Je crois, que j'ai besoin d'une pause... [ Pv Alexy ]

La petite chienne affolée fonda en larme se jetant dans mes bras, je lui posai doucement ma main sur sa tête, la caressant doucement, la laissant faire, sans dire un mot, ses couinements me fit comprendre qu’elle venait de tout gobé. Je soupire doucement, serrant le poing, je perds du sang c’est inévitable, mais tant pis, au moins elle n’a rien, me met ma main sur mon œil, si je ne l’avais pas, bien des fois je serais mort. Après un moment, la petite chienne se relève, je lui essuie d’un revers de main ses larmes.
Un médecin, pas besoin, avec tout ce que j’ai à la maison je pourrais faire le médecin moi-même, je mis ma main en bonne santé sur sa petite tête, la caressant doucement.

- Allons chercher Caprica et rentrons d’accord ? On a ce qu’il nous faut maintenant.

Je me lève, lui prenant la main, gardant mon sourire sur mon visage, gardant mon bras cacher de sa vue, empruntant alors les rues pleines de monde maintenant cela m’agace, je n’aime pas la foule. Je soupir un peu, tenant toujours Alexy pour qu’elle ne se perde pas en me suivant. Arrivant enfin chez le vétérinaire, Caprica est un peu endormie, mais elle va bien, je la porte dans mes bras, pour la mettre sur mon épaule, portant la brouette, grimaçant un peu. Puis en route pour la maison, vite, que je m’allonge, je suis crevé moi ! Trop d’émotion ce matin. Dans la rue, des cris un peu choquer de mon bras ensanglantée, certain imagine que c’est mon hybride qui m’a fait ça, je les regarde fermement, il baisse la tête et prennent un chemin différent. Enfin voilà mon immeuble !! Hâte de rentré !

Je demande à Alexy d’ouvrir les portes, prenant l’ascenseur pour monter à notre étage. Vite plus vite je veux rentrer. Je pousse un râlement intérieur, qui parait comme un grognement. Je donne les clefs à Alexy et entre a la maison, déposant doucement la chienne qui ouvre un œil curieux, lui installant un coin pour elle, près de la cheminée, enfin pas trop près non plus.
Je me cognai sans faire attention à mon bras déjà bien amoché, poussant un petit cris de douleur étouffé. Me rappelant qu’il faut que je soigne sa au plus vite, avant que je me vide de mon sang, déjà qu’il tache le sol par goutte.

- Je vais me soigner, occupe-toi d’installer comme il faut la chienne, avec sa gamelle et tout, range aussi un peu, pas besoin que ce soit bien ranger, juste que se soit propre d’accord ? Si c’est trop lourd, appelle-moi.

Je me dirige donc vers la salle de bain, ôtant mes vêtements, passant mon bras sous l’eau, regardant, c’est plutôt profond.

-L’enculé !

Oui parfois sa m’échappe des gros mots, comme tout le monde, je serre les dents, avant de passer cul sec de l’alcool, puis je mets de ma crème, d’ici demain, plus aucune trace ! je me lève, soudain pris par un puissant vertige.

- Merde…

Ma vision ce trouble, apparemment j’ai perdu trop de sang, et l’effort de porter tout ça n’a pas aidé, mon corps tombe lourdement sur le carrelage de la salle de bain, avant que ma vision s’assombrit. C’est l’heure du dodo je crois…

[Je suis vraiment désolée du temps de la réponse, mais je ne l'avais pas vuuuu Y.Y ]

Elle hocha la tête quand il lui proposa d'aller chercher Caprica, mais la perte du sang de son maître lui fait peur. Elle ne peux s'empêcher de fixer le bras, bien qu'il essaie de ne pas lui faire voir. Elle tremble. Encore. Elle a peur pour lui, vraiment ! Après tout, il est gentil envers elle. C'est normal qu'elle se soit attaché à lui, même en si peu de temps, même si c'est encore un inconnu pour elle.
Quand elle voit Caprica, elle la prend dans ses bras pur ne pas que son maître soit obligé de tout porter. Evidemment qu'elle aurait préféré prendre la brouette, mais elle est trop faible pour les charges lourdes. Il l'impressionne, vraiment. il est blessé, perd du sang, et pourtant il fait comme si de rien n'était. Elle n'ose pas regarder les passants, et leurs chuchottements lui fait du mal. Jamais elle ne pourrait lui faire de mal !

Une fois arrivé devant la maison, elle ouvre la porte, le laisse passer puis referme à clef derrière eux, avant de se précipiter vers où il était pour poser la chienne, et le suivre rapidement, regardant le sol qui se tachait au fur et à mesure du sang de Aito.
"M-maître... Vous... vous êtes sûr que vous ne voulez pas que j'appelle un médecin... ? S'il vous plaît... C'est plus sécurisant, il vaut mieux, pour vous et votre bras... C'est, c'est dangereux que vous continuez à faire ce que vous faites dans un tel état !"

La jeune femme le regarda, un peu à l'écart. Il lui avait donné un ordre, mais elle était bien trop inquiète pour pouvoir le laisser tout seul. Il semble allait bien, mais tout de même elle avait peur... Il se soignait au moins, c'était déjà ça. Elle le regarda, un peu plus rassurée, mais voilà qu'il se levait. Elle se dirigea vers lui, tendant ses bras vers lui pour un câlin, mais il tituba, puis s'écroula devant ses yeux horrifiés !
Elle hurla, et se précipita vers lui, les larmes aux yeux. Elle gémissait, le secouait un peu, ne sachant pas quoi faire. Quelques minutes après elle décida de fouiller dans ses poches, prit son portable, et appela le numéro des urgences qu'elle connaissait en ayant vu des affiches de préventions. Elle les appela, paniquée. Ce qu'elle disait était confus, mais ils comprirent, et arrivèrent une dizaine de minutes plus tard.
Ils l'emmenèrent dans sa chambre, pour l'y allonger, et y firent rapidement les premiers soins. Elle n'ose pas le laisser seul avec eux. La jeune chienne reste près de son maître, mais pas trop près car elle ne peut pas, et observe avec angoisse. Ils finissent vite, posent des questions à la petite hybride qui ne sait pas où se mettre, puis partent.

Quand ils sont partit, elle va se mettre dans le lit après s'être déshabillé près de lui, du côté où il n'est pas blessé, et l'observe. Ils lui ont donné des cachets pour quand il se réveillera, elle regarde la boite, puis son maître, et s'endort peu à peu près de lui, pas habituée à tant d'émotions en si peu de temps....

Je me sentais vaseux lorsque je sentis que l’on me toucher de partout, des cris, un affolement, puis le noir. Des images défile devant moi, ma mère ce faisant battre par des hommes, la famine que j’ai connu, la souffrance de mon changement d’humain a hybride. Je sentais comme transporter, revivant ce passé que je souhaité oublié. Puis je vis ses jambes, ce fouet, j’entends sa voix m’appeler, me soumettre, je l’entends me dire qu’il souhaiterait que je sois plus obéissant. Son visage apparait, sa cicatrice à son œil qu’il ouvre laissant place à un trou vide. Je me réveil en sursaut touchant mon visage, plus précisément mon œil. Le caressant doucement du bout des doigts assis sur ce qui semble être mon lit, je regarde mon bras, il semble que l’ambulance soit venue. Je pousse un soupir, voulant chasser ses images de cet homme de ma tête. Je me lève, pris d’un petit vertige m’étirant laissant mes ailes sortir afin de les étendre de tout leur long puis les retire. Je me rassoit me frottant la tête, regardant autour de moi, ma vison se stabilisant peu a peu. Je regarde Alexy, nue soupirant un peu, je la recouvre de la couverture prenant la boite qu’elle a près de sa main, regardant l’étiquette. Des médocs ? Non merci, je me lève, me baladant torse nue chez moi, ouvrant la porte avant de me faire sauter dessus par ce chien dont j’avais oublié l’existence.

- Chut Caprica, elle dort ! Laisse là tranquille !

La chienne me regarde penchant la tête puis je me dirige vers la cuisine pour lui donner a manger et par la même occasion jeter ces médicaments. Je me frotte le ventre tout en fixant la chienne mangé, je devrais demander à Alexy de manger pareil à terre, lui tenant la laisse. Je me mets à sourire, les idées fuse et il n’est que… Oh j’ai dormi toute la journée hier ? Eh bien, il semblerait que j’avais besoin de repos. Je baille m’appuyant sur mon plan de travail, avant que la chienne ce mette à couiner, surement pour aller dehors. Je lui mets la laisse et sors de chez moi. Fermant la porte pour pas qu’une personne soit trop curieux pour y entré ou y sortir. Je suis torse nu un pantalon un peu trop grand, les cheveux en bataille et le bras couvert de bandage. Regardant les la chienne marcher gaiement, je me dirige vers le petit parc non loin de l’appartement, à l’ endroit spécial pour chien, la laissant faire ses besoins.

Au loin des jeunes filles rougissante me regardant timidement, je leur salut avec une petite courbette, ce qui les fait sursauter, un clin d’œil avant de partir plus loin, entrainé par la chienne. Un peu plus tard je décide de rentré, ramenant Caprica à son panier, ouvrant la porte, jetant les clefs sur la table. M’effondrant sur le canapé, posant mes pieds sur la chienne rebelle qui ne m’écoute pas, tant pis elle portera chaud à mes pieds ! Ma tête repose sur le dossier du canapé, je regarde le plafond, me demandant si j’aurais l’air cool avec une clope. Je rigole bêtement, je détesté la clope. Je prends mon téléphone pour appeler ma mère.

Forcement elle a entendu de mon effondrement, sérieusement comment les mères font pour tout savoir ? Je me fais crier dessus, voulant la calmer, la rassurant que tout va bien, je lui parle de ma vie, d’Alexy aussi. Je continue de parler ainsi un long moment, bien sûr j’ai vue qu’elle me regarde, mais je ne bouge pas. La laissant venir d’elle-même.

Elle dormait paisiblement près de lui, les paupières fermées, son cache-oeil se décalant dès qu'elle bougeait. Quand son Maître sortit du lit, la jeune demoiselle se réveilla à moitié, gémit légèrement, comme un signe de protestation, avant de se rendormir en se roulant en boule sous la couverture dont l'avait recouvert Aito.
Elle se réveilla plus tard, quand ils furent rentré de la balade, la porte qui claqua la réveilla. Elle bougea un peu, ayant l'intention de se mettre contre son Maître, mais elle ne rencontra que le vide. Elle sursauta, et se réveilla d'un coup, paniquée en ne voyant plus son Maître ! Elle mit à la va-vite un tee-shirt par dessus ses sous-vêtements, et partit de la chambre précipitamment, inquiète de ne pas le voir.

Elle alla d'abord dans la salle de bain, mais elle ne vit personne. Par contre, elle se vit elle dans la glace, et décida de s'arranger rapidement les cheveux, puis replaça correctement son bandeau, et repartit. Elle alla voir dans sa chambre, puis dans le bureau de Aito, en vain. Elle alla voir ensuite à la cuisine, et puis enfin, au salon, où elle poussa un soupir de soulagement en le voyant au téléphone.
Elle resta à la porte à le regarder un peu, puis sourit en voyant la petite chienne courir vers elle pour lui sauter dessus. Elle s'accroupit en souriant, et la laissa lui lécher le visage, avant de lui déposer un rapide bisou sur son oreille, et la gardant dans ses bras, elle se dirigea vers son Maître pour se mettre sur le canapé, et inspecter rapidement sa blessure, le front plissé par la concentration.

Quand elle eut fini, elle s'installa de l'autre côté, pour poser sa tête contre lui, souriante, laissant la chienne se coucher de tout son petit corps sur ses jambes, souriante, avant de refermer les yeux et de rester contre lui, contente qu'il aille mieux. Elle s'était vraiment attachée trop vite à Aito, mais elle ne se posait pas la question. Sans doute ses gêne de chien.

"Maître... Je suis contente que vous allez mieux... Vous m'avez fait peur tout à l'heure dans la salle de bain !"

Je la laisse s’approcher, regardant toujours le plafond, elle s’installe m’observe. Je mets près de moi avant de parler. De sa petit voix on pouvait comprendre que je l’avais inquiète. Je lui ébouriffe les cheveux avant de redresser ma tête. Ne la regardant pas.

- J’ai dit pas sur le canapé ! Cette chose va salir mon canapé d’amour ~

Je rigole, bien que c’est sérieux ce que je dis. Je n’ai pas envie d’avoir cette chose sur mon canapé ! Elle a le sien de canapé. Je la porte, pour la mettre à terre doucement elle couine mais je lui fais des gros yeux ce qui stop son geste immédiatement.

- Tu sais il m’en faut bien plus pour que je meurs. Enfin merci d’avoir appelé ses hommes en blancs.

Je me remets sur le canapé regardant autour de moi. C’est si calme, je n’ai pas trop l’habitude ou du moins j’en ai perdu l’habitude, j’ai toujours des soumis à trainer chez moi, mais en ce moment calme plat. Je dois avouer que ça me manque. Je pousse un soupir avant de me lever, laissant Alexy sur le canapé, préparant alors un petit déjeuner, restant un peu absent. Je coupe des fruits, du pain un peu de charcuterie. Je dépose tout sur un plateau, puis je regarde ma chienne, m’installant sur le canapé.

- Tu vas te mettre à quatre patte a terre et me nourrir, tu pourras ensuite avoir ta part, j’ai besoin de repos. Alors tu utilises ce que tu veux, prend la nourriture de ce plateau dans l’ordre que tu veux mais nourrit moi. Attention, si tu me tâche, tu gouteras à mon jouet favori.

Je souris sans pour autant donner d’indices sur mon jouet, d’ailleurs je fais le listing de ce que je pourrais lui faire si elle me salit. J’écarte les bras sur le dossier fixant mon hybride, attendant son service. Ma cheville poser sur mon genoux, souriant comme un gamin de cinq ans.

Elle le regarde poser Caprica ailleurs, et soupira légèrement de désapointement... après tout, elle était sur ses genoux à elle et ne salissait pas le canapé... Enfin bon, tant pis, puisqu'il ne le voulait pas, elle ne viendrait plus. Elle lui sourit ensuite, mais ça ne sert à rien, il ne la regarde pas, et elle ne comprend une nouvelle fois pas pourquoi. D'habitude quand il lui parle il la regarde, là, plus rien, comme si elle avait perdue tout intérêt à ses yeux, et ça lui fait peur...
Et puis il la laisse en plan, là comme ça, d'un coup, ne disant rien. Elle l'écoute et l'entend aller à la cuisine... Elle se met à réfléchir... Pourquoi l'ignore t-il ? Lui en veut-il ? Qu'est-ce qu'elle avait bien pu faire de mal pour être ainsi ignoré de la sorte ?! Elle savait bien n'être qu'un hybride, lui appartenir, mais lui aussi il en était un, il devrait savoir qu'être autant considéré qu'un objet, ça fait mal...

Enfin, il revient ! Il a un plateau à la main qu'il dépose sur ses genoux après s'être assis. Elle ouvre la bouche pour parler, mais il la dévance.
- Tu vas te mettre à quatre patte a terre et me nourrir, tu pourras ensuite avoir ta part, j’ai besoin de repos. Alors tu utilises ce que tu veux, prend la nourriture de ce plateau dans l’ordre que tu veux mais nourrit moi. Attention, si tu me tâche, tu gouteras à mon jouet favori.

La jeune chienne fronce des sourcils. pas de mécontentement, mais plutôt d'incompréhension et de surprise. après quelques secondes, elle hoche la tête, un peu confuse, et s’exécute. Elle se lève et vient se mettre à quatre pattes à ses pieds sous le regard interrogateur du chiot non loin de là, puis vient au plus près de lui, et prendre un grain de raisin, avant de se mettre à genoux, et de lui tendre. L'exercice est assez compliqué, car la distance entre elle et la bouche de son Maître, fait autant que son bras. Et encore, elle 'triche', car elle est à genoux et non pas à quatre pattes.

La demoiselle lui sourit gentiment. A vrai dire, ça l'amuse. C'est un peu comme un pharaon, et elle une esclave qui vient le nourrir. Puis soudain, elle repense à ce qu'il dit, "tu gouteras à mon jouet favoris"... En punition. Ca la fit frémir, mais elle continua de lui donner des fruits, car de la charcuterie de bon matin, ce n'était pas la meilleure chose à faire !
A quoi pouvait-il bien faire référence ? Ca devait forcément être quelque chose de punitif... Peut-être... Elle rougit. Elle rougit d'un coup en pensant que ça pouvait être son membre. Puis après, elle pâlit, en pensant à un fouet. Mais à force d'imaginer, elle faillit bien renverser un bout de banane qu'elle portait à la bouche de Aito. Au dernier moment elle le rattraper dans un large soupir de soulagement, avant de réaliser que en fait, elle l'avait écrabouillé dans sa main, et que des bouts avaient coulé...

Elle se mordit la lèvre inférieur en écarquillant les yeux, fixant la tâche sans oser regarder son Maître, avant de précipitamment prendre une serviette, se nettoyer la main puis une autre pour essuyer la tâche qu'elle avait fait, toujours à genoux entre ses jambes, par terre, ses genoux rougissant à force qu'elle s'y trainait. Elle se confondait en excuse, et l'image du fouet la frappant obnubila son esprit.

Elle s’exécuta, moi je ne bouge pas, attendant patiemment la bourde. Mangeant lentement chaque vivre qu’elle m’apporte de sa main, je lui lèche le bout des doigts, la regardant à genoux, devenant rouge à force d’être a terre, content de moi, laissant un soupir de gloire entre les bouchée que me donne mon hybride, elle rougit de plus en plus, sans doute en pensant à ma punition, que c’est chou. Elle est ailleurs, je souris victorieux, fermant doucement les yeux, sachant que cela ne va plus tarder. Un bruit celui de ses pas, rouvrant un œil pour voir la belle tâche de banane bien écraser sur mon vêtement, elle revient en vitesse m’essuyant, si près de mon membre. Je lui attrape la main avant qu’elle n’en touche plus.

- Eh bien, c’est une tâche que je vois ~

J’apporte a ma bouche sa main, doucement, sans geste brusque, l’obligeant à venir si près de moi, lui mordant le poignet, juste le bout des dents, pas fort assez pour qu’elles en sentent la pression. Alors que vais-je choisir ? Tout en réfléchissant je lui lèche le creux de sa main, le bout de ses doigts, mordant parfois sa chair si fragile, avant de pousser un grognement et me lever la tenant toujours par le poignet. L’attirant dans ma chambre je la laisse à l’entrée, la regardant. Le sourire sur le bout des lèvres j’ouvre un placard, commençons doucement, attrapant des vêtements léger, enfin non, un vêtement en particulier, qui est à vrai dire, si léger qu’on en voit toute la peau au travers, ne cachant rien a part l’intimité de l’individu bien sur il faut être nue pour la porter. Je lui tends.

- On va commencer doucement avec ceci ~ Met le et dépêche-toi.

Je la regarde se déshabiller, pour mettre cette ‘’combinaison’’ car oui elle recouvre tout le corps, elle n’est pas seulement légère, elle apporte à son porteur une sensation divine a qui la touche en extérieur. C’est-à-dire que si je là touche à un endroit, la sensation du toucher est multipliée. C’est une tenue adéquate pour faire devenir fou le porteur afin de l’excitée pour les projets à venir. J’adore cette tenue, elle lui va a merveille, lui prend à nouveau le poignet, elle doit sentir elle-même les effets a ses propres mouvements. Je me rassois, lui indiquant une bouteille d’eau cette fois.

- J’ai soif, fait moi boire Alexy, mais je souhaite que l’eau vienne de ta bouche avant de venir dans la mienne ~

Oh j’abuse un peu non ? Enfin je me mets à l’aise, lui indiquant où elle devait s’assoir pour m’hydrater, sur mes genoux, sous l’emprise de mes caresses quand elle sera là.

- Une goutte de côté et c’est la punition.

Elle commençais à peine à nettoyer, qu'il venait de la prendre la main. Main qu'il avait, pendant qu'elle l'avait nourrit, lécher, ce qui l'avait gênée à un point pas possible... Bref ! Il l'avait stoppé net dans son geste, et enfin elle relève les yeux vers lui, vraiment gênée par la situation. Sa main tremblait un peu, et ce depuis le début de l'exercice, seulement elle venait juste de s'en rendre compte. une nouvelle fois, il vient lui lécher la main, après l'avoir ramené vers lui. Elle a une jambe replié d'un côté du corps de son Maître, l'autre tendu derrière elle, elle repose à moitié sur la jambe d'Aito, alors que elle tente de garder l'équilibre et ne pas s'effrondrer sur lui en se soutenant avec sa main libre sur son torse.
Elle finit par glisser à cause du tee-shirt, tout son corps est collé à lui, tandis que son visage s'enflamme. Elle tremble. mais à peine eut-elle perdu l'équilibre qu'il se releva, la soulevant en même temps, pour sans un mot, la guider jusqu'à sa chambre.

Il la plante à l'entrée, et elle n'en bouge pas, le suivant des yeux. Une nouvelle fois, elle rougit face à son sourire, et elle baisse les yeux en reculant à peine, les mains jointes, en face d'elle. Elle l'entend farfouiller, et relève le regard pour voir la tenue qu'il lui tend. Elle la prend, délicatement, n'osant rien faire, de peur de la fissurer. Mais il lui dit de l'enfiler, et elle s'exécuta. Elle se déshabilla rapidement, entièrement, sans pudeur, puis enfila lentement la tenue, faisant bien attention de ne pas l'abimer.
Elle le regarde ensuite, espérant lui plaire dans cette tenue qu'elle trouve bien étrange. Puis, quand il lui prend le poignet, des frissons lui parcourt le corps, et elle retient sans s'en rendre compte la respiration. Elle fini par respirer de nouveau, après qu'il lui ai désigné la bouteille.

Obéissante, elle alla la récupérer, se laissa se faire installer, retenant presque son souffle à chaque fois qu'il la touchait, ou même l'effleurer. Elle s'hydrata d'abord elle même avec une petite gorgée, ainsi que les lèvres, puis le regarda, fixa ses lèvres un instant, se mordilla la lèvre inférieur avant de prendre une gorgée d'eau, et de venir l'embrasser doucement, ne sachant pas comment s'y prendre pour ne rien renverser. Une fois se trouve sur l'épaule de son Maître, l'autre sur sa joue, près des lèvres, au cas où...
Elle ferme les yeux, rougissant une énième fois, un peu gênée par la situation, mais il fallait avouer tout de même, que ce n'était pas pour lui déplaire !

Elle obéit, buvant d’abord, pour l’instant je ne la touche pas, laissant mes mains près de ses jambes sans bouger, la laissant faire tout en la regardant. Souriant content de moi-même, cette sensation de se faire servir m’avais manqué, elle est sur moi, si proche, elle hésite, bien que je la sens enthousiaste de m’obéir. Je la laisse s’approcher de moi, un peu perdu dans son geste, laissant m’embrasser, laissant le liquide venir dans ma bouche l'avalant doucement. L’eau est chaude, ayant comme goût l’intérieur d’Alexy, tout le liquide n’est pas dans ma bouche que je lui touche le dos, imaginant les sensations qu’elle reçoit, je lui frotte la peau du bout du doigt seulement, laissant ses lèvres coller au mienne, avalant toujours le liquide qu’elle me donne. Je lui attrape la queue, la caressant également, avant de me libéré de ses lèvres. Pas une goutte, pas de punition. Je touche a présent ses hanches, ses courbes, laissant mes mains toucher un peu partout sauf des parties intimes. Ma langue touche la sienne, sentant que l’eau ne sera plus une gêne pour ce geste, lui mordant la lèvre inférieur. Je retire mes mains, le portant pour l’installer à côté de moi.

-Très bien pas une goutte de côté, voilà pour toi.

Je prends un grain de raisin pour lui faire manger. Elle a le droit à sa récompense, après tout je lui mets dans la bouche prenant la bouteille d’eau de ses mains. Je bois à ma soif, restant debout. Soupirant une fois ce geste fait, fermant la bouteille pour la poser sur la table.

- Tu vas garder cette combinaison tout la journée, tu as une tirette entre tes jambe pour tes besoins. Mange maintenant, tu as le droit de manger.

Cette tirette est pratique, je la zipe et hop, l’entrée est ouverte au plaisir. Je souris, imaginant que chaque geste qu’elle va faire va simplement la stimuler, la rendre folle le tout sous mon regard. Je réfléchis a ce que je pourrais lui faire, souriant presque content de moi. Je la regarde manger, cherchant ce que je pourrais faire, avant d’avoir trouvé ce qu’elle va faire, je rigole un peu.

- Tu pourras faire le ménage, la maison est assez sale. Prend soin de tout faire.

Les gestes simple du quotidien va s’avéré être des gestes qui deviendrons l’horreur de ses moments. Je m’étire, ricanant à l’intérieur. Une idée me traverse l’esprit.

- Commence par la douche, laissant couler l’eau pendant que tu la fait.

L’eau, va juste devenir son pire ennemi. Pour moi il va être un grand spectacle, l’eau coulant sur tout son corps avec ses combinaison spécial, j’ai hâte de l’entendre.

Elle a du mal à ne pas faire couler de goutte hors de leurs bouches, c'est assez compliqué... Sa main près de sa bouce reste cependant inutile, car elle arrive à tout mettre à bon port, malgrès les faibles caresses qu'il lui prodigue. Elle apprécie grandement, bouge un peu sur ses genoux, sa main se crispant sur l'épaule de Aito. Toutes ces sensations... C'est atroce... mais en même temps si bon !
Quand elle a fini de vider sa bouche, elle le regarde, en se reculant légèrement, toujours assise sur ses jambes, ses bras autour du coup de l'homme, jusqu'à ce qu'il décide de se relever. pour sa part, elle reste assise, le regardant, avant d'ouvrir puis de gober le raisin, des étoiles dans le sien en lui souriant naïvement.
Enfin, il l'autorise à manger.

Elle prendre des bouts de fruits, surtout de banane, et les mange tranquillement sans se préoccuper du regard pesant sur elle, l'inspectant et réfléchissant à ce qu'elle devrait faire dans un futur proche. Quand il parle, elle avale sa bouchée, puis le regarde en essuyant sa bouche du revers de la main, et se lève quand il lui dit d'aller faire le ménage.
Elle écoute son ordre, le trouvant bien étrange, mais acquiese et va chercher ce qu'il lui faut pour nettoyer.

Le problème avec elle, c'était qu'elle n'avait jamais eut besoin de nettoyer quoique ce soit, mais elle se souvenait de où étaient les produits. Elle y alla, farfouilla un peu, lit les descriptions, puis en prit quelqu'uns, des torchons et autres, et alla dans la salle de bain tranquillement, la tête dans la lune.
Une fois arrivé, elle va se mettre à genoux devant la porte ouverte de la douche, frissonnant au contact de sa combi sur son corps, ouvre l'eau, qui tombe brusquement sur elle, qui pousse un léger cri dans un sursaut en se reculant aussitôt.
Elle ajusta la température de l'eau, et commença à nettoyer la baignoire, gémissant parfois, tremblant à d'autres occasions. C'était insupportable. Mais elle n'aurait su dire si c'était bien ou non....

Quand elle eut fini, elle se releva, s'étira en faisant craquer son dos, poussa un gémissement, puis regarda son Maitre. Elle était complètement trempée, et tremblait un peu de froid, en lui souriant doucement.

"J'ai fini Maître... que dois-je faire ensuite ?"

- Ce que tu fais ensuite ? Mmm…

Ce qu’elle pourrait faire ? Je n’y ai pas vraiment songé, dans ma tête cela prendrais plus de temps que ça. Je prends une serviette et lui passe sur le corps, afin de lui ôter le plus gros de l’eau, insistant bien sur les parties intimes, pas besoin d’appuyer, il suffit de caresser, cette tenue si fine et pourtant si instable pour celui qui la porte. Que lui faire faire ? Je n’en sais pas trop. Je suis à court d’idée, je lui dirais bien de…

- Va promener Caprica dans cette tenue,n’oublie pas de faire le tour du parc.

Promener une chienne qui ne veut qu’une chose courir dans tous les sens près tout ce qu’elle voie, dans cette tenue ? Autant lui mettre un vibromasseur dans son intimité et la prendre par l’arrière. Enfin niveau sensation cela revient au même. Un sourire ce dessine sur mon visage, je le sens il n’est pas saint comme sourire. Je siffle laissant la chienne venir à moi contente.

- Ta maîtresse va te promener ma belle ~ Qu’en dit tu ?

Laissant la joie explosé du coté canin, j’attrape la laisse de ma deuxième chienne avant de lui tendre gentiment. La laissant prendre la laisse je dirige ses femelles vers l’extérieur. Je prends mes clefs puis en route pour l’extérieur, la chienne trépigne d’impatience, je dois avouer qu’elle n’est pas la seule ouvrant la porte vers ce monde extérieur, je laisse passer mes petites protégés, marchant avec elle jusqu’au parc de l’immeuble. M’asseyant sur un banc, croisant les bras la laissant alors faire un tour avec son cadeau, souriant à la passante qui me regarde, me voyant dehors pour la deuxième fois de la journée, sans pour autant en avoir changé les vêtements.

La jeune hybride le regarde réfléchir, et se laisse être sécher. Aussitôt, elle eut l'impression d'avoir un vibro en elle tant les sensations sont fortes. Elle se crispe un peu, et serre ses doigts cpntre ses bras qu'elle a croisé contre sa poitrine alors qu'elle frissonnait de froid. L'hybride gémit, de plaisir, de protestation, n'arrivant pas à comprendre pourquoi d'un coup elle avait tant de sensations lorsqu'il la touchait. Certe, il ne la laissait pas insensible avec son charme, mais tout de même! Ca ne pouvait décemment pas être ça... Peut-être la tenue alors ? Ca aurait une bonne raison quant à son sourire et presque son impatience qu'elle la mette.
Oui, son sourire, car elle vient de remarquer son sourire. Pour elle, ça ne veut rien dire de bon, il a du trouver une idée qui allait l'amuser sans aucun doute, mais sans doute pas à elle. Et en effet, la sentence tomba, elle devait promener le chiot. Et aussitôt après, il appela Caprica qui sauta sur Alexy. Elle la rattrapa juste avant qu'elle ne soit sur elle, et empêcha ansi un déferlement de plaisir.

L'inu va alors prendre la laisse, et la lui passe, avant de lui suivre à l'extérieur de la maison. La petite russe appréhende l'extérieur, ça lui fait peur, tout ce monde, ces humains... ces hybrides aussi qu'ils lui veulent du mal... Mais elle n'a pas réellement le temps dy' penser, car ils arivent rapidement au parc, et aussitôt, Caprica sait qu'elle peut faire presque ce qu'elle veut.
Au début, Alexy réussit à la garder près d'elle, mais rapidement, la chienne trouve des force et tire aussi fort u'elle peut, entrainant la demoiselle, qui se met alors à courir après elle. Au bout d'un quart d'heure seulement elle abandonne, complètement à bout de souffle, les mains qui tremblaient. Elle tomba à genoux devant son Maître, avant de lui parler d'une voix suppliante.

~M-Maître... je vous en prie... rentrons... je... ah... je n'en peux plus... votre tenue... a-ah... c'est trop bizarre Maître....~

Elle pose son front contre les genou de l'homme, Caprica qui tirait encore sur la laisse, qu'Alexy attacha aussitôt au banc pour ne plus avoir à rien faire.

Elle n’en pouvait plus hum ? Haha qu’elle petite faible ! Elle était du genre à croquer comme ça, la voir haletante à souhait, la sentir à bout et pourtant je n’avais encore rien fait, la prenant alors dans mes bras, pour la mettre sur mes genoux lui caressant le dos mordant doucement dans son coup, peut être j’en avais envie, peut être que je voulais juste l’embêter. Je la mise un peu en arrière, la regardant dans les yeux avant de l’embrasser avec fougue, offrant une danse avec sa langue, les mains poser sur ses fesses, la sentant aussi chaude que la braise, mais j’aime prendre mon temps. La gardant toujours sur les genoux, je pris la laisse de la chienne, elle aussi était haletante, couinant voulant jouer, je crie un ‘ça suffit’ si dur qu’elle ne fit plus un bruit, il était temps de rentré. La portant alors de mon bras valide je me diriger vers la maison. Le sourire toujours présent, suis-je un mauvais maître ou juste un profiteur, j’hésite quand à répondre à ça.

Je passer les portes avec un peu de difficulté, après tout je n’avais qu’un bras de valide, l’autre était encore faible. Allant alors directement dans ma chambre laissant tomber Alexy sur le lit, embrassant alors ses jambes, son ventre, puis passant une main dans son dos, lui retirant doucement la tenue, lentement. La laissant alors nue sur mon lit, me redressant.

- Ça suffit pour aujourd’hui, tu en as assez fait.

Mettant alors la tenue au sale, quittant alors la pièce, ne me retournant pas. Parlant d’une voix autoritaire, peut être un ailleurs.

- Rhabille toi et va donner à boire a Caprica, n’hésite pas à prendre une douche si besoin, et puis mange, après ce que tu viens de faire je ne voudrais pas que tu tombes dans le coma.

Retournant alors dans le salon retrouvant mon bon vieux fauteuil, prenant un livre qui trainer là, ouvrant une page aléatoirement, pour le lire, respirant doucement, le plus calmement possible imaginant les mille et une scènes que j’aurais pu faire, mais cela viendra, il faut attendre. LE sourire toujours aux coins des lèvres.

» Ne crois que ce que tu veux
» Attitude inchangeable [PV = Alexy]
» Alexy Oudinov, la petite hybride russe. /Finit/
» Besoin du Foyer [Roy]
» J'ai tant besoin de toi... ♥ (LIBRE)