les attacha face à un écran, là il mit en route un film de soumission/torture des plus hard, et retirant leurs bandeaux et il repartit pour finir son repas.

Deux femmes que tout opposaient, allaient devoir changer le plus rapidement possible, devenir plus que lesbienne dans le seul espoir de survivre, car si Mÿredge pouvait leur offrir beaucoup, il était capable également du contraire, et la vidéo, le représentait lui avec une ancienne servante, une femme et non une hybride… Ynes reconnaissant son visage sur la vidéo mais pas Skyon, qui ne l’avait jamais vu… Les scènes si violente allaient marqués leur esprit à jamais… Et le Maître espérait bien que les deux idiotes allaient vraiment commencer à se comporter de façon exemplaire.
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MessageSujet: Re: "Trouver, c'est garder." PV Myr~ "Trouver, c'est garder." PV Myr~ Icon_minitimeSam 6 Sep - 16:28
Invité
-« Ynes ta blesser hier ma belle hybride, mais tu as été toute aussi vilaine qu’elle, et il est normal que tu sois autant punie qu’elle, mais je vais t’offrir la possibilité de ne pas subir cela seule dans ton coin comme elle… Ynes, sera traité comme toi pendant les jours à venir, je te montrerais ainsi que femme ou hybride, les règles sont les mêmes. Elle sera ta partenaire de gamelle, de niche, et de douleur… Marya, redresse-la et attache là contre Ynes… Nue évidement… »


Mireille se contenta d'hocher simplement la tête. Elle était trop épuisée pour pouvoir protester à ce qu'il disait et à ce qui allait suivre. Elle avait la tête baissé, les yeux fixant le sol, des cernes sous ses yeux. La neko ne voulait pas le voir. Après tout, elle n'en était pas encore digne, puisqu'elle se faisait punir, alors elle ne le regardait pas, fixant le sol sans rien dire, silencieuse, pâle.
Elle n'eut aucune réaction quand Marya la déshabilla, ni quand elle l'attacha tout contre Ynès. Les deux étaient comme morte. L'une par les coups, l'autre par le plaisir. Mais le premier coups de fouet ne tarda pas à réveiller l'hybride, qui poussa un cri de douleur puissant. Pendant les deux heures, elle hurla de douleur, jusqu'à ce qu'elle n'ai plus de voix et que ça ne deviennent que de faibles mot à peine chuchotté, des promesses, des supplications, n'importe quoi qui lui venait à l'esprit. Les larmes coulaient en abondance. La blondinette voulait tant s'évanouir, n'avoir plus aucune sensation... Mais c'était impossible. Même à bout de force elle n'y arrivait pas. Sa tête dodelinait, elle n'arrivait plus à gémir, à demander pardon, ni même à pleurer, elle était au bout.

Elle se douta que ce n'était pas pour ça, mais elle fut soulagée qu'il arrête enfin. Le bandeau essuya ses yeux humides, et elle s'écroula à plat ventre sur le sol quand rien ne la retint d'avantage. Le ventre était le sol endroit qui avait été épargné, même s'il était couvert de sang. Bien évidemment, c'était celui de ynès, pas le sien.
Par terre, elle ne bougeait plus. Respirait à peine. Etait à peine consciente de ce qui se passait tout autour d'elle. Le sang tapait fort dans ses oreilles. Elle n'entendait plus rien à part ça, à part son coeur qui battait à tout rompre dans sa petite poitrine. Elle sentit que quelque chose bougeait près d'elle. Ynès peut-être. La neko qui n'entendait et qui ne voyait rien, ni même n'avait plus la conscience du temps, ne bougeait pas. Elle n'avait pas faim. Elle voulait dormir, vomir, se faire câliner par son Maître, juste ça, pas se faire battre...

Elle sentit quelqu'un la soulever à peine et la guider vers une gamelle. Marya, sans doute. Mireille comprit qu'elle devait manger. Elle le fit, à peine, trois bouchées seulement car elle voulait vraiment vomir.
Rapidement, elle fut à nouveau entrainé. Une laisse. Elle ne l'avait même pas remarqué. Mais qu'importe, elle se dépêcha de suivre la cadence, difficilement, saignant de partout. Unefois arrêté, elle s'écroula, hoquetant de douleur, le souffle court, difficile. La neko cligna des yeux quand elle fut baigné dans la lumière, et regarda son Maître partir, les laissant livrer à elel-même face à une télé. Elle regarda ce qui s'y passait, et rapidement, elle détourna les yeux.

Mais si elle était là, c'était qu'il y avait une bonne raison, sans doute qu'il voulait qu'elles voient ce film. Alors elle regarda, tout, mais pas de coups supplémentaires. Un peu plus tard, lors de la pire des scènes, elle rejeta tout. Elle vomit tout ce qu'elle avait pu accumuler au cours de la journée, c'était trop violent pour la pauvre fille qui comprit après que ça risquait bien de lui arriver, et que pour l'instant ce qu'elle avait eut, ce n'était rien comparé à ça. L'hybride regarda l'humaine, le regard pleins de questions. Il n'était pas encore revenu, et elle avait tant de questions à poser, mais elle ne pouvait pas.
Si elle avait pu, sa voix claire et douce aurait demandé pourquoi il faisait ? Comment il pouvait être si cruel ? Comment éviter tout ça... Mais rien ne pouvait sortir, alors elle du regarder la suite du film, détournant les yeux parfois, pleurant pour la servante d'autre fois...
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MessageSujet: Re: "Trouver, c'est garder." PV Myr~ "Trouver, c'est garder." PV Myr~ Icon_minitimeDim 7 Sep - 11:20
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L’après-midi fut très longue pour les deux jeunes femmes qui étaient attachés devant la grande télé, visionnant des scènes toujours plus hardcore ou dégradant… Pendant ce même temps Mÿredge s’occupait des affaires internes de sa maison, comme le paiement des factures ou la répartitions des « récompenses » autrement dit, le salaire des employé, il parlait évidement de Markus, Marya & Ynes, peut-être qu’un jour Skyon aurait sa propre fiche, mais pour le moment elle n’était rien, absolument rien.

Marya quant à elle avait dû nettoyer toutes les salles toute seul puisque l’absence d’Ynes la pénalisait bien plus qu’elle ne l’avait imaginé… Et le pire fut quand elle dû aller dans la grande salle où étaient harnacher les deux jeunes femmes… L’hybride avait encore une fois vidé le contenu de son estomac sur le sol, ça en devenait presque une habitude maintenant, mais il allait falloir qu’elle cesse, sinon le Maître n’allait pas rester aussi tolérant au fils des jours. Elle éteignit le film pour permettre aux deux spectatrices de penser à autre chose, enfin si cela leur était possible…

Le Maître veut que vous vous reposiez toutes les deux, ce soir il désire parler d’une chose importante avec toi, mais il te désir reposer et en bonne santé, quant à toi Ynes, il accepte de te pardonner tes erreurs de la journée, et te demande d’aller ranger la bibliothèque entièrement de fond en comble… Je vais vous détacher, et te remettre le bandeau à toi *Dit –elle en désignant l’hybride* Ynes s’occupera de toi pour te laver une nouvelle fois et te guider jusqu’à un bon lit, oui, tu as le privilège du lit… Ne gâche pas ta chance de montrer que tu es quelqu’un de bien dressée… »

Retirant les liens à Ynes, ainsi que son bâillon, cette dernière se jeta sur l’hybride, non pas pour la frapper ou l’insulter comme elle l’aurait fait il y a quelques heures, mais pour l’embrasser avec tendresse, bloquant son visage dans son épaisse poitrine, demandant pardon, lui disant que plus jamais elle ne lui ferait du mal de la sorte, et qu’elle ne voulait plus revivre ça, jamais… L’hybride ne devait même pas comprendre ce qu’il se passait tant la jeune domestique parlait vite et de façon hachuré puisqu’elle tremblait sous la peur et la fatigue…

Tu dois bien comprendre puisque tu es la petite nouvelle, que tu es come un objet… Un crayon pour être précis, moi et Ynes nous sommes des crayons qui fonctionne, qui écrivent bien, docn le Maître nous utilise souvent et fait de nous ses préférés, mais si un crayon ne fonctionnait pas, et bien on va s’acharner une peu dessus puis on le jette à la poubelle, ce crayon pour le moment c’est toi, et si tu désires survivre il va falloir que tu trouves de quoi te faire marcher, une motivation quelconque… »


Marya avait expliqué clairement quel était la situation de la jeune hybride, elle devait faire ses preuves mais dans un seul sens, celui de l’obéissance, le respect, la loyauté ainsi que de la fidélité… Lui remettant son bandeau, elle reprit ses mains pour les attacher à son collier, puis la laissa avec Ynes qui la guida jusqu’à la salle de bain où elle la dénuda pour pouvoir nettoyer son visage et sa poitrine souillée par son vomissement. L’autre domestique alla faire son rapport au Maître, qui décida de convoquer Markus pour qu’il aide Ynes pour la bibliothèque, ses excuses lui avaient valu d’avoir de l’aide.

Mÿredge, se leva en direction d’un petit meuble ou se trouvait un collier muni d’une multitude d’attache, il le donna à Marya, lui demandant de se cambrer sur le bureau, ce qu’elle fit sans attendre… Sa récompense allait enfin tomber… Relevant la jupe de la domestique, il s’enfonça en elle sans attendre, donnant des coups de reins profond dans l’entre brulant et humide de la jeune femme. Chaque coup était ponctuer d’un cri résonnant dans toute la pièce et même au-delà, voilà ce que pouvait gagner Skyon, des moments de pure plaisir, sans violence ni luxure trop violente…
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MessageSujet: Re: "Trouver, c'est garder." PV Myr~ "Trouver, c'est garder." PV Myr~ Icon_minitimeMer 17 Sep - 19:31
Invité
-« Le Maître veut que vous vous reposiez toutes les deux, ce soir il désire parler d’une chose importante avec toi, mais il te désir reposer et en bonne santé, quant à toi Ynes, il accepte de te pardonner tes erreurs de la journée, et te demande d’aller ranger la bibliothèque entièrement de fond en comble… Je vais vous détacher, et te remettre le bandeau à toi *Dit –elle en désignant l’hybride* Ynes s’occupera de toi pour te laver une nouvelle fois et te guider jusqu’à un bon lit, oui, tu as le privilège du lit… Ne gâche pas ta chance de montrer que tu es quelqu’un de bien dressée… »
Dit-elle en les détachant.

Mireille se laissa faire lorsque Ynès arriva et l'embrassa sans prendre le temps de respirer. Elle-mêem l'embrassa d'ailleurs, elle était à bout, et comm Ynès, elle aller tout faire sauf se rebeller ou autre, qu'importe si elle devait avoir des rapports sexuelles avec des femmes, ou même avec objets, elle n'en avait plus rien à faire maintenant de tout ce qui était sexuelle ! Tout, absolument tout pour éviter ce qu'elle venait de voir, ou même de se faire fouetter !
A bout de force, elle s'effondra sous Ynès, jusqu'à ce qu'elle arrête et s'écarte. Elle se tourna vers Marya et l'observa pendant qu'elle lui parlait.

-« Tu dois bien comprendre puisque tu es la petite nouvelle, que tu es come un objet… Un crayon pour être précis, moi et Ynes nous sommes des crayons qui fonctionne, qui écrivent bien, docn le Maître nous utilise souvent et fait de nous ses préférés, mais si un crayon ne fonctionnait pas, et bien on va s’acharner une peu dessus puis on le jette à la poubelle, ce crayon pour le moment c’est toi, et si tu désires survivre il va falloir que tu trouves de quoi te faire marcher, une motivation quelconque… »


Elle hocha la tête pour lui faire comprendre qu'elle avait bien compris ce qu'elle avait dit. Mireille se releva, et se laissa attacher et bander les yeux docilement, puis suivit Ynès paisiblement, se laissa nettoyer également, avant d'être amené dans une chambre, où elle la déshabilla totalement, avant d'être recouverte par une fine nuisette transparente, magnifique, mais simple.
Elle resta planté dans la chambre, avant de marcher au hasard et de rencontrer un lit, elle s'y allonger, et en fermant, s'endormit assez rapidement.

Mais peu après, elle fut réveillée par des cris. Des cris qui sonnaient bizarrement aux oreilles de la douce félines, qui se leva, piquée par la curiosité afin de sortir de la chambre et de partir à la recherche de l'origine de ce bruit. Nue pied, elle ne faisait aucun bruit, mais elle se cognait beaucoup, mais qu'importe, elle était obnubilé par ce son, ces cris. Au fur et à mesure, elle entendit comme du plaisir dedans, de la joie. Elle reconnue la voix de MArya, et se dit qu'elle devait servir de joujou à son Maître...
Elle était un peu... jalouse... Jalouse oui, c'était bien le mot... Jalouse de ne pas être la préférée... Mais elle savait que ça n'allait pas être le cas avant très longtemps.

Ces cris... ces cris de plaisir l'excitée un peu. L'aphrodisiaque était toujours actif en elle, elle sentit le doux liquide blanchâtre couler entre ses jambes, une petite goutte, voir deux, mais sans plus pour le moment. Seulement, sans culotte, ça coulait...
Elle arriva enfin à l'origine du bruit, et était juste devant la porte, qui était fermé, elle ne le savait pas ça, et attendait juste, fixement, essayant d'imaginer la scène. Ce fut alors que Markus arriva, passant par là pour chercher des produits pour Ynès, il la vit, plantée devant la porte.

Il la prit alors méchamment par le bras, ouvrit la porte et la jeta aux pieds de Myredge. Skyon, totalement déboussolée, ne comprit rien à ce qui venait de se passer, mais Markus expliqua sans le vouloir, disant qu'il l'avait trouvé devant la porte à rien faire, juste à écouter, il l'insulta de chatte en chaleur en ricanant méchamment après avoir vu le liquide entre ses jambes, puis se retira pour retourna auprès de l'autre domestique.
La blondinette déversa un flot d'excuses, disant qu'elle avait été attiré par les cris, que ça l'avait excitée, qu'elle ne pensait rien faire de mal, juste qu'elle avait été curieuse par tout ça.

Elle était maintenant à genoux juste devant lui, tête baissée dans ses épaules, sa queue entre les jambes, les oreilles baissées, tout en elle émanait la soumission et la crainte, mais également l'excitation.
Invité
MessageSujet: Re: "Trouver, c'est garder." PV Myr~ "Trouver, c'est garder." PV Myr~ Icon_minitimeVen 19 Sep - 23:33
Invité
Enfin, des moments de luxure pas trop violente il ne fallait pas trop non plus y compter et Marya pouvait en témoigner… La jeune femme pouvait sentir les coups de butoir du Maitre claquer contre son arrière train de façon sec et répété, presque mécanique. L’homme lui tenait fermement les cheveux les ayant entourés autour de sa main gauche pendant que la droite flattait de temps à autre l’encolure de ses fesses par de petite frappe, juste de quoi la faire rougir et crier de plaisir.

Markus ouvrit la porte sans prévenir pour jeter aux pieds de Mÿredge la jeune hybride qui semblait très attiré par la situation, sans doute encore sous les effets des produits qu’elle avait eu l’occasion de gouter durant sa courte nuit… La majordome noir expliqua en détail ce qu’elle avait tenté de faire en écoutant à la porte et il avait également constaté que l’état sexuelle de la jeune femme ne témoignait pas en sa faveur, d’ailleurs cette derrière s’excusait tant bien que mal pour ne pas attirer les foudres du maître qui pour le moment était bien trop occupé à prendre sa domestique.

Retournant Marya pour avoir son dos presque allongé contre la grande table, ses jambes dans l’air plié de manière à ouvrir vulgairement son vagin pour permettre au maître de demeure de la prendre sans plus d’état d’âme. La bourrinant comme si il s’agissait d’un vulgaire trou et pourtant cette affront semblait plaire à la domestique qui éjacula violement contre le bas ventre de l’homme lorsqu’il se figea en elle pour se délivré de sa semence. Son regard se porta aussitôt à Skyon qui avait reçu un peu de semence sur le coin du nez.

Prenant la jeune hybride par ses fins cheveux, il la souleva sans aucun mal pour lui coller le nez contre le vagin trempée et remplie de la jeune femme. Lui intimant l’ordre de lécher, ce qu’elle dû faire même à contre cœur puisqu’elle n’avait pas trop le choix. Le corps de la domestique semblait apprécier le traitement, sans doute que la langue de l’hybride était aussi rugueuse que celle d’un vrai chat, en tout cas pour l’humaine il s’agissait là d’un vrai délice, puisque dans un hurlement de bonheur elle se cambra contre la able pour déverser un autre flot de cyprine.

Tu vois ma belle hybride, quand tu veux tu peux devenir lesbienne… Maintenant j’attends de toi un comportement aussi exemplaire… Tu as fautée et tu as été punie maintenant que tu as bien travaillée et que tu m’as montré que tu pouvais faire ce que j’attendais de toi et bien tu mérites une petite récompense. Mais je préfère t’offrir ça dans un autre que le salon, je n’aime pas baiser deux fois au même endroit le même jour. Allons donc dans ma chambre où je pourrais me régaler de toi… »


Attachant une laisse à la jeune hybride, il s’amusa à la balader longuement jusqu’à une porte où il la plaqua contre relevant un peu le bas de sa tenue pour s’insérer dans sa petite fente légèrement humide et sans doute très peu utilisé. Son membre écartait les chairs intimes de la jeune créature, afin de se loger au plus profond de son intimité pour donner de légers coups de butoirs, faisant claquer son gland contre sa matrice et ses bourses contre ses fesses, écrasant doucement les siens de la jeune femme ainsi que son visage contre la porte, la bouche près de son oreille…

Hum… tu vois quand tu veux, tu peux me plaire, et je suis certains que ça te plais à toi aussi à en croire ce que ton corps me raconte… Maintenant sache que ce ne sera pas tous les jours ainsi, il y aura des jours où tu feras des conneries que je m’aviserais de te faire regretter amèrement, et d’autres jours où tu seras la bonne petite chienne soumise que j’attends de toi, tu as compris que toi, Marya & Ynes êtes au même niveau… Trois putains de chienne à mon service, vos vies sont miennes, compris ? Hum.. Prends ça au fond de toi, et rassure toi ma belle, je ne vais pas jouir en toi, tu ne mérites pas autant, pas encore… »

Se retirant juste à temps, il laissa son foutre brulant se rependre contre les jambes et les pieds de la jeune hybride, la raccompagnant tendrement dans sa chambre où pour la première fois de sa vie, elle allait dormir dans un lit avec de vrai draps de soie et non du simple tissus bon marché. L’attachant uniquement par le cou au montant du lit, il lui retira ses bracelets aux bras, puis éteignit la lumière afin de retirer le bandeau sans qu’elle ait la moindre chance de la voir… Le prochain jour allait être très fatigante pour elle, elle avait été testée sexuellement, et moralement, demain serait une épreuve purement physique…

Fermant la porte il lui souhaite faiblement bonne nuit avant de rejoindre Ynes toujours dans la bibliothèque pour prendre un peu soin d’elle. Bien que l’on puisse dire de lui qu’il s’agissait d’un tyran il prenait également soin de ces possessions, en effet vous comme lui traitez vos animaux avant affection et justesse, punissant quand il était nécessaire et récompensant les autres moments. Et aucune des trois n’allaient échapper à la règle. Ynes toujours en train de ranger les livres et de les nettoyer, se jeta à ses pieds pour s’excuser encore… Elle avait honte de l’avoir déçue et regrettait amèrement elle aussi son comportement de la journée qui, il l’espérait serait bien meilleur demain…
Invité
MessageSujet: Re: "Trouver, c'est garder." PV Myr~ "Trouver, c'est garder." PV Myr~ Icon_minitimeMar 23 Sep - 17:13
Invité
Le Maître ne s'occupait pas d'elle, et elle se tu rapidement lorsqu'elle entendit MArya crier de nouveau par le plaisir que lui procurait l'homme. Mireille était franchement curieuse, elle ne savait pas vraiment comment on pouvait aimer ça, surtout dans de tels conditions, et elle était loin de s'imaginer qu'elle le saurait bientôt.
Soudain, elle ressent quelque chose sur son nez, qui coule légèrement, tombant sur ses lèvres. Curieuse, elle lécha ça du bout de la langue, avalant ensuite avec une petite moue de désapointement, ne trouvant pas ça bon du tout. Cependant, le silence est revenu, et ça lui fait du bien. Elle est toute chaude, surtout au niveau de son entre-jambe, mais elle ignore ça, elle ne veut pas que ça recommence, qu'elle se fasse violer à nouveau, rie que d'y penser elle se sent mal...

Et puis une main l'aggrippe par les cheveux, pour la soulever et lui mettre la bouche collé au vagin humide de la servante. Elle comprend. Elle obéit. La neko ne veut plus e faire battre par cet homme, ni devoir regarder pareil vidéo, ou même pire, être à la place de la femme de la vidéo. Tout sauf ça. Alors elle lèche, elle ne sait pas bien ce qu'elle lèche car elle n'en a jamais vraiment vu en détail, mais elle essaye. Sa langue, entre dans le trou de la domestique, resort, rentre, puis joue avec le clitoris. Cela ne dure pas longtemps, car elle l'entend jouir à nouveau.
Pour la blondinette, ça ne l'excite pas vraiment. Pas du tout même. Elle se recule légèrement, tombant un peu à la renverse, recrachant la cyprine qu'elle trouve totalement dégueulasse.

-« Tu vois ma belle hybride, quand tu veux tu peux devenir lesbienne… Maintenant j’attends de toi un comportement aussi exemplaire… Tu as fautée et tu as été punie maintenant que tu as bien travaillée et que tu m’as montré que tu pouvais faire ce que j’attendais de toi et bien tu mérites une petite récompense. Mais je préfère t’offrir ça dans un autre que le salon, je n’aime pas baiser deux fois au même endroit le même jour. Allons donc dans ma chambre où je pourrais me régaler de toi… »

Elle fait un petit oui de la tête, un peu déboussolée cependant, elle ne sait pas pourquoi, mais dans sa tête, tout est confus. Elle se sent soudainement être tirée, et elle suit docilement. Comme l'hybride ne savait pas s'il fallait rester à quatre pattes ou se lever, elle choisit la sécurité, et resta à quatre pattes, le suivant en tentant de pas trop divaguer et de ne pas se cogner, ce qu'elle fait tout de même trois fois contre des murs ou des meubles.

Et d'un coup, elle se sent plaqué contre un mur, non, ça bouge à peine, une porte donc. Elle se cambre presque aussitôt, comme un mécanisme, par réflexe, et ressent sans être prévenu, la verge s'insérant peu à peu en elle. La neko pousse un long gémissement de douleur, ses mains se resserrant, son corps se crispant un peu, jusqu'à ce qu'il se mouve tranquillement en elle. Au début, c'est sûr, elle souffre, et puis peu à peu elle commence à ressentir du plaisir. C'est si étrange pour elle, à nouveau, elle est perdue, elle a peur de son corps qu'elle ne comprend pas.

-« Hum… tu vois quand tu veux, tu peux me plaire, et je suis certains que ça te plais à toi aussi à en croire ce que ton corps me raconte… Maintenant sache que ce ne sera pas tous les jours ainsi, il y aura des jours où tu feras des conneries que je m’aviserais de te faire regretter amèrement, et d’autres jours où tu seras la bonne petite chienne soumise que j’attends de toi, tu as compris que toi, Marya & Ynes êtes au même niveau… Trois putains de chienne à mon service, vos vies sont miennes, compris ? Hum.. Prends ça au fond de toi, et rassure toi ma belle, je ne vais pas jouir en toi, tu ne mérites pas autant, pas encore… »

Poussant un petit gémissement de plaisir en guise de réponse, elle se retient, retient de crier, se retient de jouir. Elle ne veut pas être comme Marya, aussi... impudique... Mais son corps la trahit, elle est à bout de souffle, le visage un peu rougit par le plaisir que lui procure son Maître, jusqu'à ce qu'il retire son membre. Elle pousse un dernier gémissement, moins retenu que les autres. Ses jambes tremblent, elle n'a vraiment pas l'habitude et a honte du plaisir qu'elle en a retiré...
Elle ressent le liquide, mais n'y fait pas attention

Mireille le suivit jusque dans la chambre, où il la débarassa des entraves aux poignets, avant de s'éloigner puis de revenir pour lui enlever le bandeau. La chambre est plongé dans le noir, et à son plus grand regret elle ne voit pas son visage... Elle baisse la tête, puis les yeux, avant de se laisser guider jusqu'au lit où il l'attache simplement, avant de s'éloigner.
Elle écoute son pas devenir de plus en plusdistant, puis son 'bonne nuit', auquel elle répond, presque tendrement, "Bonne nuit à vous aussi Maître..."
Elle regrette qu'il ne dorme pas avec elle, elle aurait tant voulut avoir une compagnie, mais bon, tant pis...

Le lit est si bon, si chaud, tellement différent de la nuit qu'elle a pu passé la veille. En moins de trois minutes, elle est déjà loin dans le pays des rêves, dormant profondément au chaud sous les couvertures, ne rêvant d'absolument rien, un sommeil lourd, reposant et réparateur.
Invité
MessageSujet: Re: "Trouver, c'est garder." PV Myr~ "Trouver, c'est garder." PV Myr~ Icon_minitime
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"Trouver, c'est garder." PV Myr~
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