Le don de se retrouver dans les ennuis. [Pv: William von Edelstein]

Messages : 17 Date d'inscription : 29/10/2014

Tu te ballades, comme d’habitude rien de palpitant se passe. Tu marches toujours ta batte en main et tu remarques bien que beaucoup de personnes te regarde. Ils doivent surement se demander si ça vaut le peine de t’attaquer ou pas. Quelle bande de naïf n’est-ce pas ? N’ont-ils aucune idée que tu ne possèdes absolument rien ! A vrai dire, j’ignore si ce qui les intrigues le plus chez toi, c’est le masque que tu portes ou bien, cette batte que tu t’amuses à tourner en baillant. Tu t’approches d’une ruelle et qu’est-ce que tu vois. Des militaires. Un ordre de militaire. Que finit-il là ? Je n’en sais rien, et toi non plus.

De toute façon qu’importe. Tu n’as pas besoin de savoir ce genre de chose pour savoir ce que tu veux faire n’est-ce pas ? Tu attaques un point c’est tout. Tu t’avances alors d’un pas assez confiant. Tu détail chacun des militaires présent. Sur leurs chemins, plusieurs hybrides dans la même situation que toi s’enfuient. Quelle bande de lâches. A force de fuir, ils finiront par ne plus savoir où aller. Toi, tu t’avances dans le sens averse t’approchant de plus en plus. Puis, en regardant précisément ceux qui se tiennent devant toi, tu finis par courir en direction d’un des militaires qui semblait être dans la lune et par ta batte tu lui met un coup en pleine tête.

Il tombe. Bientôt, toute une armée de militaires se retourne vers toi, près à attaquer. Toi, tu te défends comme tu peux, je peux lire que tes mouvements sont encore trop hésitant. Tu dois y mettre plus de conviction et ceci, je te l’ai toujours dit. Tu auras beau en assommé un ou deux, si tu n’y mets pas plus de conviction on est mort.

William von Edelstein avait reçu plusieurs rapport quant à une activité de rebelle et de criminel dans la ville basse. Il n'avait d'abord pas prêté attention à cela quand une information non confirmée sembla indiquer la présence du Griffon Noir en ces bas lieux. Tout de suite plus intéressé il décida de mettre sur pied une grande offensive sur les lieux. Il rassembla un régiment complet armé jusqu'aux dents et descendit dans la ville basse. Pour son plus grand plaisir les gens fuyaient de peur rien qu'à voir les uniformes de l'armée. Tout semblait se passer pour le mieux. Ils finirent par arriver à destination mais là stupeur leur informateur fut retrouvé épinglé à une porte. La scène était plutôt horrible à voir. Le cadavre avait été mutilé en de nombreux endroits et avait été laissé là pour les nuisibles qui était légions dans ce dépotoirs. Il rassembla ses chef d'unité afin de faire une réunion sur comment ils allait répartir leur hommes. Ils défoncèrent la porte d'une maison au hasard et alors que les occupants se recroquevillaient dans un coin de la pièce William prit possession de la table. Il étala la cartes de la zone qu'il avait préparé à l'avance. Il commença alors dé répartir les soldats à travers la ville. Les lieutenant qu'il avait emmenés était plutôt jeunes mais avait tous une parfaite maîtrise de leur hommes.

Assit autour de la table ils débattaient des éventuelles cachettes des rebelle et du Griffon quand de l'agitation se fit sentir dehors. Fatigué et excédé par la puanteur qui régnait ici il envoya un des lieutenants voir ce qu'il se passait. Pendant qu'il partait les habitants laissèrent échapper leur petit. Voyant cet enfant plein de crasse marchant difficilement vers lui. L'enfant trébucha alors à ses pieds et commença à pleurer. S'en était assez. L'agitation extérieur avait encore monté d'un cran et maintenant le petit braillait comme pas possible. Von Edelstein sorti alors on épée dans le but de faire taire le petit quand ses parents se jetèrent sur lui suppliant dans leur haillons d'épargner leur fils unique. Voyant que le petit se calmait et que ce qui se passait dehors prenait encore de l'ampleur il frappa au ventre du pied les parents et sortit dehors. Il découvrit alors un jeune homme une batte à la main en train d'affronter ses hommes au milieu de la rue. Si c'était lui qui était n train de se faire battre et mettre au fer il n'aura pas eu de soucis. Le problème était que c'était ses hommes à lui qui se faisait mettre en pièce. Il se fraya un passage au travers tout ce beau monde et se planta devant ses hommes en face de ce délinquant. Que devait-il faire ? Sortir l'épée et le tuer ? Ou parler ? Ou alors devait-il tuer ces incompétents qui était dans son armée ? Il planta alors son regard de glace dans celui de ce déchet d'hybride.

”Qui es-tu ? Et que veux-tu à mes hommes ?”

Ses paroles calmèrent ses hommes qui lui cédèrent la place. William avait la main sur l'épée près à dégainer au moindre faux mouvement de la part de cette créature.

HRP:

Messages : 17 Date d'inscription : 29/10/2014

Putain que ça faisait du bien de se battre ainsi. Se battre sans avoir besoins de réfléchir, se battre contre la vermine et s’enlever un poids. C’était génial. Toi-même tu ne t’en rendais pas encore compte mais tu adorais ça. Mettre des coups à ces hommes était une vrai partie de plaisirs ! Le mieux dans tout ça, c’est que ces hommes étaient de véritable incapable. Aucun d’eux ne nous arrivait à la cheville. C’était génial. Mais voilà, toute bonne chose a une fin. Interrompus dans notre combat, un espèce de grand gaillard se rapprocha et se planta droit devant toi.

Il te demanda ce que tu voulais a ses hommes. Il avait bien dit ‘’SES’’ hommes, alors c’était bien le chef de tout ce petit groupe. Le chef de la vermine. Celui qu’il fallait absolument éliminé. Tu semblais hésitant. Aurais-tu peur ? Fort probable. Tu as toujours était trop méfiant et prudent, prudence et méfiance ne serve a rien quand on les utilise trop, je te l’avais pourtant dis. Si ça n’avait tenu qu’a moi, cet homme serait déjà à terre, mais voilà tu étais en pleine possession du corps pour l’instant alors on ne pouvait rien y faire.

« Ça ne se voit pas ? J’élimine la vermine. »

Voilà, ça c’était bien balancé de ta part. Et maintenant ? Tu ne pouvais assurément pas attendre ici sans rien faire. A travers ton masque tu dévisageais l’homme. Puis, sans réfléchir, ta batte se levait. Voilà, c’était ça que j’attendais de ta part. Je ne pouvais que t’encourager dans ton action. Tue-le. Tu le pour l’éliminer. Tue le pour te venger. Tue le pour lui montrer qui est le plus fort. Tue le pour te soulager l’esprit. Ta batte se levait, puis redescendait, allait-elle atteindre l’homme ? Ca restait à voir.

HRP:

De la vermine hein ? Il n'avait pas complètement tord. Après tout pour tomber aussi facilement dans un combat il n'y avait pas de raison de les appeler autrement. Le problème venait qu'exterminer la vermine c'était son boulot à lui. Et que de la vermine il y en avait une juste devant lui. Et cette vermine tentait de l'attaquer. Quel rigolade ! Un sale hybride qui lève la main sur lui, le général en chef des armées et l'un des hommes les plus puissants de la ville. Il était temps d'apprendre les bonnes manière à cet homme. Quand la batte redescendit il recula d'un pas rapidement sans dégainer son épée. Il n'était pas encore l'heure de la mise à mort voyons. Il fallait d'abord lui rendre la pareille. Il avait ridiculiser l'armée à lui d'être ridiculisé. Il souriait derrière sa moustache sans chercher à être discret. Il voulait montrer à ce petit insecte qui était le maître ici. Il allait le faire souffrir autant que possible en lui montrant l'écart de force qui les séparait. Et qu'il était impossible pour lui de la toucher. Une fois que le petit serait bien épuisé il le laissera au bon soin de ses hommes.

“Alors comme ça tu voudrais éliminer la vermine hein ? Je crois que tu trompe de cible. La seule vermine que je vois ici c'est toi sale hybride.“

William fit signe à ses hommes de faire un cercle afin d’empêcher l'insecte de partir. Ces derniers ne tardèrent pas à obéir et à ce mettre en position. William n'appréciait pas tuer en mains propres les insectes cela salissait les vêtements. Il devait donc proposer à cette créature un combat à mains nues. Mais avec ces bêtes ont ne peux jamais vraiment discuter. Autant le désarmer et le forcer à continuer à mains nues. Pour cela il allait avoir besoin de son épée. Il s'apprêta donc à la sortir attendant le prochain mouvement de son adversaires afin de profiter d'une brèche pour couper sa batte.

Messages : 17 Date d'inscription : 29/10/2014

Ta batte s’était levée. Tu étais encore beaucoup trop hésitant. La preuve, il avait eu le temps de l’éviter. Pff…On avait raté notre coup. Rapidement, il s’était reculé, à travers ton masque, on pouvait clairement percevoir l’homme qui souriait. Répugnant, c’était bien pire que je le pensais. Cette homme n’était pas comme les autres, cette homme prenait du plaisir a faire du mal autours de lui, cette homme se distinguait pour être au-dessus. C’était la vermine des vermines. Bien évidemment, ce qui était d’autant plus prévisible, c’est qu’il te réponse en te traitant TOI de vermine.

Les hommes nous entourèrent d’un coup. Olah. Le voilà qui passait aux choses sérieuses…Parfait, c’était exactement ce qu’il fallait. Vue le nombre, on serait obligé de s’enfuir, mais d’abord, j’avais besoins de le blesser. Il le fallait. Le blesser gravement serait l’idéale. Contrairement à toi, je n’hésitais pas. Toi, tu t’étais même reculé d’un bond. Il était temps pour moi de prendre ta place. JE devais te montrer l’exemple.

Enfin, c’était tellement agréable d’être libre de ses mouvements. J’avais pris ta place, a présent j’étais en pleine possession de ce corps. Doucement, je souriais et m’exclamais :

« Toi. Tu es la vermine des vermines. Tu ne peux même pas te battre seul à ce que je vois… »

Il était évident que je faisais référence à ses hommes. L’imbécile, je ne pouvais que constater à travers ce geste qu’il ne me sous estimait pas, et qu’il avait une crainte de me voir fuir. Mes paroles étaient beaucoup plus confiante et cela, c’est parce que moi, contrairement à toi je n’hésitais pas. Regarde et apprend.

« Trêve de bavardage. Il est de passer aux choses sérieuses. »

Sans la moindre hésitation, je me dirigeais vers lui. Contrairement à toi, je contrôlais très bien mes mouvements. Contrairement à toi, je ne visais pas en première lieux la tête, mais les jambes. Je ne faisais même pas attention à voir si le coup porté atteignait sa cible. Spaff. Premier coup sur les jambes pour le déséquilibré. Peu importe si le coup l’avait atteint ou pas, un deuxième coup arrivais au niveau de sa tête cette fois…

William était serein. Son adversaire semblait par contre pour le moins étrange. Après le premier coup il avait changer. Il semblait plus confiant et plus agressif. Il semblait avoir changer de personnalité presque la stature était bien différente. Était-ce un coup de bluff ? Ou était-ce un vrai challenge ? Peu importe. Un adversaire même un insecte reste toujours dangereux. Qui sait ce dont il est capable. Par contre il n'avait visiblement pas comprit l’intérêt de mes hommes. Ou était-ce une ruse pour me les faire se disperser ? Aucune importance il n'allait pas le faire de toute manière. Ses hommes savaient se qu'il risquaient si ils l'attaquaient durant le duel ou avant qu'il en donne l'ordre. Et ils savaient ce qu'il allait se passer si ils le laissaient s'échapper. Il avait par contre toujours pas compris sa place. Mais si l'on considérait sa position alors alors on pouvait presque considérer cette réponse comme un compliment après tout pour un moins que rien la vermine est toujours mieux que sois-même. Cela fit sourire de plus belle William il était temps de donner une leçon à ce déchet. Comme il le dit si bien il est temps de passer au choses sérieuses. Ça y est il attaque au jambes. Ce n'est qu'une feinte le coup n'est pas assez puissant pour faire de réel dégâts il faut néanmoins le stopper pour ne pas perdre l'équilibre. Il sort l'épée et le fourreau de ceinture. Il bloque avec le fourreau et lance une attaque avec la poignée en dégainant. Afin d'éviter le coup qui arrive d'en haut il plonge augmentant la porter de son attaque et sa vitesse. Cela ne suffira pas à esquiver le coup en entier mais il touchera que le haut de l'épaule. Le vêtement en biosteel amorti la majorité du choc ne causant qu'une bonne douleur. Von Edelstein était bien c'était enfin l'heure du combat et de la douleur. Faire mal le plus possible retenir ses coups le moins possible et réduire à néant ce détritus. La lame au claire désormais et la poignée toujours lancé il retourna le fourreau et lança une seconde attaque en simultané. Cela le laissait sans défense pour quelques secondes mais si son attaque touchait son adversaire aurait un handicap beaucoup plus grand. Après tout avec un fourreau au milieu de la gorge il serait difficile de continuer le combat. Il n'était plus temps d'hésiter mais de frapper.

Messages : 17 Date d'inscription : 29/10/2014

Regarde comment il faut procéder et apprend. Un coup par si un autre par la...Rien n'est perdue, si on y met du siens. Confiant ? Oui, il en faut. L'autre se défendait bien, putain, pas étonnant pour un chef. Contrairement aux autres, il était beaucoup plus agile et possédait beaucoup plus de force. Oui, cela se voyait. Mais, il ne fallait pas perdre confiance. Serrant un peu les dents, je reculais quand je sentis que mon attaque n'avait pas eu l'effet escompté. Tu vois, c'est comme ça qu'il faut faire. Il ne faut jamais sous estimer un ennemi. Voilà pourquoi, il faut rester prudent.

Je sentais bien qu'au fond, toi, tu paniquais. Il ne fallait pas, même si la peur t'envahissait, il ne fallait pas reculer. Nous n'avions pas le choix, il fallait se battre. Serrant les dents, je foudroyais l'homme du regard à travers mon masque. Et merde. L'effet de surprise avait complètement raté. J'avais certes réussi à la toucher, mais c'est qu'il était coriace le bougre. Néanmoins, au moment où lui attaqua, je commençais à bouger pour l'éviter. Te connaissant, tu aurais sûrement était paralysé par la peur, contrairement à toi, moi j'ai réussi à bouger.

J'ai réussi à bouger certes, mais moi-même je peux voir que mes mouvements sont encore trop lent et pour cause, je sens un coup toucher mon ventre, me repliant un peu, je tente d'éviter la lame de son épée qui vint frôler mon épaule. Putain ça fait mal. Me mordant la lèvre inférieure en me tenant l'épaule, je soupire. L'homme enchaîne en tentant de me mettre un coup à la gorge, cette fois, il ne m'aura pas. Je me recule d'un bond pour l'éviter. Il ne faut pas paniquer, si je panique, le combat sera perdue et on sera foutue. Sans le vouloir, ma respiration se fait plus forte, tu es paniqué trop paniqué, voilà pourquoi je n'arrive pas à contrôler cette respiration. Il fallait que tu te calme. Calme toi.

« CALME TOI BORDEL. »

Ma pensée pour te calmer a été tel que je l'ai prononcé a voix haute. A cela, je te sens d'un coup beaucoup plus serein, ou du moins en apparence. Au fond de ce corps, je sens que tu es toujours un peu paniqué, mais que tu le caches. C'est déjà mieux qu'avant. Me tenant toujours l'épaule, je me redresse un peu. Qu'a pensée l'autre en m'entendant ? J'en sais rien et très franchement, ça ne vaut pas peine de le savoir. Maintenant que tu t'es calmé, regarde moi faire et apprend.

D'un geste simple, je reprends ma batte en main et me dirige vers lui pour retenter une attaque. Ma première attaque a réussi à le toucher, alors pourquoi pas une deuxième fois ? Me dirigeant vers lui, je re tente de frapper ses jambes avec, histoire de le déséquilibrer et au mieux, de lui infliger un handicape pour qu'il ne se relève plus. Frappant sans savoir si j'ai réussi ou pas, je continue sur ma lancée en relevant directement ma batte ensuite, tentant de le frapper dans le ventre.

Il était fort probable qu'il ait esquivé mon coup aux niveaux des jambes, après tout c'était pratiquement le même qu'avant, voilà pourquoi j'ai tout de suite enchaîner avec un autre coup au niveau du ventre. Après cette série de coup, je recule en serrant les dents. Putain de douleur à l'épaule, il m'a pas raté l'autre. Je me reculais pour une seule et unique raison, reprendre mon souffle.

Son ennemie avait été durement touché. Le sang suintait de la zébrure qui barrait son torse. Le coup de lame avait fait mouche. William recula. Il était temps de se remettre en garde. Son adversaire semblait même perturbé. Il le regarda se redressé. Il avait le regard fou ce n'était pas possible. Était-ce raisonnable de le laisser en vie ? Que devait-il faire ? Il n'eu pas plus le temps de réfléchir que son adversaire hurla de se calmer. Cela eu pour effet d'effacer le reste de questionnement de William. Ses yeux s’illuminèrent d'une étincelle meurtrière. La faucheuse était dans ses yeux. Ses plus proches collaborateurs dans l'assistance eurent un frissons dans le dos. C'était partit le général était sérieux. Il était tant qu'il montre pourquoi c'est lui qui avait été choisi maître d'arme suprême de la ville. Il laissa venir le coup. Il recommençait la même attaque, non un peu plus bas, il vise le ventre ? Très bien. William sauta afin de bloquer la batte avec sa semelle renforcée à l'acier. Il fit alors descendre, dans un mouvement visant à croiser ses bras, l'épées et le fourreaux, afin qu'elle découpe des épaules jusqu'à la hanche l'hybride en deux tandis que le fourreaux frapperait la blessure de Joshua. C'était un mouvement très osé le laissant à nouveau totalement sans défense face à l'ennemie mais William avait dépassé ce stade de réflexion désormais il ne restait plus que la mort de son ennemie qui comptait.

» Le temps des retrouvailles [William]
» Course poursuite dans la foret ? (Pv Haruko)
» Dans la ruche de l'abeille [PV Yubel]
» Même les nobles peuvent se retrouver au plus bas ... [Pv: Juliette Mizaki]
» Un emprisonnement, pour retrouver le goût de la liberté ? [ Pv Aki Miyamoto ♪]