"Bon en quoi puis-je vous aider ? J'aimerais manger bientôt si ce n'est pas trop vous en demander ..."

L'homme semblais pas être heureux d’être là et a vrai dire Juliette s'en fichais ! Elle voulais avant tout sauvé cette plante !

" Oh vous avez faim ? Et que manger vous donc ? Je ne mange rien ou très peu, si il vous faut quelque chose a vos envie dite le moi tout de suite, j'irais faire des courses. "

Sans plus attendre elle ouvrit sa véranda, inspecta chaque plante puis alla de toute vitesse voir la plante mise en quarantaine, son état n'avais pas bouger, mais n'allais pas mieux pour autant.

Elle rejoint l'hybride et le regarda dans les détails, non pas les détails que l'ont remarque en temps normal, Nous parlons des infimes détails.
Pollen , parfum, spores, chaleur. Tout ces éléments qu'elle regardait avec attention puis détourna le regard.

" Je vais vous montrer votre chambre pour la nuit. Ou pour plus longtemps cela va de soit. "

Elle emprunta des escalier pour monter au deuxième étage, et luis montra une chambre propre soignée, au décoration sobres. Un lit confortable et déjà prêt, une télévision et des fiole remplie d'un parfums fin fait maison.

" Si tu veut changer de décorations nous verrons cela plus tard. Je vais dans la cuisine, descend quand tu voudras."

Elle lui jeta un coup d’œil avec de ce retourner la main ce grattant la tête, et lâcha un soupir

" Qu'est-ce que je vient de faire moi ... "

Arriver a la cuisine elle prépara le déjeuner vite fait.
Un peu de salade, des œufs brouillées, et du pain, cela suffisait normalement à nourrir Juliette dans le mois. Puis prépara la table et alla s’asseoir sur son transat, enroulant une mèche de cheveux autour de son doigt. Regardant au loin elle remarqua que le vieux chêne devant chez elle semblais plus beau. Et son regard s'attendrie, aujourd'hui on pouvais voir bien distinctement le cercle de ces yeux jaune.
Elle ce demander pourquoi elle avais fait ce geste. Cet hybride la pour pourrais lui apporter ce plus qu'il manque a son quotidien. Il n'a pas l'air de l’apprécier, il va falloir, soit le laisser comme sa et lui parler un minimum, soit comprendre pourquoi il est comme ça...

Et la plante ! Surtout la soignée !
Elle ce massa les tempes, pour calmer un peu son stress, puis mâcha une feuille en respirant bien fort.

" Oh vous avez faim ? Et que manger vous donc ? Je ne mange rien ou très peu, si il vous faut quelque chose a vos envie dite le moi tout de suite, j'irais faire des courses. "

Ce qu'elle ignorait c'était que je ne me nourrissait pas conventionnellement. La partie la plus problématique de mon hybridation était mon nouveau mode de nutrition, car en général les hybride se contente de nourriture ordinaire et en général identique à celle d'un humain lambda or, en tant qu'hybride chauve-souris vampire j'avais adopté le même régime que la bête, j'avais donc besoin de me nourrir de sang ! Qu'il soit humain ou animal, tant qu'il était rouge, moi je me moquais bien d'où il pouvait provenir, toutefois j'arrivais quand même à reconnaitre d'où il venait juste au goût et j'avais une petite préférence pour le sang humain, il était plus doux et onctueux que les autres et aussi un peu plus nutritif accessoirement.

Elle se dirigea alors vers la véranda et j'y jeta un rapide coup d’œil pendant qu'elle faisait un check-up de sa grande collection de plante, je possédais moi-même une installation semblable au château, mais elle n'avait pas l'air de simplement les collectionner, elle les étudiait, ça se voyait à la façon dont elle avait disposée ses plantes. D'ailleurs certains des spécimens qui se trouvait la dedans valait une véritable fortune, tout particulièrement chez moi, car extrêmement rare et difficile à faire poussé a cause de nos conditions climatique très particulières et à notre sol au propriété tout aussi particulière ce qui empêchais un grand nombre de plante de pousser et faire importer du terreau n'était pas donné à tous, ce qui n'était pas mon problème bien évidemment ...

Après ce petit coup d’œil furtif elle m'observa de la tête au pieds, non pas pour savoir à ce que je ressemblais, mais c'était différent et j'étais très bien placer pour savoir a quoi ressemblais une femme qui vous observe pour voir si vous êtes un compagnon sexuellement valable. Ensuite elle me proposa de me montrer l'endroit ou je dormirais, enfin si un jour j'arrivais à trouver le sommeil bien sur ...
La chambre se trouvait au deuxième étages, elle était petite, mais coquette. Même si cela avait peu d'importance pour moi.

" Si tu veut changer de décorations nous verrons cela plus tard. Je vais dans la cuisine, descend quand tu voudras."

A vrai dire je me moquais éperdument de la décoration puisque je passerais sans doute le plus clair de mon temps dans ma boite en tout cas le temps que les choses se tasse en ville et que je puisse enfin partir et continuer mon voyage. Je déposa alors ma boite en m'y installa en laissant la porte de la chambre grande ouverte, mais pas le couvercle. J'avais pris l'habitude de me changer dedans, au début ce fut assez difficile, mais avec le temps j'avais réussi à prendre le coup de main. Une fois les vêtement de l'animalerie ôter et jeter en dehors, je pu enfin me montrer sous mon véritable aspect malgré le fait qu'il faisait toujours trop clair pour enlever mes lunettes de soleil, mais pas avant d'avoir pris une pochette de sang ! J'avais pour habitude d'attacher une paille sur les pochettes au moment ou j'en faisait l'acquisition. J'explora alors un peu la maison avec ma pochette de sang et sa paille planter dedans, je fini par retrouver ma 'propriétaire' allonger dans un transat près de la cuisine où s'y trouvais une table soigneusement dressée. Je m'approcha d'elle avec le pied léger comme à mon habitude ce qui avait tendance à faire sursauter les gens qui ne me voyait pas arriver.

"Préoccupée par quelque chose ?"

D'ordinaire je ne me serais même pas inquiéter de son sort, mais en tant qu'homme d'honneur j'avais une dette envers elle pour m'avoir sortis de là et comme tout homme d'honneur, je n'aimait devoir de dette à une personne, peut importe de qui il s'agissait.

Elle sentit l'odeur de l'hybride, une odeur douce, malgré letemps qu'il passe le prafum ne semble pas partir, elle le trouvais exquis.

"Préoccupée par quelque chose ?"

Elle ne fut pas surpris quand l'homme pris la paroles, puis arreta de ce masser les tempes, et retourna a l'enroulage de meche de cheveaux sur le bout du doigt.

" Oui et non "

Puis elle le regarda, Elle ne savais pas comment réagir, Elle avais pourtant le choix.

La peur a la vue qu'il sirotait tranquillement du sang à la paille.
L'humour pour le voir sucer du sang comme si de rien n’était.

Elle fin l'indifférence. en lui demandant plus tard qu'est-ce que cela voulais dire.

" Donc je présume que tu na plus faim... bien je vais ranger la table alors. "

Elle ce leva en peut faiblement, puis inspira profondément avant de mettre une sorte de boulette au herbe dans sa bouche et la mâcher. Tout en débarrassant la table elle soupira, elle repenser a sa plante.

Voila j'aurai besoin de vous pour quelque chose d'un peu spéciale. Votre parfums provient d'une fleur ne poussant qu'en Roumanie, ne me dite pas non je la connait par cœur. Et j'ai une plante très importante qui m'est utile pour faire le vaccin qui m'aiderais a sauvée des vies. J'aimerais vous la montrer."

Elle laissa la vaisselle dans l’évier, La femme de ménage viendra plus tard. Bien quelle soit riche elle n'utilisait ces fonds que pour ces plantes, rarement pour elle. Sa maison était moderne, propre avec très peu de décors, il avait un aquarium, qui faisait l'entrée, ou était mit ces plantes aquatique, elle en avait très peu car ce n’était pas sa spécialité.

Elle ouvra une porte ce mit un désinfectant sur elle puis regarda L'hybride.

" C'est un désinfectant, je vous prie de me laisser vous en appliquer, je n’aimerais pas une contagion parmi les autres. "

Puis lui appliqua le tout. Elle poussa une lourd porte donna sur un petite pièce, pas trop éclaire, et avec a son milieu une plante au couleur rouge et violet patent.

" Voila la manego florido Variété kilomoé. Une plantes rare qui ne pousse qu'en suède, malheureusement pour moi elle est très délicate au température d'ici, et je ne sais pas qu'elle miracle cela a t'il put arriver. Mes des spores de Phut venant de Roumanie la ravager. Je me suis dit que peut être sauriez vous la soigner ou m'aider pour un remède. Comme je vous l'ai dit tout a l’heure elle permet de soigner pas mal de vie grâce à mon vaccin. "

elle fit une longue pose avant de ce masser les tempes, un peu tremblotante et le visage pâlit.

" Si vous ne connaissais rien alors je me passerais de cette plantes et reformulerais mon vaccin. Et bien évidemment chercherais un moyen de vous faire quitter la région sans encombre."

Elle le regarda dans les yeux, profondément et avec sincérité. Elle ne voulais pas retenir une personne qui voulais voir ailleurs. Elle ne voulais pas être comme son père biologique et le privée de chose qu'il aime !

Puis elle baissa les yeux cherchant ou s'appuyer.
Elle n'avais pas manger depuis 2 jours maintenant, l’obsession de faire ce vaccin a pris le dessus. Mais elle n'allez pas s’arrêter aussi près du but, elle fouilla dans sa blouse et sortit d'un tube a essaie une lotion de couleur rouge, qu'elle but cul sec, ces yeux changea alors, il était plus charmeur, plus rêveur, et ces tourbillons était encore plus tracé plus voyant encore.

Elle indiqua alors de regarder la plante à Sebastian, afin qu'il regarde si il pouvais l'aider, ne le quittant pas des yeux.

Sa réaction fut assez étonnante puisqu'elle ne fut pas surprise que je lui adresse la parole, elle devait soit m'avoir vu ou sentit il n'y avait pas beaucoup de solution possible. Elle arrêta de se masser les tempes et repris son enroulage de mèche.

" Oui et non "

Elle m'observa un court instant, je pouvais sentir son hésitation, c'était un don inné chez moi, idéal pour choisir une ... proie ... Mais encore heureux pour elle ma pochette de sang me permettais d’inhibé mes pulsions et de calmer les démangeaisons de mes crocs, sinon je ne pense pas qu'elle ferais long feu ...

" Donc je présume que tu na plus faim... bien je vais ranger la table alors. "

En temps normal je ne l'aurais même pas adresser le moindre mot, mais mon éducation m’obligeais à lui répondre de façon polie et agréable.

"Je vous remercie tout de même d'avoir pris le temps de me préparer quelque chose, mais j'ai pour habitude de me procurer moi-même ma nourriture qui est, comme vous avez pu vous en rendre compte, tout sauf ordinaire ..."

Ensuite je la vue en train de manger une boulette d'herbe, était-elle aussi une hybride ? A ne se nourrir que de plante on pourrais le croire, mais pour n'y avoir aucune forme extérieur d'hybridation elle devait sortir d'un laboratoire hautement qualifié qui n'en est pas à sa première tentative.

"Voila j'aurai besoin de vous pour quelque chose d'un peu spéciale. Votre parfums provient d'une fleur ne poussant qu'en Roumanie, ne me dite pas non je la connait par cœur. Et j'ai une plante très importante qui m'est utile pour faire le vaccin qui m'aiderais a sauvée des vies. J'aimerais vous la montrer."

Enfin j'allais savoir pourquoi elle m'avait sortis de là, je pourrais enfin éponger ma dette et partir d'ici ! Je profita pour faire un peu plus attention à la maison qui s’avérait relativement sobre malgré un style assez moderne, ce qui n'était pas vraiment mon style favoris, j'étais plus dans le genre gothique ancien, voila pourquoi le château familiale était toujours en pierre, il faisait parfois un peu froid en hiver, mais personne ne c'était jamais plaint malgré leurs liberté d'expression. C'est alors que nous arrivons face à une porte menant à une toute petite pièce qu'elle ouvrit puis s’appliqua un genre de lotion avant de me regarder.

" C'est un désinfectant, je vous prie de me laisser vous en appliquer, je n’aimerais pas une contagion parmi les autres. "

Je la regarda un instant et mis mes bras en croix pour lui laisser appliquer le désinfectant, ça avait l'air assez important pour elle et ce n'était qu'un maigre prix à payer pour une tranquillité méritée. Il s'avéra ensuite que cette petite pièce était en réalité l'équivalent d'un sas de décontamination. Ses plantes était réellement importante pour elle, c'en était presque admirable. Il y avait un grand nombre de plantes dans sa serre et pas deux les mêmes et en son centre une plante dans les tons rouge violet.

" Voila la manego florido Variété kilomoé. Une plantes rare qui ne pousse qu'en suède, malheureusement pour moi elle est très délicate au température d'ici, et je ne sais pas qu'elle miracle cela a t'il put arriver. Mes des spores de Phut venant de Roumanie la ravager. Je me suis dit que peut être sauriez vous la soigner ou m'aider pour un remède. Comme je vous l'ai dit tout a l’heure elle permet de soigner pas mal de vie grâce à mon vaccin. "

Cette plante ne m'était pas totalement inconnu je ne l'avais jamais vue qu'en photo et j'avais aussi entendu parler de ses propriété unique et allant avec ses dires, celle qu'un scientifique complètement cinglé travaillait dessus et était à deux doigts de trouver quelque chose d'important sur cette plante. Désormais je pourrais dire que ce n'est pas un homme et qu'elle n'est pas aussi frappadingue qu'on le dit.

" Si vous ne connaissais rien alors je me passerais de cette plantes et reformulerais mon vaccin. Et bien évidemment chercherais un moyen de vous faire quitter la région sans encombre."

Comme je m'en doutais, elle m'avait sortis de cette 'animalerie' dans cet unique but et je ne lui était d'aucune autre utilité. A ce moment deux solution se présentais à moi, la première faire comme si je ne n'y connaissait rien et partir rapidement mais avec le poids sur la conscience d'être redevable envers quelqu'un que je connais à peine ou alors étudier consciencieusement cette plante et tout tenter pour apporter une réponse, voir une solution et sans doute devoir rester un peu plus longtemps ici. Mon honneur d'homme m'empêchais de choisir la première solution, je m'approcha donc de la plante sous l'étroite attention de la botaniste au beaux yeux ... Pour une raison qui m'échappais je trouvais qu'elle avait de plus beaux yeux tout d'un coup ...

Je l'observa sous tout les angles et remarqua quelques tâches foncée sous les feuilles, en regardant autour de moi je trouva un scalpel et du matériel d'analyse pour microscope ainsi que l'instrument un peu plus loin. J'utilisa alors le scalpel pour gratter une des tâche et récupéra le tout dans un tube a essai que je m'empressa d'aller placer sous le microscope et sans enlever mes lunettes car malgré le fait qu'il faisait moins lumineux ici le microscope lui était assez éblouissant. Après plusieurs minutes à analyser l'échantillon j'en arriva à une première conclusion, mais rien de certain, je revins alors près de la plante et la sortis du pot avec une délicatesse infinie et coupa environ deux millimètre d'une toute petite racine et puis la rempota avec tout autant de délicatesse. Une fois le morceau de racine poser sous le microscope je me sortis de la pièce et retourna dans la cuisine pour chercher un morceau de viande dans le frigo, une fois trouver j'en coupa un bout de taille équivalente à la racine et le rapporta dans la serre.

A ce moment je me doutais bien qu'elle se demandais ce que je faisait avec un morceau de viande, mais si ma première analyse était juste l'explication se montrerais d'elle même. Une fois a nouveau près du microscope je plaça doucement le morceau de viande contre la racine a l'aide d’instruments de précision, ensuite il fallait juste patienter une petite minute que sa réagisse, ce qui passa relativement vite je regarda donc a nouveau ou en était le morceau de plante et le steak, et à ma non-surprise le morceau de viande avait presque disparu et la racine elle avait doublé de volume et avait pris une teinte plus macabre dans les tons vert foncé.

"Comme je le craignait, votre plante arrive presque en stade terminale d'un maladie que nous appelons "l'herbe à cadavre", une fois infectée le virus se répand dans la plante et modifie considérablement la structure génétique de la plante la rendant carnivore, mais elle ne se contente pas de s'en nourrir elle fusionne avec la chaire et comme c'est une plante elle ne met en général pas longtemps avant de tomber sur un cadavre, qu'il soit humain ou animale, après c'est le passage le moins agréable. Étant donné qu'il s'agit d'une fusion elle acquière donc rapidement la capacité de se déplacer et en général elle fini par s'attaquer au vivant pour croitre encore et encore ..."

Je leva alors les yeux du microscope pour la regarder en devinant à l'avance qu'elle serait paniquée par cette nouvelle et surtout cet étrange maladie que j'avais je ne sais comment amené avec moi de ma terre natale pas spécialement toujours des plus agréable à vivre à cause de ses nombreux danger.

"Encore heureux pour vous et votre plante, il n'est pas encore trop tard, la seule solution que nous aillons trouver pour enrayer ce malheur qui fait rage chez nous depuis plus de vingt ans, c'est de faire l'équivalent d'une dialyse à votre plante et pour ça, rien ne vaut des pucerons ainsi que des coccinelles pour se débarrasser des pucerons une fois le travail terminé ..."

J'ignorais si elle était adepte de la méthode écologique, mais à grande échelle c'était tout ce que nous aillons trouvé pour nous débarrasser de ce fléau.

L'hybride semblais s’intéresser à la plante, bien qu'il y avait dans le regard comme une once d’hésitation, Mais Juliette ne fait pas attention à ce genre de réaction, si il pouvais l'aider elle en serais plus que heureuse, si c’était le contraire elle n'en pleurais pas . Ainsi va la vie.

Il faut savoir que Juliette ne montrais jamais ces sentiments, bien qu'elle soit très émotive, elle ne ce montre jamais. Pour ce contenir elle mâche des feuilles d'une plante qui canalise les émotions, qu'elle lâchera plus tard une fois seule, enfin si elle a le courage de faire face a des émotions.

elle ressassé le passé, celui ou sont père la frapper, et déchirer toute ces recherches. celui ou elle trouva des phots de sa mère battue. sa rage lui pris le dessus et quelque larmes coula sur ses joues, qu'elle chassa d'un revers de la main, et serra les poing elle fut couper dans sa pensée a la paroles de l'hybride, c'est yeux étais rouges, retenant du mieux qu'elle pu ces larmes, avec le visage le plus neutre qu'un être humains puissent avoir.

"Comme je le craignait, votre plante arrive presque en stade terminale d'un maladie que nous appelons "l'herbe à cadavre", une fois infectée le virus se répand dans la plante et modifie considérablement la structure génétique de la plante la rendant carnivore, mais elle ne se contente pas de s'en nourrir elle fusionne avec la chaire et comme c'est une plante elle ne met en général pas longtemps avant de tomber sur un cadavre, qu'il soit humain ou animale, après c'est le passage le moins agréable. Étant donné qu'il s'agit d'une fusion elle acquière donc rapidement la capacité de se déplacer et en général elle fini par s'attaquer au vivant pour croître encore et encore ..."


" Oui je voit, c'est vrai que je n'ai pas penser a cette éventualité."

Sa vois était d'un calme qui n’étais pas naturel, elle sera les poing dans les poches cherchant a se calmer avant que l'hybride ne repère quoi que ce soit, elle lui adressa un sourire. L’écoutant attentivement, après tout elle voulais aider les autres.

"Encore heureux pour vous et votre plante, il n'est pas encore trop tard, la seule solution que nous aillons trouver pour enrayer ce malheur qui fait rage chez nous depuis plus de vingt ans, c'est de faire l'équivalent d'une dialyse à votre plante et pour ça, rien ne vaut des pucerons ainsi que des coccinelles pour se débarrasser des pucerons une fois le travail terminé ..."

" Ah ? Des pucerons ? Je peut en avoirs rapidement au laboratoire, ils faut une espèce spécifique ou les pucerons commun irons aussi ? "

Elle ce retourna vivement et invita l'homme a la suivre. sortant de la pièce. ce désinfectant et en fit de même pour l'hybride puis elle enleva sa blouse qu'elle jeta dans une corbeille, pour la laver plus tard.

Elle était donc en robe très courte.
On peut voir qu'elle est très mince car elle ne mange pas beaucoup, mais elle avait des formes généreuse, très féminine, elle attacha c'est cheveux par une tresse de coté et regarda l'hybride les yeux encore rouge.

" On va au laboratoire, ne t'en fait pas tu crains rien avec moi, sauf si tu veut rester ici, tu connais les lieux, tu est libre de tout mouvement, j'en ai peut être pour un moment..."

Sa voix tremble légèrement et les poing n'avais pas desserré elle regarda dans le vide un moment.

Les images de la vidéos ou sont père bat sa mère défilent, elle deteste sont père... Elle respira calmement. Lentement. Elle était en présence de quelqu'un elle ne voulais pas craquer devant lui.

" J...J'y vais..."

Elle pris les clés et sortit marchant a pas acceleré ce massant les tempes.

Avant que je n'ai eu le temps de lui annoncé la couleur qu'elle régis plutôt ... calmement, trop d'ailleurs. Sa plante chérie était dans un état presque critique et elle ignorait s'il y avait moyen de faire quelque chose pour la soigné qu'elle resta là, sans même la moindre émotions de panique ou une quel conque autre réaction par ailleurs. Soit elle était extrêmement professionnelle, soit elle essayait de me cacher quelque chose, et mon instinct me disait que c'était la deuxième option.

Au cours de ma vie j'ai appris à décoder le langage non verbale et à voir ce que personne ne voyait, ou alors c'était simplement une très bonne intuition qui sait ...

" Ah ? Des pucerons ? Je peut en avoirs rapidement au laboratoire, ils faut une espèce spécifique ou les pucerons commun irons aussi ? "

Je réfléchis un instant sur le genre de pucerons qui serais le plus apte à remplir ce travail.

"Les plus coriaces ..."

Ensuite elle se tourna vers la sortie et me fit signe de la suivre ce que je fit et même si je n'aimais pas vraiment ça je du me plier à la désinfection, encore. Elle enleva ensuite sa blouse de labo se retrouvant donc en tenue de quotidienne. C'est à ce moment que je remarqua que malgré sa minceur qui était sans doute une preuve de sous-alimentation combiné à un manque de sommeil elle possédait des forme très féminine et relativement attirante, bien qu'elle rentrait dans mes conditions physique, elle ne représentait pas un atout important dans mon voyage. Elle n'avait aucune noblesse, même s'il y avait quelque signe, mais ce n'est pas parce qu'on a l'attitude qu'on a le titre et surtout le sang !

" On va au laboratoire, ne t'en fait pas tu crains rien avec moi, sauf si tu veut rester ici, tu connais les lieux, tu est libre de tout mouvement, j'en ai peut être pour un moment..."

Je croisa les bras et me retourna pour lui faire comprendre que je n'avais nullement l'intention de la suivre, elle était jolie certes, mais ce n'était pas pour autant que j'étais devenu son chien-chien à sa mémère ! Cependant j'entendis clairement que sa voix tremblait elle devait sans doute être à bout de force.

" J...J'y vais..."

Elle passa ensuite la porte quand tout d'un coup mon éducation me rattrapa, je fit alors un roulement d'yeux vers le haut en me disant à moi-même.

"Tu le regrettera Sebastian, tu le regrettera ..."

Je me dirigea vers la porte et la laissa ouverte, c'est alors que je couru pour la rattraper par l'épaule pour qu'elle s'arrête.

"Pourriez-vous avoir l'extrême obligeance de bien vouloir vous arrêter un moment, la plante mettra encore un ou deux jours avant d'entré en phase urgente alors s'il vous plait rentrons, vous avez besoin de manger, de vous détendre et surtout de vous reposer. Cela fait combien de temps que vous n'avez plus manger un repas digne de ce nom et passer une nuit d'au moins huit heures d’affilée ?"

Je me positionna alors devant elle afin de ne pas la laisser s'éloigner encore plus de sa maison, même si je ne la portait pas dans mon cœur, mon éducation m'obligeais à venir en aide à cette femme qui n'était pas vraiment ce qu'on pouvais appeler en pleine forme. Je me rapprocha alors et la poussa doucement dans le dos pour la faire revenir chez elle.

"Venez, je vais vous préparer un bon repas et ensuite nous aviserons, d'accord ?"

"Pourriez-vous avoir l'extrême obligeance de bien vouloir vous arrêter un moment, la plante mettra encore un ou deux jours avant d'entré en phase urgente alors s'il vous plait rentrons, vous avez besoin de manger, de vous détendre et surtout de vous reposer. Cela fait combien de temps que vous n'avez plus manger un repas digne de ce nom et passer une nuit d'au moins huit heures d’affilée ?"

Juliette l'entendais marcher derrière elle et accéléra le pas. Elle ne voulais montrer ni ses émotions, ni ces yeux rouges gonfler par les larmes. Elle marcha plus vite, les poings serré, et balaya bien vite les quelque perles d'eau qui glissa le long de sa joue. Elle ce stoppa net face a l'hybride, sa carrure lui rappela sont père, et elle n'aimais pas sa. Elle sentais une colère profonde montée en elle.

Il la touche, ce qui fit parcourir un courant électrique dans sa moelle épinière, ce qui fit lever les quelque poil sur le bras.
Ce n’était pas un geste de méchanceté, elle le savait, c'est pour juste la ramener a la raison, mais sa haine envers les hommes ne la fit que ce braquer.

" Vous me prenez pour qui ? Une femme faible ? Je n'ai pas mangée convenablement depuis mes 12 ans. Je n'ai pas besoin de votre aide Monsieur. Je vous ai sauvée de ce trou a rat. "

Elle laissa ces larmes couler, son envie de frapper cette homme lui venais a l'idée.

" Je suis autonome ! J'ai besoin de l'aide de personne et encore moins celui d'un homme ! Je vous déteste, je suis sur que dans votre tête vous avez déjà penser à couché avec moi, pourquoi ? Car c'est dans votre nature primitif ! "

Elle s'éloigna de quelques pas...
Ce dirigea a la maison, dans un silence de plomb, les poings serré.

Arrivé à l'entrée elle jeta ces chaussure et cassa tout ce qu'elle trouver sous sa main. Elle hurler, de rage, de colère montant les marche comme une tornade, claquant la porte de sa chambre.
Elle était allongée en position du fœtus, tremblotante, sanglottante. Elle ne ce soucier plus de l'hybride, ni de sa plante, tout pouvais mourir ou s’effondrer autour d'elle.

Elle ressassa le passé, en quête de souvenir heureux, comme la premier fleur quelle avais fait pousser, ou la premier vaccin découvert pour soignée des hybride atteints du syndrome du rejet.

Elle était généreuse avec tout le monde, et ce sentait terriblement rejeté, peut être était-ce de sa faute.
Passer un long moment elle ce leva, les yeux explosée par ces larmes trop longtemps retenue, son ventre criais famine, un désir rare de son estomac, elle pris donc une rapide douche, ce coiffa d'un chignon et mit une robe d'esprit victorien, elle appartenait a sa mère, elle était courte, et lui arriva au genoux, un corsait lui serré la taille et un jolie décolleté léger lui mit sa poitrine en valeur, sur la quel elle mit sa chemise blanche

" Faut vraiment que je me mettent a la lessive... "

Elle respira un grand coup, elle avait oubliée la présence de l'hybride, ce n'est quand le rencontrant a nouveau quelle ce sentait honteuse

" Je... Vous prie de bien vouloir pardonnée ma colère, je n'aime pas montrer mes émotions a autrui. J'ai eu une sorte de crise quand vous expliquiez. Je voulais juste partir pour pas montrer ses émotions futile"

Juliette ne le regarder pas, elle chercher un balai et commença a nettoyé les dégâts.

Je ne savais pas qu'en la stoppant dans sont élan je déclencherais un pareil retournement de situation. Elle était passée de la femme triste à la femme foudre de guerre, le jour et le nuit si vous préférez. Mais cela m'avais appris une chose, elle était sans doute sous-nourrie depuis ses douze ans, ce qui n'était pas rien tout de même et aussi qu'elle avait sans doute eu des soucis avec les hommes par le passé, sinon elle n'insisterais pas autant sur le fait qu'elle n'a pas besoin d'un homme. Pour ma défense, l'idée de couché avec elle m'étais vaguement venu à l'esprit, mais sans plus, car ne la connaissant pas impossible de dire si elle méritais d'entré dans la noble famille que sont les Constantin.

Une fois qu'elle eu terminé de "m'insulter" elle tourna les talons et se dirigea vers la maison, s’afficha alors sur mon visage un petit sourire satisfait. Certes ce n'était pas vraiment comme ça que j'imaginais sont retour chez elle, mais le principal était qu'elle retournais chez elle.

Une fois la porte passée elle commença à se déchainer sur tout ce qui lui passa sous la main, comme je n'avais pas bouger je ne pouvais pas le voir, mais le bruit qu'elle faisait était plus que suffisant pour que je le comprenne par moi-même, je me dirigea donc lentement vers la maison. En entrant j'eus la chance de ne pas arriver une seconde plus tôt sous peine de me prendre un vase en pleine figure. Suite de quoi elle monta en claquant toutes les portes sur sont passage. J'alla alors me placer devant la fenêtre tout en observant le paysage, j'entendis alors une porte claquer et des pleurs. Après un certain temps dont j'ignorais la durée j'entendis la porte s'ouvrir et puis une autre se refermé et puis le bruit de l'eau qui coule dans une douche.

Elle fini par terminer sa douche et par descendre.

" Je... Vous prie de bien vouloir pardonnée ma colère, je n'aime pas montrer mes émotions a autrui. J'ai eu une sorte de crise quand vous expliquiez. Je voulais juste partir pour pas montrer ses émotions futile"

Elle commença alors a nettoyer à l'aide d'un balais.

"Aucune émotion n'est futile ..."

Je me retourna et me dirigea vers le frigo et pris un peu de viande et pris dans un placard du riz qui trônais dedans, je posa la viande à côté de plaque de cuisson et pris une casserole que je remplis d'eau pour la cuisson du riz qui fila dedans une fois l'eau chaude. Vers la moitié de la cuisson du riz je pris une poêle et y mis la viande qui s'avéra être du bœuf. Étrangement le gras ne m'avais pas mis la puce à l'oreille. Quoi qu'il en soit le repas était en train de cuire, je garda le silence et bien que je n'étais pas dans ma cuisine je trouvais les choses assez facilement et malgré le désordre je prépara une petite table digne des la plus haute noblesse, enfin je fit avec ce que j'avais sous la main surtout.

"Votre dîner est prêt mademoiselle."

Bien qu'en général c'était moi qu'on servais j'avais vu suffisamment de fois comment les domestiques faisait pour pouvoir le refaire moi-même, et pour ce qui était de la cuisine j'avais souvent pratiquer avec des servante en faisant penser à tout le monde que nous avions une relation physique, de ce fait, elle pouvais faire sont intéressante auprès des autres, j'apprenais la cuisine et on passais de bon moment a rire et à cuisiner.