Lorsqu'ils entrèrent dans la grande salle, Raiko fut subjugué l'état dans lequel commençait à entrer son hybride. Mais il avait tout préparer pour ce moment : Les murs de la salle avaient été recouverts d'une fibre étrange faisant penser à des rideaux noirs et des dizaines de bougies étaient posées au travers de la salle, d'une part pour l'ambiance tamisé, d'autre par pour chauffer la salle, qui n'avait pas de chauffage. Au plafond, une simple lape pavillon pendait au bout d'une fine cordelette.

Au centre se trouver la table, une table rectangulaire en bois de chêne avec en ses quatre coins des chaîne-menotte qui pendaient mollement dans le vide n'attendant que des bras et des jambes pour servir leur buts. Un long draps de velours était posé au milieu de cette table afin d’accueillir sa protégé pour plus de confort pour elle.

Raiko se concentra pour ne pas trébucher, le tout étant bien sur de ne pas tomber avec sa belle dans ses bras.

— Tu veux vraiment que je t'aide Mireille?

Il trouvait, sa phrase juste parfaitement placé car il le savait, elle ne comprenait rien à ce qui lui arrivé. Et de toute manière, la seule façon de calmer son excitation était qu'ils le fasse tout les deux.

La jeune demoiselle s'était laissé porter, pensant aller dormir, ou elle-ne-savait-quoi-d'autre... Mais pas aller dans cette pièce, qui l'intriguait tant. A peine eut-il posé sa question, que même si elle n'avait pas comprit par rapport à la phrase, elle avait bien comprit au ton qu'il avait employé et au regard qu'il y avait lancé, alors par curiosité, et en espérant ainsi oublier toutes ces sensations, elle fit un petit oui de la tête, s'accrochant de nouveau à lui, fermant les yeux, avant de les rouvrir une fois en bas.

Avec de grand yeux, trouvant ça extrêmement bizarre comme décoration, la petite hybride observa absolument tout, se demandant à quoi pouvait servir tout ce qu'il y avait. Ses envies devenaient de plus en plus pressantes et oppressantes pour Mireille, qui avait ses mains crispées sur le tee-shirt de son Maître. A sa voix, elle détacha ses yeux de la table, et les leva vers lui, ne comprenant pas un mot de sa phrase. Mais il semblait gentil, et avait l'air de vouloir l'aider. Toutefois hésitante, elle hocha la tête pour la seconde fois, espérant qu'il l'aiderait à ne plus sentir tout ça en elle !
Et puis soudain, elle sentit une goutte tomber sur sa cuisse. Inquiète, pensant avoir ses règles, elle y porta sa main. Mais ce n'était pas rouge. Ce n'était pas non de la pisse vu l'odeur et la couleur blanchâtre. Elle renifla un peu, sans comprendre, de plus en plus inquiète, connaissant encore moins son anatomie que celle des hommes.

"Master... ! Aidez moha !"

Fit-elle en montrant la perle sur son doigt, avant de l'essuyer sur son tee-shirt, de nouvelles larmes coulant le long de ses joues, cachant son visage contre lui, terrorisée par les réactions de son corps qu'elle n'arrivait pas à comprendre et qui était maintenant insoutenable ! Elle avait l'impression d'être passé aux toilettes, tant c'était humide, mais après avoir touché, ce n'était toujours pas de la pisse ! C'était visqueux, un peu blanc et avait une drôle d'odeur.

Raiko sourit et commença par l'allonger sur cette table avant de l'y attachée à l'aide des quatre chaines, après lui avoir enlevé le tee-shirt, puis il entreprit de longues caresses sur le corps si frêle de son hybride. Ses caresses allaient de son visage à ses seins qu'il malaxa d'abord avec douceur puis il devint de plus en plus fougueux dans ses gestes. Il se plaça ensuite au-dessus d'elle et vint lui mordiller le bout rose qui pointait déjà sur la pointe de ses seins en passant une main sur l'intérieur de sa cuisse.

-Laisse-toi faire si tu veux que je te soulage de toutes ces sensations qui parcourent ton corps. Ton maître va s’occuper de toi, tu n'as rien à craindre, et si tu es sage, tu auras même droit à une récompense.

Bien sûr ces paroles n’avaient pour but que de la détendre. Après tout, il fallait qu'elle le soit pour sa première pénétration. Mais Raiko allait se montrer bien moins tendre par la suite, par contre, il manquait quelque chose, quelque chose d'assez important. Il se leva, interrompant ainsi ses caresses dans le but d'aller chercher un des nombreux accessoires accrochés au mur : un Collier pour son hybride. Quand il revint il lui mit alors autour du cou, se sentant ainsi mieux il reprit ses caresses au niveau de l'intimité de son hybride qui dégoulinait abondamment.

Raiko, lui aussi, commençait à vraiment avoir chaud et ôta ses vêtement en ne gardant que le caleçon et revint au-dessus d'elle, en lui mordillant une de ses oreilles faisant doucement entrer un doigt en elle.

-Sais-tu comment on appelle ce liquide, qui actuellement coule de ton entrejambe?

Raiko allait commencer la première séance de dressage pour son hybride, et espérait bien réussir.

La blondinette le regarda un instant, avant d'être couché sur la table, ne comprenant toujours pas ce qu'il comptait faire. Quand il lui enleva le tee-shirt, elle crut comprendre, mais elle avait peur de comprendre, et refusa ça, jusqu'à ce qu'il l'attache. Aucune doute ne fut alors plus permit pour la douce hybride quant à ses intentions dans un futur très, très, très proche, trop pour la demoiselle. Mireille ne pouvait plus bouger tant elle avait peur, et elle ne chercha pas à résister, à essayer de s'échapper, sachant mieux que quiconque que ce genre de lien était bien trop solide pour elle, et qu'à part des coups et un viol sans doute moins supportable encore, il n'y aurait rien d'autre.
Pourtant, quand il se mit à la caresser, son corps réclama plus. Son corps se mettait dans un état pire qu'avant. Inconsciemment, elle en voulait bien plus, elle voulait qu'il la pénètre, et qu'il la possède. Mais consciemment, elle en était terrifiée et elle aurait tout préféré à ça ! Elle avait les larmes aux yeux, et gémit légèrement lorsqu'il lui mordilla le bout de sa petite poitrine. Mireille le regardait, le suppliant du regard d'arrêter, alors qu'elle ressentait de plus en plus le besoin si fort du plaisir charnel.

"Maître... I... A-ah ! I don't understand ! Master...  please !"

Dit-elle lorsqu'il avait introduit un de ses doigts en elle. Elle avait eut mal, et s'était crispée à nouveau. Mais ce n'était rien comparé au reste, comparé à ce qui entrerait en elle par la suite !
Au final, le collier n'était rien comparé à ça... Quand il était partit, elle avait réellement cru qu'il allait arrêter, et ne pas aller plus loin. La neko l'avait suivit du regard, et regarda avec horreur le mur avec tout les accessoires, ne l'ayant pas remarqué en entrant, et se sentit blanchir tant elle fut mal. L'hybride l'avait regardé prendre le collier puis revenir pour le lui mettre et se déshabiller par la suite. Et oui, les larmes avaient finit par couler. C'était insupportable, ainsi exposée à sa vue, le collier, lui au dessus d'elle quasiment nu, et son doigt en elle.

Sans s'en être rendu compte, elle gémissait un peu, de plaisir, son corps se cambrant imperceptiblement sous lui. Mais la blondinette ne voulait pas en même temps. Elle avait peur de la douleur, et des conséquences qu'il pourrait y avoir. Mais les pulsions de son corps étaient insupportable. La neko était en proie à une guerre intérieur, pour ne pas se laisser aller, pour tenter de rester encore un peu pure...

De tout ce qu'il avait dit, elle n'avait strictement rien comprit. A part peut-être celui de rester tranquille et de se laisser faire. Mais sinon, non, ce n'était que du charabia pour elle ! De nouveau, elle le supplia du regard, mais son regard représenté sa guerre intérieur, l'envie, et la terreur de ça.

Raiko avait ses yeux rivé dans les siens tout en continuant ses caresses. Il ne savait que trop bien qu'elle avait compris ce qui allait lui arriver, mais il ne reculerai sous aucun prétexte et continua à malaxer avec force désormais ses seins en les suçotant légèrement au bout. Son doigt avait entamer un doux mouvement d'aller et venu en elle, et il sentait sa cyprine coulait à flot sur sa main.

-Tu es si belle quand tu es dans cet état...

il passa un doigts sur ses yeux, afin de lui sécher ses quelques larmes, avant de se lever et d'ôter son caleçon. Il se replaça ensuite au dessus de son hybride et commença à frotter délicatement le bout de son membre contre les lèvres intimes de la jeune femelle, en se remettant à lui sucer ses tétons.

-Tu as accepté de rester avec moi, je t'avais prévenue : pas de retour en arrière possible. Tu sera donc une hybride soumise et dévouée à son maître. Tu vois tout ses accessoire, ils me seront utiles en cas de refus d'obéir de ta part. J'espère que c'est clair.

Il lui détacha alors les mains, dans le but de lui apprendre à faire plaisir à son maître. Il l'aida ainsi à s'asseoir, toujours jambes écartées et lui présentât son membre déjà gorgé de sang avant de prendre une de ses mains et de la poser dessus.

-Commence donc par caresser ton maître, et doucement sinon je vais devoir te punir avec une des choses que tu vois là bas...

il avait pointer du doigt le mur et utilisait désormais un ton autoriataire pour la faire obéir.

Malgré le peu de poitrine qu'elle avait, il avait trouvé le moyen de lui faire mal avec ! Surtout que allongée ainsi, sa poitrine était totalement aplatie, de sorte à ce que l'on n'en remarque encore moins de chose. Elle poussa un gémissement de douleur qu'on il pressa sa main dessus un peu trop fort, et son corps se souleva à peine. Mais son gémissement fut entremêlé avec des sons de plaisirs. Elle ferma les yeux et pencha sa tête sur le côté, le visage crispé par la douleur qu'il lui avait fait, et par la gêne plus que dominante en elle !
Quand enfin il arrêta, l'innocente demoiselle cru que c'était finit, qu'il avait eut pitié d'elle et qu'il arrêtait totalement. Mais à son grand malheur, non ! Car quelques secondes après, lorsqu'elle rouvrit les yeux, elle le vit, cette fois-ci entièrement nu, et remonter sur elle. Elle ferma les yeux, rouge comme une pivoine. Au moment où elle le sentit se frotter à elle, une forte envie, une pulsions de désir charnel la prit d'assaut, et la neko pu sentir son corps se soulevait autant qu'il le pu pour se faire prendre, en vain. Rien que l'envie qu'elle avait la faisait s's’essouffler tant c'était dur de devoir ainsi attendre !

Et puis à nouveau, l'espoir qu'il arrête la prit à nouveau, quand il lui détacha les mains. Elle rouvrit ses yeux, et le regarda faire, évitant soigneusement de ne pas regarder au niveau de la ceinture et sourit légèrement quand elle eut ses mains détachées et qu'il l'aida à s'asseoir. Mireille cru qu'il allait lui enlever les chaînes de ses pieds, mais il n'en fit rien. Au lieu de ça, Raiko avait prit sa main pour la posé sur son membre, et la menacer. Elle suivit son regard, retirant vivement la main, et observa les accessoires. Même si elle n'avait pas comprit, le message avait bien était capté par le ton qu'il avait eut et la désignation des étranges objets. Elle le regarda à nouveau, ses oreilles couchées sur sa chevelure blonde, et timidement, elle posa sa main sur le membre de son Maître, sans trop savoir ce qu'elle avait à faire.

Comme il était à genoux face à elle, sa virilité juste en face de son visage, elle cru qu'elle devait utiliser sa bouche. La demoiselle n'avait jamais rien fait de tout ça, et hésita pendant de longues secondes avant de fermer les yeux, de le caresser un peu puis d'ouvrir sa bouche et de le lécher doucement, n'osant pas regarder, retenant son souffle, puis le prit complètement en bouche, finit par enfin ouvrir les yeux et les leva vers lui, trouvant le goût affreux, les larmes aux yeux, ne sachant pas trop quoi faire. Elle essaya alors, faisant des aller et venu avec sa bouche, le caressant un peu d'une main et touchant un peu avec sa langue également, espérant bien le faire, sans trop y croire non plus.

Lorsque la jeune fille commença à prendre l'initiative d'utiliser sa bouche , l'hybride fut agréablement surpris et la laissa faire dans un premier temps en passant une main dans ses cheveux blonds. Il aimait énormément sa manière de faire, hésitante, mais excellent, le jeune maitre la laissa donc faire en caressant ses oreilles du bout de ses doigts.

-Continue ma belle, tu es douée, mais fais attention à tes dents s'il-te-plait.

Il avait bien sur employé un ton mêlant désir et autorité, il voulait qu'elle voit que lui aussi avait envie de plus. Au bout de quelques minutes, il fit descendre une de ses mains vers l'un de ses seins qu'il caressa avec douceur en faisant tourner entre deux doigts son téton. Il ne voulait surtout pas que ce moment cesse, il désirait qu'elle continue.

Bien sur cela allait évoluer mais pas tout de suite, il voulait avant tout lui apprendre tout sur les préliminaire et voulait aussi la récompenser de lui avoir obéi jusque-là déjà. Il la fit alors se reculer et la plaqua dos à la table avant de lui lécher tendrement le cou avant de parcourir le corps de la jeune hybride de sa langue jusqu'à son intime partie. Il observa d'abord attentivement son intimité en lui écartant légèrement les lèvres, puis commença passer sa langue dessus tout en caressant son petit bouton qui était visible dû à l'excitation de la femelle. D'une main il s'occuper de ce dernier, de l'autre il faisait entrer et sortir son doigt de la jeune hybride tout en la léchant le plus attentivement possible en levant les yeux pour voir sa réaction.

-Aimes-tu cela?

La jeune demoiselle le regardait, tout en continuant, vraiment mal à l’aise et ne sachant pas si ce qu’elle faisait était bien ou non. Du moins, elle continua jusqu’à ce qu’il se mette à lui caresser les oreilles. Aussitôt, la neko commença à ronronner, arrêtant la fellation en cours et se blottissant contre après avoir enlevé le membre de l’homme de sa bouche. Sa propre queue commença à bouger de plaisir derrière elle, resta contre lui, son visage contre la cuisse du kistune.
Et puis d’un coup, elle se sentit plaqué contre la table, et reprenant peu à peu ses esprits, le sentit lécher son entrejambe, "imberbe", comme tout le reste de son corps. Rapidement, elle sentit une sorte de chaleur intense revenir à cet endroit précis, et poussa un gémissement, ses mains se crispant sur le drap de velours, son petit corps se cambrant un peu.

" Maî-Maître... a-ah ! Please.... stop ... Nya~"

Rien qu’en la voyant, on pouvait amplement sentir qu’elle aimait ce que son Maître lui faisait ! Entre ouvrants la bouche, les paupières closes, sa tête légèrement penchée en arrière, elle retenait avec peine quelques gémissements, tandis que ses mains étaient de chaque côté de son visage. Ses jambes bougeaient un peu, mais plus à cause du plaisir qu’autre chose, ou qu’une quelconque envie de s’échapper !
Au final, Raiko avait raison, il la "délivrait" de ces sensations si bizarres, mais en même temps, il lui donnait envie de bien plus, et là Mireille n’en pouvait plus, une ou deux larmes roulant le long de ses joues. Enfin... La pauvre hybride était coincé entre ces deux choses. Lui faire plaisir, l’obéir, et être délivrée de ce supplice de toutes ces sensations, ou bien tenter de résister bêtement, en ne voulant pas souffrir et au final souffrir... Et puis il y avait le reste... Les maladies, elle ne voulait pas mourir ! Elle voulait vivre. Et peut-être le pire... tomber enceinte... Ça... c’était bien une des choses dont elle avait le plus peur.

Seulement... seulement, elle n’était pas au courant, mais elle n’était pas féconde, mais stérile. C’était les raisons pour laquelle ses anciens maîtres l’avaient abandonné, car au d" part, les deux avaient eu l’intention de la faire se reproduire, mais à cause des premiers tests, les projets du père étaient tombés à l’eau, la rendant stérile, très certainement à vie, même avec une ou plusieurs opérations. Alors de ce côté-là, elle n’avait rien à craindre, même si elle n’était pas au courant. Et puis... Même, en y réfléchissant, même si les deux avaient un côté humain, l’autre côté était différent. Était-ce au moins possible de faire ce genre de croisement ? Peut-être que oui puisqu’on avait bien mélangé être humain et animaux !

La jeune hybride commença à se laisser entièrement faire. Elle pencha sa tête en arrière et avait les yeux mi-clos. Elle ne put retenir quelques gémissements indiquant qu’elle adorait ce que lui faisait son maître. Elle avait placé ses mains de chaque côté de sa tête sur la table et elle se cambrait, par moment, sous les coups de langue de son maître qui savait, en sentant ses jambes bouger, que l’hybride était en extase, sur cette table, les jambes attachées et à sa merci.

Raiko léchait consciencieusement chaque parcelle de son intimité en faisant par moment entrer sa langue entre ses lèvres dégoulinantes de nectar, qu’il s’amusait à aspirer dans sa bouche par moments. Il savait qu’elle aimerait ça et, semblait-il, son corps semblait en demander toujours plus. De la sueur était apparue sur l’intégralité du corps de sa femelle qu’il n’allait pas tarder à prendre.

Il remonta alors le long de son corps afin que son membre se frotte à son intimité. Il embrassa ensuite son hybride en lui caressant avec douceur et passion ces oreilles qu’il savait désormais sensibles. Dans son baiser se mêlaient fougue et passion, il faisait aussi des mouvements du bassin afin que son membre caresse l’intimité de la jeune femelle, il voulait qu’elle le supplie de la prendre sans quoi il ne ferait qu’augmenter ses caresses sans rien faire de plus.

Il aimait beaucoup être dominant sur un être si faible et était sur ainsi qu’elle n’appartiendrait qu’à lui au bout de quelques mois en sa compagnie. Il voulait qu’elle ne puisse plus se passer de lui et en cas de refus, elle verrait ce qu’il en coûte de désobéir. À bien y penser, Raiko n’avait jamais autant pris de plaisir, il alla jusqu’à se demander pourquoi il n’était pas devenu comme cela plus tôt, c’est à ce moment précis que la dernière parcelle d’humanité disparut de son corps, il se montra alors plus fougueux dans chacun de ses gestes.

Son baiser dura de longues minutes. Il ne cessait de caresser les oreilles de sa soumise. Il stoppa alors ce langoureux baiser afin de prendre la parole :

— Dis-moi, que veux-tu que je fasse ma douce femelle ?

Il savait qu’elle ne se débattrait plus, il savait aussi qu’il n’avait rien à craindre et laissa ses lèvres en suspens, son visage à quelques centimètres du sien. Bien sûr, elle devrait le supplier en français si elle désirait quoi que ce soit de sa part, sans quoi il feindrait l’ignorance et continuerait sa torture mentale sur elle. Il aimait la voir si excitée et il se jura de toujours faire en sorte qu’elle soit dans un état de folie avant de passer à l’acte.

Sa langues et ses lèvres... sur son sexe... quelle atrocité pour la pauvre neko ! Elle n'en pouvait plus. Son esprit commençait même à divaguer ! Elle était ivre de toutes ces délicieuses sensations ! Sa langue avec quoi il jouait. Soudain, un pic plus puissant de plaisir la prit, et elle se cambra d'avantage, poussa un gémissement plus fort que les précédents, et se calma enfin quand il arrêta de la torturer ainsi.

Elle se calma un peu, et pu souffler pour récupérer le temps qu'il arrête, mais il ne fit qu'une pause de quelques secondes. Car juste après, il s'était mit à se frotter contre elle à nouveau. Cette fois-ci, prise dans un élan d'ivresse charnel, sans s'en rendre compte, elle se cambra d'avantage, se soulevant et l'entourant de ses bras, elle l'empêcha ainsi de se retirer ou autre, juste assez pour que d'un coup de hanche, il la pénètre sans qu'il ne le veuille. Mireille poussa un cri de douleur, mêlée à de la jouissance, des larmes coulant le long de ses joues, tandis que son corps retomba mollement sur la table. La jeune hybride pensait que c'était lui qui l'avait pénétré.

Elle ne s'était réellement pas rendu compte qu'elle avait provoqué ça elle-même ! La blondinette avait si mal... Une douleur réellement insupportable ! Elle passa une main sur sa cuisse, et sentit beaucoup de liquide glisser le long de sa peau pour venir tacher le draps. Elle ramena sa main à elle, et devint aussi blanche de la neige en voyant que c'était du sang. Elle saignait vraiment beaucoup, et ne tarda pas à se sentir mal, sans toutefois tourner de l’œil.

La neko osa à peine jeter un coup d’œil à l'homme, et détourna rapidement le visage en protégeant d'une main tremblante son intimité et sa poitrine de lui, trouvant son visage bizarrement un peu rouge, comme s'il était en colère, et elle ne comprenait vraiment pas pourquoi ! Elle avait si mal... Autant physiquement que moralement... Les larmes ruisselaient le long de ses joues, et la tête lui tournait. L'envie était toujours présente, et elle ne comprenait toujours pas comment elle pouvait en avoir envie alors qu'elle en avait toujours été dégoûtée, et que maintenant, il l'avait violé... Son corps tremblait nerveusement, et ne semblait pas pour s'arrêter !

Elle ouvrit sa bouche, puis la referma presque aussitôt, n'arrivant plus à parler, sa voix restant coincée au fond d'elle même. Elle priait pour qu'il parte, qu'il la laisse en paix. A la limite même, qu'il la laisse crever toute seule, là, allongée dans la cave. Ses souffrances auraient été achevé ainsi. Mireille referma ses paupières, le visage crispé par la douleur toujours présente, se mordant la lèvre inférieur si fort qu'elle en devint blanche ! Son corps fut prit d'une sorte de convulsions tant elle était mal, mais après deux-trois sursauts, ça s'arrêta tout seul. La blondinette voulait tant que tout s'arrête, s'évanouir, mourir... Tout, tant qu'elle ne ressentait plus rien !

Raiko sentait la colère monté en lui. Cette hybride venait d’outre passer ses droits et se permettait, en plus, de pleurer comme si c’était Raiko qui avait entamé sa virginité. Elle allait amèrement le regretter. Il allait lui apprendre ce que signifiait le respect de l’hybride envers le maître. Malgré le fait que Raiko était resté immobile, elle se permit de jouir tout de même au milieu de sa souffrance, ce qui fut un deuxième affront pour son maître, un affront de trop selon lui.

— Tu as voulu faire la maline ? Très bien, tu vas le payer le prix cher. Je vais t’apprendre moi à obéir, tu vas vite comprendre qui est le chef ici.

Il se retira d’elle, et la mit en quatre pattes sur la table en lui rattachant ses mains et ses chevilles. Il avait pensé au départ qu’elle ferait des efforts d’elle-même, mais il ne se doutait pas qu’elle commettrait deux erreurs à la fois. Il alla chercher un bâillon sur le mur aux accessoires et prit un bâillon qu’il installa dans la bouche de la neko. Le bâillon se présentait sous la forme d’une boule avec deux chaines sur les côtés servant à l’attaché derrière la tête de sa victime.

Raiko se plaça alors derrière elle et commença à la prendre sauvagement en lui claquant les fesses violemment par moment, avant de la tirer par les cheveux et de lui dire :

— Tu vois, tu as voulu perdre ta virginité de ton propre chef, peut être que tu y réfléchiras à deux fois avant de reprendre une initiative sans mon accord. Pour ce qui est de la langue, je vais t’enfermer dans une salle cinq heures par jour, et tu vas en bouffer du français. Je suis ton maître, et tu vas vite comprendre qu’être mon hybride, c’est aussi être ma soumise.

Désormais rien ne pourrait plus l’arrêter, Raiko était vraiment hors de lui. Il le montrait à l’hybride en accentuant chaque coup de reins de plus en plus. Il voulait qu’elle comprenne que désormais sa vie dépendra de son maître. Il sera doux avec elle si elle se montre obéissante, mais violent et dur dès qu’elle désobéira, et ce soir serait une nuit entière de dressage pour elle. Il relâcha ses cheveux pour reprendre ses claques sur ses fesses déjà rouges. Certes la boule l’empêcher de crier, mais les larmes coulaient sur ses joues. Elle pourra le détester, mais elle savait qu’en restant auprès de lui, elle ne manquerait de rien et il lui fera comprendre que l’obéissance mène à la douceur.

Raiko continua de la pénétrer, il n’attendait qu’une autre jouissance de sa part pour continuer son dressage à l’aide d’un autre accessoire qu’il savait insupportable pour elle, même si elle n’avait jamais vu ou même ressentit le cuir sur sa peau…

— Tu as voulu faire la maline ? Très bien, tu vas le payer le prix cher. Je vais t’apprendre moi à obéir, tu vas vite comprendre qui est le chef ici.  

Qu'est-ce qu'il pouvait bien dire ? Sans doute pas des gentillesse au vu de son ton énervé. Elle allait essayer de dire à nouveau quelque chose, quand elle vu coupé quand il se retira. Elle cria, ou plutôt, ses lèvres s'ouvrir pour crier, mais aucun son n'en sortit. Presque de suite après, elle sentit ses mains la prendre fermement et la relever pour la mettre à quatre pattes. Puis elle fut de nouveau attachée. La neko était trop terrorisée pour penser à s'enfuir, et avait trop mal pour penser à résister. Mais tout ça n'était que le début. Elle le suivit du regard aller au mur des accessoires, en prendre un puis revenir. Ses larmes n'avaient pas cessé de couler quand il lui installa le bâillon. Et de nouveau, la douleur. Insupportable. Atroce. Inhumaine. Il s'était remit à la pénétrer, et avec une violence qu'elle n'avait jamais connue, même pour des punitions. Ses larmes coulèrent en un flot intarissable sur son visage, et la boule l'empêchait de crier, voir même de hurler de douleur. Enfin... Non, même pas. Aucun son ne sortait plus de sa bouche de toute façon, alors bâillon ou pas, il n'aurait rien entendu.

Et en plus, il s'était mit à la fesser... La douleur n'était plus supportable, elle priait pour s'évanouir et ne plus devoir à subir sa colère, qu'elle ne comprenait pas. Mais elle se laissait faire, entièrement, sans protester, sans résister, tête basse, ses mains crispées sur le draps. Soudain elle sentit sa tête partir en arrière, et l'entendit lui parler. Mireille ne comprenait pas non plus POURQUOI, il s'obstinait à lui parler en français, alors qu'elle lui avait clairement fait savoir qu'elle n'y comprenait strictement rien. Elle voulait hurler tant la douleur devenait clairement insupportable, mais elle n'y arrivait plus, et même si elle aurait pu, il y avait le bâillon qui l'en empêché.

De nouveau, un pic de plaisir énorme la prit ! Un râle vint du fond de sa gorge, tandis que son corps se crispa d'avantage. La vague de plaisir la traversa des pieds aux oreilles. Pour une fois, elle comprit ce que 'était, mais fut loin de comprendre pourquoi elle y prenait plaisir, alors qu'elle souffrait le martyr et que en plus, elle ne le voulait pas. C'était juste son corps qui le désirait, pas elle...

Et puis la délivrance. Il sortit de son pauvre petit corps, qui tremblait bien trop, et qui s'écroula pitoyablement sur la table, toujours attachée aux quatre coins. A bout de souffle, elle avait un mal fou à respirer, et de plus, elle était au bord de l'inconscience, ses sens tout emmêlés. Elle ne commençait à ne plus rien ressentir, à ne plus rien sentir. Sa vue était brouillée par les larmes. Elle se savait de base à sa merci, mais là c'était plus vrai que jamais, d'autant plus qu'elle n'arrivait plus à penser correctement et encore moins à parler.

Raiko était heureux, mais il voulait jouir en elle, et lui faire ressentir la sensation d’être remplie par son maître. Il s’était retiré après qu’elle a joui et la vit encore en pleurs. Il se demanda si elle tiendrait le coup à une punition en plus et se décida à se montrer un peu moins violent. Il la détacha alors et la prit dans ses bras en la regardant dans les yeux et en lui séchant ses larmes. Il avait fait souffrir, mais il ne regrettait rien, et il continuerait si elle se montrait désobéissante.

— Toi être à moi tu comprends ? Et pour toujours...

Il espérait se faire comprendre ainsi et l’allongea sur la table avant de passer un mouchoir sur son intimité dans le but d’éponger le sang avant de se remettre à la caresser insérant de nouveau un doigt en elle, puis il prit sa main et la posa sur son membre l’incitant à le caresser et à s’occuper de lui en même temps. Il la caressa encore un moment avant d’aller chercher un fouet dans le but de parfaire le dressage de son hybride.

Il cessa ses caresses, se leva de nouveau, sans pour autant la rattacher, et prit contre le mur un petit martinet qu’il fit glisser dans un premier temps sur le corps de la jeune femelle déjà brisée mentalement, mais pas complètement niveau physique. Il la fit se remettre à genou, ses fesses bien remontés et commença à donner de légers coups de fouet sur son fessier. Il se plaça alors sur le flanc de la femelle avant de lui caresser un de ses seins, le malaxant vigoureusement en la fouettant de plus en plus fort.

— Toi devoir dire maître quand toi parler à moi.

Il avait employé un ton qui refusait toute réplique. Plus il la fouettait et plus il éprouvait du plaisir à la voir à sa merci. Il la fouetta donc pendant des heures avant de se placer derrière elle et de présenter son membre à l’anus de Mireille dans lequel il s’enfonça d’un coup, brisant ainsi la dernière virginité de son hybride. Il entreprit, alors, de sauvages et brusques va-et-vient. Il était bien décidé à la prendre toute la nuit durant, jusqu’à lui remplir tous ses orifices en commençant par son petit derrière.

La résistance ne lui effleura même pas l'esprit quand il la prit dans ses bras et quand il lui sécha ses larmes. Enfin... il essaya juste, car dès que d'autre disparaissaient, il y en avait mille fois plus l'instant suivant. Malgré le fait qu'elle soit "libre", la neko ne bougea pas, se laissant manipuler sans rien faire du tout, toujours le bâillon dans la bouche, ce qui fit qu'elle ne pu répondre, alors que pour une fois, elle avait comprit, ou du moins l'espérait.

Parfaitement docile, ou du moins anéantit, la demoiselle se laissa coucher, et se contenta de tourner la tête ailleurs, ses larmes coulant encore et toujours sur le draps, tandis qu'il la doigté à nouveau. Quand il prit sa main pour la poser sur son membre, elle n'eut pas besoin de le regarder pour comprendre, et fit ce qu'il lu demandait de faire silencieusement. Et puis il arrêta au bout de quelques minutes, et elle pu l'entendre s'éloigner. L'idée de s'échapper ne lui vint toujours pas à l'esprit, et elle resta là, sans bouger, fixant le sol avec désespoir, vidée de toute énergie ou d'une quelconque motivation.
L'envie avait disparue. Elle souffrait désormais bien trop. A nouveau, Mireille se laissa manipuler, pour se placer à genoux comme il le désirait, jambes légèrement écartées l'une de l'autre, tête baissée, main dans son dos. L'hybride s'était remise à tremblait, intensément cette fois-ci ; elle avait vu le martinet. Un gémissement sourd s'échapper d'elle lorsqu'il lui pressa son petit sein, et un cri muet lorsqu'il commença à la fouetter. C'était infernale, et pourtant, ce n'était que le début.

"Toi devoir dire maître quand toi parler à moi."

Ca aussi elle le comprenait. Et elle l'avait toujours dit dès qu'il l'avait acheté. Pourquoi lui disait-il ça maintenant ? Dans un moment pareil, de souffrance ignoble ?! Priant pour que cette séance se finisse vite, elle commençait à sentir l'ardeur qu'il y mettait au fur et à mesure, et sentit ses forces l'abandonner à une vitesse grand V. Au bout de quelques minutes à peine, elle s'écroula sur la table, et n'eut pas la force de se redresser tant elle n'en pouvait plus. Elle ne comprit pas bien comment, mais en quelques secondes, elle était de nouveau dans sa position initiale.

Cette torture dura de nombreuses heures, qui pour la pauvre neko, étaient semblables à une éternité. De très nombreuses fois elle s'était écroulée, et de très nombreuses fois il l'avait remit à sa place et avait recommencé. Mireille était même tombé de la table, à peine consciente à cause des coup de fouet qui l'avait fait saigner, et n'avait plus rien ressentit quand il l'avait remise sur la table.
Ce qu'elle sentit, et ce fut la dernière des choses qu'elle pu ressentir, ce fut la pénétration anale... Et les premiers coups de reins de plus en plus violent. Elle aurait voulut hurler, mais elle était incapable, s'évanouissant dès les premières secondes, ne pouvant plus rien supporter d'autre. Inconsciemment, elle s'était demandé comment elle avait fait pour tenir aussi longtemps, n'ayant pas dormi depuis des jours, et n'ayant jamais subit pires tortures que celles-ci.

L'hybride était couché sur la table, saignant d'un peu partout, son corps immobile, d'une très grande pâleur visible sur les surfaces non recouvertes de sang, des bleus partout, des sortes de griffures très nombreuses sur ses jambes et ses bras. Elle avait même fini avec le bord de la lèvre inférieur ouverte, dans une des mauvaises chutes du début. La pauvre était réellement à bout, et c'était un miracle qu'elle soit encore en vie après tant d'épreuve pour un si petit gabarit.

Lorsque Raiko la vit sombrer, il se stoppa net, toute envie avait disparu pour laisser place à la panique. Une panique sans nom gagna le jeune hybride. Qu’avait-il fait ? Il venait de faire sombrer la seule personne qu’il s’était juré de protéger... Voilà désormais qu’elle était en sang et vraiment pâle par endroit. Raiko commençait à trembler lorsqu’il la prit dans ses bras dans le but de la remettre sur la table. Il lui ôta le bâillon et de légères larmes roulèrent sur ses joues.

— Je... Je suis désolé ma douce hybride... je n’aurais jamais du aller aussi loin... je vais m’occuper de toi maintenant... je te le promets...

Il passa alors sa main sur ses fesses et alla dans la salle de bain chercher de quoi la désinfecter. Lorsqu’il revint, la pauvre était toujours inconsciente et il entreprit de lui soigner ses multiples plaies. Il ne savait pas si elle le pardonnerait, mais désormais ferais tout pour qu’elle ne souffre plus, en tout cas pour le moment. Il aurait dû y aller par étapes et s’arrêter plus tôt, mais sa folie avait pris le dessus et n’avait pas pu s’arrêter. Il ne savait même pas s’il pourrait se pardonner à lui même.

Il pensait à tout cela tout en lui bandant ses plaies. Une fois fais, il s’assura qu’elle n’appuie pas dessus en l’installant sur le ventre et alla chercher une couette dans la chambre afin d’en faire un oreiller pour sa tête avant de monter se coucher, même s’il savait pertinemment qu’il ne pourrait dormir cette nuit...

[Le lendemain après avoir vu son hybride si faible de tout ce traitement, Raiko redevint mauvais et cette fois-ci le restera ~~]

Raiko la vit à terre tremblante et crispée, elle avait l’air de vivre un calvaire, tant au royaume des rêves. Il eut alors une poussée d’excitation à la vue de tant de faiblesse et savait désormais que sa femelle ne pourrait jamais sortir de cette cave, ça allait être la seule salle qu’elle verra, et il allait être son seul rattachement à la civilisation extérieure. Il la laissa donc dormir afin de prendre le temps d’aménager la salle.

Il fit alors preuve d’inventivité en prenant les tables et en les rattachant ensemble, avant d’aller chercher une échelle et de placer au plafond un crochet, qui allait servir au dressage de sa femelle. Après avoir fait cela, il lui installa une bassine dans un coin de la pièce qui servirait à sa neko à aller aux toilettes durant la nuit. Il se dit qu’ainsi elle ne pourrait jamais se sentir libre et qu’elle lui appartiendrait à jamais.

Enfin, il changeât la serrure de sa cave, afin de pouvoir l’enfermer à double tour, et s’enferma avec elle dans la cave. Il descendit alors escalier le plus calmement du monde et la souleva sans ménagement avant de faire passer un cordage par l’anneau qu’il avait placé plus tôt et attacha ses mains entre elles avant de la soulever doucement dans les airs de manière à ce que ses pieds touchent à peine le sol. Il enchaina alors ses jambes aux chaines attachées à même le sol, de manière à ce qu’elle ait les jambes écartées.

Il alla alors chercher du cognac qu’il plaça sous son nez afin de la réveiller :

— Bonjour~~

Il prit alors un martinet sur le mur et caressa ses fesses du bout des lanières de cuir avant de commencer à la fouetter. Dans un premier ses gestes n’étaient pas trop brusques, mais par la suite ils devinrent sauvages et puissant.

— Tu as osé tomber dans les pommes hier et faire douter ton maître... Tu vas le regretter... Tu es à moi, tu m’entends ? À moi et à moi seul !

Elle resta inconsciente plusieurs heures d'affilée, le temps qu'il arrange la cave à sa convenance.
Mireille cauchemardait, assez violemment. Parfois son corps bougeait, avait une convulsion, ou bien encore elle ouvrait brusquement ses yeux, bougeait en gémissant et retournait presque aussitôt dans l'Enfer des Rêves. Le pire fut sans doute de revivre la nuit qui venait de passer. Elle croyait être réveillée. Alors, quand elle le fut réellement, grâce au cognac de son Maître, elle eut un soupir de soulagement, avant de le voir lui, et de voir comment elle était, sentant toutes ses plaies lui faire atrocement mal.

Elle bougea faiblement, paniquant, ne touchant pas le sol, avant de le voir partir chercher le fouet, à nouveau. Elle pâlit à vu d'oeil, et eut du mal à respirer pendant quelques secondes, sous la panique. En sentant les lanières sur son petit derrière, elle fut tétanisée, de terreur, avant de sentir le cuir mordre sa chair. Ce qu'elle sentit surtout, ce fut ses plaies qui n'avaient évidemment pas eut le temps de se cicatriser, se rouvrirent et et couler à peine, tachant juste les bandages de ses fesses qui atténuaient à peine le supplice. Rapidement ils s'enlevèrent sous la force des coups de fouet.

Elle n'arrivait plus à parler, pas même à crier ou à susurrer. Aucun son ne sortait plus de sa bouche, juste ses lèvres s'agitaient, le suppliant d'arrêter, demandant pardon pour des raisons inconnues, ne sachant pas quelles choses il pouvait bien lui reprocher ! La neko se sentait si faible, si inutile, et avait tellement honte de la situation. Elle était nue, juste ses bandages la recouvrait, et encore, ils étaient presque tous tombés. Et surtout, elle était au dessus du sol, ses pieds même plus à terre, jambes écartées. Sa tête dodelina, d'abord sur le côté, coup de fouet, en arrière, nouveau coup de fouet, et sa tête resta penchait en avant, tandis que ses larmes continuaient de couler dans un flot apparemment intarissable.

De nouveau, la douleur lui fit perdre toutes formes de cohésion, et elle n'arrivait plus à remettre les choses à leurs place. Seule la douleur restait maîtresse de son corps, plus rien n'avait d'importance. Elle n'entendait plus rien, n'avait plus d'odorat, et sa vue se brouillait à tel point que seules les couleurs dominantes étaient visible pour la douce hybride. Son corps était mou, se balançait au rythme des coups qui pleuvaient sur la pauvre blondinette, qui ne demandait qu'à servir du mieux qu'elle le pouvait, et un peu d'affection. Mais attachée et battue, c'était plutôt impossible. Elle regrettait tant d'avoir fait mal les choses, bien qu'elle ne savait toujours pas ce qu'elle avait pu faire de mal.

Elle voulait qu'il la libère, qu'il arrête. Elle voulait se trainer à ses pieds et lui demander pardon. Elle voulait qu'il la pardonne et la câline. Et enfin, elle voulait exaucer ses souhaits, quelques qu'ils soient, tant qu'elle n'avait pas à trop souffrir... Mais apparemment, lui, voulait qu'elle souffre.

Raiko le savait, elle souffrait, et il vit ses lèvres bougés au milieu de ses coup de fouet, mais ne se stoppa que lorsque sa colère fut passé laissant place à la folie. Il la prit alors par les cheveux et lui sourit en venant déposé une tendre morsure sur son sein droit. Avant de la détacher, la laissant ainsi s’écrouler sur la table, une fois fait, il lui caressa ses fesses, qu’il venait de maltraiter, avec une pommade apaisante, bien sûr ce n’était que pour la faire souffrir encore plus par la suite.

Il se plaça alors à hauteur de son visage et la prit par le menton. Il lui demanda alors de répéter ce qu’elle lui avait dit tout à l’heure pendant la séance de, ce qu’il aimait appeler, dressage.

-Tu as dit quoi tout à l’heure ? J’’ai vu tes lèvres bougés, je te demande donc de répéter s’il te plait. Et tu ferais mieux de le faire sans quoi je continuerai…

Il avait arrêté de la fouetter depuis plusieurs minutes, elle devait surement en être soulagé, si seulement elle savait que ce n’était que le début, peut-être reviendrais-elle à la raison et admettrai alors que sa vie de soumise fidèle de son maître venait de commencer. Mais hélas son silence prolongé le força a caresser ses seins avec des mouvement plus que brutaux et vint lui en sucer un tendrement, en le mordant sur la pointe.

-Répond !

Quand enfin il arrêta, elle sentit de vive brûlure sur ses fesses, mais n'en tint pas compte, puisqu'il avait enfin arrêté ! Elle se laissa relever le visage, et le regarda sourire au travers des larmes, recommençant à voir très légèrement. Elle fit bouger ses lèvres, voulant l'appeler, mais aucun son ne sortit de sa bouche. Enfin, il la détacha, et elle gémit une nouvelle fois, ne bougeant plus, se laissant se faire soigner, préférant de loin se faire toucher, mais pas fouetté, que fouetté mais pas touché. Quand il eut finit, elle se traina péniblement vers lui et fit en sorte de tomber par terre pour se blottir à ses pieds.

"Maître... je vous... pardon... excusez-moi... je serais sage... a vous... seul vous Maître... Obéissante... pitié... Maître..." Avait-elle enfin réussit à dire. C'était à peine audible, mais elle savait qu'il l'avait entendu.

Mireille s'était collé à lui, tremblante, ses plaies rouvertes saignant encore. La neko n'était pas sûre de ce qu'elle venait de dire, mais elle priait pour que ça passe, et que ça veule dire ce qu'elle aurait préféré lui dire en allemand ou en anglais. L'hybride avait son visage baissé, entre ses jambes, ses larmes continuant de couler à cause des douleurs qu'elle avait.

La blondinette rêvait de ne plus se faire punir, de pouvoir le comprendre et de se faire comprendre de lui. Elle rêvait de le satisfaire, et d'être ainsi à l'abri des coups, mais la barrière de la langue l'en empêchait bien trop ! Elle se persuada en quelques secondes que si elle arrivait à bien apprendre la langue de son Maître, elle pourrait bien le servir, et serait ainsi à l'abri des châtiments qu'il aurait pu lui infliger si elle ne faisait pas correctement les choses.

Raiko souriait alors, son hybride à genoux, le suppliant de se stopper dans sa folie, promettant une obéissance sans faille, mais jusqu’à quel point, cela allait être vérifié très prochainement. En effet, le kitsune la releva et lui détacha ses jambes avant de la faire s’allonger sur la table, puis il se dirigea vers le mur aux accessoires, d’où il prit l’intégralité de ses accessoires qu’il déposa sur une table à côté de celle utilisé la veille au soir.

Il lui refit ensuite ses bandages, ne voulant pas que les plaies ne s’infectent, et la fit s’installer sur le sol en lui remettant son collier, mais cette fois-ci, il lui mit aussi une laisse qu’il tira vers lui, afin de la faire venir devant lui. Là, il se mit à lui caresser les oreilles et pris un malin plaisir à rester un long moment dessus tout en recoiffant a peu près, son hybride. Il vit alors son visage, le visage d’une femme qui n’avait qu’une envie, celle de ne plus vouloir être frappé par son maître. Raiko le savait, désormais elle ne s'enfuirai plus de chez lui.

Il lui sourit alors et déposa un baiser sur ses lèvres. Il se déshabilla alors à son tour et se plaça devant elle :

- Very well, to start, this cellar will be your single part where you could be without my presence, the rest of the house will be, from now, on prohibited to you. If you wish to wash you or go to the toilets, you will have to ask it as a preliminary to me. If a pressing desire takes to you during the night, the basin over there, is there for that. Lastly, you don't want any more that I do not punish you, and would you be ready to obey me? Very well, we will start simply: Please me and deals with this. And pay attention to your teeth!

Il s’installa alors assis, posé sur une chaise de manière à ce qu’elle n’ait pas trop d’efforts à faire pour l’atteindre et attendit en plaçant une de ses mains à la base de son membre déjà dur.

La douce hybride se laissa faire, docilement, grimaçant simplement de douleur en se couchant sur le dos, ayant réellement mal au moindre de ses mouvements. Elle le suivit du regard vers ce qui était pour elle le Mur des Accessoires, puis revenir à elle, déposant absolument tout ce qu'il y avait, juste à côté d'elle. Elle pu sentir un vide dans son ventre, assez effrayée par ce qu'il y avait, ne connaissant strictement rien de tout ça, et fut soulagée qu'il reprenne soin d'elle, en lui refaisant ses bandage.
Toujours avec une grand obéissance, elle se mit à genoux au sol, le laissa mettre la laisse, et avança à ses pieds lorsqu'il tira dessus. Sa queue était toujours entre ses jambes, ses oreilles couchées sur ses cheveux blonds.

Le ronronnement emplit aussitôt la pièce, lorsqu'il se mit à la caresser au niveau des oreilles. Un doux ronronnement de bonheur pur. D'ailleurs, un petit sourire apparu aux coins de ses lèvres, preuve que ça lui faisait un bien fou. Elle posa son front contre lui, sa queue féline remuant doucement derrière son corps nu.
Enfin, il arrêta, et elle sentit ses lèvres se poser sur les siennes, pour la première fois. Elle rougit fortement à ça, et baissa les yeux. Elle sursauta en voyant le tee-shirt du Kitsune tomber devant elle, puis être suivit du pantalon et de son boxer. Elle rougit plus encore, et s'avança vers lui en le sentant s'asseoir, après l'avoir écouté en silence, et avoir hoché d'un mouvement de tête pour lui faire comprendre qu'elle avait comprit, et de répondre d'un 'oui maître' murmurait dans un souffle.

Elle se fraya un espace entre ses deux jambes qu'elle du écarter avec douceur, restant à genoux face à lui, difficilement, ayant mal aux genoux à cause du sol bien trop rugueux et dur, et de son corps, qui malgré son faible poids, avait bien du mal à la soutenir. Mireille ne se posa aucune question, et commença aussitôt une fellation à son Maître, ne voulant pas le faire s'impatienter et du coup risquer de se faire punir. Elle avait peur. Peur de ne pas réussir à lui donner du plaisir comme il le voulait, à lui faire du mal ou le blesser à cause de ses dents. C'était réellement difficile. Aussi, ce fut pour cette raison qu'elle leva ses yeux vers son visage pour espérer voir ce qu'il ressentait, s'il aimait ou non.

La neko faisait un effort monstre pour ne pas le mordre ou le griffer avec ses ongles, puisqu'elle le tenait dans ses mains, le caressant du bout des doigts, jouant doucement avec sa langue, avant d'arrêter pour reprendre son souffle, un filet de bave coulant sur sa lèvre puis son menton, avant qu'elle ne recommence, avec douceur, espérant lui plaire suffisamment pour ne pas se faire punir.

Raiko la laissa faire appréciant le contact des lèvres de la douce hybride. Le jeune homme adorait le traitement que son hybride lui procurait et ne savait pas comment le lui faire comprendre. Il passa alors ses mains sur les oreilles de Mireille qu'il se mit a caresser l'incitant de continuer. Il passa ensuite ses mains dans les cheveux de son hybride.


-Si tu es sage, je saurais me montrer reconnaissant envers toi~


En effet, il comptait bien, une fois le dressage terminé, la laver soigneusement et aller, en sa compagnie, lui acheter des vêtements. Il la vit alors lever les yeux vers lui et se mordit la lèvre. Son regard était à la fois apeuré et excité, cela eux pour effet de faire frissonner le kitsune. Lorsqu'il sentit sa langue jouer avec il pencha sa tête en arrière, il était alors au paradis et pour rien au monde elle ne devait arrêter. Ce n'est que lorsqu'il vit son filet de bave que le kitsune comprit que désormais elle ferait tout pour lui.


-Tu es as moi Mireille... continue je t'en pris...


Il avait envie de plus, mais pour le moment il désirait voir sa réaction si il éjaculait dans sa bouche. il voulait voir ce qu'elle ferait et en fonction de sa réaction il aviserait sur ce qui lui ferai faire alors. Il lui re caressa les oreilles avec douceur en lui enfonçant un peu plus son membre dans sa petite bouche sentant la semence arrivé, mais se retenant encore un peu, son membre se raidissant prêt à faire jaillir son nectar.

Apparemment, elle plaisait à son Maître. Il s'était mit à lui caresser ses cheveux, puis ses oreilles. Elle rebaissa pudiquement ses yeux, et regarda le membre qu'elle tenait entre ses doigts et dans sa bouche. Ce bout de chair était tout de même bizarre. D'abord, c'était gros. Elle trouvait ça gros. Et puis, c'était dur, alors qu'en voyant ça pour la première fois, elle aurait cru le contraire ! Timidement, sous ses paroles, elle avait continué, se demandant combien de temps elle devrait continuer sa "gaterie", ne connaissant pas la fin de ce genre de chose. En fait, elle ne connaissait rien de tout ça. Pas plus tard que hier, elle ne connaissait même pas ça tout court. Elle n'en avait jamais vu de sa vie, et aurait préférée ne jamais connaître ça. Ou alors, différemment. Pas en viol, pas avec de la torture.

Mireille le sentit un peu bouger, et s'inquiéta à nouveau. Mais non, ce qu'elle lui faisait semblait toujours lui plaire. Entre ses doigts, elle sentit la virilité de son Maître, s'épaissir, ou quelque chose comme ça, elle n'aurait su dire quoi. Et puis elle sentit sa main s'écraser sur sa tête, et ainsi l'obliger à prendre la chose dans son intégralité. Elle cru s'étouffer en le sentant s'enfoncer, et chercha à 'fuir', mais se stoppa rapidement, se souvenant des coups de fouet, et continua, les larmes aux yeux. Elle continua jusqu'à ce que quelque chose d'innatendue, pour elle, se passe.

Sans qu'il n'ai rien dit, un liquide sortit de son membre, et entra dans sa bouche. L'ayant entièrement, sa semence entra rapidement dans sa gorge, et rapidement et elle s'éloigna, une quinte de toux l'ayant prise, crachant ce qu'elle pouvait, s'étouffant à moitié, effrayée par ce qu'il venait de ce passer. Du revers de sa main, elle finit enfin par essuyer ce qu'il restait aux coins de ses lèvres, avant de retourner aux pieds de Raiko, tête baissée, rouge pivoine, ses oreilles abaissées et sa queue entre ses jambes. Elle avait tellement mal encore, autant physiquement que psychologiquement. La petite neko était également épuisée, et ses yeux se refermaient tout seuls, n'arrivant à les garder ouvert que difficilement.

"Master... Dormir... s'il vous, plaît... Tired..."

Elle posa sa tête sur ses genoux, arrivant difficilement à parler, d'une voix enraillée, espérant se faire comprendre, et priant surtout pour qu'il la laisse se reposer !

Elle était complètement hors Service, mais elle avait obéi à son maître et était même allée jusqu’à avaler la plus grande partie de son nectar. Il lui autorisa donc un repos et l’allongea dans un premier temps sur la table. Il laissa ses accessoires sur la seconde table et alla chercher de quoi prendre ses mensurations. Après les avoir prises, il sortit du manoir et l’enferma à la cave et se dirigeât vers un magasin de vêtement « normal » dans un premier temps, où il acheta un total de sept ensembles plutôt corrects et, dans un second temps, alla dans une boutique spécialisée dans le domaine de la soumission afin de lui acheter diverses tenues.

Il rentra ensuite au manoir, où il descendit toute une armoire à la cave avant d’y placer ses tenues et vêtements. Il se retourna alors vers son Hybride et remarqua à quel point le sol était rugueux. Il y installa alors un tapis ainsi qu’un matelas gonflable qui était maintenu à pression idéale à l’aide d’une pompe électrique. Il prit alors son hybride et l’y installa dessus avant de la couvrir d’une couverture en laine. Il sortit ensuite de la cave afin de commencer l’installation d’une sonnerie qui servirait à sa femelle à l’appeler dès qu’elle en sentirait le besoin, il plaça le bouton à côté du matelas.

Il la réveilla ensuite le plus délicatement du monde lui frottant doucement les épaules au travers de la Couverture. Il avait au préalable mi, sur la table qui avait servi à son martyr, toute une série de livres d’apprentissage de la langue afin qu’elle puisse rapidement communiquer avec lui. Le but premier étant, bien sûr, une meilleure compréhension des ordres. Plus de cinq heures s’étaient écoulées en effet et Raiko voulait continuer son dressage coûte que coûte.

— Mireille, tu as assez dormi, réveille-toi~

Il souriait et plaça son visage en face du sien.

L'entendre dire oui, le voir hocher la tête, fut un véritable soulagement pour la pauvre femme, qui était littéralement terrassée par la fatigue et ses blessures, et qui n'en pouvait plus de tout ces traitements subits depuis la veille. Elle saignait encore un peu, les fesses rouges, le visage humides par les larmes coulées. Elle se laissa transporter sans un bruit, et gémit de douleur quand il la posa sur la dos, ses blessures à vifs dessus. Ce fut pourquoi elle se mit, non sans difficulté sur le ventre, ses genoux écorchés à cause du sol plus que rugueux de la cave, sur lequel elle s'endormit en quelques secondes.

  Son sommeil fut de nouveau empli d'horreur. Elle sentait le cuir des lanières du martinet la mordre sans répit ni sans scrupule Elle entendait des rires dignes de démons, aux tons de Raiko et de ses précédents Maîtres. Et enfin, le calme. Elle vit son vrai-faux-Maître, et s'avança vers lui, ronronnant tendrement contre ses jambes alors qu'il lui caressait ses oreilles, lui murmurant milles mots doux et milles promesses, avant de placer son couteau contre sa petite gorge. Et enfin, il la trancha.
  Ce fut aussitôt le réveil, pour la neko, en sueur, qui n'était plus sur la table mais sur une sorte de matelas, une couette de laine qui lui grattait intensément à moitié sur elle, ayant pas mal bouger dans sa "sieste". Elle avait peur du noir. Aussi, ce fut pour ça qu'elle partit à quatre pattes du matelas gonflable, cherchant à taton la porte, ou quelque chose. Elle vit le très faible filet de lumière de l'interstice de la porte et du sol, et s'y dirigea, montant péniblement les marches, toujours à quatre pattes, et se lova contre la porte, totalement repliée sur elle-même, la vue brouillée, grattant pitoyablement la porte, espérant que le seul homme ayant été gentil avec elle, vienne la délivrer de ce cauchemars.

  Mais à son plus grand malheur, le seul homme qui était actuellement Maître des lieux et de sa petite personne, n'était autre que Raiko, celui qui l'avait battue et violé. Et de plus, il était occupé à installer une sorte de sonnette. La malchanceuse finit par se rendormir sans même s'en rendre compte, dormant profondément contre la porte, jusqu'à ce qu'il revienne. La porte s'était ouverte, et alors qu'elle était tout contre, endormie et lové sur elle-même, s'ouvrit brusquement, quand il fut de retour. Elle dévala alors les escaliers, se réveillant par la même occasions, et une fois en bas, fut sonnée, sa vue devenant noir, de la sueur partout sur son corps, ses cheveux trempée, et son poignet droit brisé. Elle avait également sa cheville droite apparemment mal en point également.
  Un petit filet de sang coula de son crâne, collant plus encore ses beau cheveux presque blanc sur son cuir chevelu, le rouge du sang ne pouvant que trop bien se voir.

"Frau Pietzrak... Herr Pietrzak..."

La neko avait tendu une main dans le vide, semblant totalement délirer. Son petit corps était bouillant, alors qu'elle avait si froid. Elle était trempée par la sueur, ses cheveux tout emmêlés et collé les uns aux autres par la sueur et le sang. Sa tête dodelinait un peu, les yeux à peine entre-ouvert, sa main faiblement relevé vers un couple imaginaire.

Raiko ne comprenait plus rien... Tout ce qu’il savait c’était qu’il avait, sans le vouloir, poussé son hybride dans les escaliers et que cette dernière se trouvait au bas des marches salement amoché. Il savait qu’il ne pouvait pas compter sur le médecin, au vu des traitements qu’il lui avait fait subir et alluma la lumière avant de la rejoindre en se précipitant au bas des marches.

— Ne bouge pas, détends-toi, je suis là.

Il la prit et l’emmena alors dans sa chambre, malgré sa promesse de la laisser enfermer dans la cave. Lorsqu’il la prit dans ses bras, il la sentit brulante et décida, après l’avoir déposée dans son lit, d’aller lui chercher des glaçons qu’il mit dans des sachets isothermes et qu’il mit tout autour de son corps, y compris sur son intimité, ne voulant pas lui laisser non plus trop de répit. Il prit alors sa pommade apaisante qu’il appliqua sur le corps de la jeune femme, afin de faire cicatriser toutes ses plaies.

Il passa alors une main sur son front et sentit sa température chuter légèrement :

— Tu vas regretter de t’être mise derrière cette porte… mais avant cela, tu vas guérir... A bien y réfléchir, tu vas le payer même dans cet état... Tu es mienne, et ce n’est pas cet état qui m’arrêtera.

Il avait parlé d’un ton froid qui ne voulait aucune réplique et partit chercher un excitant qu’il appliqua sur son intimité avant de la laisser seule pour aller faire à manger. Il mit près de deux heures à revenir, et son état devait être beau à voir, il allait le découvrir d’ici quelques minutes. Il monta alors les escaliers et ouvrit la porte…