Lamia, enfant serpent [ Fini]

Nom :
Celui de son possesseur.

Prénom :
Lamia (laïmia)

Âge :
Dix-neuf ans

Rang :
Hybride mise en cage, soumise (docile)

Race :
Vipère aspic (Vipera aspis)

Orientation sexuelle :
Aime le contact avec les femmes,
mais n'a jamais vraiment pensé avec quel genre elle désirais être.

Description physique :

Petite tu es, dans les un mètre cinquante-trois tu te situes, toujours comparée à tes sœurs qui sont plus grandes que toi. Tes cheveux blancs comme la neige ont toujours été un sujet de moquerie à ton égard, mais peu importe, tu les aimes car ils sont aussi doux que la soie, tu les laisses longs devant, et plus courts à l’arrière, tu aimes cette coupe car elle est libre et ne t’encombre pas, même si passer tes mains dedans reste un de tes gestes préféré. Ton visage avec lequel tu trahis tes émotions, coquin et malicieux, ce sont surtout tes yeux dont la couleur violacée attire tous les regards, souvent sujet de rejet. Mais du rejet tu t’en moque bien, car grâce à eux tu vois aussi bien qu’un aigle dans les airs, le regard parfois vide car souvent tu disparais dans ton monde. Des joues bien souvent rougies par la gêne, par l’hésitation et l’envie.

Ta poitrine est féminine et te convient parfaitement, celui qui la touchera devra l’aimer tel qu'elle est, tout comme le reste de ton corps, adapté à ta grande mobilité et ton agilité, ta peau est lisse et soyeuse, à l’exception de tes écailles perdu dans ton dos, l’endroit t’es sensible quand on la touche, la ligne d’écailles de couleur blanche se mêlant presque à ta peau humaine. Tu t’habilles toujours avec ce que l’on te demande de mettre, mais à choisir, tu aimes les robes près du corps, simples, avec des poches un peu partout, mais le textile qui ne te quitte jamais, reste cette écharpe, jadis offerte, et qui depuis semble toujours aussi neuve, tu dors avec, tu te douche avec, elle ne te quitte pas, tel un porte bonheur.

Description psychologique :

Ta vision du monde parait étrange pour les autres, car serpent venimeux et agressif que tu es, tu restes douce et aimante, même si le bâton a toucher ta peau sauvagement, tu continueras à regarder ton possesseur avec des yeux doux. Jamais tu n’as mordu une personne, sauf si l’ordre t’en a été donné. Non tu n’es pas méchante, rêveuse et bien souvent absente, vivant dans ta bulle, toujours en quête de sucreries et autres délices pour ton estomac. Distante est ce qui pourrait te qualifier de mieux, préférant les coins d’une pièce plutôt qu’être à l’intérieur. Le froid est ton pire ennemi, cherchant à tout prix à le fuir, voulant presque le contact humain pour réchauffer ta douce peau, soupirant de plaisir quand l’été est annoncé. Un sourire sur le visage quand tu es en confiance, sinon c’est d’un regard vide et une expression neutre que tu regardes les gens, souvent méfiante de leurs gestes, bien que tu ne haïsses personne. Avec ta famille tu t’es toujours mal entendue, normal, la petite dernière que tu es n’aime pas se battre ni chasser, tu préfères attendre là, sagement qu’on te demande d’y allez, préférant la nourriture pour humain, plutôt que de vivre comme un sauvage. C’est d’ailleurs ainsi qu’ils t’on attrapée, car ta curiosité fait défaut, et des humains ont cru bon te capturé pour assurer une bonne journée.

Histoire :

Tu es née en octobre, avec ton frère jumeau, mais lui est mort né, tandis que toi tu luttais pour survivre dans ce monde déjà trop sauvage pour toi. D’une grande famille tu étais entourée, toute tes sœurs te prenais comme une poupée car jamais tu ne bronché quand elle te maquiller ou te coiffer, ta peau porcelaine à fait de toi la plus jolie de toutes. Une mère aimante t'a élevée chaque jour, mais à l’année de tes six ans, ou normalement tu devais chasser ta première proie pour passer à l’âge adulte, tu as refusé, trouvant cela cruel, un geste qui a créé le mépris de la famille à ton égard. N’étant plus la poupée de la famille, devenue une honte pour ceux qui te regardaient, pour la famille de rebelles qu’ils étaient tu étais la docile, celle qui n’avais rien à faire ici. Ton père ne t’a plus jamais adressé la parole, et seule tu devais apprendre à vivre désormais.

Famille de serpents, tu as hérité des mêmes gènes, mais chez toi la partie humaine devenait la majorité de ton corps, plus de chair, moins d’écaille. C’est alors que la famille c’est éloignée, te laissant souvent derrière, ne voulant pas de toi dans la même pièce, souvent placardé dans un recoin, pour te faire oublier, jouant à compter les poussières qui passaient te dire bonjour. Avec le temps tu as grandi dans l’oubli, devenant alors une jeune fille, jolie et désirée, mais détestée de la famille, car toujours tu refusais de chasser et tu préfères voler dans les magasins pour humain, plutôt que de manger un lièvre fraîchement chassé.

A l’anniversaire de tes dix-huit années, alors seule devant le gâteau que tu as volé, soufflant sur une branche en guise de bougie, tu prononças un vœu, celui d’avoir quelqu’un pour qui te confier, qui partagerais tes sourires, qui aimerais ta douceur et ta passion pour les livres.
Avant de t’endormir, à la fraîcheur de la nuit, car ta chambre était à l’extérieur de la maison familiale, tu regardas les étoiles, priant encore une fois, d’avoir une épaule sur laquelle pleurer, tu fermas les yeux, les joues humide.

Au matin tu fis un tour pour en apprendre plus sur les livres des humains, qui maintenant te paraissez plus clair depuis que tu as appris à lire, mais alors que dans la ville tu te promenais, des gardes t'ont attrapée, dans un filet t’administrant un liquide dans une seringue et aussitôt tes paupières furent lourdes, trop pour ne pas regarder les couleurs du matin venir réchauffer ta peau.

Au réveil dans une cage de fer ta panique monta d’un cran, c’est alors que tu t’es retrouvée à l’animalerie, un lieu ou des gens tout comme toi sont vendus a des gens plus ou moins honnête à des prix plus au moins chers, et après des tests faits pendant ton sommeil, ton prix fut bien haut. Au grès des jours ton prix baissa, car les humains ne voulant plus de toi dans ta cage, faisant tout pour se débarrasser de toi. Depuis un an maintenant tu es dans cette cage de fer, à regarder autour, cherchant une aide pour sortir de là, regrettant parfois de n’avoir pas chassé quand maman te l’avais demandé, mais ce regret n’est pas là longtemps il est vite chassé quand on vient te parler.

Un jour qui sait, tu sortiras de là, et une toute nouvelle vie s’offrira à toi.

Autre :

Fiche de l’animal :
Race serpent, adorant les sucreries, mangeant comme tout être, bien en forme, docile, répète assez vite les gestes qu’on lui montre, pas de rébellion apparente.
Poids: légère
Prix: moyen

Bienvenue jeune serpent. En espérant que tu te plaises ici.

De sa voix douce elle te remercia, en souriant comme une enfant heureuse.

♦ Je vous remercie, en espérant ne pas faire tâche dans ce nouveau monde. ♦

Fiche joliment écrite, beau travail chère "soeur" aspic~
Validée~

S'inclinant face a l'homme tu lui répondit de ta voix douce, légérement contente, Souriant naïvement.

♦ Etre validé par un membre de la grande famille des serpents est un honneur pour moi.
Je vous remercie d'avoir pris le temps de lire ma fiche. ♦

Te relevant doucement, tu lui adressa un regard attendrissant, bien qu'au fond de toi, la peur d'un serpent plus grand te fait parcourir un frisson.

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