Nom : Inconnu.
Prénom : Penumbra
Âge : Une vingtaine d'années
Rang : Hybride Rebelle !
Race : Louve
Orientation sexuelle : Je me suis toujours entendue avec tout le monde mais surtout avec les filles ♥
Description physique : Mes cheveux sont longs, très longs et de couleur noire, enfin, ils sont gris mais très foncés. Plein de mèches restent libres un peu partout, me tombant devant les yeux. Je me suis jamais résolue à les couper, du coup, je dois me les trimballer maintenant. Mais si jamais ça me prend de les raccourcir, fais attention à mes oreilles de loup. Elles ont la même couleur que mes cheveux, quoique qu'un peu plus claires, sont assez grandes et ont l'intérieur de couleur noire. Après, mes yeux apparaissent rouges, mais encore une fois ce n'est que votre imagination car ils sont marrons, seulement très clairs et brillants. Je vois dans la nuit vous savez. Mon signe particulier ? Surement mes marques noires sur les joues, j'ai beau avoir essayé plein de fois de les enlever, elles sont toujours restées. Au niveau des vêtements, je porte ce que je trouve, mais généralement, j'ai un ensemble gris, en dévoilant beaucoup mais je m'en fiche, au moins c'est pratique pour bouger. Je porte des mitaines, des lacets autour de mes bras, et des jambières grises, ça fait classe. Je comprendrais jamais les femmes qui marchent avec des talons aiguilles.
Description psychologique : Me parle pas, tu m'ennuie. Moi, grincheuse ? Non, c'est toi qui est chiant. Ouais c'est vrai j'ai mauvais caractère, je fais souvent la tête. J'aime pas qu'on me colle, j'aime pas quand on me parle, je préfère être toute seule. Et si tu m’embêtes, je sais me défendre. Je souris pas souvent alors fais gaffe si tu te moques de moi. J'aime manger, dormir, et avoir des câlins. Quoi, c'est pas parce que je suis de mauvais poil que je veux rester seule. Contradictoire ? C'est possible. Et si tu penses que je suis une Tsundere, tu peux toujours aller te brosser. Les mecs ça m'intéresse pas, c'est inutile. Trop inutile. Ça sert juste à faire pleurer les filles. Je les protège moi, j'aime jouer les grandes sœurs. Ça m'arrive de raconter des bobards mais que quand ça m'arrange, donc ouais, l’honnêteté, tu peux mettre de coté. Mais la malhonnêteté n'inclut pas la loyauté, donc si je décide de rester avec toi, je te lâche pu, compris ?
Le plus souvent, je préfère jouer les timides avec les gens que je connais pas... Je préfère observer tu vois ? Apprendre à connaitre avant de choisir mon camp, c'est mieux pour se repérer. Aussi, ne compte pas sur moi pour te rendre des services, faut savoir compter sur soi-même des fois. Je suis très facilement jalouse aussi.
Histoire : Ça va être difficile si tu veux connaitre mon histoire. J'ai pas de souvenirs de mon enfance. C'est triste hein ? Bah à la limite je vous dirais que tant mieux, comme ça j'ai pas de bagages à transporter, je vais de l'avant, en pensant au lendemain sans ressasser le passé.
Bah, j'imagine que j'ai du naitre dans un des coins de la ville, dans une famille d'hybrides rebelles. Mais le fait est que maintenant, je suis toute seule. Mais ça me dérange pas. Je vis dans un quartier tranquille où il n'y a presque aucun flic. J'ai trouvé une place dans une bande d'hybrides rebelles. Ils étaient d'abord un peu rebutés à l'idée de me prendre dans leurs rangs, surtout quand je leur ai dit que je me souvenais pas de mon passé. Ils pensaient à une farce ou même que j'étais une espionne d'un autre gang. Tsss tu parles, je voulais juste un truc à bouffer et un endroit où dormir c'tout.
C'est pour ça, les premiers jours, je tentais de faire ce qu'on me disait. Livrer de la drogue dans différents quartiers de Géolia, faire passer de faux papiers, tendre des pièges pour protéger notre quartiers des intrus, fouiller les poubelles des résidences, j'y trouvais mon compte finalement. On me fichait la paix et on me laisser vivre sans me demander pourquoi j'étais là tout ça, c'était bien. Mais j'avoue qu'un soir j'ai un peu flippé.
On dormait tous dans un vieux local désaffecté, et j'étais la seule fille. Vous voyez déjà le coup venir non, bande de pervers. Bref, on dormais tous sur le sol, sur des morceaux de couverture ou pour les plus chanceux, des matelas trouvés dans les déchets des humains quand tout à coup, j'ai senti un poids s'abattre sur moi. C'était un des mecs de la bande... Il commençait à me toucher à des endroits pas très... Bref. Mais je n'ai pas crié, ça non. J'ai saisi ses jambes avec les miennes et je l'ai retourné... Avant de me mettre à le tabasser à moi toute seule tandis que les autres, alertés par les cris de celui que je défonçais à mains nus me regardaient, l'air ahuri.
De fil en aiguille, je suis devenue la chef de la bande, les autres ont trop peur de moi. Depuis, je me méfie et je ne dors plus que d'un oeil. Ne jamais abaisser sa garde.
Autre : Aye.