Isra était chez elle, accoudée à l'un de ses nombreux bureau de verres, plongeait dans ses pensées...Elle réfléchissait, elle réfléchissait à prendre un hybride. Un peu de compagnie ne lui ferait pas de mal, et il pourrait l'aider dans ses travaux, ou encore faire les tâches ménagères. Son regard glissa le long de son laboratoire : rien n'avait sa place, il n'y avait pratiquement que des instruments et meubles de travail, elle n'avait même pas de lit ! Elle dormait n'importe où...et n'importe quand...Il n'y avait juste qu'un endroit chez elle qui servait pour ce à quoi il avait était construit : le chenil, dehors. De plus elle ne se nourrissait pas vraiment bien, sa cuisine ne lui servait quasiment jamais, sinon à ce qu'elle ne devait pas servir à la base...Et puis un hybride pourrait...comment dire ? Prendre soin d'elle ? Et puis un hybride pourrait lui servir dans ces recherches...Enfin bref, elle n'avait que de bonnes raisons d'acheter un hybride, même juste pour une présence différente que celle de ses chiens. Bien sûrs, elle devrait en prendre un très docile, et surtout faible, enfin de préférence...
   Elle n'avait jamais eut d'hybrides, son père en ramenait parfois, mais ils ne faisaient jamais long feu et elle, elle n'était pas beaucoup mieux traitait...Cependant, faible ou pas, docile ou rebelle, les coups tomberaient de toutes façons. Isra était mentalement instable, imprévisible et impulsive.
   Elle se décida finalement à en prendre un, elle claqua deux fois dans ses mains et un bull terrier blanc avec une énorme tâche noir sur l'oeil droit arriva. Elle se dirigea ensuite vers l'entrée, où une glace était accroché, Isra ne s'en servait évidemment jamais, elle se regarda juste pour passer vaguement sa mains dans ses longs cheveux bruns dont elle ne s'occupait pas, tirer un peu sur son large tee-shirt blanc et remonter son short puis enfiler ses claquettes noirs. Ah, ça non ! Isra n'était pas la féminité incarnée. Elle accrocha une laisse au collier de son chien et sortit.
Il faisait beau, très beau, une belle journée. Un sourire s'afficha sur le visage d'Isra, il n'y avait que dans ses rares moments de lucidités qu'elle ne souriait plus, curieux non ? En fait dans ses moments là elle cherchait à trouver une solution à son état mentale défaillant...Elle se dirigea donc souriante vers le centre-ville, puis vers l'animalerie.
    Une fois devant la boutique, elle s'arrêta et tendit l'oreille : elle entendit alors une grosse voix vociférer ainsi qu'un autre bruit, venant d'un instrument qu'elle connaissait bien pour l'avoir subit en même temps que vu claquer sur d'autres chaires que la siennes, une des tortures préférées de son père...Elle n'en perdit qu'un seul instant son sourire habituel et rentra, pour découvrir un homme imposant dans son ventre pendouillant se déchaînant sur une toute petite, encore plus petite qu'Isra qui n'était pas très grande, hybride comme le témoignait ses deux immenses ailes rouges. En entendant la clochette de la porte, l'homme arrêta de suite ses coups, cachant son fouet avant de pousser avec violence l'hybride dans une cache et de refermer la porte qui coupa un bout de ses ailes et de dire, d'une voix mielleuse avec un grand sourire,
"-Bonjour mademoiselle, puis-je vous aider ?"
Isra leva un sourcil, elle était sans pensées devant une pourriture de ce genre, même si elle n'était pas très bien placer pour en parler...Son chien commença à grogner contre lui, elle commença de répondre, toujours avec un petit sourire,
"-Bonj...."
Mais elle fut interrompue par une complainte venant de la jeune hybride papillon, l'homme lui lança un regard noir,
"-Ta gueule trainée ! Salope ! D'où te crois tu permit de pouvoir hurler comme ça pour rien ?"
* pour rien ? Il est débile ou il le fait exprès ?* pensa Isra avant de dire, l'air non-chalant,
"-Peut-être parce que vous lui avait arraché un bout d'aile ? Enfin je ne suis pas experte mais bon...
-Mais ma..."
Répondit-il en s'avançant vers elle, mais Isra lâcha la laisse et son bull terrier aboya en montrant les dents, ce qui le stoppa. La scientifique s'accroupit en s'accrochant au barreaux et observa l'hybride papillon. Elle était merveilleusement bien forait, elle avait de long cheveux noir aux reflets rougeâtre et, comme ses ailes, ses yeux était écarlates. Isra écarquilla les yeux, envahit par l'immense beauté de cette fille, elle regarda plus attentivement ses grandes et belles ailes : on pouvait voir un léger défaut sur l'une d'elle, le coup de la porte n'arrangeant rien...Elle ressentit un peu de pitié car en plus des larmes longeaient son fin visage, elle lit la pancarte devant la cage,
"- Parfait, parfait...Elle est vraiment belle.Combien coûte t-elle ?
-Mais enfin ma...
-Combien coûte t-elle ?"
Insista t-elle, avec un regard noir, appuyait par le soutient de son chien grondant et aboyant,
"-Très bien, je vais voir..."
Et il s'éloigna, Isra se retourna pour regarder encore l'hybride, son chien vint se frotter à son bras, elle lui tapota la tête avant de sortir d'une poche de sa ceinture métallique un petit instrument avec un verre arrondie rouge. Elle le plaça devant son oeil et appuya sur un bouton,
"-Hum, vraiment parfait..."
Elle le rangea et pris un mini tournevis, elle bidouilla le cadenas qu'elle ouvrit facilement, elle tira la porte et entra dans la cage, elle sortit un mouchoir pour tapoter doucement où l'aile avait été blessée,
"-Dit, j'espère que t'a rien contre le hard-rock et les chiens, parce que c'est dans cette univers que je vie... Mais en fait t'as pas vraiment le choix. Moi c'est Isra et toi ?"

"- Parfait, parfait...Elle est vraiment belle.Combien coûte t-elle ?

Dans ma souffrance j'entendit cette voix, parle t'elle de moi? Je tourna la tête afin de remarquer une femme, pas féminine certes mais son regard était remplie de curiosité, j'aurai voulue lui sourire mais la douleur et ma timidité ne m'aide pas. Je ne fait que pleurer, je ne peut même pas prendre mon aile en main, pour souffler dessus, je ne sais si sa soulage mais j'aimerais que la douleur s'arrette.

"-Hum, vraiment parfait..."
elle me regarde avec un appareil étrange, on aurait dit une loupe mais en plus précis, et cette phrase, avait'elle un sens ?
Ce n'est que maintenant que je remarque la présence du chien, il a l'air écouter la femme au plus haut point, on y voit la de la bienveillance, mais ma peur des chiens dut à mon ancienne maîtresse rend cette vue horrifiante pour moi...
Mais que fait la femme ?
Elle crochète la serrure, mais c'est interdit on va vous....La voila en face de moi, avec un mouchoir en main, mes yeux ce ferme par réflexe, de peur de me faire a nouveau frapper, mais elle sort un mouchoir de sa poche et m'essuit les larmes avec douceur.

"-Dit, j'espère que t'a rien contre le hard-rock et les chiens, parce que c'est dans cette univers que je vie... Mais en fait t'as pas vraiment le choix. Moi c'est Isra et toi ?"

Je ne sais pas ce que sont le hard-rock, les chiens me dérange mais si il ne m’attaque pas je devrais pouvoir vivre avec, Isra a t'elle dit ?

" Tsuyu Mlle..."

Je suis timide je n'ose rien lui dire, alors qu'elle me tend la main pour sortir de la, je remarque sa ceinture avec plein d'outil. UNE SCIENTIFIQUE ?!
Je sens mon corps partir légèrement en arrière a cause de cette penser

" Elle ne vous dira rien elle est muette, analphabète et complètement inutile, Son prix est de 400€, modèle unique, vous comprendrez son prix ."

Le visage du directeur est affreux, il na pas envie de me vendre,non , a son regard remplie de désir de vengeance, il veut ma mort.
Je ne sais pour qu'elle raison. Il faut que je prennent ma défense, au moins montrer a cette femme que j'ai ce désir de vivre, que je suis prête a accepter n'importe quoi pour pouvoir sortir de cette cage, je me lève avec prudence, l'aile et mon dos brûlant de douleur, je me tient debout dans cette cage trop petite, le regardant dans les yeux, enfin pas longtemps, il est terrifiant...

"Je... Je sais cuisiner, et faire le ménage ne me dérange pas.... je.. j'apprend vite.. je suis pas bête ou inutile..."

Mes membres trembler, pourquoi avais-je dit cela, si elle ne veut au final pas de moi il m’achèvera sur le champs.
De la ou j’étais je perçut le champs de fleur sauvage, celle qui ont un parfum de liberté et d'interdit, il est merveilleux, peut être je pourrais un jour marcher parmi elle... a cette pensée un sourire ce dessine sur mon visage, oui je suis sur qu'un jour je volerais parmi les plus belles fleurs de ce village.

"-Tsuyu Mademoiselle..."
Répondit la petite hybride timidement, Isra sourit : elle était si mignonne... L'homme revint, elle sortit donc de la cage, pas question de paraître plus bas que lui ! Cependant elle remarqua un certain malaise chez l'hybride papillon qui semblait avoir remarqué sa ceinture. Malaise qui pouvait assez aisément se comprendre des hybrides vis avis des scientifiques...
"-Elle ne vous dira rien elle est muette, analphabète et complètement inutile, Son prix est de 400€, modèle unique, vous comprendrez son prix ."
Il fixait Tsuyu d'un regard profondément noir et mauvais, la jeune femme aux long cheveux brun haussa un sourcil mais avant qu'elle est pu dire quoique ce soit, l'hybride aux yeux écarlate se leva, tremblotante et regardant fixement l'homme,
"-Je... Je sais cuisiner, et faire le ménage ne me dérange pas.... je.. j'apprend vite.. je suis pas bête ou inutile..."

Eh bien voilà ! Tant mieux ! De toutes façons Isra avait au minimum besoin de compagnie...L'homme devint tout rouge, son regard s'enflamma, il brandit sa main,
"-Petit inso..."
La scientifique enfila ses gants et dans son élan elle avait saisit le bras de l'homme imposant, utilisant sa masse et l'élan de sa main pour le renverser en le passant par dessus son épaule. Elle avait néanmoins fait attention à ne pas le couper avec ses lames, des hybrides s'exclamèrent, toutes émotions confondues. Ne lâchant pas son bras elle lui déclara, toujours souriante,
"-Non je ne comprend pas si elle est si inutile que ça...Cela dit les hybrides papillons ne court pas les rues, je n'ai pas forcément besoin d'un hybride utile mais juste de compagnie,elle n'a pas l'air si nulle que ça comme elle vient de dire et puis elle est vraiment belle donc...Je comprend le prix et je la prend."
Son chien grognait et aboyait contre-lui qui écarquillait les yeux. Elle le lâcha, l'enjamba et se dirigea vers le comptoir, sans retirer ses gants elle prit son chéquier dans une poche de sa ceinture. Elle prit un stylo, remplit et signa,
"-Voilà."
Elle revint vers lui et lui tendit le chèque, encore et toujours avec un sourire au visage.

"-Petite inso..."
Il le va le bras et je fermer les yeux, mais contrairement a mes attentes je ne subit aucun choc, quand mon regard s'ouvra je vit le directeur a terre, le regard vide, choquée, a croire qu'il venait de naître.

Ce que je vit a ce moment la c'est ma futur maîtresse, lui tenant le bras en souriant, c'est elle qui lui aurait mit une correction ? J'ai peine a y croire ! Elle qui ne semble pas plus forte que moi, comme quoi il ne faut jamais ce fier a ce que l'ont voit.

"-Non je ne comprend pas si elle est si inutile que ça...Cela dit les hybrides papillons ne court pas les rues, je n'ai pas forcément besoin d'un hybride utile mais juste de compagnie,elle n'a pas l'air si nulle que ça comme elle vient de dire et puis elle est vraiment belle donc...Je comprend le prix et je la prend."

elle partit faire quelque chose que je ne voyer pas, un chèque je croit, alors c'est bon, je part ? Me voila acheter ?
Le chien continua d'aboyée sur le directeur, comme pour dire qu'il ne valais mieux pour lui de ne pas bouger...

quand elle revient elle tend le chèque avec la somme de mon prix, elle n'aurais pas du dépenser autant pour moi... je me doit de lui faire mes meilleurs services , son regard et pétillant et a toujours ce sourire sur le visage.
Le directeur s'assoit encore abasourdit, lui pris le chèque et ce leva péniblement,autour de ma cage on entendit les autres hybrides fière d'avoir vue ce spectacle et en redemander presque un autre.

Le chèque en en mains et un dernier regard noir sur moi il s'en alla chercher un collier et en finir avec les formalité de mon achat.

" merci.."

Oui ce sont les seuls mots qui sont sortie, alors que je voulais la remercier pour tout ce qu'elle a fait, rien que de m'avoir acheter pour moi etait un cadeau du ciel, je ferrais tout les efforts du monde pour me familiarisé avec ces chiens, j’espère qu'il n'y en a pas trop ...

Cette fois le vendeur est venue, le directeur a dut avoir trop peur de revenir, il m'enleva mon collier , celui avec ma clochette favorite, et le prix marqué dessus, pour me donner un collier en cuir d'une surface et en velours de l'autre, il est de couleur rose, pour allez avec mes ailes j'imagine.
Mais il pris la délicatesse de remettre dessus la clochette ce qui me fit rougir. c'est dans un langage plein de silence que j'ai put lire dans le regard de cette homme a quel point il était désolée pour ces moments de souffrance, je lui sourit timidement pour lui dire que ce n’était pas important, cela fait partie du passé.

Il repartie en arrière tendant la laisse, a mettre ou pas, a Irsa avant de partir derrière son comptoir, probablement a remplir les papiers.

Je me tourna pour regarder ma maîtresse, ainsi je lui appartient, mon destin est entre ces mains, je ne sut pas trop quoi dire, a vrai dire j'ai un peu peur de ce qu'il va ce passer, mais au vu de ce combat contre le directeur, je ne pense pas qu'elle va me faire du mal, de toute façon je suis mieux auprès d'elle que dans une cage supportant le fouet du directeur.

" Je...Je vos suit maîtresse..."

il faut vraiment que j'apprenne a mieux parler, afin de me faire comprendre ... Au moins exprimer mes sentiments .

L'homme se releva difficilement avant de s'en aller. Tsuyu dit un petit,
"-Merci."
Isra sourit en posant une main, en faisant attention avec les lames, sur sa tête,
"-De rien, je t'ai acheté parce que j'en avais envie..."
Elle ausculta la jolie hybride de la tête au pieds des yeux, elle avait déjà des idées de choses à fabriquer pour elle. Isra était comme ça, une incorrigible mécanicienne qui ne pensait qu'a fabriquer, fabriquer encore et toujours...Et puis...elle était vraiment jolie, elle ne le dira jamais assez...
Un autre homme, aux airs un peu plus sympathiques, arriva. Il changea de colliers l'hybride d'Isra cependant qu'elle regardait passivement le plafond, les mains, toujours armaient, posaient sur les hanches, se perdant dans ses projets de fabrications, de calculs mathématiques et mécaniques. Elle sortit de sa rêverie quand le vendeur lui tendit une laisse, ses yeux se posèrent alors dessus, son sourire s'effaça, son coeur commença à battre plus rapidement et le sang à battre à ses oreilles, ses yeux s'écarquillèrent. Elle remonta dans ses souvenirs d'enfance, la laisse...la laisse, son père l'utilisait souvent contre elle...D'anciennes brûlures et cicatrices aux jambes se firent ressentirent...Encore une fois, elle sortit de sa torpeur en sursautant quand elle entendit Tsuyu,
"-Je...Je vos suit maîtresse...
-Hein ? Euh, oui oui..."
Répondit-elle en battant des paupières. Elle tremblait encore un peu en mettant accrochant l'objet au collier de la jeune hybride, un maladroite avec ses gants, elle prit celle de son bull terrier et sortit. Une fois dehors elle s'arrêta et se frotta l'oeil avec le revers d'une main, elle regarda ensuite sa nouvelle hybride,
"-Heu bon. J'...j'habite dans la ville basse...J...Bon."
Elle se dirigea vers le dit-lieux, un peu maladroite avec la laisse de Tsuyu, par non-habitude et parce qu'elle était encore en état de choc...

Ma question semble l'avoir déstabilisée aurais-je fait un faux pas ?
Elle regarder ma laisse avec incertitude, comme si cet objet était la cause de sont malaise.

Nous nous dirigions vers l’extérieur, je fut frapper par les odeurs de fleurs, quelle soit sauvage ou non cela me parut comme une bénédiction.
Les couleurs vive du soleil sur la nature m'aveugla, je mit ma mains sur les yeux afin de m'y habituée petit a petit, mon pied poser sur la terre ferme, enfin celle qui ne concerne pas l'animalerie, je regarder en arrière, enfin pas pour me rappeler de cette endroit, mais pour la regarder de l’extérieur pour voir a quoi on pouvais ressembler vue d'ici, je n y vit que mes camarades mort de peur pour certain, envieux de l'autre, et sa me dégoutta...

Une petite larme s’écoula le long de ma joue, je la laisse perler jusqu’ à qu'elle finisse par quitter mon visage pour s’évaporer a l'air libre, oui ma larme était aussi libre que moi à cet instant .
Une liberté que je devait a cette femme, elle était en avant par rapport a moi, avec son chien qui la suit de prés, lui aussi a plutôt l'air heureux d’être enfin dehors.

"-Heu bon. J'...j'habite dans la ville basse...J...Bon."

" D'accord. "
Oui je ne trouver toujours pas les mots pour la remercier, je n'osait pas non plus la prendre dans mes bras, je me promit de lui faire un énorme gâteau pour la remercier, enfin si j'ai accès a sa cuisine.
De temps a autre la laisse était tiré de façon brutal, mais je sentait bien que c'est plus par maladresse que par domination. sa semble vraiment la mettre hors de elle.

Le chemin fut silencieux, mais jetais fascinée par tant de merveille !
les rue , les couleurs, les odeurs, les gens. Tout cela était nouveau pour moi, ont me regarder souvent, c'est vrai qu'avec mes ailes je ne passe pas inaperçue.
Mon aile, la douleur s'estomper mais elle était toujours présente, va t'elle un jour repoussé ? est-ce que je peut toujours volée ? Déjà que je ne vole pas sur une grande distance il va falloir maintenant que je m'habitue a simplement a marcher sur terre ferme sans faire mes petits bond dont javais tant l'habitude de faire...
Si elle ne me servent plus a rien alors autant les arrachée... je ne veut pas qu'elle m’encombre si elle ne me servent plus.

Cette pensée me déchira le cœur, jetait une hybride dont son croisement était ratée du début a la fin. Mais je chassé vite cette pensée et je m'aperçue que je suis arrêter, je commence a courir pour rattrapée mon retard sur ma maîtresse, et je rougit, C'est vrai la chance vient enfin , j'ai trouvée une nouvelle maîtresse, un nouveau lieu de vie, je suis prête a tout pour être a la hauteur !

" Merci ! "

Cette fois ma voix était joyeuse, bien  portante, et surtout pleine de vie, pour une fois j'avais exprimée ma joie ! et mon sourire ne peut en dire le contraire.