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MessageSujet: Le bonheur et la liberté à porté d'aile [PV Olivier Hibiki] Le bonheur et la liberté à porté d'aile [PV Olivier Hibiki] Icon_minitimeLun 7 Avr - 21:22
Komadori
Un champ de fleur à perte de vue, un lac à l'eau claire et scintillante ainsi qu'un ciel d'un magnifique bleu azuré couvert par quelques nuages blancs. Un rêve qu'elle aurait aimé qu'il soit réalité... Komadori se réveilla quelque heures après le lever du soleil, sortit brutalement de ses songes par les aboiments des hybrides chiens qui eux aussi venait d'émerger.

La jeune hybride se redressa lentement en frottant ses yeux encore un peu collés par les quelques heures de someilles qu'elle venait de faire. Dans son élan, sa tête heurta le dessus de sa cage, le choc et la douleur la firent gémir. Tout en se massant le dessus de la tête elle soupira et regarda avec envie le paysage qui se dessinait derrière la vitre de la fenêtre. Qu'est-ce qu'elle aimerait sortir d'ici... voler librement... et surtout être loin, très loin de cet endroit malsain qu'était l'animalerie dans laquelle elle attendait depuis trois ans. Trois ans qu'elle attendait un miracle, un sauveur, quelqu'un, n'importe qui qui pourrait la libérer de cet enfer...

Le vendeur ne tarda pas à venir faire le tour des cages pour donner la ration quotidienne de "nourriture" que l'on donnait aux hybrides. Il alla tout au fond du magasin et déposa une gamelle dans la cage de la petite papillon qui recula vivement à son approche, se prenant une décharge de la part de son collier électrique. Dès qu'elle faisait un mouvement un peu trop brusque elle y avait le droit. Et si sa petite prison se trouvait tout au fond de cet horrible endroit, ce n'était pas pour rien. Komadori était considérée comme une hybride à défaut, c'était d'ailleurs clairements écrit sur la pancarte devant.

"Hybride de la race des papillons
17 ans, en bon état et bonne santé mais est très craintive
A peur des humains."

Et tout ça était vrai, voilà bien le problème... En ayant été battue pendant dix ans, elle ne faisait plus confiance aux humains, elle en avait peur.

La matinée passa tranquillement, Komadori, comme d'habitude, regardait les allers et venues des clients, recroquevillée dans l'ombre avec juste ses ailes qui dépassaient un peu. Beaucoup d'hybride partirent: neko, inuh, kitsune et autres trouvèrent tous un maître.
Bientôt vint l'après-midi, le vendeur se rendit dans le fond du magasin et changea le prix sur la pancarte de la jeune hybride papillon.


*En esperant que cela encourage quelqu'un à m'adopter...*

La jeune hybride soupira faiblement et posa sa tête sur ses genoux, rabattant ses ailes dans son dos, elle dépassait encore de la zone d'ombre dans laquelle elle se trouvait, tant pis...
La papillon n'avait toujours pas touché à la nourriture mise le matin même, elle n'avait pas faim.
Il y eut une heure ou deux sans aucune visite à l'animalerie quand, finalement, au bout de ce laps de temps, la cloche sonna et un nouveau client pénétra dans la chaleur animale qui régnait en ces lieux.
Komadori
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MessageSujet: Re: Le bonheur et la liberté à porté d'aile [PV Olivier Hibiki] Le bonheur et la liberté à porté d'aile [PV Olivier Hibiki] Icon_minitimeLun 7 Avr - 22:48
Invité
Encore ivre de ma nuit passer au fond de l’eau. Ma tête lourde et mes oreilles bourdonne, je n’aurais pas dut rester aussi longtemps sous l’eau, mais je voulais oublier son visage, et pourquoi pas mourir ? Oui je voulais certainement mettre fin à ma vie, celle que je vis, sans rien, je n’ai pas de liens, du moins il a été briser, détruit, mon cœur volé, maintenant si loin de moi, je n’ai goût a rien, l’âme morte, le corps vide, j’erre d’un boulot à autre, sans avoir de but a atteindre…

Je me balade encore trempé de ma course folle sous l’eau, à écouter le chant des baleines, ou bien était-ce des sirènes ? Non sinon je serais déjà mort noyer sous leur charme envoutante. Je soupir, je me dépêche de rejoindre mon Duplex, pas que les curieux photographes me reconnaisse et me montre sous un mauvais jour, j’ai cette image a tenir, toujours être un autre, montrer mon sourire, montrer mon côté froid a l’objectif, et si je voulais montrer ma blessure ? Pourquoi n’aurais-je pas le droit a montrer que je suis si faible ? Si misérable.

A peine la porte passer mon corps cède sous son propre poids, épuisé d’avoir nagé une nuit entière, sans aucun répit, sans moment pour reprendre son souffle, un miracle que je sois encore arrivé là entier.
Je rampe jusqu’au bureau, ou je vois la photo, mon cœur craque, je me sens partir, mes yeux ce ferme, pour ne plus jamais s’ouvrir, du moins c’est ce que je désire.

Un chant d’oiseau, un bruit de cuisine, j’ouvre mes pupilles, la photo est a terre, le cadrant exploser, ça me met dans une rage folle, j’attrape la photo balayant du revers de ma mains les petit bout de verre, avant de passer mon pouce sur la photo, la regardant, nous observant, chaque trait, chaque expression et je sens mes larmes envahir mes yeux, et une boule venir serrer ma gorge.

Je la place dans un nouvelle cadre, avant de la poser sur le bureau. Fou, voilà ce que je suis, un fou. Je me dirige vers la douche laissant trainer mon maillot de bain à terre, en plein milieu du salon, marchant encore en zig zag, marchant sur des cliché de photo que j’ai pris la veille, que je n’ai pas pris le temps pour les trier. Je me glisse sous la douche, le regard vite, savonnant mon corps avec ce qui semble être une saveur de miel de lavande. Pourquoi pas, je lave minutieusement chaque partie du corps, afin de purifier du sel de la mer, qui c’est déposer sur ma peau chaude.

En sortant j’attrape une serviette et me glisse dans ma chambre, attrapant des vêtements, de qu’elle sorte ? Je prends une chemise blanche, celle qui sculptent corps, une tenue qui fait craquer les femelles, je ne devrais pas le pense ainsi. Pour le bas un slip à la mode et un simple jean bleu, qui tombe un peu. Diantre que j’ai l’air jeune avec cet accoutrement ! Je me regarde dans l’armoire, c’est bien moi qui porte ce genre de chose ? Je devrais plus me surveillé quand je pars faire les boutiques avec les collègues !
Passons, je me parfum, passe un coup de rasoir, j’ai des cernes, bien ancrée sur mon visage, je vais les laissé, après tout ce n’est pas la première fois, et je ne dois pas travailler aujourd’hui.

Je sors, sans prendre mon appareille photos, je ne sais pas quoi faire, regardant mes pieds écrasant au passage les paves de la ville. Beaucoup de monde se bouscule autour de moi, du monde, trop de monde, je veux être seul, laissé moi tranquille, je sens ma tête gonflé, et mon stress rependre, j’entre dans un magasin aléatoirement, sans regarder, les yeux fermés, pour me passer des images agréable, ma première photos, mon premier contact, mon premier chien, attend je n’ai jamais eu de chien !
En ouvrant les yeux, j’aperçois des cages, avec des hybrides dedans, oh non… me voilà dans une animalerie !

Je marche un peu en tanguant pour ne pas toucher les cages de fer, ses prisons qui me fon frissonner  a leur contact, et surtout leur odeur, combien d’heure j’ai été enfermé dans l’une d’elle ? Pour comprendre ce qu’attendais de moi, cet oncle malveillant, combien de jour j’ai jeunet, aspirant a une libération futur, ne baissant jamais les bras ? Je me sens divaguer et me laisse m’écrouler a terre. S’écoulant dans ma chute une cage, ou j’aperçois une fille, aux cheveux rose, et au regard si désespérer, elle me rappelle moi, quand j’étais plus jeune, la pauvre, tant de cruauté, je ne supporte pas.

- Monsieur ? vous allez bien ?
- Non je ne vais pas bien et je veux cette hybride la tout de suite ! Disparaissez de ma vue, immédiatement, amener moi ses papiers !

Je ne sais pas ce qui me prend, je regarde l’homme courir presque au comptoir, fouinant quelque chose je veux fuir, sorte moi de la, ses cage me donne la nausée, je tremble, je ne suis pas  à l’aise, je trépigne d’impatience, sans regarde l’hybride que j’ai choisie, je me relevé avec difficulté, mon corps est a bout, je veux dormir, mais pas ici, pas avec ses cages, pas devant elle, qui me regarde aussi perdue que sons mes iris à cet instant-là. Je vois sa fiche, peur des humains ? C’est normal avec ce qu’ils leur font… Je me penche sur sa cage, sans pour autant montrer un grand intérêt.

- Je t’offre une seconde chance dans la vie, prêt à me suivre Miss ?

Je ne sais pas vraiment quoi dire, je serais mieux au Duplex, avec elle, pour lui dire quoi ? Je vais faire quoi d’elle ? Certainement pas la même erreur que dans mon passé, juste rester là pour la protéger, peut-être je devais faire ça, peut être le destin ma mener ici pour la protéger elle, lui offrir un sourire qu’elle mérite.
Invité
MessageSujet: Re: Le bonheur et la liberté à porté d'aile [PV Olivier Hibiki] Le bonheur et la liberté à porté d'aile [PV Olivier Hibiki] Icon_minitimeMar 8 Avr - 18:36
Komadori
Komadori restait sans bouger, perdue dans ses pensées négative, toujours dans la même position elle écoutait les pas du client quand un bruit sourd se fit entendre.

- Monsieur ? vous allez bien ?

La jeune hybride se redressa et regarda la scène devant sa cage. Le vendeur avait accouru auprès du client, un homme assez grand qui ne parassait pas bien vieux avec des cheveux noirs et des yeux bleus.

- Non je ne vais pas bien et je veux cette hybride la tout de suite ! Disparaissez de ma vue, immédiatement, amener moi ses papiers !

Qu...quoi ? Ses papiers ? "Je veux cette hybride"? Elle n'en croyait pas ses oreilles et surtout ses yeux. Le vendeur courut jusqu'au comptoir pour préparer la procédure d'adoption. L'homme se releva mais il ne semblait vraiment pas à l'aise, il tremblait...on aurait même dit qu'il était sur le point de vomir. Après cela, il se pencha vers la cage et la regarda, les yeux vides d'émotions.

- Je t’offre une seconde chance dans la vie, prêt à me suivre Miss ?

Elle ne rêvait pas pour une fois, quelqu'un allait l'adopter ! Pour de vrai ! Komadori releva ses ailes, une lueur de joie et d'espoir passant dans ses iris dorées.

"Ou...oui...maître..."

Saleté de timidité... Elle avait beau être contente cela continuait de la pénaliser, elle était comme ça, timide et en plus craintive avec les humains. Mais en même temps, une bataille de sentiment venait d'être déclarée.
Deux choix s'offrait à elle: Soit, ce nouveau maître était quelqu'un de bien, il serait son sauveur et elle finirait enfin par vivre heureuse. Soit, ce nouveau maître était un tyran, comme le premier, il serait son bourreau et l'histoire se répéterait...

Du côté du vendeur, tout était prêt. Papiers, collier, laisse, tout était en place. Il ne restait plus qu'à sortir l'hybride de sa cage. Le gros bonhomme chargé de cette tâche alla au fond de l'animalerie et ouvrit la cage. Komadori, trop effrayée pour faire quoi que se soit, resta terrée au fond. L'employé poussa un soupir ennuyé, attacha la laisse au collier éléctrique que portait la jeune fille et tira dessus. L'hybride papillon fut obligée de sortir le collier de cuir l'étranglait et lui lançait des décharges de plus en plus intenses.
Quand cette opération effectuée sans délicatesse et accompagnée de quelques gémissement fut terminée, il ne restait pluus qu'au client d'aller signer la feuille qui l'attendait sur le comptoir et de payer.

Tremblante, ayant du mal à tenir debout et la tête basse, elle se retrouva pour la premiêre fois face à son nouveau maître.
Komadori
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MessageSujet: Re: Le bonheur et la liberté à porté d'aile [PV Olivier Hibiki] Le bonheur et la liberté à porté d'aile [PV Olivier Hibiki] Icon_minitimeMar 8 Avr - 20:24
Invité
Elle trembler à mon approche, rien de plus normal. Je me recule, pour laisser place au vendeur, qui d’un sourire hautain, secouer les clefs, comme si de rien n’était, ou plutôt comme si c’était normal.
Je me sens encore plus mal a ce bruit de clef, combien d’heures j’ai prié pour l’entendre ce bruit, combien de nuit je trembler de les t’entendre pour venir me chercher ?

Je m’appuie sur ce que je trouve de solide, malheureusement, je tiens une barre de fer, qui me donne un coup d’électricité imaginaire en moi, je supporte plus le contact de ses maudites barres de fer !
Je reprends un peu mes esprit, pour être froid, comme a mon habitude, pour ne rien laisser paraitre de mon malaise, comme on me la toujours demander.
Un petit ‘ oui maître’ sortis de sa bouche, tellement hésitante, tellement timide, tellement… je ne sai spas ce qui m’a pris ! Que vais-je faire d’elle ? Bon en tout cas, je lui offre une chance de vivre librement. Je vois le vendeur ouvrir sa cage, et je ne sais pas pourquoi  mais je me sens mieux, pas totalement bien mais mieux, surement à cause de mes vieux démons qui remontent, ce fut d’un court instant.

Je le vit soupirer, d’ennui, comme si faire ce job était une tare, comme si libéré un être vivant serais un supplice, la pauvre se terré au fond de la cage, apeurer comme un chaton dans un carton. Je sentis mon poing se fermer, pour que les ongles rencontrent ma peau, dans une force que je ne contrôler plus. Tirant comme un tortionnaire sur la laisse, qui sembler faire tellement mal a la pauvre fille, je sens que je vais explosé, mais je ne fais rien, n’osant posé mon regard sur la pauvre hybride. C’est quand j’entends le souffle perdue de l’hybride que je sens monter e moi une colère que je ne peux vraiment décrire… Le vendeur me tend sa laisse, comme si c’était un moins que rien, avec son sourire me tendant le papier, je le signe et lui donne l’argent, mais avant de partir, j’ôte le collier de l’hybride et choppe violement le col du vendeur, je lui accroche le collier et lui donne un gros coup de poing, je me contrôle plus, j’ai envie de lui effacé ce sourire si fière, je regarde l’hybride, tentant un sourire maladroit.


- Sors d’ici, attend moi devant, ne regarde pas.

Je la regarde lui indiquant la porte, entendant sonner la clochette ainsi que la porte ce fermer, je me laisse allez, attrapant le col de l’homme, lui adressant des injures dans une langue que certainement il ne connaît pas. Lui faisant rencontré une fois encore mon poing, avant de le voir saigné du nez, en priant de le laisser tranquille, a quoi bon ? Si ce n’était pas lui, c’est un autre…je reprends mon souffle, en me rhabillant, rejoignant l’hybride dehors, en marchant vers le parc, sans dire un mot. Sans prononcer un son, je la regarder pas.
Une fois loin de l’animalerie, je me stop, regardant celle que j’avais libérée. Il n’y a personne autour, je pousse un long soupir, je me sens mieux, bien mieux ici, loin de ses cages en fer merdique.

- Je te prie de m’excuser, il m’a énervé avec son sourire satisfait, il ta fiat mal ? Souffres-tu ? As-tu mangé ? Veux-tu te changer ?

D’accord sa fait peut être trop de question d’un coup, mais je ne sais vraiment par où commencer, la dernière fois que j’ai pris une hybride, elle a volé mon cœur avant de s’enfuir avec. Je ne la regarde pas dans les yeux, mais plutôt ses pieds ou autre chose, je ne supportais pas son regard, je ne veux pas céder, pas maintenant, je ne veux pas revivre le passé.

- Tu dois m’appeler maître, pas autrement. A aucun moment tu t’éloignes de moi, et je vais te faire un collier, assez large, avec ton prénom et mon adresse, ainsi tu pourras allez en ville sans te soucier des militaires. Nous irons le choisir dans une bijouterie, tu ne devras l’ôter que a la maison, compris ?

Je la regarder plus, et passer ma main dans mes cheveux, petit mouvement de stress, un toc comme on peut qualifier sa, je me sens vidée, je ne sais vraiment pas ce qui m’a pris, pourquoi l’avoir choisis, surtout pourquoi elle ? Je me sens pas obligé, je pourrais juste lui dire, va y fait ta vie, sois heureuse, pourquoi je me sens obliger de lui faire autant de précaution ? Il faut lui acheter des vêtements. Je pourrais la prendre en photos aussi, elle est jolie, elle pourrait faire fureur dans mes magasines. Je chasse rapidement cette idée, pour l’instant la mettre en lieu sûr…
Invité
MessageSujet: Re: Le bonheur et la liberté à porté d'aile [PV Olivier Hibiki] Le bonheur et la liberté à porté d'aile [PV Olivier Hibiki] Icon_minitimeMer 9 Avr - 14:51
Komadori
Le vendeur tendit la laisse au client en même temps que les papiers d'adoption. Il paya et d'un coup enleva le collier autour du cou de la jeune hybride pour le mettre au vendeur qui se prit un gros coup de poing dans le visage par la suite. Komadori, surprise et effrayée, recula. un peu. Son maître se tourna vers elle et sourit de façon assez maladroite.

- Sors d’ici, attend moi devant, ne regarde pas.

La jeune hybride obéit sans broncher et se dirigea vers la sortie.
Lorsqu'elle fut dehors, elle inspira un grand coup pour decompresser mais aussi pour faire rentrer de l'air frais dans ses poumons. Cela faisait des années qu'elle n'était pas sortit. Le soleil l'éblouissait mais il lui faisait tellement de bien que ce n'était qu'un détail insignifiant.
Son maître sorti à son tour de l'animalerie et sans lui adresser une parole ou un regard, il se met à marcher et elle le suit. Komadori et son nouveau propriétaire arrivent au niveau d'un parc. À ce moment là, il souffla un coup, un soupir de soulagement, il semblait se sentir mieux.


- Je te prie de m’excuser, il m’a énervé avec son sourire satisfait, il ta fiat mal ? Souffres-tu ? As-tu mangé ? Veux-tu te changer ?

Cela faisait beaucoup de questions d'un seul coup mais la petite papillon y répondit du mieux qu'elle put avec des signes de tête dans l'ordre suivant: Ouï, il lui avait fait assez mal, non, elle ne souffrait pas, non, elle n'avait pas mangé et enfin non, elle ne ressentait pas l'envie de se changer.
L'homme ne la regardait pas, enfin pas dans les yeux en tout cas. Bien que l'hybride ne le faisait pas non plus.


- Tu dois m’appeler maître, pas autrement. A aucun moment tu t’éloignes de moi, et je vais te faire un collier, assez large, avec ton prénom et mon adresse, ainsi tu pourras allez en ville sans te soucier des militaires. Nous irons le choisir dans une bijouterie, tu ne devras l’ôter que a la maison, compris ?

Il semblait stressé. Était-ce elle qui le mettait dans cet état ? Alors pourquoi l'avoir choisie ? Pourquoi l'avoir défendue alors qu'elle le mettait mal à l'aise ? Et puis Komadori le trouvait bien attentioné envers elle. C'était gentil de sa part de vouloir lui faire faire un collier sur mesure rien que pour elle.
Toujours la tête basse elle acquieça.


"C'est compris maître..."

Elle agita doucement ses ailes et leva timidement ses yeux vers lui avant de les baisser la seconde d'après. Son premier maître lui avait toujours interdit de le regarder dans les yeux, peut être n'était-ce pas différent avec lui.

"Si...si je puis me permettre...maître...quel est...votre prénom...?"

La jeune fille rabaissa ses ailes. Ce genre de question ne devait pas sortir de la bouche d'un hybride, elle devait se contenter de se taire et d'obéir. Elle avait toujours vécu comme cela en tout cas.
Komadori
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MessageSujet: Re: Le bonheur et la liberté à porté d'aile [PV Olivier Hibiki] Le bonheur et la liberté à porté d'aile [PV Olivier Hibiki] Icon_minitimeMer 9 Avr - 16:33
Invité
Cette tête constamment basse, on va me prendre pour un tyran, je lui passai la main sous son menton, ne la regardant toujours pas.

- Relève la tête, admire le ciel, ne regarde pas par terre.

Je parler sur un ton froid, sévère, je ne veux pas que quiconque me croire dans la rue pense que je suis un homme qui bat les femmes, ça me ferrais mauvaise pub, mais surtout, ça me ferrais mal. Moi qui par le passé… Non oublions ce maudit passé, ce passé emplit de dégout, de haine, d’oubli…

Je la lâche rapidement, je ne veux pas trop de contact avec elle, je dois me montrer distant avec elle, pas qu’elle me dégoutte, je la trouve jolie, mais je ne veux pas refaire la même erreur, pas maintenant, pas tout de suite, pas avec elle. Elle n’est pas pour moi, je ne mérite même pas un peu de respect. Entendre sa voix si timide fait relever mes poil, hérissant la moindre parcelle de peau, le comble par ce maître si hésitant, je sens ma main chauffer, je la giflerais bien, par parce qu’elle respect ce que je lui ai dit, j’ai été élevé ainsi, pour me montrer froid, sur de moi, à coup de fouet et a coup de gifle. Mais avec elle je le ferais pas, je lèverais jamais la main sur une si fragile créature, mais je la câlinerais pas non plus. C’est ainsi.

Je soupirai et repris ma respiration pour me calmer, puis je la regarde enfin, elle est plus petite que moi, dans son regard on voit une confusion entre la peur, l’inquiétude, et la joie d’être à l’extérieur. Ses ailes rabaissé me font pensé aux mauvais traitements qu’elle a subit, je déteste ses gens, ces moins que rien, toujours a la carrure haute, alors qu’ils sont ceux qui mériterais de mourir.


"Si...si je puis me permettre...maître...quel est...votre prénom...?"

- Mon prénom n’a aucune importance. Tu m’appelleras maître. Allons à la bijouterie tout de suite, et lève moi cette tête ! quitte à regarder mon épaule ! Mais Diantre lève moi cette tête !

Suis-je trop brutal ? A vrai dire, sans mentir, la voir ainsi me rappelle des années de souffrance, a toujours vouloir être à la hauteur, ivre de liberté, les rêves brisée, le corps en lambeau… Je regarde son coup, on y voit des marque de son ancien collier, je ne peux lui laisser sa, je passe mon doigt dessus, ce n’est pas profond, d’ici une semaine on ne devrait plus rien voir. Je me tourne brutalement d’elle, plaquant ma main contre mon œil, voilà que j’ai mal à la tête.

La bijouterie, je connais un artisan, il sera discret sur ce que je vais lui demander. Je passe dans des ruelles étroite, gardant un œil a ce qu’elle me suit, prenant soin à ce que personne l’approche, ou ne la touche, elle a peur, ce n’est certainement pas le moment pour qu’un humain la touche. Arriver dans une boutique, ancrée dans une maison, j’indique a l’hybride de rester ici, sans bouger, sans regarder qui que ce soit, a part moi. Ici, dans ce quartier, bien de shommes prenne les regard comme une invitation au sex. Je ne veut pas qu’elle subisse la moindre violence.

Arriver la, je la vois, l’artisan, une femme belle,a en faire tourner des regard, mais elle ne m’interesse pas, je lui confie ma demande, l’artisans a un sourire en coin, et vient me prendre dans ses bras. Oui un geste familier avec moi, le seule que je lui accorde, je l’ai sauvée il y a bien des année de sa, la pauvre elle est aveugle, pourtant elle fabrique les plus beau bijoux du monde ! j’en couperais ma main pour le prouver !
Je vais chercher mon hybride, en lui touchant délicatement l’épaule.


- Sophia a besoin de toi pour le bijou, ne sois pas surprise si elle te touche, elle est aveugle et a besoin de te toucher pour te confectionner le plus beau des bijoux. Elle ne te ferra pas mal je te le promet. Ne bouge juste pas.

Je la préviens, on ne sait jamais vraiment comment va être la réaction des hybrides.
En entrant Sophia a toujours le sourire aux lèvres, elle me regarde, je sais qu’elle me sens, elle a gardé ses yeux de couleur, malgré qu’elle soit aveugle, j’ai sauvé son corps, malheureusement pas sa vue.

- Ne te le reproche pas Olivier… Tu as fait tout ce qui est en ton pouvoir, maintenant laisse-moi m’occuper de te nouvelle protégée.

- Ne... Ne dit pas mon nom ! Je le déteste tu le sais !

- Calme-toi. Il n’est plus là, et elle non plus, tu n’a plus rien à craindre.

Je laisser un long silence, faisant signe de la tête a mon hybride pour qu’elle aille auprès de Sophia, qui tend les mains pour l’accueillir, afin de lui toucher, visage cheveux et cou, grimaçant quand elle sent les marques laisser par le collier de cuir. Je pousse un soupir, regardant dehors, laissant le temps qu’il faut pour Sophia afin qu’elle fasse ce qu’il faut pour l’hybride, je ne sais toujours pas son prénom. Je voulais ouvrir ma bouche pour le lui demander…

- Ton prénom jeune fille ?  

La douce voix de Sophia me coupa avant, je lève les yeux, elle comprend tout ce que je pense, je ne peux décidément rien lui cacher…

- Je vais te faire un collier, un épais, il ressemble a ceux de l’animalerie, mais il sera fait de soie et de velours, jamais il ne te ferra mal, je graverais sur un médaillon en forme de fleur ton prénom, ainsi que l’adresse de ton maître. J’aimerais que tu choisisses les couleurs, viens avec moi.

Je regarder les jeune femmes partir dans la pièce juste à côté, Elle sait ce qu’il y a de mieux pour elle, comme elle la fait pour l’autre… celle qui fait de mon passé, un lourd fardeau, que je n’arrive pas a délesté…
Invité
MessageSujet: Re: Le bonheur et la liberté à porté d'aile [PV Olivier Hibiki] Le bonheur et la liberté à porté d'aile [PV Olivier Hibiki] Icon_minitimeMer 9 Avr - 18:08
Komadori
- Mon prénom n’a aucune importance. Tu m’appelleras maître. Allons à la bijouterie tout de suite, et lève moi cette tête ! quitte à regarder mon épaule ! Mais Diantre lève moi cette tête !

Komadori eut un petit sursaut et releva la tête, regardant l'épaule de son maître comme il venait de le dire. Elle inspira à fond pour se calmer mais les battements de son coeur repartirent de plus belle quand l'humain passa son doigt dans son cou. Il se tourne et marche. Elle le suit, se remettant doucement de ce contact inattendu. Ils traversent des ruelles et arrivent à leur destination. Son maître lui dit de ne pas bouger et de ne regarder personne. Faisait-il cela pour la protéger ? Difficile de le dire... il était si froid...
Alors que la jeune fille regardais par terre, plongée dans ses pensées et ses interrogations, une main posée sur son épaule la fit revenir à la réalité.


- Sophia a besoin de toi pour le bijou, ne sois pas surprise si elle te touche, elle est aveugle et a besoin de te toucher pour te confectionner le plus beau des bijoux. Elle ne te ferra pas mal je te le promet. Ne bouge juste pas.

Accompagnée de son maître, Komadori entra et vit la belle femme qui allait faire son collier. Se retrouver en présence d'autant d'humains à la fois ne rassurait pas et elle faisait son maximum pour garder son calme.

- Ne te le reproche pas Olivier… Tu as faout ce qui est en ton pouvoir, maintenant laisse-moi m’occuper de te nouvelle protégée.

- Ne... Ne dit pas mon nom ! Je le déteste tu le sais !

Olivier ? C'était donc son prénom ? Mais pourquoi ne l'aimait-il pas ? C'est jolie pourtant...

- Calme-toi. Il n’est plus là, et elle non plus, tu n’a plus rien à craindre.

De quoi parlait-elle ? La jeune hybride papillon ne comprenait pas ce qu'il se passait entre eux deux. La femme qui me devait être autre que la fameuse Sophia, lui tendit les mains, le maître de la papillon lui fit signe d'aller la rejoindre. Jusque là, pas de problèmes. Mais quand l'artisan se mis à la toucher ce fut autre chose. Komadori tremblait comme une feuille, elle se sentait mal, avait envie de fuir et elle avait la tête qui tournait. Son état s'aggrava quand sa main passa sur sa blessure. Elle ferma les yeux et tenta de se calmer. Tout ce contact faisait remonter de mauvais souvenirs

- Ton prénom jeune fille ?  

Heuresement la voix de Sophia était très douce, ce qui suffit à calmer Komadori, sur le point de tomber dans les pommes.

"Ko...Komadori...madame..."

- Je vais te faire un collier, un épais, il ressemble a ceux de l’animalerie, mais il sera fait de soie et de velours, jamais il ne te ferra mal, je graverais sur un médaillon en forme de fleur ton prénom, ainsi que l’adresse de ton maître. J’aimerais que tu choisisses les couleurs, viens avec moi.

La jeune fille suivit l'artisan jusque dans une pièce à côté, toujours tremblante. Comment devait-elle se comporter ? Que devait-elle dire ?

"C'est...c'est très gentil ce que vous faites pour moi...vous ne devriez pas vous donner autant de mal..."

Après tout elle n'était qu'une simple hybride.
Komadori
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MessageSujet: Re: Le bonheur et la liberté à porté d'aile [PV Olivier Hibiki] Le bonheur et la liberté à porté d'aile [PV Olivier Hibiki] Icon_minitimeLun 28 Avr - 12:39
Invité
Je laisse faire Sophia, le cœur perdu dans mes songes, perdu dans ce passé, perdu dans des lieux bien loin d’ici. Je n’écoutais plus les bruit autour de moi, je me sentais étouffer, je m’assis là où je pus, portant ma tête à mes mains, retenant mes larmes, ça me fait cet effet à chaque fois que je viens dans cette boutique, par chance, les deux femmes sont dans la pièce a côté, j’ai envie de fumer, non c’est vrai, j’ai promis d’arrêter… je lui ai promis à elle.
Des bruits de pas me ramènent à la réalité, C’est Sophia, qui de ses yeux aveugle me transperce mon cœur, Elle est un peu comme une deuxième maman, elle s’approche de moi, pour à nouveau me cajoler, je sens mon corps se raidir, je déteste le contact humain, et elle est la seule à pouvoir me toucher. Elle murmure que je n’y suis plus rien et qu’elle n’est plus la désormais, bien que je le sache cela me fait si mal, pourquoi ?

Je regardais un peu plus loin et vit mon hybride, avec ce collier, de velours il me semble, avec cette fleur en pendentif, il est jolie, je me détache de Sophia, lui déposant avec longue hésitation un baiser sur le front, avant de rejoindre cette fille aux longs cheveux rose, il faudrait les coiffer, j’aimerais bien les coiffer… Je m’égare.

- Il ne te sert pas trop ? Dit le moi, je ne veux pas qu’il soit une gêne pour toi, j’aimerais que tu le voies comme un bijoux, et non comme un calvaire à porter… Après tout tu es une jeune fille, je ne veux pas qu’il te laisse des trace sur ton avenir, si jamais tu devrais rencontrer ton prince charmant.

Je laisse pousse un petit sourire nerveux, c’est vrai, j’ai moi aussi connu la honte de porter de tel chose au cou, tellement honteux, tellement éprouvant, je ne veux pas faire subir ce sorts a d’autre.
Je lui pris la main, délicatement pour la faire tourner sur elle-même, afin de regarder si le collier ne lui serré pas, enfin j’ai confiance au travail de Sophia, elle ne ferrait jamais de mal à personne, c’est une personne au grand cœur. Je lâche la main de Komadori, et je vais rejoindre Sophia. Comme à son habitude elle refuse le moindre payement de ma part, insistant sur le faite que je fais déjà trop pour elle. Je la remercie et part de la boutique, réfléchissant ou je pourrais emmener la jeune fille, à la maison ?


- Veux-tu te reposer ? A tu faim ? Voudrais-tu de nouveau vêtement ?  Dit moi ce que tu aimerais.

Selon ses réponses nous irons à différent endroit. Pour une fois, je vais me laisser guider, sans prendre les décisions.
Invité
MessageSujet: Re: Le bonheur et la liberté à porté d'aile [PV Olivier Hibiki] Le bonheur et la liberté à porté d'aile [PV Olivier Hibiki] Icon_minitimeMer 30 Avr - 19:30
Komadori
Après que Sophia est donné le collier à la jeune hybride, elle ressortis de la pièce Komadori la suivant. Ce collier était vraiment magnifique. La papillon le toucha du bout des doigts, il était si agréable à porter que cela paraissait presque irréel. Perdue dans ses pensées elle ne se préoccupa pas de la scène qui se déroulait devant elle, jusqu'à ce que son maître ne la fasse revenir à la réalité.

- Il ne te sert pas trop ? Dit le moi, je ne veux pas qu’il soit une gêne pour toi, j’aimerais que tu le voies comme un bijoux, et non comme un calvaire à porter… Après tout tu es une jeune fille, je ne veux pas qu’il te laisse des trace sur ton avenir, si jamais tu devrais rencontrer ton prince charmant.

Il laissa passer un petit sourire. C'était bien la première fois qu'elle le voyait sourire ! Mais cela ne fit rien changé dans le comportement de Komadori qui avait toujours un peu de mal.

"Non maître... Il est parfait merci..."

Olivier lui prit délicatement la main et la fit tourner sur elle-même. Pourquoi voulait-il absolument que ce collier ne la serre pas ? Son premier maître s'en serait fichu éperdument... Peut être était-il différent ? Pendant cette réflexion, il avait déjà discuté avec la jeune femme et la remercia avant de sortir de la boutique, suivit de son hybride.

- Veux-tu te reposer ? A tu faim ? Voudrais-tu de nouveau vêtement ?  Dit moi ce que tu aimerais.

Elle n'y avait pas réellement réfléchis. Komadori agita nerveusement ses ailes, en essayant de ne pas baisser la tête, ce qu'elle avait énormément de mal à faire. Pourquoi se préocupait-il autant de la jeune hybride ? Komadori n'y était pas vraiment habituée... cependant il fallait qu'elle s'y fasse. La petite papillon se souvint qu'elle n'avait rien mangé depuis son réveil et toutes ces émotions l'avait un peu fatiguée mais elle pensa juste de d'abord satisfaire son estomac.

"Je ne pense pas que de nouveaux vêtement soit nécessaires pour le moment... Mais je...je n'ai rien mangé depuis ce matin... J'aimerai bien mangé quelque chose... si cela ne vous importune pas... maître..."
Komadori
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Hybride Docile ♀
Hybride Docile ♀
MessageSujet: Re: Le bonheur et la liberté à porté d'aile [PV Olivier Hibiki] Le bonheur et la liberté à porté d'aile [PV Olivier Hibiki] Icon_minitimeLun 19 Mai - 11:15
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MessageSujet: Re: Le bonheur et la liberté à porté d'aile [PV Olivier Hibiki] Le bonheur et la liberté à porté d'aile [PV Olivier Hibiki] Icon_minitime
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Le bonheur et la liberté à porté d'aile [PV Olivier Hibiki]
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