Mon voyage c'était passé jusqu'ici sans encombre, le paysage défilait et les prétendantes aussi, mais malheureusement rien de très folichon, rien, personne, peu c'était montrée intéressée et ce peu ne méritait pas mon attention pour me faire un héritier. Je n'avais pas vraiment de préférence, mais noblesse oblige, pour que le titre, le nom et la famille perdure il fallait un fils, je n'y pouvait rien sinon j'aurais choisi un des nombreux bâtards datant de ma jeune époque qui pullules sur mes terres pour prendre les rênes de la famille lorsque je ne serais plus.

Tout ce passait relativement bien jusqu'au moment ou une bande de brigand de grand chemin m'attaquèrent sans crier gare dans un sous-bois. J'ai tout de même lutter de toutes mes forces et réussi tout de même à en assommé quelques-un, mais cela ne suffit pas pour me tirer de ce mauvais pas. A mon réveil je me retrouvais enfermer dans une cage avec des vêtements qui n'étaient pas les miens et surtout sans ma boite et aucun endroit suffisamment sombre pour protéger mes yeux du soleil et même si les fermer apaisait la douleur, ce n'était pas tout à fait ça.

Une chose était sûre, quoi que je décide mon rythme de vie ne serais plus du tout le même et j'allais sans doute devoir me réhabituer à vivre la journée, ce qui à coup sûre ne serais pas une tâche facile ...

Après plusieurs heures à tenter de trouver le coin le plus sombre de la cage dans laquelle je me trouvais j'entendis des bruits de pas se dirigeant dans ma direction.

"Qui êtes vous ? Où suis-je ? Qu'est-ce que je fait la ? Répondez !"

En règle général les gens dans cette situation aurais tendance à céder à la panique, moi je restait calme. Imposant à mon interlocuteur cette froideur qui m'était si caractéristique. Et je ne tarda pas à avoir une réponse plutôt inattendue ...

"Ta gueule le monstre !"

S'en suivit un violent coup de bâton sur les barreaux de la cage et au vue du bruit il devait s’agir d'un bâton anti-émeute, très prisé des trafiquants en tout genre.

Mes oreilles sensible au ultra-sons n'eurent pas le temps de s'en remettre que la cage se souleva en arrière et avança, puis il y eu un choc un peu comme une porte et la j'entendis tellement d'hybride hurler à la mort en même temps que je ne m'entendais même plus penser.

"Alors c'est ici que s'arrête mon voyage ..."

Par une belle matinée, enfin une matinée suppose Juliette, car elle n'avait pas fermer l’œil de la nuit, une de ces plantes avait été attaquée par des bactérie encore inconnue.

" Me lâche pas ma plantes chérie ! Je t'en prie ! Maman va te trouver un remède ! Tient bon ! "

Oui c'est une réaction très excentrique , pour quelqu'un de normal c'est une réaction de folie, mais Juliette était loin d’être folle !
Ces recherches avait déjà trouver un antidote contre la malaria, la famine.
Elle ne chercher pas a ce faire de l'argent, ni même avoirs une grande renommée ! Mais juste pour aider, c'est dans sa nature, bien qu'elle limite le moins possible le contact humain.

" Pourquoi tu me fait sa maintenant ! J'avais prévue de faire mon vaccin avec tes méristèmes ! Enfin c'est secondaires ! "

Dans son microscope Juliette avait repère des spores ne venant pas des alentours, quelque chose dans la nuit a dut atterrir ici

" Mais on en trouve qu'en Roumanie de ces spores là ! Mais comment ? "

Juliette ce frotta les tempes, faisant les cents pas dans sa véranda, en tenue légère, la maladie est venue si vite qu’elle n'avais pris le temps de mettre des habits

" Je vais au laboratoire, ils doivent avoir ce qu'il faut, je demanderais a ... père.. si je peut emprunter son remède ! Mais je vais devoir allez en ville ! Argh qu'elle journée ! "

Juliette regarda sa montre avec fureur il n'est que 8h et le laboratoire n'ouvre pas avant 10 h ce qui avait tendance a l'agacer.

" Bon passons en ville, il me faut du terreau, de l'engrais et aussi de la fumure de fond, le paysan doit avoir ça je lui demanderais ! "

C'est ainsi qu’après une douche rapide, sa tenue courte enfiler et sa chemise de scientifique enfiler que Juliette partit en ville.

" Me faudrait peut être un assistant, pour au moins veuillez de nuit a mes petites chérie, A tout a leurs mes bébés ! "

Elle ferma la porte, et après un dernier coup d’œil partit a la recherche de ce qu'elle avait besoin.
En chemin main dans les poches, la tête dans les formules saliniques elle s’arrêta devant le centre de redressement et entra, sans raison connue.

- Bonjour... Oh C'est juliette Mizaki ! La botaniste renommée en quoi puis-je vous aider ?

" Taisez vous vous magacer, je voudrais faire un tour, avez vous des hybrides plantes ? OU des hybrides aimant les plantes ? "

- C'est a dire madame qu..

" Je vais me débrouiller moi même merci "

Elle ce massa les tempes, elle n'aimer pas le contact avec les hommes, cela serais surement passé mieux avec une femme.
elle fit le tour des cage, le vendeur ne la suivait pas, parfois elle venant nourrir ou soignée les hybrides soit disant rebelle de ce centre, les ancien raconter au nouveau qu'il ne fallait pas être mauvais avec moi, que jetait un sorte de nouveau départ, une toute petite lumière parmi leurs ténèbres.
Profitant qu'il n'y ai personne autour de moi, je donner des plantes a chaque hybrides, cette plantes a le pouvoir de donner de l’énergie a qui la mange et de fabrique plus de globules blanc pour devenir plus résistant au coups et au maladie, bien sur il ne faut pas en abuser.

C'est a ce moment la qu’elle sentit cette odeur. Le parfum d'une fleur délicate qui ne vient pas d'ici, elle suivit instinctivement cette odeur et s’arrêta devant une cage.
elle y aperçut un homme, au couleurs rouge, craintif de la lumière, du moins il fessait tout pour rester a l'ombre.

" Euh.. Je suis Juliette, et je.. Tu as le parfum d'une fleur qui ne vient pas d'ici, d'ou vient tu ? Parle tu ma langue ? Comment t'appelle tu ? "

- Madame Juliette ne

Elle regarda le vendeur avec froideur, ce qui fit reculer ce dernier, puis ce massa les tempes, avant de prendre une feuille et de la mâcher en respirant bien profondément.

Je n'avais pas spécialement un bon odorat, mais mon ouille, c'était autre chose, alors que j'étais tapis dans le fond la cage j'entendis très clairement une personne entré et à entendre le bruit et le rythme des pas il s'agissait d'une jeune femme, ce qui fut très rapidement confirmer par la très courte discutions entre ce qui semblait être un vendeur et une cliente. Je venais donc de réaliser où je me trouvais réellement, enfin pas exactement, mais j'étais passé dans une ville quelques heures au paravent, à coup sûre je devait m'y trouver de nouveau.

J'entendis alors les pas de la jeune femme se rapprocher puis ils cessèrent, ils étaient tellement proche que j'en conclu qu'elle c'était arrêter devant moi ou devant un voisin. C'est alors qu'elle s'adressa à quelqu'un, mais elle était bien trop proche pour s'adresser à quelqu'un d'autre que moi, elle se présenta et fit remarquer que je sentait une fleure peu commune par ici. Elle s'adressait donc bien a moi, car les probabilités qu'un de mes voisin porte exactement le même parfum que moi était ridiculement mince et surtout le fait qu'ils devaient être la depuis un moment et que quand bien même ils aient pu se procurer mon parfum personnel fait à la main, le manque d'hygiène de l'endroit, l'odeur se serait dissipée depuis un bon moment. Elle me demanda ensuite si je comprenais ce qu'elle me disait, certes ce n'était pas ma langue natale, mais m'ont éducation m'aurais obliger à me couvrir de honte si je n'arrivait pas à comprendre ce qu'elle me disais et enfin elle me demanda mon nom.

Je n'eut pas le temps de bouger que le vendeur tenta de la prévenir de quelque chose, sans doute un danger, mais pour une femme j'étais tout, sauf un danger.

Je tenta donc de m'assoir le plus convenablement possible en tenant compte de l'étroitesse de la cage et m'inclina brièvement avec une main sur le cœur en signe de ma bonne éducation.

"Lord Sebastian Constantin unique héritier de l'empire Constantin, ravis de faire votre connaissance Juliette et si je puis me permettre c'est un bien joli nom que vous portez là, laisser moi deviner, c'est votre mère qui a choisi ce nom n'est-ce pas ?"

Je tendit alors la main au travers de la cage pour lui serrer la main.

"Oh, veuillez m'excuser, je n'ai pas totalement répondu à vos question. Alors comme vous avez pu le deviner, oui je vous comprend et je viens d'une petite région -mais néanmoins très importante pour le pays- de Roumanie."

Malgré la politesse exemplaire que je faisait preuve, je n'avait nullement envie de converser avec cette roturière, quel qu'elle soit pour ce petit patelin mes réelles intentions était camouflée comme à l'habitude par cette froideur et cette distance que je mettais avec les gens, tellement que pour certaine personnes s'en devenait terrifiant.




[Hrp: la couleur pour mes paroles est le midnightblue ^_^]

" importante pour le pays- de Roumanie."

Alors voila d'ou venais la cause. a l’écoute de ce nom une sorte de haine activa notre botaniste. Elle ce déplaça avec vitesse chez le vendeur puis revient avec lui.

" Parfaitement ! J'aimerais celui çi ! Ne me dite pas qu'il n'est pas en vente ! "

- Mais madame

" Vous savez qui je suis ? Je suis mizaki ! Fille de Mona Mizaki ! botaniste renommée mondial, alors pour une fois je fait un caprice, vous allez y cédé! "

- Bien madame...

L’énervement avais rendue notre petite femme impatiente et a bout de nerf, elle re-voyer sa plantes, atteinte d'une maladie don le spores viendrais de roumaine ! Et cet hybride de sang je ne sais quoi viendrais de la bas ? Trop de coïncidence, et Juliette ne croyais pas au coïncidence!

" pardonnez ma brutalité, mais je vais vous sortir d'ici, veuillez me suivre."

Elle ne savais pas comment allez t'il réagir, ni qu'elle sorte d'hybride il était, mais une chose est sur il devais avoir déjà vue cette maladie ! elle ne fit pas attention aux détail, elle aura le temps de l'observer plus tard ! Pour l'instant il fallait sauver sa plante !

Elle paya le vendeur, qui lui tendit une laisse et un tranquillisant, qu'elle balança par terre, folle de rage,

" je ne les maltraite pas moi ! "

Elle attrapa la main de l'hybride, la serrans entre ces doigts comme font les couples, courant presque jusqu’à sa demeure. Puis s’arrêta net à un moment, sous l'ombre d'un grand chêne,  le regarda d'en bas, car oui il était plus grand qu'elle.

"Je ne sais pas comment sa marche chez vous mais ici vous m'appartenez désormais, je ne vais pas abuser de vous ni même vos maltraitée, mais j'aimerais que vous me suivez. Ne vous poser pas de questions, vous vous étés fait attrapée, si vous fuyez ils vous tuerons, je ne vous ai pas libérée pour votre mort !"

J'eus à peine le temps de terminé ma phrase qu'elle partis a toute vitesse et vu que la porte du magasin ne s'ouvrit j'en conclu qu'elle alla voir le vendeur et ce fut rapidement confirmer par la conversation entre elle et le vendeur. En premier temps il sembla refuser puis il 'accepta' lorsqu'elle apparemment rappela son nom qui était celui de Mizaki.

*C'est étrange, ce nom me dit quelque chose ...*

Ensuite je ne compris pas tout a fait ce qu'il se passa, elle revins près de moi et m'expliqua que je devait la suivre, sur le coup je me sentis soulagé de pouvoir sortir de la aussi rapidement. Elle repartis ensuite vers le vendeur, sans doute pour réglé les détails de paiement. Cela me choqua tout de même de me retrouver ainsi vendu à la première venue, moi Lord Sebastian Constantin !

C'est alors que la cage s'ouvrit et qu'elle m'attrapa la main comme si nous étions un couple d'amoureux, ce qui me valu un léger haussement de sourcils en guise d'expression de surprise. Après un court moment à marcher assez rapidement et toujours les yeux fermé elle s’arrêta net.

"Je ne sais pas comment sa marche chez vous mais ici vous m'appartenez désormais, je ne vais pas abuser de vous ni même vos maltraitée, mais j'aimerais que vous me suivez. Ne vous poser pas de questions, vous vous étés fait attrapée, si vous fuyez ils vous tuerons, je ne vous ai pas libérée pour votre mort !"

Ma foi d'après ce qu'elle me disait si on me retrouvait en rue sans elle à mes coté, je pourrait me faire abattre et peut-être même sans sommations, ce qui était embêtant, compte tenu du fait que je n'avait toujours pas récupérer mes affaires. C'est alors que j'enleva ma main de la sienne de façon un peu sèche.

"Compte tenu de la situation, il semblerais que je n'ai d'autres choix que de vous suivre, mais malgré tout le respect que je vous doit, il est impératif que je récupère mes affaires au plus vite, ne vous inquiétez pas je ne serais pas long ..."

Je me retourna alors et repartis en sens inverse, en théorie je n'aurais pas pu me repérer et me serais perdu, mais mes gênes de chauve-souris m'avais doté d'un sonar semblable au leurs, mais en nettement moins performant ce qui me permettais tout de même de distinguer les gros objet et ou se trouve les personnes, mais impossible de reconnaitre une personne. J'arriva finalement au magasin et me dirigea vers le comptoirs. Je me pencha doucement vers le vendeur.

"Chère trafiquant d'hybride, je désirerais récupérer mes effets personnel s'il vous plait ..."

"Dégage et pour tes affaires tu peut aller te faire foutre !"

Je me pencha alors un petit peu plus et ouvrit les yeux d'un coup ce qui provoqua une rétractation de l'iris très rapide a cause de la grande différence de luminosité.

"Mes affaires tout de suite ..."

Apparemment le coup de la l'iris qui passe de grand ouvert à tout petit avait eu l'effet escompté, sa aide d'avoir les yeux jaune sur fond noir finalement, il avait l'air presque terrorisé, à croire qu'il ne m'avais jamais vu les yeux ouvert. Ah mais oui c'est vrai, il ne m'avait jamais vu les yeux ouvert ! Il m'indiqua alors la pièce du fond je m'y dirigea avec honneur et fierté malgré la douleur qu'enduraient mes yeux à cause de la lumière. Je vit rapidement ma boit et me jeta dessus car dedans il y avait une paire de lunette qui m'était d'une grande utilité en journée, je les enfila et mis tout mes vêtements dedans avant de la prendre sur mon dos.

J'ignorais si Juliette m'avais suivis ou non, mais je me rendis à l'endroit ou je l'avais quitté, près à la suivre.

"Compte tenu de la situation, il semblerais que je n'ai d'autres choix que de vous suivre, mais malgré tout le respect que je vous doit, il est impératif que je récupère mes affaires au plus vite, ne vous inquiétez pas je ne serais pas long ..."

Il avait retiré sa main sèchement, mais Juliette n'y fait pas attention, restant sur place, après tout il doit avoir sa vie.
Tournant en rond sur place, récitant des formule a haute voix.

" Cela ne peut être la cause d'une alchimie négative de la théorie jukudo ! Le problème ne vient pas de l'association de la solution nutritive 12-45-06 "

Toujours a faire les cents pas ce frottant les tempes elle entendit les pas de son ... achat ?

IL etait avecune sorte de boite, mais juliette etait trop concentré dans ces formules elle lui jeta un coup d'oeil vite fait puis repris une feuille qu'elle macha rapidement.

" Tout est bon pour vous ? Suivez moi."

Ce dirigeant vers sa maison, passant au travers les bois, concentrés sur ces formules elle ne vit pas la branche, ce qui la fit tomber, et laissa échappée un médaillon en argent, celui du portrait de sa mère. Seule le petit bruit lui fit comprendre sa perte.
Elle le chercha aussitôt et remuant des feuilles, et une fois l'objet en main elle l'ouvra, une femme pale y apparut, dans une tenue plutôt médiévales, une peau très pale, des yeux cachez par des lentilles don on peu légèrement deviner une couleur rouge.

" Maman... Et je pardon c'est par là "

elle lui indiqua une maison, plutôt coquette, avec une immense véranda, l'endroit était peu exposé a la lumière, juste la véranda était en plein soleil.

" Voila mon chez moi, j’aimerais vous montrez quelque chose, si vous ne pouvais pas m'aider, je... je vous donnerais la liberté, vous trouvant un moyen de vous faire quitter cette ville sans encombre... je ne veut pas être votre " maîtresse" même si sa me ferrais plaisir de me faire nommer ainsi... Laissons sa ce coté et allons y "

Ce relevant avec douceur, elle balança ces cheveux en arrière, comme une noble le ferrais, un tic hérité de sa mère.

En revenant je la vit en train de faire les cent pas, elle devait à coup sûre être préoccupée par quelque chose, ou simplement être névrosée de nature. Elle prit alors une feuille de plante et la mâcha rapidement avant de s'adresser à moi.

" Tout est bon pour vous ? Suivez moi."

Nous nous dirigions alors vers sa maison en passant par un bois ou la lumière était moins intense, je put alors enlever mes lunettes de soleil sur mesure ce qui était déjà plus confortable. Après un petit moment de marche elle se prit une grosse branche en pleine tête qui la fit tomber ainsi qu'un médaillon, elle n'eut pas l'air de se rendre compte immédiatement de la perte de sont bien et fini par le ramasser sans pour autant se relever. Elle l'ouvrit montrant alors une une photo de femme, je n'y prêta pas plus attention que ça.

" Maman... Et je pardon c'est par là "

Apparemment il s'agissait d'une photo de sa mère, sans doute qu'elle était passé de vie à trépas. Elle indiqua alors sa maison du doigt, c'était une petite maison mais possédant une véranda assez impressionnante le tout avec une lumière assez particulière, la maison en elle même était peu éclairée, mais la véranda elle était totalement à l'opposé avec un grand soleil.

" Voila mon chez moi, j’aimerais vous montrez quelque chose, si vous ne pouvais pas m'aider, je... je vous donnerais la liberté, vous trouvant un moyen de vous faire quitter cette ville sans encombre... je ne veut pas être votre " maîtresse" même si sa me ferrais plaisir de me faire nommer ainsi... Laissons sa ce coté et allons y "

Maîtresse ? Non mais pour qui elle me prenais cette espèce de ! Jamais je ne l'appellerais de la sorte à l'exception de mon lit de mort et encore ! Enfin le plus important dans ce qu'elle venait de me dire c'était que cela n'était pas important et accessoirement qu'elle avait besoin de mon aide. En se relevant je remarqua un détail, enfin pas réellement en se relevant, mais ce qu'elle fit juste après. Sa façon de remettre ses cheveux en place m'était extrêmement familière mais je ne me rappelais plus ou je l'avais vue. Je garda le silence jusqu'à ce que nous soyons arrivé chez elle et contre toute attente chez moi aussi, enfin cela n'était que temporaire bien sur.

"Bon en quoi puis-je vous aider ? J'aimerais manger bientôt si ce n'est pas trop vous en demander ..."

Je n'avais pas spécialement faim, mais je n'avais pas envie de me lancer dans du travail de gros œuvre. Au moins j'en faisait pour cette femme, au mieux je me sentais ...