Cela fait plusieurs moi que je suis enfermer dans cette enfers, que dis-je plusieurs années. Ici, les gens passent comme si c'était un zoo, à la recherche de "l'hybride parfait" qui saura les combler. Moi? plusieurs personnes ont essayé de m'approcher mais se sont brûler en me touchant.

Je les repousse, je reste au fond de ma cage seul recroqueviller les yeux clos. J'attend qu'une seule chose de mes journée, qu'une personne n'est pas peur de moi. Qu'elle puisse me caresser sans que je la brûle par peur.

Aujourd'hui, encore un de ses matin banals des maîtres viennent chercher des neko, évitant de s'approcher de ma cage pour ne pas se brûler. Pour une fois le vendeur décide de me mettre dans la vitrine, la chaleur du soleil viens frapper ma peau. Cela me réchauffe, me donne de l'espoir. Une jeune femme m'intrigue elle regarde la vitrine, non moi elle m'observe pendant un moment avant de partir. se me remet au fond de ma cage entendant quelqu'un entrée dans la boutique.

La femme de toute à l'heure s'avance vers ma cage puis s'adresse à moi.
- Tu t'appelles donc Tsuki, c'est ça ? Dis moi, depuis combien de temps es tu ici ?

Je reste muette au fond de ma cage,je la regarde de l’œil droit, non je l'observe. Je me contente de hocher la tête puis d'une vois frêle je lui répond:
Je ne sais pas ...
Je détourne doucement le regard caressant doucement mes cheveux au pointes enflammés.

Je la regarde à nouveau, avec des yeux plutôt triste : elle doit être ici depuis longtemps, si elle même ne s'en souviens pas...

Je soupire pour la énième fois et l'observe carresser ses cheveux : ils ont des pointes enflammés, des flammes bleues... Cela pourrait faire peur à certains, mais moi... Ça m'intrigue, j'en suis même intéressée...

- J'aime beaucoup tes cheveux, tu sais ? Ils sont spéciaux, et j'aime bien...

Je lui souris une nouvelle fois : je ne veux pas l'effrayer, je veux qu'elle se sente en confiance avec moi...

Le vendeur revint vers moi.

- Alors, vous avez trouvé votre bohneur ?

Il dit ça, mais on voit bien que tous les hybrides ici sont malheureux... Je réfléchis et en même temps, les autres hybrides faisait du bruit, sûrement pour attirer l'attention, mais le vendeur les fit taire, et plus un mot. Je souris et m'approcha de la cage de Tsuki.

- Je vais la prendre, enfin si elle veut bien de moi.

Je lui souris une nouvelle fois, attendant sa réponse...

Depuis le fond de la cage je continue de me caresser les cheveux en examinant à nouveau la jeune femme avec beaucoup d’intérêt, je pense déjà au fait d'être libre.

puis j'entendis sortir de sa petite bouche: "- J'aime beaucoup tes cheveux, tu sais ? Ils sont spéciaux, et j'aime bien..." a ses mots je pus m’empêcher de lâcher un petit sourire sur mon visage, je relevas la tête la regardant puis m'approchas des barreaux. Elle était juste en face de moi mais je n'avais pas peur, j'avais l'impression qu'elle ne me ferai rien.

le vendeur lui demandas si elle trouvait son bonheur, à ses mots elle à répondu qu'elle me veux si je l'accepte, à cette instant mon regard ses remplis de bonheur. Je me suis accrochée aux barreaux et je lui est dis doucement:

Oui ma nouvelle maîtresse ...

Je souris à Tsuki, puisqu'elle venait de repondre favorablement à ma question, et je n'oublierais jamais son regard : un regard remplie de joie et de liberté.

Je demande au vendeur de la faire sortir et il parrut un peu étonné.

- Vous êtes sur de vouloir la prendre ? Nous avons des hybrides beaucoup mieux qu'elle !

A ces mots, je parrais ne pas être en colère, alors que si : il faut juste savoir se contrôler. Je lui repondis d'une voix normale, comme si je n'étais pas en colère.

- Vous n'êtes pas là pour me dire que faire ou qui choisir. Je vous ai juste demander de la faire sortir, pas autres chose.

Le vendeur ne dit plus rien et la sort. Une fois dehors, je lui souris.

- Attends moi là, je vais payer ton adoption.

Je m'en vais régler son prix à la caisse : il est un peu élevé, mais je paierais quand même. En face de moi, derrière le comptoir, il y a un grand placard avec des colliers très différents : des colliers normaux et des colliers en cuir, en passant par les colliers électriques,... Puis je remarque un magnifique collier en soie bleu foncé avec un médaillon en forme d'étoile. Je l'acheta aussi et demanda au vendeur de graver le médaillon. Je reviens vers Tsuki avec le collier, sans le médaillon qui est en train d'être gravé.

- Ça y est Tsuki, tu es mon hybride maintenant ! Et regarde...

Je lui montre le collier.

- C'est un collier en soie qui ne te blessera pas, et il est assorti aux couleurs de tes flammes.

Le vendeur vint me dire que le médaillon etait fini, je le pris et je regardais Tsuki.

- Ce médaillon indique que tu es à moi. Je veux que tu le porte quand on est dehors, mais quand on est à la maison, tu peux l'enlever.

je fus sortie de la cage par le vendeur sous la demande de la femme, ma nouvelle maîtresse. Elle me dis d'attendre là pendant qu'elle me paye et à son retour elle me ramène mon premier cadeau, un collier bleu de la même couleurs que mes flammes. Elle me dis que cela ne me fera pas de mal, je l'écoute attentivement car elle ma libérée de se cauchemar.

Le vendeur ramène le médaillon du collier et le donne à ma nouvelle maîtresse. Elle se tourne vers moi et me dis que c'est la preuve que je lui appartiens, dur ses mots je prend le collier et me l'attache autours du cou et la regarde en souriant

merci maîtresse , je vous servirez comme vous le désirez.

Je sorts de l'animalerie contente de ne plus être dans cette endroit si sinistre pour moi, je contemple ma maîtresse, elle à l'air heureuse. Nous commençons à marcher quand elle se présenta à moi sous son vrai prénom "Akela" qu'elle jolie prénom je trouve, elle me demande de ne pas l'appeler maîtresse. Elle est vraiment différente des autres, on marchait en direction de sa maison à se que j'ai compris quand son téléphone à sonner, elle à lu le message et à continuer la route mais tête baissé, quelque chose la blessée ?  elle a l'air triste je ne pus me retenir de lui demandais:

Maît.... Akela,quelque chose ne vas pas ?

Je me mis devant elle attendant une réponse de sa part, après tout je suis à son service je dois la rendre joyeuse.

Après que ma maîtresse est essayée de me rassurer sur ses histoires avec sa familles nous reprîmes la route direction sa maison, arrivée devant un grand manoir ma maîtresse entra dans je jardin et je la suivie de près.

Je restas un moment sur place à m'émerveiller de se jardin qui m'entourée, je me santés enfin libre ... tout se qui m'entourée était si beau j'avais l'impression de revivre.

Ma maîtresse avança un peu plus ouvrant la porte et me dis doucement:

" Bienvenue chez toi !"

Sur ses mots je rentras dans le manoir et observa les alentours attendant ma maîtresse tranquillement.

~Suite au "Manoir des Ikeba" au Quartier Résidentiel !~