Emprisonnée dans ma cage de verre, m’agrippant sur les murs de verre, tournant en carré dans cette cave si froide, si humide, je me sens tellement faible, pour cette fois ils ont mis les bouchée double, une trappe un tube et une cage, impossible pour moi de fuir, en plus de ce collier qui me fait rester sous mon apparence animal. IL n’y a qu’une fois le tube passer et dans la cage munis de ces barres de fer qu’on me laisse découvrir mon apparence humaine pour le doux plaisir des humains en manque d’adrénaline. Je ne sais même pas ce que je fous ici ! Bon d’accord Jai tuer mon maître, mais pourquoi c’est ma faute ? Quand il me bat ce n’est jamais de sa faute, c’est parce que je l’ai mérité.

J’insulte le gardien,  j’aimerais allez au toilette, j’en ai besoin, c’est l’heure de ma pause pour me doucher et faire mes besoin, et là il est à la bourre, raaah on peut compter sur personne ici !
Il arrive enfin, le sourire aux lèvres, remontant sa braguette, il a dut faire ses besoin primaires sur une pauvre hybride attaché contre son grés, bah du moment qui ne me touche pas, non il me touchera pas, je lui fais bien trop peur, je me précipite devant ma trappe, qu’il soulève et la baisse directement, contente de son geste, je m’impatiente. Je me glisse dans le tube et me laisse tomber dans la cage attrapant cette sorte de robe blanche, je ne possède pas de sous vêtement, ça me gène pas pour ma poitrine, mais bon pour mon intimité, je trouve sa dégradant.

Il me regarde, avec son sourire en coin, j’ai envie de le mordre de lui ouvrir le cou, de m’abreuver de son sang si chaud. Depuis que j’y ai gouté, j’en veux encore, mon regard doit être tellement pesant, qu’il active mon collier, me lançant une décharge électrique, ce qui me fait gémir, de douleur, pas de plaisir, car non ça ne nous procure aucun plaisir, du moins pas à cette puissance-là. Sortant son fouet, abatant sur ma peau écailleuse, le cuir qui me chauffe, malgré mes écailles solide, on peut voir les marques, un peu partout sur mon corps, en plus de ma cicatrice.

Il me tient par les cheveux, m’apportant dans la salle de bain, ou ici, n’importe qui peut vous observer. On fait avec, rincer vous l’œil bande de trou du cul, un jour je vous boufferais tous, je libérais un à un les hybrides que vous avais enfermés et on vous bouffera, sa sera ma vengeance la plus sanglante jamais goutter et répertorier à ce jour. Je me dépêche pour faire mes besoins, de toute façon pour le peu que je mange, je n’ai presque rien à faire. Je prends plus de temps pour la douche, laissant apparaitre  ma peau d’humaine, pour la frotter avec un savon, je ne sais a quoi il est, mais par change il sent bon.
La sonnerie indique que je n’ai plus le temps, je me rince avec précaution et enfile ma robe, non ici on ne se sèche pas.

Je laisse apparaitre ma peau écailleuse, et le gardien m’attrape à nouveau les cheveux avant de me jeter à terre, pour me fouetter encore une fois. Décidément, il n’est pas heureux après avoir lâché sa semence je ne sais pas où. Je me relève péniblement regardant du coin de l’œil un homme, un humain ? Décidément ça bouge ici.
Je rejoins ma cage pour me faire forcer a retrouver ma forme de gecko, non sans gémir de douleur, puis entre dans ma prison de verre, en m’accrochant au mur, faisant pour la énième fois le tour, m’amusant à coller ma langue contre les parois, le regard dans le vide.

Rien… À la fois, vides et pleines telles étaient les nuits de Vincent… Cela devait faire quoi ? 50, peut-être 60 ans, qu’il n’avait plus ne fait aucun rêve ni cauchemars. Et voilà qu’aujourd’hui, il recommençait à vivre en rêves ces horreurs du passé, depuis oublié de l’homme… Il ne savait pourquoi ces chimères revenaient le hanter lui, qui essayait de vivre comme il le pouvait au travers de l’histoire. L’immortalité... à la fois, un don et une malédiction… il avait pu voir et vivre toutes ces atrocités avec soif de sang en ignorant la pitié, participant à de grands massacres, que de souvenirs qui lui revenaient maintenant.

Aujourd’hui, lorsqu’il se réveilla, il prit une décision. Cela faisait en effet quelques années que les hybrides se devaient d’être les esclaves des humains, humains qui l’avaient rejeté par craintes. Il avait dû s’isoler par pure pitié de ceux-ci qui, à l’époque, l’avaient chassé de la ville en retrouvant son acte de naissance. Depuis lors, il vivait à l’écart et n’était consulté que par de rares historiens courageux à qui il acceptait de donner des informations moyennant un peu de sang chaud. Lorsqu’il se rendait en ville, les gens l’évitaient, comme s’ils se doutaient de ce qu’il était, mais cela ne le dérangeait pas.

Après s’être préparé et avoir mangé son steak saignant, comme il l’aime le faire au petit déjeuner, il se dirigeât vers la porte d’entrer et prit la direction de la ville. Son arrivée en ville fut marquée par les chuchotements incessants de toutes ces larves sur son passage. Il se dirigeât comme à son habitude à la boucherie et acheta de quoi nourrir deux personnes en viandes et prit quelques fruits et légumes à l’épicerie avant de passer dans cet endroit que les humains appelés si fréquemment de défouloir : L’animalerie.

Lorsqu’il entra, le gérant était en train d’enfermer une jeune femme dans une cage en la malmenant quelque peu. Il sourit alors et lorsque le gérant le vit, Vincent savait déjà que son sang venait de se glacer. En effet, il faisait partie des rares à connaître la vérité sur lui. Vincent se passa alors la langue sur ses dents en se dirigeant vers lui. Le regardant avec un regard mêlant envie et démence, ce regard rouge sang que lui connaissaient ses rares amis.

- Bonjour… Je souhaiterais prendre soin d’un ou d’un de ces hybrides… Je suppose que vous pouvez m’y aider ?...

Le gérant s’était réfugié derrière son comptoir, comme si celui-ci allait pouvoir le protéger du vampire qui lui faisait face. Au fur et à mesure que Vincent avançait, il sentait les hybrides reculer dans leur cage, leurs sixièmes sens, surement, qui les prévenait d’un danger inconnu. Arriver à hauteur du comptoir il sourit au gérant.

- Que… Les hybrides ne sont pas à vendre pour être mangés…

Vincent éclata alors de rire :

- Le sang d’animaux domestiques me répugne… Par contre, le vôtre, quant à lui, me fait atrocement envie…

Il avait dit cela en dévoilant ses canines et en se penchant sur le comptoir. Le gérant pâlit alors et pointa du doigt le gecko dans sa cage.

- Elle… elle est à vous si vous le désirez… M… Monsieur Valentine…

Vincent se tourna alors vers le gecko et le regarda intriguer :

- Cela te convient ?...

- Cela te convient ?...

Alors que je continuer de coller ma langue contre la paroi, cet homme s’adressa a moi, j’avais deux question, pourquoi je le vendeur était si pâle a sa vue, et l’autre, comment avais t’il atterri au plein centre de dressage sans être choquer par ce qui l’entoure ? C’est vrai, ce n’est pas comme une animalerie simple ! Ici règne une tout autre atmosphère, une sorte de climat de haine et de rage, alors comment pouvais-t-il rester aussi calme, comme si il commandé un café en plein milieu d’un braquage.

Sous cette forme cela ne sers a rien de parler, car il ne m’entendrait de toute façon pas. Donc ma seule façon de lui répondre serais de pouvoir sortir de ma forme de gecko, mais avec ce collier, ainsi le peu de place dans ma cage en verre cela reste un grand défis. Par chance le vendeur, si bête soit-il, activa son bouton, toujours protégé derrière le comptoir. J’en profite donc pour me glisser dans ma cage en fer, ou je suis presque automatiquement remis sous ma forme humaine, j’attrape ma robe blanche, celle qui ressemble lus a un bout de tissus pour nettoyer les graisses de moteurs. En même temps elle date de mon ancien maître, on ma attraper dans cette robe, depuis on ne m’a donné d’autre vêtement. J’ai appris à faire avec, de toute façon je n’ai pas de poitrine ou très peu. Bon quand même, j’ai le droit à des sous-vêtements lavé et à ma taille, Enfin juste la culotte, parce que pour la poitrine apparemment il n’avait pas trop envie.

Quoi qu’il en soit je mets ma robe, toujours cacher derrière le semblant de rideau qu’il mon placer pour imiter un peu d’intimité. Puis je sors de ce rideau, pour regarder l’homme, il est plutôt pâle, beau gosse, pas mal, c’est déjà mieux que tout ce que j’ai pu voir jusqu’à maintenant !


Oui je voulais sortir de là, bien sûr que j’attends que ça ! Qu’on m’emporte loin de ce trou à rat complètement paumé. Que je puisse respirer autre chose que la haine et la transpiration de ce vieux vendeur en état de larve fouetteur. J’enrouler une mèche de cheveux autour de mon doigt, comme pour me donner un genre, pour ne pas faire la fille qui a vraiment envie de sortir d’ici, et ceux à n’importe quel prix, il n’est jamais bon de montrer ce qu’on désire vraiment, au risque de le voir interdit voir banni. Comme je ne sais rien de cet homme-là, je ne préfère pas trop laisser mon côté docile. Faut que je sois forte.
Je voulais à nouveau parler quand ce stupide humain qui est là pour décoré et éventuellement nourrir les hybrides que nous sommes prend la paroles de sa voix grasse et bien trop  nourrit.

‘ Ne vous fiez pas à son air d’ange, elle a était classé danger deux sur l’échelle des risques, elle a tué a main nue, et s’en ai pris a des militaires, laissant presque pour mort l'un des deux.’

Et voilà c’est repartit.
Je ne pus retenir de lever mes yeux vers le plafond, c’est tellement abstrait ! Ils ne savent pas la vérité, je n’ai fait ça parce que j’étais sous nourrit, fatiguer, à bout de nerf ! SI ce crevard m’avait un minimum bien traité, il serait en vie, et moi encore à ses côtés ! Je ne suis pas un danger ! Merde ! Bien sûr que je l’ai bouffé ! Essayer de vivre deux semaines avec pour seul nourriture, un bout de pain, et l’eau des chiottes pour boire ! Et encore, je ne pouvais pas la boire puisqu’il me regarder pisser. Quel honte, la race humaine est bien la pire ! Bref, je m’adosse au barreau. Ils sont froid et me font repenser à ma cicatrice, celle que le militaire ma laisser comme souvenir de visite. Je regarde l’humain, alors on a toujours envie d’un pauvre gecko aux passé tellement glorieux ?